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mercredi 5 mars 2014

Défense Anticolonialiste partie 2


Interprétation du Droit International Public

 

Selon Thierry Sur, lorsque «l'ancien Droit International Coutumier» était légalement en vigueur par l'entretien continuel de sa Coutume (à faire cesser!) -tant au niveau de sa pratique politique que juridique:

 

« [...] les conditions essentielles à remplir pour que les occupations nouvelles sur les côtes du continent africain soient considérées comme effectives.

 

[...] Il subordonnait la validité des conquêtes à leur effectivité et à la notification adressée aux autres puissances. Le droit établissant en outre différents statuts coloniaux; régime de l'annexion, du protectorat, de la cession à bail, etc. Avec le pacte de la S.D.N. et la Charte, le droit tend à assigner à la colonisation des fins civilisatrices et à soumettre celle-ci à un contrôle international (régime de mandat, de la tutelle, des territoires non-autonomes). Enfin, le droit dans ce domaine est devenu celui de la décolonisation.

[...]

b) Le pas décisif a été franchi en 1960 par l'adoption à l'unanimité (avec neuf abstentions) de la résolution A/1514 (XV) du 14 décembre 1960, intitulée «Déclaration sur l'octroi de l'indépendance aux pays et aux peuples coloniaux. » (Sur, Thierry, Combacau et VALLÉE, Droit International Public, 1975 Éd. Montchrestien, pp. 491-500, p. 494-495)

 

Je soutiens haut et fort dans les cours de Droit International Public que je dispense bénévolement aux Autochtones, comme dans mes interviews avec des journalistes lors des manifestations populaires, que «le Vice de Consentement» de l'AANB de 1867 serait interprété à l'encontre de la monarchie britannique du Royaume-Uni et du Parlement-Colonial d'Ottawa», et cela, par la Règle d'interprétation judiciaire connue par sa maxime latine qui nous indique que «ce genre de Contrat à Sens Unique» s'interprète «contra proferentem, contre celui ou celle qui rédige seul(e) la Loi», que nous approfondirons ci-après; et dans un chapitre ultérieur, nous étudierons la règle «Posteriora prioribus derogant, les Lois-Postérieures dérogent aux Lois-Antérieures», parce que cette règle d'interprétation se retrouve indissociable à  la compréhension de l'article 103 de la Charte des Nations Unies afin d'en faire correctement  l'interprétation historique et juridique. De plus, vous vous devrez de considérer ce qui supporte mon affirmation à l'effet que tôt ou tard par son entêtement débile, «le Fief du Canada» finira sous «un Régime de Tutelle» institué par l’Assemblée générale des Nations Unies. Absolument! -n'en doutez pas!

 

***Notre situation de sournoise Subjugation ressemble étrangement à celle du Territoire de Goa revendiqué par les Indes alors que l’État Indien était sous la Domination étrangère du Portugal, et qui en fut «libéré» par le Droit à la Décolonisation, comme nous le verrons en amont. Mais avant, au Royaume de «l'Être-Parfait»...il y a que sa Sainteté lui est assurée aux yeux de nos Robes-Noires, comme autant de Juges-Féciaux en reconnaissance de «son Impeccabilité-Royale» qui se fait redorer d'Adoration par jugement-préjugé pour pouvoir maintenant se targuer «d'Infaillibilité-Papale», et il suffisait «d'une Bulle-Jurisprudentielle de son Droit-Canon» qui répandra «le Dogme-Doctrinaire» du «Divin-Législateur» à qui il fallait bien obéir, même si le faire était contraire au Droit International Public, alors que «le Droit-Colonialiste Interne séparait toujours des Familles Autochtones avec ses Juges-Nazis jusqu'en 1989, et en 2009 en le tolérant des Mohawks, et cela avec l'aide attendue de ses Toges-Fourbes qui ont vu par opportunisme intéressé, à l'utilité de favoriser leur propre image du reflet de «cet Être-Parfait» crapuleusement importé de la Jurisprudence-Monarchique du Conseil Privé, comme nous l'avons vu de cette citation qui est désormais incrustée dans le Patrimoine-Matricide caïnadien dénaturée théocratique, par un arrêt de la Cour-Martiale Suprême qui Renvoi l'Ascenseur à son Législateur-Adoré pendant qu'il écrivait «sa Magna-Charia protest-anglicane rétro-adventiste» que ces Faux-Prêtres lisaient déjà assidument depuis presque 20 ans, exactement comme ils l'ont fait avec le nouveau Code Civil du Québec qui allait être mis en vigueur en 1994, cela, afin de se préparer à le juger. Revoyez cette monumentale Absurdité judiciarisée dogmatique afin de la prendre en aversion plus que raisonnable:

 

« Je ne crois pas qu'il appartienne au tribunal de supposer que le Parlement a commis une erreur. Qu'il y ait ou non erreur, je crois que le tribunal est tenu de supposer que le Parlement est un être parfait qui ne commet pas d'erreurs. »

(Commissioners’ of Income Tax c. Pemsel, [1891] A. C. 531, p. 549, par Lord Halsburry; approuvé « ponce-pilatement » par le Juge Spence dans R. c. Scheer Ltd., 1974, R.C.S., 1046, à la page 1055)

                                                                                                                                                                                                                                                         

Évidemment, je n’avait pu m'empêcher d'observer cette louche importation de l'arrêt Pemsel de 1891 rendu par les Juges-Lords du Conseil Privé, en regard de cette création divine que «cet Être-Parfait» que serait prétendument «le Parlement-Colonial d’Ottawa» dans son Imperfectibilité qui, par ailleurs, n'est pas reconnue dans aucune Loi, mais qui est déclarée comme tel par la Jurisprudence du Parti-Pris faisant que «le Tribunal est tenu de supposer que le Parlement est un «Être-Parfait» qui ne commet pas d'Erreurs». -Pas «cet Être-Parfait» qui allait mettre très tardivement son Code Criminel en vigueur l'année suivante en 1892». D'abord, je souligne ce dont je me rappelle de mes Lectures m’ayant révélé cette Vérité-Historique, affirmant que ce Droit de Criminels-Aventuriers de la Compagnie de la Baie d'Hudson dont a hérité la Despotique victoria en tant que «l'Être-Parfaitement-Perfectible de 1867», avait dramatiquement sombré dans la décadence la plus crasse alors qu'on m'avait relégué aux Oubliettes des Asiles d'élisabeth deux du «Amistad» de 1982 avec son Zoo-Safari du Droit-Criminel qui s'interprète strictement par la Jurisprudence de «leur merdique Common Law», à qui il est impossible de dire: «He! -Come on» -Là!»

 

Illégalité onusienne de l'AANB de 1867 et du Renvoi-Esclavagiste de 1981

 

Maintenant, nous y allons de citations incontournables qui établissent le bien-fondé de l’argumentation des Anticolonialistes avec cette citation de Charles Rousseau, cet auteur de doctrine juridique du Droit International Public qui nous explique clairement les 2 Principes de la Règle d'interprétation «contra proferentem, contre celui ou celle qui rédige seul(e)» sa Loi-Unilatéraliste. Il nous signale également sans détour quels sont les Obstacles à l'Évolution du Droit International Public, parce que quelques États rétrogrades n’y adhèrent encore que pour patauger dans la Mascarade et le Simulacre de leur Démocratie de Toc, pour mieux Nous empêcher de bénéficier des protections du Droit International Public dans leur Droit-Colonialiste Interne d’invétérés Troglodytes de l’ancien Droit International Coutumier:

 

(« Premier Principe »): de l'interprétation de la Règle «Contra Proferentem»: a)- l'interprétation des dispositions douteuses, dans le sens le plus favorable à l'État obligé.

(« Deuxième Principe »): b)- l'interprétation des dispositions douteuses, à l'encontre de l'État qui les a rédigées. » (Rousseau, Charles, Droit international Public, 1971, vol. 1, « Les Sources », Éd. Sirey, pp. 297-298)

 

Ces principes d'interprétation, je les ai soulevé en vain lors de mon Jugement-Préjugé par Claude Millette-Zundel, en Appel tordu tortueux de sa propre Cause dans l'inversion de sa Condamnation-Antérieure en Quasi-Acquittement-Ultérieur absolument Injustifiable, avec comme aboutissement saugrenu cette Absolution inconditionnelle dérisoire, surtout que cette Sentence était double suite à ma prétendue présomption d'innocence transmutée mafieusement en présomption d'aliénation mentale. Et pourquoi donc? Mais parce que je pense autrement que l'uniformité de la Pensée-Unique qui est souhaitée par nivellement judiciarisé, en Conversion-Oecuménique pour l'Écume-Ethnique; parce que 11 Charte-Bidons ne me garantissent qu'une Liberté de Penser loufoque, puisque la Sentence-Fatwa élisabéthaine me frappe de «son honni soit qui mal y pense!»

 

Pourtant, du point de vue de la Preuve, j'avais bel et bien signé ma Déposition expliquant mon saccage des Armoiries caïnadiennes du 1250 rue University le 15 Février 2004, afin de démontrer explicitement qu’un Acte Illicite peut être commis sans Intention Coupable lors du Vandalisme d’un symbole discriminatoire comme les panneaux indicateurs portant le nom de « la rue Amherst », du général empoisonneur de couvertures infertées de varioles, comme les bâtardes d’Armoiries caïnadiennes sur la Charte-Martiale caïnadienne. Parce que je vous précise que j'avais alors répété de vive-voix au Procès pratiquement les mêmes Arguments que j’avais écrit dans ma Déposition pour me justifier de mon saccage, qui rencontre indiscutablement l'élément de l'actus reus, de l’Acte Illicite, mais sans mens rea, sans Intention Coupable, de m'être attaquer à un symbole discriminatoire toléré et même valorisé par le Législateur de l'Intolérance de son non-désaveu, de concert avec la Complicité de ses Juges valorisant sa Supra-Constitutionnalité martiale; d'un Vandalisme que je peux vous démontrer en tout temps en exhibant la Vidéo prise par deux Amis Anticolonialistes venus expressément pour le filmer et qui vous est accessible sur le site de Contramundum

Briser les chaînes de l'empire

 

Aucun doute quant à mon affirmation, après mes 2 premières tentatives infructueuses devant «Injustice-Canada» face à Yves Fournier-Carnavon dans Reine contre Denis Dubé, #500-023-9880 du 17 mars 2004, et devant Claude Millette-Zundel et Jacques Rouiller-Fasciste, son procureur de la Couillonne, dans Reine contre Denis Dubé, #500-01-002223-045 du 30 septembre 2005, alors que je me représentais moi-même en vous partageant très sincèrement que: toute Défense Anticolonialiste se fera inexorablement avorter dans le Droit-Colonialiste Interne, en esquive french-peasoupienne de Froussards de la Démocratie onusienne, et cette Magouille judiciaire se généralise afin que ma Défense Anticolonialiste qui se dresse en Signalement de Subjugation, n'aboutisse pas devant la Cour Internationale de Justice; ce qui m’a fait comprendre l'Obsession des Juges-Nazis caïnadiens, dans leur Conspiration pour toujours censurer de la Preuve cette lecture qui leur est indigeste des Débats de la Chambre des Communes de 1938, volume 1, pages 350 à 355, et volume 3, pages 2234 à 2249.

 

Pourquoi cette censure? Mais parce que ces fameux Débats de 1938 contiennent les Déclarations du député Mr. Walter F. Kuhl qui y soutient l'Illégalité de l'AANB de 1867, en tant que Loi-Coloniale frauduleuse complètement «Illégale» à cause de «son Vice de Consentement», et qui par conséquent, n'a rien  d'un véritable Pacte Fédératif. Il me faut croire que dorénavant, on me voit venir, puisque dans Reine contre Denis Dubé, #500-01-059163-110 du 10 septembre 2012, le juge Jean-Pierre Boyer-Sewell m’a refusé catégoriquement de soulever toute Défense Constitutionnelle ainsi que toute Défense Anticolonialiste, tel qu’il m’a été signifié clairement par Me Nicolas Welt qui me sous-représentait alors exceptionnellement (de n'avoir pas soulevé la privation arbitraire de ma médication de cardiaque durant deux jours et demi de détention), et qui s’est plié à cette procédure arbitraire d’un système prétendument Contestataire, mais qu’il ne faut pas contester de sa prétendue imperfectibilité monarchique. Et depuis, tous les juges-magouilleurs auxquels j’ai fait face jusqu'à maintenant, m’ont vivement recommandé de me faire représenter par un juriste Méo Penché du Club-Med des anus au soleil britannique, bien plié en deux au Carcan de l'Allégeance au Monarque britannique et à la Soumission aux lois de grande-bretagne, tel que stipulé aux articles 5 et 8 de l'Acte de Québec de 1774 de ce tyran de george III indigeste aux Républicains américains, et toujours en vigueur, ce qui est absolument hors de question que ces dispositions me soient applicables, et que je fasse pitoyablement marcher «l’Usage et la Coutume» de «l’ancien Droit International Coutumier» en renonçant stupidement à ma Dignité-Humaine, simultanément à mon renoncement des protections onusiennes du Droit International Public dont je me réclame pour moi-même et pour les Miens et tous les Natifs, les N’Elles et les N’Ils qui se sont faits annulés par l’État-Forceps, et qui de ce fait ne sont pas des «Nous» ni des «Eux» qui se complaisent de la Bipolarité-Haineuse, à la mode Heurt-Hop!-et-Haine...comme le rapporte Albert Memmi:

 

« La tentation fasciste »

 

[…] « Mais on peut faire un pas de plus: toute nation coloniale porte ainsi, en son sein, les germes de la tentation fasciste.

Qu’est-ce que le fascisme, sinon un régime d’oppression au profit de quelques-uns? or toute la machine administrative et politique de la colonie n’a pas d’autres fins. Les relations humaines y sont issues d’une exploitation aussi poussée que possible, fondées sur l’inégalité et le mépris, garanties par l’autoritarisme policier. Il ne fait aucun doute, pour qui l’a vécu, que le colonialisme est une variété du fascisme. » (Memmi, Albert, Portrait du Colonisé, 1972, Éditions L’Étincelle, p. 71; les italiques de A. Memmi)

[…]

« C’est dans ce contexte que doit être replacée la xénophobie, et même un certain racisme du colonisé.

Considéré en bloc comme eux, ils ou les autres, à tous les points de vue différent, homogénéisé dans une radicale hétérogénéité, le colonisé réagit en refusant en bloc tous les colonisateurs. Et même, quelques fois, tous ceux qui leur ressemblent, tout ce qui n’est pas comme lui, opprimé. La distinction entre le fait et l’intention n’a pas grande signification dans la situation coloniale. Pour le colonisé, tous les Européens des colonies sont des colonisateurs de fait. Et qu’ils le veuillent ou non, ils le sont par quelque côté : par leur situation économique de privilégiés, par leur appartenance au système politique de l’oppression, par leur participation à un complexe affectif négateur du colonisé. D’autre part, à la limite, les Européens d’Europe sont des colonisateurs en puissance : il leur suffirait de débarquer. Peut-être même tirent-ils quelque profit de la colonisation. Ils sont solidaires, ou pour le moins complices inconscients, de cette grande agression collective de l’Europe. De tout leur poids, intentionnellement ou non, ils contribuent à perpétuer l’oppression coloniale. Enfin, si la xénophobie et le racisme consistent à charger globalement tout un groupe humain, à condamner à priori n’importe quel individu de ce groupe, lui prêtant un être et un comportement irrémédiablement fixe et nocif, le colonisé est, en effet, xénophobe et raciste ; il l’est devenu. »

(id., pp. 118-119; les italiques sont de A. Memmi)

 

***Les Amérindiens seront Solidaires, pour maximiser l'impact de leur légitime Signalement à l'Assemblée Générale des Nations Unies de la Subjugation britannique qui prévaut encore, d’une sournoise et insidieuse situation oppressive de Subjugation qui persiste dans le Fief-Pontifical élisabéthain du Canada de «la plusse belle Colonie du Monde», quoi qu’en dise Me Jean le Crétin-Chrétien. Il va sans dire que «l'Opinio Juris» qui représente «l'opinion Majoritaire des Juristes de l'Assemblée générale des Nations Unies», accueille favorablement «le Droit à la Résistance Armée» reconnu comme l'équivalent «du Droit à la Légitime Défense», ce qui ressortira clairement des importantes citations suivantes concernant «le Droit à la Décolonisation».

 

Mais d'abord, citons quelques auteurs de doctrine du Droit International Public, afin de mater illico les Convaincus trop crédules de Démocratie tangible, et les insouciants trop Sceptiques quant à l'insidieuse Ségrégation qui prévaut de façon occultée par une exécrable hypocrisie judiciarisée d’un Simulacre de «société qui se doit d’être libre et démocratique», selon ce qu’il nous faudrait croire de l’affirmation mensongère du juge en chef Dickson dans l’arrêt Oakes, page 136, après que sa Cour-Martiale Suprême se soit irrémédiablement déshonorée à valider notre Déshumanisation, simultanément à sa reconnaissance lors du Renvoi-Esclavagiste de 1981, de l’outrageant Titre dûment notifié de Possession Coloniale accomplie sur le Fief du Canada», par conséquent, ayant incontestablement validé très crapuleusement et fort traîtreusement la Constitution-Martiale de la Proclamation Royale de 1921. En regard «du Vice de Consentement» à un Pacte ou un Traité, le Droit International Public applique les mêmes principes qui se dégagent «en Droit Interne», en ce qui a trait «aux contrats qui présentent des Abus de Droit». Ainsi, concernant la Convention de Vienne sur le Droit des Traités, Paul Reuter nous précise que:

 

« Le chapitre V de la Convention définit largement et multiplie les causes de nullité des traités, notamment par l'extension des vices du consentement et des règles impératives éventuellement nouvelles et auxquelles il n'est pas permis d'y déroger. » ((op. cit.), REUTER, Paul, «Origine et élaboration de la Convention», extrait de La Convention de Vienne sur le Droit des Traités, Éd. Armand Colin, pp. 5-15, p. 10; les soulignés sont de P. Reuter)

 

Ainsi donc, les deux Juges-Négriers que sont Yves Fournier-Carnavon et Claude Millette-Zundel, sont absolument «Imputables» et même, de façon «Imprescriptible» pour leur Relève, c’est-à-dire sans aucun délai pour instituer une poursuite rendant ce Droit forclos, cela, en vertu des Règles Impératives et Supra-Étatiques dites de «Jus Cogens», soit de l'Opinion-Juridique qui est majoritaire et qui prévaut en Droit International Public, pour avoir sciemment en toute Préméditation reconduit le Colonialisme lors des deux Procès dans lesquels ils se sont faits expliquer «poliment et pacifiquement» les Contraventions du Renvoi-Martial de 1981 à l'encontre de «ces Règles Impératives» et «Supra-Étatiques»; et je ne pouvais dès lors que constater qu'effectivement, «la Toge a cédé aux Armes», contrairement à la maxime latine disant «Cedant arma Togae, que les Armes cèdent à la Toge». En suivant les Juges-Négriers du  Renvoi-Martial de 1981, ils se sont rendu Coupables des mêmes Infractions au Droit International Public; alors que par le simple Principe du Bon Samaritain de l'article 2 de la Charte des Droits et Libertés de la Personne du Québec, sans même l'excuse de mettre leur vie en jeu en intervenant, il leur était si simple de signaler la Contestation étoffée de ma Défense Anticolonialiste à leur Législateur-PM du «Parlement-Colonial d'Ottawa». Et dire qu'en 1971, le simple article 1053 du Code Civil du Bas-Canada, suffisait à lui seul pour abattre le principe despotique voulant que «le Monarque ne peut mal faire», (ferait-il exprès), et cela dans l'arrêt Nord-Deutsche de la Cour Suprême. Mais, de nos jours de Chartes-Bidons en Rogatons racis, on ne dérange pas «l'Être-Parfait» pour des balivernes invoquées pour défendre la Faune Locale «des Natifs et des Bardots-Métis».

 

Yves Fournier-Carnavon et Claude Millette-Zundel sont Coupables de Ségrégation raciale et sociale, tout comme leur minable Juge en chef Michel Robert-Carnavon, qui nous assurait publiquement en 2006 son abominable mensonge à l’effet que: «les Juges canadiens sont de bons fédéralistes». C'est comprendre qu'ils ont tous les trois «légitimé» le Signalement de la Situation de Subjugation par la Résistance Armée en assurant l'impunité aux Partisans Anticolonialistes qui seront éventuellement Accusés injustement d'avoir liquidé quelques Juges-Nazis caïnadiens, procureur et avocats-judas; parce qu’il faut comprendre, que même si les Anticolonialistes sont trouvés tortueusement Coupables dans le Droit-Colonialiste Interne, ils seront sûrement «Innocentés» ultérieurement par l'Assemblée générale des Nations Unies et la Cour Internationale de Justice, puisque «la Responsabilité Internationale» en regard «des Dommages Collatéraux» qui surviendront éventuellement après plusieurs Ultimatums-Judiciarisés, incombera très certainement «au Parlement-Colonial d'Ottawa ainsi qu’à sa fourbe Magistrature-Ségrégationniste» en tant que Judiciaire-Dictatorial de sa «Shit-Judge-Made-Law», ce qui fait qu'ainsi, ils ont instigué et même justifié leur salutaire Élimination, ce qui vaut pour toutes les Toges-Tordues qui les prendront en piteux Parangons.

 

Pour supporter cette Allégation de non-responsabilité paraissant à prime abord pour le moins téméraire, Charles Rousseau nous explique en ces termes quelle est «la Responsabilité des États du fait des particuliers» qui réagissent bravement contre leur Persécution-Historique en la signalant à l'ONU, et qui selon lui, est imputable à l'État pour «les actes ou omissions de ses organes de toute nature (même Judiciaires), ce qui fait sans contredit, que le Judiciaire-Despotique est «Responsable» et de façon absolument  «Imprescriptible» pour toutes ses décevantes Contraventions au Droit International Public incluant des Actes de Génocide:

 

« #131- Nature de cette responsabilité- L'État peut aussi être responsable à l'occasion d'actes commis par des particuliers. Quoi qu'on puisse en penser, il y a ici encore responsabilité directe, car l'État doit assurer le maintien de l'ordre public sur son territoire. Le fait générateur de la responsabilité, c'est le manquement de l'État à cette obligation primordiale, non le fait de l'individu, lequel, n'en étant pas le sujet direct, ne peut violer le droit international. » (ROUSSEAU, Charles, Droit International Public, 1970, Dalloz, Chap. II,  98-133p., pp. 123-124)

 

***Imputabilité et Illicéité en vertu du Droit International Public:

les 2 Exigences de Preuve relativement au manquement de l’État

 

« A-Première condition: l’imputabilité- Il est tout d’abord nécessaire que le fait allégué (acte positif ou omission) soit imputable à l’État dont la responsabilité est en cause. Sont imputables à l’État les actes ou omissions de ses organes de toute nature (même judiciaires) et de tout rang (même subalternes).

B-Deuxième condition: l’illicéité-

Il est nécessaire en second lieu, que le fait imputable à l’État soit internationalement illicite. Le caractère illicite du fait doit, en effet, être apprécié selon le droit international, non seulement le droit interne, un fait licite d'après le droit interne pouvant être internationalement illicite (cas d'un acte administratif faisant application d'une loi contraire à un traité. »(Rousseau, Charles, Droit International Public, 1970, Dalloz, chap. II, 98-133 p., aux pages 108-109)

 

Nous vous rappelons que toute la merdique Jurisprudence de Common Law se retrouve dans la Voûte-Sacrée du Colonialisme dans le terme «Patrimoine», hérité des Phallocrates Patriarches de la Baise-Kasher du drap percé au centre, ce qui explique que cette Jurisprudence zoothérapique de Bestiaire-Constitutionnel soit jumelée avec le Titre de Sujétion-Coloniale de la Proclamation Royale de 1921 qui a permis arbitrairement à élizabeth deux du «Amistad» de 1982, d'invoquer sa Prétention d'Intitulation de Souveraine du Territoire dûment arpenté en Terres de la Couronne. Et il faut savoir et se rappeler qu'en plus de ces Protections, les Juristes de l'Opinion majoritaire du Droit International Public ont également assuré «la Protection de «la Famille» en tant qu'Élément naturel et fondamental de la Société», et de même, «la Protection de la Culture» aux articles 23 et 27 du Pacte International relatif aux Droits Civils et Politiques. Dès lors, -comment donc avait-elle été reconnue et formulée «la Protection législative expresse» concernant la Prohibition absolue de ne pas procéder aux «Séparations des Familles» que l'on trouve à l'article 2 de la Convention pour la Prévention et la Répression du Crime de Génocide de 1951, qui fut ratifiée le 9 décembre 1948, soit deux ans après le célèbre Procès de Nuremberg de 1946 d'où émane ce Principe Humaniste mis en vigueur en 1951, qui n'était que Jurisprudentiel au départ, mais qui «innovait», et par conséquent, qui faisait indiscutablement «Autorité de Précédent», sauf dans le Fief du Canada embourbé au statu quo des Misonéistes rétrogrades de l’ancien Droit International Coutumier?» À s’en souvenir pour évoluer, c’est en ces termes que se formule l’article 2 de la Convention sur la Prévention et la Répression du Crime de Génocide de 1951:

 

 «Dans la présente Convention, le génocide s'entend de l'un quelconque des actes ci-après, commis dans l'intention de détruire, ou tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel;

a)-Meurtre de membres du groupe;

b)-Atteinte grave à l'intégrité physique ou mentale de membres du groupe;

c)-Soumission intentionnelle du groupe à des conditions d'existence devant entraîner sa destruction physique totale ou partielle;

d)-Mesures visant à entraver les naissances au sein du groupe;

e)-Transfert forcé d'enfants du groupe à un autre groupe.»

 

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-De l’Ère du Droit International Coutumier à L’Ère du Droit International Public: Limite à l’archaîque principe de la souveraineté de l’État devenu Membre de l’ONU!

 

« Une conclusion est imposée par la Charte elle-même pour qui la lutte contre le colonialisme n’est plus une question interne aux pays coloniaux. » (SAHOVIC, Milan, Influence des États sur la conception du droit international – Inventaire des positions et des problèmes, 1966, A.F.D.I., pp. 30-49, p. 34)

 

L'appréciation d'une situation de Subjugation ne nécessite aucunement que la Population soumise subisse la présence et les sévices par l'Armée du Conquérant. Les critères qui sont retenus sont d'abord celui «du caractère non-autonome d'un Territoire», tel que prescrit par la Résolution Anticolonialiste A/742, et son effet salutaire est d'inverser notre accablant Fardeau de la Preuve «en présomption de Dépendance étrangère», selon l'interprétation juridique prédominante qui est reconnue à la Résolution Anticolonialiste A/1541.

 

À mémoriser, en salutaire Notions apprises, concernant «l'Opinion-Juridique majoritaire» des Juristes de l'ONU, et par conséquent, forcément en provenance des honorables auteurs de doctrine du Droit International Public, en regard de leur perception des Résolutions Anticolonialistes de l'Assemblée Générale des Nations Unies, voici à ce propos, ce commentaire que j’ai trouvé fort intéressant concernant une Jurisprudence corrigeant «une Persécution-Colonialiste», en l'occurrence, celle du Territoire assujetti à la Domination par le Portugal dans l'affaire Goa, parce que leur Subjugation s'apparentait à la nôtre, d'être une insidieuse Persécution-Historique dissimulée avec minutie, à la mode sournoise de ces États-Colonialistes qui faussent notre Modernité-Médiévalisée parce qu'ils font le Grand-Écart, «the Great-Gap», avec un Pied à l'ONU pour paraître Démocratique, et l'autre Pied à l'OTAN pour imposer par la Guerre leurs Valeurs Dominantes. Voyons ci-après ce qu'en dit Thierry Sur, et qui s'applique indiscutablement à notre piteuse situation d'assujettissement à la Couronne britannique:

 

« La subjugation, domination ou exploitation peuvent être révélées, par exemple, par l'existence au sein d'un État d'un régime juridique discriminatoire applicable à une fraction déterminée de la population. C'est là un des éléments qui ont été retenus par les Nations Unies afin de déterminer le caractère non-autonome d'un territoire (A/Rés. 742 (VIII), du 27 novembre 1953 et A/Rés. 1541 (XV) du 15 décembre 1960). Toutefois, cette considération n'est pas, en soi, décisive. Les colonies portugaises par exemple, ont été reconnues comme telles (c'est-à-dire des territoires non-autonomes), bien qu'elles ne fussent pas en principe soumises à un régime distinct de celui des provinces européennes du Portugal.

 

Le caractère étranger de l'assujettissement (résultant de) la «non-autonomie», l'Assemblée générale a considéré «géographiquement séparé et ethniquement ou culturellement distinct les territoires concernés (A/Rés. 1541 (XV). On peut admettre aussi qu'il y a lieu de tenir compte de facteurs subjectifs tels que «la conscience nationale» ou «la volonté de lutte des masses» (v. Ch. Chaumont: «Cours général», R.C.A.D.I. 1970 (1), p. 395).

(SUR, Thierry, COMBACAU & VALLÉE, Droit International Public, 1975, Éd. Montchrestien, pp. 491-50, p. 497; de nous l'ajout : (résultant de))

[...]

Le développement juridique du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes ayant été étroitement tributaire de la décolonisation, il résulte des résolutions des Nations Unies qu'une présomption de dépendance étrangère concerne les peuples des territoires non-autonomes et des territoires sous tutelle spécifiquement désignés en tant que «peuples dépendants. » (Id., (op. cit.), p. 498)

 

Pour ce qui est d'«un Régime Juridique Discriminatoire applicable à une fraction déterminée de la Population», il se retrouve dans l'application même de la Loi sur les Indiens orchestrant la Ségrégation raciale par les Séparations des Familles résultant du Bannissement exclusivement appliqué aux Indiennes et à leur Descendance, ce qui en Droit minimalement Démocratique, correspond à «une situation particulière et inhabituelle de détresse consécutivee à des traitements différents visant des minorités discrètes et isolées», par conséquent, en lien direct avec la déprime déshumanisante ainsi qu’avec le plus haut taux de suicides de la Colonie qui prévaut au sein de la Population Autochtone. Quant à «la Présomption de Dépendance Étrangère» susmentionnée, elle se retrouve donc précisément à la Résolution Anticolonialiste A/1541, qui est complémentaire à la Résolution Anticolonialiste A/742 «sur  le Caractère dit «non-autonome» d'un Territoire»; et ici, «ce Caractère «non-autonome du Territoire» s'établit indiscutablement par l'Unilatéralisme de l'Acte de l'Amérique du Nord Britannique de 1867 qui est tout sauf «un authentique Pacte-Fédératif», comme le prouvent incontestablement les Débats de la Chambre des Communes de 1938, Volume 1, pages 350 à 355, et Volume 3, pages 2234 à 2249, et tout autant, leur louche Censure dans le Jugement-Préjugé Reine c. Denis Dubé, #500-01-002223-045 du 30 Septembre 2005. Un Pacte à sens-unique, dont il fallait changer le titre avec empressement, en enlevant le qualificatif de «Britannique», démontrant bien trop éloquemment «le caractère «non-autonome» du Territoire», ainsi que «la (trop apparente) Dépendance étrangère britannique», donc, un changement de nom simplement pour obvier aux Résolutions Anticolonialistes sus-mentionnées...

 

De plus, rappelons que lors du Renvoi-Martial de 1981, «l'Être-Parfait» a dû quémander à quatre pattes à sa pas trop souveraine impétration par trop servile à sa Mère-Patrie pour procéder à son Rapatriement frauduleux, de sa Supercherie démocratique par sa pestillentielle reconduction judiciarisée du Colonialisme, ce qui prouve déjà par son Comportement vassalique que nous sommes Assujettis à «une Dépendance étrangère» qui est l'Empire britannique, le Royaume-Uni, en Contradiction-Totale avec la Résolution Anticolonialiste A/1541; et partant, autant le Fief du Canada se retrouve-t-il autant en contravention de la Résolution Anticolonialiste A/742 sur «le Caractère non-autonome du Territoire» de l'Amérique du Nord Britannique du faux Pacte-Fédératif, dont la nature est toujours Unilatérale-Coloniale, même et surtout, en dépit de son changement d'appellation pour la Loi Constitutionnelle de 1982, faisant disparaître la trop apparente appartenance à l'Empire Britannique du nom de l'Acte de l'Amérique du Nord Britannique de 1867, tel que préconisé par élisabeth II du «Amistad» de 1982, comme mentionné, afin d'obvier fort hypocritement aux Résolutions Anticolonialistes A/742 et A/1541. De même, par la même occasion, évite-t-on sournoisement de se soumettre à la Résolution Anticolonialiste A/1514, sur le Droit à la Décolonisation, ainsi qu'à la Résolution Anticolonialiste A/2625, sur le Droit à la Résistance Armée dans l'Objectif légitime de Signalement à l’ONU de la Subjugation élisabéthaine, parce que la Magistrature-Despotique de la Colonie caïnadienne, tarie de toute Sagesse-Juridique du Droit International Public, entend résolument contrevenir à toutes les Règles sous-jacentes à l'article 103 de la Charte des Nations Unies, en arriérés Troglodytes demeurés d’incorrigibles Adeptes de l'ancien Droit International Coutumier, en exécrables Païens de la Démocratie onusienne.

 

Et encore, quant à «un Régime Juridique Discriminatoire applicable à une fraction déterminée de la Population», il est flagrant du Traitement Différent envers les Femmes Indiennes et leur Descendance, en regard des Contraventions précitées commises par la Magistrature-Ségrégationniste du Fief du Canada» à l'encontre des Conventions de 1951 et de 1970 de l'Assemblée Générale des Nations Unies sur «le Crime de Génocide» et son Imprescriptibilité, autant d’Actes répréhensibles, d’être  reconnus à l’ONU pour être «des Crimes «Imprescriptibles» contre L'Humanité». Et de même, «la Bipolarité-Haineuse» de «ce Régime Juridique Discriminatoire» est-elle absolument éloquente, dans «le Blasonnement comme dans le Symbolisme des «Armoiries caïnadiennes» de votre seule et unique «Constitution-Martiale» de la Proclamation Royale de 1921.

 

-Concernant la Résolution Anticolonialiste A/2625,

sur « le Droit à la Résistance Armée » pour les Gens d'Honneur de leur Dissidence,

«le Pas décisif a été franchi : sans « Résolution trop Tranquille »,

donc, sans Nous, les Innés-Inexistants, comme autant de Zappés-Apatrides

 

Il fallait répandre ces heureuses Notions sur le Droit Légitime à la Résistance Armée contre les Toges-Belliqueuses au garde-à-vous devant «la Notification» qui sert à la clarification des Titres de Possessions Coloniales, exactement comme les États-Colonialistes du Vieux-Continent l'ont cristallisé lors de ce Sommet-Bismarckien de l'Europe précurseur au Sommet des Amériques, puisqu'encore et toujours dans la même sempiternelle règle juridique imaginée pour l'Afrique, mais qui prévaut encore pour «la Possession Coloniale» de l'Amérique du Nord Britannique, avec l'importation judiciaire de l'archaïque Principe de «la notification aux autres Puissances Coloniales de la Possession Coloniale accomplie» du Fief du Canada de la Proclamation Royale de 1921, telle que prévue à l'article 35 de l'Acte Général de Berlin de 1885.

 

Mais, nonobstant l'Omerta politico-judiciaire, l'Absence du merdeux PM-Canadien Adolf Harper à la Conférence de l'ONU à New-York réunissant 130 Nations fin-octobre 2012, lui préférant une Visite dans une Synagogue Colonialiste, en prétextant bouder l'ONU pour ne pas avoir obtenu son Siège en 2010, plutôt que d'avouer ne pas s'être fait décerner ce Siège pour avoir privé ses Autochtones durant plus de 60 ans des Protections du Droit International Public, il y a que dorénavant, les Autochtones savent également qu'avec la Résolution Anticolonialiste A/1514 sur «le Droit à la Décolonisation», -il était permis légalement depuis les Années-60, de procéder au Signalement de la Subjugation des Colonialistes en la combattant par la Résistance Armée prévue à la Résolution Anticolonialiste A/2625. Voici ce qu'en dit Lino Di Qual, un autre auteur, évidemment non-canadien, de doctrine juridique du Droit International Public:

 

« Cette Résolution représente donc la première forme de Droit International et prime les principes qui gouvernaient auparavant la souveraineté des États sur les Possessions Coloniales. Elle prime également l'interdiction de Recours à la Force édictée par la Charte. Cette interdiction supporte maintenant une exception: le Recours à la Force est permis contre les Puissances Coloniales car il s'analyse alors en un cas de Légitime Défense. »

(DI QUAL, Lino, extrait de «Résolutions des Nations Unies et formation du Droit International Public. –Les effets des résolutions des Nations Unies», 1967 L.G.D.J., pp. 235-271, à la page 260)

 

Il ne restait qu'à se décider résolument «de franchir le Pas décisif» vers la Démocratie onusienne substantielle dont nous prive crapuleusement le Judiciaire-Dictatorial caïnadien. À l'évidence, pour moi, après le pitoyable Cirque-Judiciaire de mes deux premiers Procès en Menu à la carte de leur Cuisine-Législative épicée «Colonial Office», (puisque les Juges-Bateleurs se retrouvent tous en Quatrième Conflit d'intérêts, d’agir sciemment en prolongement du Triple Conflit d'intérêts initié par Lord Carnavon président du Colonial Office en 1866), il me paraissait inévitablement plus que flagrant qu'un  Régime onusien de Tutelle Judiciaire s'impose à demeure sur un aussi pitoyable Judiciaire-Dictatorial que celui des Juges-Négriers caïnadiens». C'est d'ailleurs ce que j’ai soulevé posément de vive-voix au procureur de la Couillonne, Jacques Rouiller-Fasciste et à son magistral Magistrat-Nazie qu'est Claude Millette-Zundel: «Heil Hitler!» -après leur avoir spécifié à l'un comme à l'autre, qu'en suivant le Renvoi-Martial de 1981 avec sa crapuleuse validation de «la Constitution-Martiale» des «Armoiries caïnadiennes» de la Proclamation Royale de 1921, ils se prouvaient eux-mêmes comme deux invétérés Adeptes des Principes-Colonialistes des articles 34 et 35 de l'Acte Général de Berlin de 1885. Et évidemment, venant d'un juge et procureur parfaits de «l'ÊtreParfait» du juge Spence précité, il ne peut être question d'invoquer ultérieurement leur Turpitude crasseuse. Il s'agit ici du Jugement-Préjugé de Reine contre Denis Dubé, #500-01-002223-045 du 30 Septembre 2005, concernant mon Vandalisme anti-discriminatoire.   

 

Dans «le Jargon-Juridique», ces Règles Impératives et Supra-Étatiques du Droit International Public sont dites de «Jus Cogens», pour signifier justement leur caractère Supra-Étatique qui les dresse au-dessus de la Souveraineté de l'État et de sa Magistrature, sinon, cette dernière outrepasse allègrement ses Compétences pour s'ériger en Judiciaire-Dictatorial, de pouvoir à loisir contrevenir aux Engagements Internationaux pris par l'État sous «la présomption de ne pas contrer ses Engagements internationaux», comme le soutiennent Henri Brun et Guy Tremblay dans Droit Constitutionnel, 1990, 2e éd., page 600. Les nouvelles Résolutions Anticolonialistes précitées de l'Assemblée Générale des Nations Unies, comptent parmi ces Règles qui obligent les États-Parties, dont le Canada. La citation précédente de Lino Di Qual, concernait précisément la Résolution Anticolonialiste A/1514 «sur le Droit à la Décolonisation» et la Résolution Anticolonialiste A/2625, sur la Résistance Armée en tant que «Légitime Défense», qu'il faut considérer comme 2 Clauses dérogatoires, puisqu'elles s'érigent en Exception Expresse de l'interdiction du recours à la Force Armée qui est prévue au paragraphe 4 de l'article 2 de la Charte des Nations Unies.

 

Pour se prévaloir d'une Vision Globale de la Haine qui nous entoure et nous empoisonne, il suffit selon moi, de coucher la Bâtarde de Législatrice-Léopardienne élizabéthaine sur le Divan-Freudien pour une Entrevue-Onusienne, en l'analysant scrupuleusement et méthodiquement selon «la Théorie du Cerveau Triunique» de Paul Mac Lean, un éminent Neurologue. Et de là, le Passage en Revue en Règle: des Faits de L'Histoire, qui nous fuit comme L’Avenir, du Droit International Public de la Charte des Nations Unies et des Conventions précitées, qui nous permettraient d’y remédier salutairement avec les Résolutions Anticolonialistes sur lesquelles se fondent démocratiquement le FRAK-AS, -versus tout ce qui nous accable de la Subjugation britannique avec «l'ancien Droit International Coutumier» et «son Droit des Capitulations», qui prévaut toujours, puisqu'il fonde pitoyablement «le Droit-Colonialiste Interne» sur «l'Acte de Capitulation de 1760» avec «sa Constitution-Martiale» de «la Proclamation Royale» de 1921, qui véhicule encore en 2013 pour «l'Amérique du Nord Britannique», les mêmes Principes-Colonialistes qui prévalaient pour clarifier les Titres de Possessions lors de la Colonisation de l'Afrique que l'on retrouvent «aux articles 34 et 35 de l'Acte Général de Berlin de 1885».

 

En conclusion de cette Analyse, vous devriez vous inquiéter de «notre Droit des Mentalités» encore figé à «l'Ère de la Chevalerie en Croisade» avec «leur Message Héraldique» de «Notification de Possession Coloniale dûment accomplie sur le Fief du Canada», nous prouvant que «leur Constitution-Armoriale» repose inévitablement sur «les mêmes principes» de Droit Héraldique que celle du Royaume-Uni» dont fait allusion le Préambule de l'AANB de 1867, et vous verrez que tout cela se greffe dans une cohérence irréfutable.

 

Au FRAK-AS, les Cellules de Commandos de «Snipers» de «Martial» comme celles de Sabotages et d'Attentats-Spéciaux» de «Falaise» sont fin-prêtes à «FRAK-ASSER», advenant que l'Invasion planifiée des Tribunaux surchargés de causes de Militants Anticolonialaistes ne déboucherait pas en Réforme Constitutionnelle onusienne enfin Démocratique, ce qui confirmerait que «le Droit-Colonialiste Interne» s'entête stupidement à ne pas vouloir prendre la sage Résolution de se conformer à la Sagesse supérieure de la Loi postérieure du Droit International Public. Dès lors, attendez-vous à ce qu’il se fasse résolument réformer par les Résolutions Anticolonialistes». La Résistance Armée du FRAK-AS contraindra tôt ou tard «le Fief du Canada» et sa Magistrature rétrograde à se démocratiser en s’humanisant en se conformant avec cohérence au Droit International Public, car il vous est annoncé en grande primeur, bien qu’une soixantaine d’années déplorablement en retard, que «ce Droit onusien» de nature évolutionniste, l'oblige même à donner «son Appui inconditionnel» à l’ensemble des Revendications Anticolonialistes du FRAK-AS.

 

En regard de cette Obligation du Canada, d'appuyer inconditionnellement les Revendications Anticolonialistes d'éventuels Dissidents, les auteurs de doctrine juridique du Droit International Public considèrent en effet que:

 

« 1- Obligations des États -Tous les États ont le devoir de favoriser la «réalisation» du droit des peuples et d'aider l'ONU, à s'acquitter des responsabilités que la Charte lui a conférées dans ce domaine. Ils doivent aussi donner aux peuples «qui réagissent et résistent» à des mesures de coercitions «un appui conforme aux buts et principes de la Charte». À plus forte raison, les États doivent s'abstenir de recourir à toute mesure de coercition qui priverait les peuples concernés «de leur droit à disposer d'eux-mêmes, de leur liberté et de leur indépendance ». Cela concerne particulièrement les États à l'égard desquels ces peuples sont en situation de dépendance.

 

2- Droits des peuples dépendants -a) Le droit des peuples leur confère le droit, en premier lieu, « de réagir et de résister » aux mesures de coercition dont l'objet est de les priver de leur droit à l'autodétermination. Cette réaction et cette résistance n'excluent pas l'emploi de la force. Il y a une exception au principe de l'interdiction de l'emploi de la force dans les relations internationales (v. Infra, chap. XII, sect. II).

 

b) En second lieu, les peuples concernés ont le droit de « déterminer leur statut politique, en toute liberté et sans ingérence extérieure et de poursuivre leur développement économique, social et culturel. [Voir A/Rés. 2625 les options pour que cesse la non-autonomie]. »

(SUR, Thierry, COMBACAU & VALLÉE, Droit International Public, Éd. Monchrestien, 1975, pp. 491-500, p. 498)

 

Tout comme pour les Résolutions Anticolonialistes A/742, A/1541, et A/1514 précitées, la Résolution Anticolonialiste A/2625 adoptée en 1970, s'inscrit parmi les Règles Impératives et Supra-Étatiques de l'Assemblée Générale des Nations Unies. Selon Thierry Sur, voici les Options avec lesquelles devra composer «le Fief du Canada» en l'absence de Volonté d'acquiescer à une Réforme-Démocratique:

 

« [...] que les peuples qui réagissent et résistent aux mesures de coercition destinées à les priver de leur droit à disposer d'eux-mêmes «sont en droit de chercher et de recevoir un appui conforme aux buts et principes de la Charte». Il y est ajouté que: « La création d'un État souverain et indépendant, la libre association ou l'intégration avec un État indépendant ou l'acquisition de tout autre statut politique librement décidé par un peuple constituent pour ce peuple des moyens d'exercer son droit à disposer de lui-même.» (SUR, Thierry, COMBACAU & VALLÉE, Droit International Public, Éd. Monchrestien, 1975, pp. 491-500, p. 496)

 

Une seule Contre-Attaque s'offrait pour sortir logiquement de cet absurde Cycle ravageur, à l'effet qu'il nous faut «harceler de dérision gênante l'Ennemi-Colonialiste pour réussir à l'Encercler en Occupant sa Pensée jusqu'à l'Obséder, afin d'attiser sa Paranoïa reptomammalienne du «Zèle fanatique» à défendre «son Dieu et son Droit» et me honnir subséquemment de façon exemplaire; -donc, si vous me suivez: en suivant scrupuleusement ce Mode d'Emploi de la Devise Royale pour devenir effectivement un Profanateur et un Provocateur, soit de la manière qui m'est la plus naturelle, qui est «l'Excentricité» des Exclus du Cercle des Dull-Men d'humaine-ire qui judiciarisent machiavéliquement pour faire de nous des Évincés de la Mise en Boîte du Casino élisabéthain. Amalgamés avec «les Damnés de la Terre», du titre de Franz Fanon, dans la Loge infernale de la cacophonie aliénante de la Mal-Gamme, pour être exécrer parmi les transmutés de la Mal-Donne de la Croupière de son Sortilège changés-tous par cette Sorcière anglicane en Dés intégrés systématiquement appelés à la Grande-Désintégration, qui consiste à se retrouver complètement dispersés autour de Nous-Mêmes atomisés autour d’un Corps-Évidé à rechercher notre Personnalité-Juridique, suite à l'Expropriation de Celle-Ci par l'État-Forceps de la Déshumanisation autochtone systématiquement nationalisée.

 

Et ainsi, sommes-nous contraints à rechercher dans le Passé qui nous sommes vraiment en Substance, en négligeant ainsi de vivre pleinement le Présent, qui n’est plus un Cadeau d’ainsi tourner le dos à l’Avenir de cette Condamnation à vivoter dans le Passé, littéralement télé-déportés en dehors de notre Spatio-Temporalité. Pourquoi? Parce que nous sommes hautainement jaugés en Bétail Franco-Canadiens et en Faune-Locale quant aux Natifs, soit en dérisoires « Valeurs Mobilières accessoires au Principal », que représentent « les Valeurs Immobilières » des Terres de la britichiante Couronne britannique dûment arpentées jadis par la Hudson Bay Company.

 

Élucubrations abracadabrantes d’un Être atomisé Ex-en-Tricks hors du Cercle albionais

des Druides pervers en Dull-Men d'Humaine-Ire…

 

D'avoir lu d'un Dictionnaire de Philosophie (Larousse), que «la Dyslexie» se manifeste en incommodant «le Gaucher-Inné qu'on a contrarié», je comprenais maintenant (Fiou!) -après plus d’un demi-siècle, -le Décalage du Décollage me catapultant Hors-de-Moi, à l’effet que l'on m'avait contraint forcément à être «un adroit Droitier destiné à la Performance des Ambidextres du Prolétariat impérialiste», alors que «votre 10-Lexiques» était bien-né dans «le Monde-Inversé des «AmbiSenestres», (très Habile des deux mains, mais initialement, seulement de la Gauche, d’où originaient mes Réflexes innés d'une prestesse de prestidigitateur), ce qui provoquait invariablement mes Étourderies d'Excentrique me faisant apparaître trop souvent comme «une Extrapolation furibonde» du Personnage ambigu qui semble Furieux et très curieusement, en Harmonie de L'Être, (en vous spécifiant que cet État-Paradoxal de Sérénité rageuse prévalait déjà avant la Prise de Conscience pour le moins très tardive de ma Juste-Colère, m’expliquant enfin, du moins en partie, mon énigmatique Dualité-Cosmogonique d’un Protée-Octet de mon Unicité-Quaternaire de Caractère, du Sérieux-Ludique dans un Pugnace-Pacifique), de L'Être-Divisé confronté en Moi-Même, et, auparavant, complètement impuissant, dans une écrasante incapacité totale à faire «L'Intime Unanimité» entre «le Gogo de L'Ego» et «L'Alter-Ego», duquel en tant que «le Gogo de L'Ego» et « Proprio Domini » de l'Homo Erectus, j’avais si longtemps craint obsessionnellement que cet Énergumène de «L'Alter-Ego», ne complote malicieusement pour finalement faire Dualité Seule, en toute Duplicité, ce qui m’aurait contrarié au plus haut point, et contraint logiquement à l'Éviction de ce Coloc envahisseur devenu dès lors indésirable, de son accaparement de mon Être perturbé de cette Occupation encombrante que d’entendre inlassablement ses Échos revendicateurs dérangeants de ce Mal-Appris qui me squatte en me tenant constamment à l'oeil comme une Conscience zoomeuse...

 

Ce qui me présente évidemment à vous en Scène-Burlesque à souhait, d’un Protée volubile dont les différents Personnages s’interrompent bruyamment m’illustrant sous les apparences pour le moins trompeuses d’un  ignare Rustaud, naturellement enclin aux Gaffes monumentales et aux Manifestations grossières de ma Gaucherie de Mal-Luné de la Désamain. Du moins, en est-il toujours ainsi, aux yeux bigles et louches du Monde si controversé de la polémologique Droiture des Peuples Élus de leur abominable Dieu vengeur les ayant fait à son image hideuse, de nous les avoir envoyés pour notre Calamité insoutenable, d’être éminemment et invariablement toujours plus belliqueux que leurs éternels Vaincus; cet état d’agressivité permanente, découlant invariablement de leur inchangeable Mentalité primitive.

 

Mais, fort heureusement, d’être propices à me rassurer de moi-même, je me suis souvenu de ces Paroles réconfortantes de Madame la Juge Wilson dans l'arrêt Reine contre Jones, qui m’avait laissé entrevoir la normalité de mon Caractère atypique à l’effet que non seulement était-elle «Légale mon Excentricité», mais qu'au surplus, seule «L'Excentricité» apparemment puérile pour plusieurs, pouvait m'extirper et me propulser salutairement Hors de L'Enfer du Cercle Vicieux de ce Cirque Judiciaire ultra-circassien de son Bestiare-Constitutionnel.

 

Évincé de Moi-Même par l'État-Forceps qui avait dispersé ma Personnalité-Juridique tout autour de moi-même, expropriée avec ma Dignité-Humaine par une odieuse Réquisition Militaire de jadis qui se dresse radicalement en «vae Victis, malheur et honte aux Vaincus», qui frappe encore héréditairement tous leurs Vaincus globalement», elle me paraissait dès lors fort Légitime mon Excentricité et tout autant naturelle que ma Juste-Colère d'avoir été cruellement expulsé Hors-de-Moi; aussi, m’étais-je conforté enfin en partie de mes tourments ravageurs suite aux déclarations apaisantes de la Juge Wilson, qui me partage particulièrement et vous déclare généralement:

 

« Je crois que les rédacteurs de la Constitution en garantissant la liberté en tant que valeur fondamentale d'une société libre et démocratique, avaient à l'esprit la liberté pour l'individu de se développer et de réaliser son potentiel au maximum, d'établir son propre plan de vie, en accord avec sa personnalité, de faire ses propres choix, pour le meilleur et pour le pire, d'être non-conformiste, original et même excentrique, d'être en langage courant «lui-même» et d'être responsable en tant que tel. John Stuart Mill décrit cela ainsi: «rechercher son propre bien, à notre façon». Nous devrions, pensait-il, être libre de le faire «dans la mesure où nous ne tentons pas de priver les autres du leur, ni d'entraver leurs efforts pour y parvenir (...)» Chacun est le véritable gardien de sa propre santé, tant physique que mentale et spirituelle. L'humanité, a plus à gagner à laisser chacun vivre comme cela lui semble bon, qu'à forcer chacun à vivre comme cela semble bon aux autres. » ((op.cit.), juge Wilson, R. c. Jones, [1986] 2 R. C. S., 284, pp. 318-319)

 

Pour être «Excentrique», ça, comptez que l'indomptable Mi'kmak-Trickster y verrait personnellement, de toujours me retrouver ponctuellement et naturellement en Vision-Périphérique après avoir été pulvérisé de façon héréditaire pour être vaporisé et éparpillé aux alentours de mon Corps creux, d'être né en Orbite tout-autour de Moi-Même rendu dans un Corps-Évidé, et ma Ré-Intégration salutaire d’être vitale, commandait mon Investiture-Existentielle conditionnelle à l’obtention radicale du Désaveu des Lois-Unilatéralistes par le Parlement-Colonial d’Ottawa, sinon de voir à leur Désintégration définitive suite à leur déclaration d’inconstitutionnalité de la part du Judiciaire-Despotique pour cesser de l'être, contraint finalement après plus de 60 ans d’entêtement antidémocratique, à renoncer définitivement au Droit International Coutumier pour adopter enfin une pratique de Démocratie onusienne, en se conformant en tout point au Droit International Public.

 

Cette prévision s'accomplira de bon gré et de Bonne Foi, croyez-moi, sinon, dans le bienfaisant Fracas de la Désobéissance Civile avec «le FRAK-AS» des Revendications démocratiques onusiennes sous l’Immunité des règles impératives et supra-étatiques des Résolutions Anticolonialistes A/1514 et A/2625 de l’Assemblée Générale des Nations Unies, avec lesquelles brillent enfin une Lueur D'Espoir nous laissant entrevoir un Avenir épanouissant; en dépit de l’obscurité présente de notre Dignité-Humaine éclipsée par l’aveuglant Soleil britannique; dans l’insufflation d’un Encouragement-Intérieur visionnaire de la possibilité réconfortante de pouvoir enfin se débarrasser de tous ces Ténébrions en Toge: car Hector Bianchetti dit vrai et fort bien d’avoir écrit «on ne guérit pas de l'espoir d'être soi-même».

 

Captivé par le Bien-Dit de cet énoncé philo-poétique humanisant, ébloui et attiré par la justesse de cette admission curatrice de Désespoir ravageur et de Déprime corrosive, de l’avoir perçue comme une Lumière au bout du tunnel de la Rubitude, en Mal-Plumé affairé à la Recherche de L’Espoir et de L’Histoire (qui seraient depuis la Nuit des Temps en Danse Nuptiale ininterrompue, d’une éternelle prestation chorégraphique de ce Couple-Maudit, banni autrefois pour s’être marié «pour le Meilleur exclusivement»), je m’en étais naturellement inspiré pour tenter d’approfondir sur ce même Thème s’avérant Existentiel, en grifonnant que:

 

 «le Vent arrondit la Voilure ventrue d'Espoir du Voilier

qu'il aspire en Risées  vers un Bonheur assuré»...

 

Pour ce qui en est du principe de la Liberté, tel qu’énoncé plus haut par Mme la juge Wilson, il faut bien reconnaître logiquement l’évidence, comme nous l’analyserons plus loin en profondeur, que si «la Liberté» de «l’Un» s’arrête là où «la Liberté» de «l’Autre» commence», ce critère d’interprétation judiciaire se présente pour n’être bon qu’à solutionner des Litiges concernant des chicanes de clôtures, et qu’il est absolument inapplicable à l’Humain; comme cela apparaît clairement, (l’absurde se prouvant uniquement par l’absurde), en affirmant le non-sens suivant à l’effet que: «la Dignité-Humaine» de «l’Un» s’arrête là où la Dignité-Humaine de «l’Autre» commence»nous inférant naturellement que «l’Autre» en manque forcément d’énoncer un tel illogisme antiégalitaire empreint de Bipolarité-Haineuse qui exclurait à jamais les Sciences Juridiques des Sciences Humaines; puisqu’en définitive: «les Dignités-Humaines sont sensées s’inter-pénétrer dans l’Empathie des authentiques Humanistes qui ne sont jamais des Intrus les Uns pour les Autres, d’être tous unis sereinement dans la vénérable Fraternité-Sororale. «La Dignité-Humaine», se présentant donc logiquement en tant que Vertu-Spirituelle inhérente à L’Âme, dont il est impossible de se départir sans renoncer à son Humanité, contrairement à la Liberté, à laquelle ont volontairement renoncé simplement par vœux, tous les Ecclésiastiques de tout acabit, comme tout Criminel d'habitude en fait mentalement son deuil, par anticipation à sa probable détention…

 

ULTIMATUM

aux Membres du Barreau canadien et à la Magistrature « at large »,

donc : à tous les juges, procureurs et avocats du Droit International Coutumier

 

Le Gars tôt levé est fort difficile à leurrer, du cumul onéreux et harassant

à la Piquerie vaudoue des jours-noirs à se faire imprégner de la corrosive Rubitude. Aussi, qu'il soit bien entendu qu'en tant que Membre d'une Famille Victime de perfidie judiciaire

dans la Commission préméditée d'Actes de Génocide spécifiquement «Indigénophobes»,

je déclare solennellement,

 

que «Jamais, sous Peine de Mort»:

 

aucun Juge-Ségrégationniste, procureur ou avocat caïnadiens même et surtout Élu,

ne supervisera l'Éducation des Enfants de ma Famille pour Laquelle mes Soeurs

et moi-même s'acharnont à débroussailler nos Racines sauvagement éradiquées

par la judiciarisation de leur Loi d'Indigénat, avec leur Omerta-Judiciaire qui cautionne

insidieusement la Léthargie législative de Réparation effective, tout en compliquant

sournoisement «nos Recherches Généalogiques» ainsi rendues fastidieuses,

de nous empêcher de jouir intégralement de notre Personnalité-Juridique.

Et cela se fait dans l'Objectif outrageant d'éviter ce que visent

les Juges-Négriers caïnadiens, soit leur Imputabilité onusienne, esquivée couardement

par crapuleuse Tentative d' «Auto-Absolution» de «leurs Actes de Génocide»,

en souhaitant en sus notre infecte Complicité à leur félonne Perfidie,

ainsi que notre Assimilation «en French-Caïnadian Pea-Soup»...

 

Ce que je rejette au Nom des Miens, avec «la même Répulsion et la même Liberté

que «M'sieur-Dame Anglesberger» qui voit un Clitoris à la place de son Pénis

et abracadabra! -s'auto-transgenre! -Maître(sse) de sa Pesonnalité-Juridique,

de s'être fait reconnaître une Discrimination pour une seule Expulsion

d'un restaurant de s'y être présenté en Travelo; choyé(e)

par ces mêmes Juges-Homophiles, devant leur Bible qui condamne la Sodomie

dans leur Bordel-Gay, où ils célèbrent les Mariages de l'Homo-Parentalité,

tout en persistant dans leur sournoise pratique des Séparations

des Familles Autochtones, «en Commission-Positive» comme «en Ommission-Négative»

de «leur Négligence Criminelle» de mauvais Samaritain depuis plus de six décennies,

de ne pas s'avouer Ségrégationnistes, de leurs flagrants Traitements différents...

visant notre indigeste Assimilation à un Multiculturalisme abâtardissant,

au nom d'un imperfectible Patrimoine-Matricide des Langues

et des Cultures amériendiennes...qui payent un lourd Tribut

pour avoir dû choisir entre le Français, l'Anglais, l'Espagnol et le Portugais,

faisant que «d'un Pôle à l'Autre»  comme «d'un océan à l'autre» , Coast to Cust

-les Natifs faisandés se lèvent encore comme ils ont fait jadis leur lit de camp!

-en Calamité expansive, que cette Mise en Boîte continentale se soit agrandie

en périmètre circumterrestre de «la Quadrature du Cercle du Globe «enneworldé!»

 

Parce que la Contrainte d'adopter la Langue du Lys ou la Langue de la Rose

n'efface pas L'Être, sa Prégnance D'Ipséité, son Unicité qu'Il Lui faut reconquérir

au jour le jour à longueur de siècles, après avoir été «injustement Expropriée

par l'État-Forceps», ce qui catapultent les Êtres dans le Non-Être, Hors-Temps

et Hors-Lieu de «leur Spatio-Temporalité» en Décalage-Séculier

de deux siècles et demi, «à chercher constamment dans le Passé ce qui devrait Être-Su

dès L'Enfance»: par conséquent, en ne vivant pas vraiment le Temps-Présent

que Nous vivotons comme quiconque tourne le dos à L'Avenir»; pour sombrer

dans la Crise Identitaire et la Détresse psychologique qui en découlent

jusqu'à dégénérer en Chaos-Asocial,  et inciter les Natifs au Record-National du Suicide,

qui est intimement liée à cette Vacuité dans L'En-Soi qu'il faut combler

pour «S'Épanouir par la ré-intégration dans L'En-Soi» sans aucune Interférence,

«otherwise what is the Meaning of «Fulfilling Ourself?» -if not the contrary

of Fooling yourself!» Aussi, Nul ne peut empêcher «cette Investiture-Légitime

de L'Être» sans sciemment vouloir le tuer, puisque cette Privation

d'une seule Notion-Vitale l'avorte, l'empêche délibérément «de Naître»

du Fait-Inhumain d'être aussi «Infraternel jusqu'à nier» à L'Être de «se Connaître».

Ceci entendu à la Source de la Véracité qui tranche sur la Vraisemblance

du Faire-Semblant; ce qui se perçoit dans la Vérité-Étymologique

du terme «Connaissance»...voulant dire «naître-avec»...

 

Mu par ma Répulsion irréversible et mon Indignation incontournable

envers la Mauvaise Foi, en digne Fils de la Race des Irascibles, je me reconnais

le Droit Légitime de prouver publiquement l'Inégalité perpétuelle qui prévaut

dans la Discrimination «indigénophobe». C'est l'État-Forceps qui m'avait exproprié

de naissance ma Personnalité Juridique d'Autochtone déraciné,

et qui m'avait dramatiquement atomisé et vaporisé en dispersion dépersonnalisante

tout autour bde mon Corps évidé, en m'obligeant à me chercher

pour me connaître intimement, et donc intégralement, ce qui m'expliquait enfin

ma phénoménale Excentricité d'être soupoudré tout-autour de mon Contenant vacant.

Et cette Éviction draconienne absolument stigmatisante opérée par l'État-Forceps

et ses Sbires entogés, de la réaliser de façon alarmante sur le tard, m'illustrait

ma Sagesse tardive d'Adulte-Infantilisé en Attardé, ce qui faisait en sorte

que j'étais éminemment Hors-de-Moi, de me savoir vacant et croyez-moi,

dangereusement choqué, qu'affairé à chercher mon Identité propre, le Coupable

m'invitait à me contenir après m'avoir vidé du sournois décorum judiciaire

de ses Médecins-Légistes comme autant de Sorciers de Noire-Goétie me dépossédant

de mon Âme, ce qui par le fait même établissait tant sa Turpitude despotique

que mon indéniable Innocence à l'égard de mon Excentricité proverbiale

comme de ma légendaire Irascibilité d'invétéré Colérique, redevables l'une et l'autre

au Législateur-Tyran de m'avoir arbitrairement mis Hors-de-Moi contre mon Gré,

(c'est comprendre sans mon Consentement éclairé), faisant notoirement de moi

un pauvre Être dispersé parmi les Siens en Zappés-Apatrides, connu sous le sobriquet

pour le moins loufoque et dérisoire de «Nihil-Onc Kazilà!», un Spectre fantomatique,

un Être disparu, mais non-rapporté comme tel, affecté au balayage

des Horizons néantisés, en Aventurier en perdition catastrophique

de ma Mésaventure calamitesque, et ainsi pressé

par l'indispensable Récupération de mon Essence Éthérique...

 

Tout-autour et nulle-part, en «Mis-Fit»  du «Out-Fit» en «Time-Out»

des Télé-Déportés «for Nobody's no-where» des « Has Been » forbidden to be »

du britichiant Vide-Juridique, empêché de me consolider fermement en Être-Humain

de densité vitale à pouvoir librement me remplir intégralement en Substance,

comme de vous parvenir authentiquement. Mais, «néant-moins», de vous l'expliquer,

il est fort probable qu'il vous soit plus facile d'«Or-et-N'Avant», de comprendre

que la Constatation choquante de l'Expulsion de Moi-Même

par l'Expropriation étatique de ma Personnalité Juridique dispersée tout-autour

de Moi-Même, justifiait soudainement à ma Conscience en Éveil alarmant, de réagir

naturellement en Excentrique contre cette Éviction annihilatrice

par mafieuse Manigance de l'État-Forceps, en voyant sans tarder et sans Délégation

à ma Légitime Investiture au Monastère de l'En-Soi, afin de m'y recueillir pieusement

sans que je sois soupçonné d' «Entrée par Effraction» par aucun Intrus

dans «ma «Chacunerie» spirituelle»...

 

Du pareil au même, ne reconnaître aucune Nature à un Être, ni aucune raison

de craindre le Vide, surtout s'il s'agit d'un Vide-Juridique, après s'être fait anesthésier

à se faire inculquer que «là où il y a la Société il y a le Droit

-et que «la Société canadienne se doit d'être libre et démocratique»,

mais dans un Fief inféodé pour Ilotes animalisés. Il était donc tout à fait normal

que je me sois retrouvé très en Colère contre l'État-Forceps de me constater atomisé

tout autour de mon Corps de Bêta évidé, et par conséquent, totalement «Hors-de-Moi»

même contre Moi-Même, ce qui va de Soi, avouez-le, charitablement, pour ne plus

que j'aille l'air débile du Bèta qui s’affiche «Hors-de-Lui» sans même être en Colère.

Mais, par cette historique Calamité-Étatisée, il y a entrave sévère à m’en prendre

à l'État-Forceps qui m'entoure toujours physiquement, mais sans être vraiment

en ma Présence, malgré qu’Elle soit ou parce qu’Elle se révèle

divinement Omniprésente; et donc, m'ayant créé à son image, l’État-Forceps

n’est jamais là à ma Portée d’être partout et nulle-part comme son Dieu-Yang.

Pour l'atteindre, c'est qu'il me faudrait un Vatican bien bourré

de belliqueux Fanatiques pour voir à ma Croisade onusienne...

 

Aussi, vous comprendrez qu’ainsi isolé d'éparpillement de par mon État particulier,

il fallait bien sans autre remède, que je passe ma Colère sur Moi-Même,

comme d'une Auto-Fustigation par cinglante Dérision personnalisée,

ne serait-ce que pour avoir mis 50 ans de Zombi-Annulé pour m'expliquer

la Normalité de mon Excentricité et la Légalité de ma Colère, d'avoir ainsi

été mis  «Hors-de-Moi» sans mon Consentement éclairé, plutôt que tacite,

de l'Étatisation de l'Ignorantologie populaire. Furieux donc contre Moi-Même,

et autant fort inquiet de ma trop flagrante Lenteur-Intellectuelle, m’apparaissant

trop contrastante à mon Invisibilité, (laquelle alors, je ne pouvais ni me douter

ni m’expliquer qu’Elle soit aussi notoire), ainsi tiraillé sans bon sens

dans une frustration de dépit immense envers ma lamentable léthargie mnémonique

de légume ambulant, c'est avec tout mon cynisme et tout mon sarcasme légendaires

que je me suis châtié moi-même comme un grand garçon, tout en établissant

une certaine Présence de moi-même de ma bastonnade lexicalisée, en établissant

ma Théorie des Équivalences de manière impitoyablement mémorable,

m’assurant ainsi de me rappeler à jamais:

 

«qu'une Année manquée revient à un An foiré»...

 

-De l'Interdit qui me prive de devenir mon meilleur Ami...

Danger: te tue deux fois, quiconque t'empêche de te Connaître!

Conne naissance avortée, si spoliée de Connaissance...

Sans s'en Défendre du Non-Être, à Qui est-ce? -ne pas Naître!

S’ignorent tant d’Étoiles, à Elles-Mêmes inaccessibles...

 

Étourdissant Excentrique, je cherche «Nihil-Onc Kazilà!»

Me pénétrer pour me recueillir au Monastère de L’En-Soi:

Soupçonné d'«Entrée par Effraction» au Goulag de L’Hiver-Hiémal...

 

Souvent, j'ai l'aversion de l'Inversion de mes Équivalences,

-genre l'Équi-Potence, qu'une Année manquée, revient à un An foiré...

 

Quel Putain de Crétin contre la Mutinerie de L'Horloge?...

-«l'Horloge du Gros-Ben, au Balancier tordu parti un Jour-Noir,

du Tic antique du Tic fuyard parti, sans Éthique ni Tact»...

L'Homme a perdu son Temps, or donc: le Temps a perdu le Bonhomme...

 

du «Gnomon du Vésuve de Pompéi»,

L'Esprit-Igné-Chansons»

la Langue survolée, Investi par la Parole d’Éole,

du Coeur noir d'Encarts, brûle l'Écart, tisonné «Nomade-Brandon»:

car, à tisonner l'Idole «L'Âtre» de L'En-Soi se rallume...

en Transe, se déverse en Lac qui se danse un Orage…

...de L'Outre-Outrée en tant qu'Humain-Clepsydre, pétrifié d'Effroi...

de l'Enlisement létal dans les Syrtes du Sablier de Khronos...

du Guet-Apens s'en désembourbe L'Éristique-Hétérodoxe:

 

 «L'Automédon du Char du Lys, Phée! -en Maintien du Temps devancé!»...

 

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LE DRAME SOCIAL DES SÉPARATIONS DE FAMILLES

 

Ce texte vous propose entre autre, de passer en revue l'arrêt CANADA contre Mme Sandra Lovelace rendu en 1989 par la Cour Internationale de Justice, (no. 24/1977), [1981-82] 2 H.C.D.H. 320, Doc. N.U. C.C.P.R./C/OP/1, p.83; [1983] A.C.D.P. 306 (1989) 1 R.U.D.H. 89, 68 I.L.R. 17.

 

Nous mettons ici en évidence que le Climat-Social s'est dangereusement contaminé par une Jurisprudence raciste de la part du juge Loranger dans l'arrêt John Connolly de 1869, et qui a dégénéré de 80% Humaniste sous victoria, à 100% Ségrégationniste sous élisabeth II du «Amistad» de 1982, comme nous le démontre clairement l'arrêt Canada contre Mme Sandra Lovelace de 1989 devant la Cour Internationale de Justice, qui est incontestablement le plus Haut Tribunal du Fief du Canada; mais dont on ne peut jouir qu'après avoir fait face aux 13 Juges-Ségrégationnistes des 3 Instances Judiciaires du Droit-Colonialiste Interne, et qui souffre donc de façon invétérée en Débilité-Congénitale chronique chez l'excrémentielle sous-espèce de Juges-Négriers anglo-franchouillards caïnadiens, incomparablement merdeux parce qu’ils naissent par défécation de leurs arriérées Troglodytes Génitrices, pour s'adonner allègrement à «la Séparation des Familles» de Personnes en Vie jusqu'en 1989, en dépit de la Prohibition onusienne, -mais qui, un siècle plus tôt, a condamné «la Séparation des Morts» à laquelle se prêtait les Ecclésiastiques catholiques romains, en enterrant parfois les Morts du côté du Cimetière réservé aux Pendus non-repentis, comme aux Bébés décédés sans Baptême et par conséquent, errant dans les Limbes de ce fait, prétendait-on, comme nous l'illustre la prochaine citation qui émane du Conseil Privé dans l'arrêt Guibord.  

 

Quel choc que cette lecture, après avoir prouvé l'Illégalité onusienne de l'AANB de 1867 au Juge-Croque-Mort Claude Millette-Zundel, (et antérieurement, à Yves Fournier-Carnavon, sans qu’il soit question de Fardeau de Preuve excessif et abusif avec les Juges-Imperfectibles de l’Impeccable « Être-Parfait » du Parlement-Colonial d’Ottawa d' »U-Town by the river » de la Loi des Marchands), me confrontant à la Réalité bouleversante que par ces Prédécesseurs despotiquement désaxés, cette vieille Putain de Reine-Papesse victoria, morte en 1901, était plus vivante que moi avec mon Pseudo-Droit à la Vie de la Charte-Bidon caïnadienne des Droits-Fictifs et des Libertés-Vituelles, qui me paraît bien limité à l'État-Végétatif du coma irréversible appelant au Débranchement de la pauvre Bête, puisque qu'on n'avait même pas besoin de déroger nommément à mon Droit de faire semblant de Vivre. C'est là le mauvais Sort réservé aux « Misfit » du « Outfit » en « Time-Out » pour les « has Been before » forbidden to be hereafter », qui sont les Télé-Déportés du Hors-Soi du Moi bien en-de-ça du ça, les Zappés-Apatrides réduits et pulvérisés comme Moi autour de mes pas, Hors-de-Moi, mais interdit de Colère, d'être parmi les Exclus du Happy-End for a Happy-Few full of shit, au royaume frenchglishoiseux des N’Importés du qu’importe...

 

Bien sûr, on ne peut contester la Sagesse Juridique de cet extrait de vouloir sauvegarder la Mémoire des Défunts de toute Profanation, -sauf qu'elle contraste paradoxalement au Racisme légiféré et judiciarisé de «Séparer les Familles des Vivants parce qu'ils sont Autochtones», en les forçant d'en faire son Deuil sans aucun Respect envers la Mémoire de leurs Disparus(es)». Cherchez l'erreur! -de votre absurde Illogisme-Judiciaire de Juges-Négriers à qui nous pouvons toujours reprocher votre Complicité à «des Actes de Génocide» en l'occurrence, ceux «des Séparations des Familles», tout comme vous est reproché votre Omerta-Judiciaire sur «vos Actes Inhumains» (qui prouvent votre Animalité en la promouvant sciemment, en la maintenant fermement et en la valorisant débilement, conformément à votre Bestiaire-Constitutionnel), qui fait en sorte que c'est à cause de vous que les Politicards-Colonialistes qui vous ont mis en Poste à Vie, se donnent de taxer les Gens de «Séparatistes», quand ce sont eux qui ont écrit la Loi sur les Indiens permettant «la judiciarisation des Séparations des Familles»; tout comme c'est à cause de votre Loi du Silence si Mafieuse de Déni de Justice, que tant de ces Familles sont contraintes à des Recherches fastidieuses de leurs Racines-Généalogiques et ainsi, sont-Elles insidieusement empêchées d'aboutir à des Retrouvailles qui leur sont vitales.

 

La Dévastation de la Crise Identitaire venait de l'Éradication-Généalogique de votre Magistrature-Ségrégationniste, à cause de qui les Québécois se font traiter ouvertement «de Sectaristes» par le Roi-Républicain, Judas-Louis XV de Sarkozy. Ceci dit, revoyons ce que nous ont déclaré les Juges-Lords of the anglican's God du Conseil Privé concernant «la Séparation des Morts dans nos Cimetières de Chrétiens sans Charité chrétienne»:

 

«It cannot not be doubt on the evidence that this qualification of the general right of interment, this separation of the ordinary place of sepulture implies degradation not to say infamy.» (Lord Selborne, In Re Guibord, en résumé de Dame Henriette Brown contre Les Curé et Marguilliers de la Fabrique de la Paroisse de Montréal, Revue Légale, (1873-1875), vol. VI, 157-220, page 209)

 

Vous voyez jusqu'où ces Juges Pro-Colonialistes s'offusquent bien lorsque «l'Axe du Mal» est ailleurs tout au loin au Vatican des Catholiques sans Charité Chrétienne, (mais quand même, «dans les Territoires britanniques au-delà des mers», selon l'expression des Lettres Patentes de 1947 de george VI le Bégayeux, «défenseur de sa foi par la grâce divine»), lesquels juges s'offusquent d'autant plus aisément lorsque c'est l'Église Catholique Romaine qui persécute ses Fidèles au-delà de la Mort. Des Juges-Lords qui s'indignent, mais qui, soudainement acquiesceraient à cette Persécution-Historique au nom de leur Église anglicane qui a fait disparaître «vos Libertés Gallicanes», qui consistaient à pouvoir se plaindre au Roi Catholique de France des Abus des Ecclésiastiques devant un Tribunal mixte, spécialement institué à cet effet. Des Libertés Gallicanes abolies, justement parce qu'Elles auraient permis de se plaindre de la Religion d'État que nous a dissimulé le Chief Justice Dickson de la Quéquette du Fils dans l'arrêt Big M Drug Mart précité. À l'évidence, en regard de ces Morts dont on a voulu préserver la Dignité en leur évitant l'Infamie, ils n'étaient motivé qu'en ajustant pernicieusement la maxime latine pour décrire leur Intention réelle, que parce qu'une fois Morts ils ne sont plus parmi «les Soumis rentables qu'il leur fallait épargner pour s'enrichir et qui sont maintenant enterrés avec «leurs Superbes» qu'il leur a fallu dompter», mais que dorénavant ils protégeront, car les Morts sont inoffensifs, contrairement aux Vivants, qui «Eux» sont potentiellement dangereux puisqu'ils sont du Nombre des Descendants éminemment indésirables des Nations Pré-Capitulatives».

 

Notez combien mes fiévreux dérapages lexicaux témoignent des conséquences dévastatrices découlant de ce penchant ségrégationniste à faire croire à tout et à rien de prouvable logiquement, et qui affecte d’impotence chronique autant les Chrétiens sans Charité chrétienne que les Athées sans Principe Existentiel, l’un-l’autre autant Païens de Paix-Sociale sans Démocratie onusienne…hi t’é mis ça est-ce allez en Paix?

 

***Et il y a que la Réalité se faisait éloquente, qu'aucune de ces Bêtes basses-caïnadiennes ne regimbaient (sauf l'Efferé Mi'kmak-Trickster, ce Carcajou à l’Esprit maléfique, et bientôt une Légion de ses Frakasseurs de la Phalange d'Orche -qui ont la Bougeotte, contrairement aux pauvres Bêtes du Troupeau bas-canadien si bien domptées devant le Monde Entier), de ne pas rechigner jamais jamais (ceci dit nonobstant l’avis contraire de Me John-James la Charogne-Nazie Charest, qui en 1995 nous le vendait en tant que Document prestigieux), d’être ridiculement obligés de voyager piteusement avec «le Passeport de la Honte nationale» sur lequel elles sont désignées dans l'objectif de les dénigrer héréditairement par cet outrageant Jugement par Contumace anachronique de médiévalisme que résument les Armoiries caïnadiennes qui y sont arborées de façon arrogante.

 

Ceci dit, malgré le fait évident que l'Ignorance-Populaire soit systématiquement cultivée et incontestablement redevable au Parlement-Colonial d'Ottawa avec la crapuleuse Complicité insidieuse de ses Juges-Ségrégationnistes, il restait que ce vil Comportement bas-canadien de Losers-Subjugués, attestait l'État-Végétatif de ces Cervelles de Bétail ne s'apercevant pas de la Froide-Logique judiciaire qui l'interprète comme leur Consentement-Tacite au britichiant Colonialisme britannique.

 

Un prétendu Consentement-Tacite attribué par interprétation judiciaire ultra-restrictive et hyper-arbitraire suite au Comportement débile de tous ces voyageurs en Promotion de leur Auto-Séquestration de «WOP Without Official Paper», avec leur loufoque Passeport de la Honte, parce que ce Comportement d'Assujettis leur est prêté à Tous selon le Nivellement de la Pensée-Annulée par leur Conformisme-Épiscopalien, comme si nous étions Tous tout à coup des Enfants du Paradis en État de Béatitude, sans plus de Présomption d'Animalité tout à coup, mais toujours pour la Frime de paraître un Citoyen d'un État-Démocratique. Comme nous le fait comprendre avec justesse Franz Fanon dans «les Damnés de la Terre», la Souveraineté des Nations Conquises par les Colonialistes et la Dignité-Humaine de ces Personnes qui leur est déniée ultérieurement, sont véritablement inextricables comme deux «Soeurs-Inséparables». Aucune différence entre le regard des Français sous l'occupation allemande, et le regard désâmé de Géronimo; ne sommes-nous Humains authentiquement que sous l'oppression?

 

Le Féminisme était potentiellement Laïc lui, mais ses Fûmelles brainwashées s'avéraient des Athées d'Humanisme comme autant de Païennes de Démocratie onusienne; comme si elles ignoraient le Principe Émancipateur à l'effet que L'Égalité des Sexes ne sera Tangible qu'avec des Créatures-Créatrices, résolument représentantes des 4 Races de L'Humanité, que j'entrevois Victorieuses avec La Main-Gagnante de La Suite-Impériale des 4 Dames de L'Humanité. (Les rois détrônés à demeure, et sans plus d’As dans la manche)…

 

L'Égalité des Sexes, que pouvait bien en dire un foutu Mâle-Dominant né à L'Ère Macho-Machin-Chouette? -mais quand même, un Poète qui s'avère un fervent admirateur de Christine de Pisan, une vénérable Poétesse qui a vécu de 1363 à 1430, et qui vantait les Hauts Faits d'Armes de Jeanne D'Arc, la Pucelle d'Orléans; Christine de Pisan, qui se présente historiquement et honorablement en Précurseure de toutes les Féministes, d'avoir courageusement répondu à Jean de Meung, l'auteur du «Roman de la Rose», qui portait en ces pages une lourde charge de Misogynie. C'est en son Honneur et à sa Mémoire que j'ai écrit les OpuStrophes suivantes, pour avoir su sortir bravement d'une Mer d'Hommes comme une splendide Exocet en robe de paillettes, et cela, à l'époque où sévissait l’Inquisition alors que l'Église ne reconnaissait pas à la Femme de posséder une Âme. Et cette Vénération méritée faisait en sorte que je la prend en exemple, d'avoir moi-même à sortir d'une Mer-Humaine anachroniquement noyée cruellement dans une Égalité des Sexes de l'Unisexisme Phallocratique nauséabond de l'atavique héritage Biblique, faisant qu'une partie de la Population soit cruellement Animalisée par une infamante Réquisition Militaire du Passé qui sape le Présent, ce qui faisait qu'encore aujourd'hui, il ne lui est pas humainement et démocratiquement reconnu la Dignité-Humaine, de cet inexplicable entretien d’un Déni ravageur qui revient au même que de posséder votre Âme, pendant que L'Honneur de la Condition Féminine est mis au rancart, parce que les Primitives-Féministes caïnadiennes préfèrent se prélasser dans la suffisance de la médiocrité de leur pitoyable Égalité d'Uni-Sexisme-Phallocratique patriarcal curateur de Matrice Matriarcale, en signe cosmo-tellurique de Décadence et non d'Évolution, vers une Égalité des Sexes glorieusement divine, d'adorer enfin une Déité-Androgyne...en poétique «Salut de la Comète aux Îles de la Nuit» :

 

[...]

Afin de célébrer «son Humanité-Yinississime»,

c'est une Pomme-Enchanteresse que j'offre ici à Ève, sans le ver

pour la Bouc Émissaire; en lui faisant miroiter sa Divine-Dimension,  qu'Elle rabaisse

en «Féminitude» du vulgaire Contentement insignifiant dans la Médiocrité, à ne viser

que l'égalité des salaires avec les Maîtres de la Dépravation Théo-Phallocratique,

en les singeant à «la Tatcher, «la Gouine des Malouines», la Baronne-Rouge

en Catimini du Plagiat simiesque de tout ce qui affiche détestablement la laideur

et la bassesse de l' Hommerie-Incorporée:

quand «L'Égalité des Sexes», est conditionnelle

à «L'Égalité authentique» de la Dignité des Femmes entre Elles,

de reposer sur « leur Solidarité sans Faille  » :

Incorruptible! -et Intransigeante!

-«en Suite-Impériale des Quatre-Dames de L'Humanité

 

«Poste-Script'Homme» explicatif de mes précisions trickstèréennes:

pour m'éviter ultérieurement toute sotte et frivole accusation de Plagiat,

m'apparaissant incompatible au Savoir-Poétique, et qui serait

évidemment susceptible d'entacher ma Crédibilité-Épiphanesque

de Lézard des Arts et Grand-Vizir des Désirs pire en Fakir,

de cette Crédibilité-Gnostique étant si indispensable à ma Loge-Hic,

comme au Succès de ma céleste Mission jouvencielle

de l'Ado-Ration quotidienne du Soi adulé des Tiens

s'aimant d'autant mieux en Nous-Nous chouchoutés,

vaut mieux que d'Eux tu l'auras pas,

ce que je devine

de ma Faculté au détail près, quasiment Infaillible

de la vastitude de mon Savoir Tribal de Mana ensorceleur:

 

d'être l'Hypophète de «La Déesse-Mère des Langues»

tenant à Coeur d'annoncer la Renaissance par «La Côte D'Ève»:

car je sais fort bien, en dépit d'être né à «l'Ère Macho-Machin-Chouette»,

en concluant mon Raisonnement par Déduction intuitive de nature Philo-Poétique,

l'Absurde se prouvant par l' Absurde  exprimé logico-tautologiquement,

en vous spécifiant que lorsque le premier Coq honora le premier Jour éclairé,

il aurait fallu, à ce fier Crêté, se lever fichtrement de bonne-heure:

pour qu'il se produise en plus qu' il  se ponde et se couve avant d'éclore...

en se chantant « Cocorico! »

[…]

 

Cependant, les Descendants de Pendus se confessant de tout faire pour se faire pendre, s'entendent dire : «Repends-toi mon fils! -honni soit qui mal y pense!» -ne regarde pas mes péchés mais la foi de mon église de Reine-Papesse impeccable et infaillible...et blablabla : Basta!

 

L'État-Membre ne peut, sans Abstention Expresse manifestée ouvertement à l'ONU, se dérober ultérieurement à son Consentement-Onusien en Droit-Colonialiste Interne, pour ensuite gouverner en sens contraire de façon à priver despotiquement ses Citoyens des Protections du Droit International Public. Rappelons que toute la merdique Jurisprudence de leur pestilentielle Common Law se retrouve dans la Voûte-Sacrée du Colonialisme dans le terme «Patrimoine», jumelée avec le Titre de Sujétion-Coloniale de la Proclamation Royale de 1921, elle-même sur la Charte-Martiale d'y arborer ses Armoiries de Colonies, qui a permis à élisabeth deux du «Amistad» de 1982, d'invoquer sa Prétention d'Intitulation «de Pareatis» de Souveraine du Territoire dûment arpenté en Terres de la Couronne. Et il faut savoir et se rappeler que parmi ces Protections onusiennes, les Juristes de l'Opinion majoritaire du Droit International Public ont assuré «la Protection de «la Famille en tant qu'«Élément naturel et fondamental de la Société», et de même, de manière complémentaire, «le Droit de vivre dans son Milieu, dans sa Culture», tel que stipulé aux articles 23 et 27 du Pacte International relatif aux Droits Civils et Politiques.

 

Parce que dites-vous bien que ce n'est certainement pas avec la règle d'interprétation «Posteriora prioribus derogant, les Lois-Postérieures dérogent aux Lois-Antérieures», que le Judiciaire-Dictatorial caïnadien interprète l'article 103 de la Charte des Nations Unies, mais plutôt avec la minable règle d'interprétation des Rétrogrades-Misonéistes qui est «generalia specialibus non derogant, les dispositions générales ne dérogent pas aux dispositions spéciales», de provenir du Patrimoine monarchique des Monarques décédés physiquement, mais toujours vivant législativement. Pas «des dispositions spéciales» comme les Proclamations de Privilèges et de Prérogatives royales monarchiques provenant d'autant de Lois-Unilatérales qui n’ont jamais subi le processus parlementaire démocratique des 3 Lectures, pour que le Passé vétuste se fasse reconduire avec «ses Lois-Antérieures» qui prédominent de façon injustifiable sur le Présent et sape L'Avenir ainsi éclipsés avec tous les Bienfaits des Lois-Postérieures déplorablement mises en veilleuses. Albert Mayrand, dans son «Dictionnaire de maximes et de locutions latines utilisées en Droit», nous apporte ici cette précision fort importante concernant l'anachronique Principe d’interprétation de la maxime «generalia specialibus non derogant», les dispositions générales ne dérogent pas aux dispositions spéciales»:

 

«Cette maxime est citée surtout en droit anglais comme règle d'interprétation des lois. Une loi générale n'est pas censée abroger des lois particulières antérieures». (MAYRAND, Albert, Dictionnaire de maximes et locutions latines utilisés en droit, 1985, Les Éditions Yvon Blais Inc., 312 p., p. 97)

 

En résumé concernant cette maxime latine, elle consacre «la Gloire-Polémologique du Passé du Droit à la Guerre d'un Monarque favorisant son Peuple-Élu» et qui dès lors, est reconnue prééminente à la Gloire-Universelle de la Loi-Onusienne, en Négation absolument catégorique de L'Évolution de L'Humanité et de la reconnaissance dans la Réciprocité de la Dignité-Humaine à ses Nations Vaincues. À l'évidence, le CAÏNADA signe les Engagements-Internationaux complètement ivre, pour revenir avec les mains pleines de nos Droits et Libertés du Droit International Public, et par la suite, sa Magistrature-Ségrégationniste y contrevient allègrement en les faisant fondre pour nous en priver avec «sa borgiaque Cuisine-Législative» de «Judge-Made-Law» de Juges Hors-la-Loi de l'ONU, par l'entremise du sceau royal des «trois Bâtards de Léopards of the Lord of the Ring» des Hérauts d’ »Armes du Royal College of Arms ».

 

Toutes les formes de Discrimination Raciale se fondent sur «la Bipolarité-Haineuse», trop souvent dans l'arrogance suffisante d'une prétendue Supériorité de la Race Blancharde. Pourtant, ce ne sont pas les mises en garde qui manquent concernant les conséquences néfastes des prétentions racistes des Partisans de la Suprématie de la Race Blanche qui se javellise aux dépens des Autres, tout en s'abâtardissant de son enmeltingpotage encensé.

 

De Charles Rousseau, un de mes préférés parmi les auteurs de doctrine du Droit International Public, j’ai bien noté ce qu'il exprime ici, concernant l'Opinion majoritaire émanant des juristes de l'Organisme onusien qui se dresse indubitablement en tant que Législatrice-Universelle, par conséquent, qui est à considérer comme « L’Être-Plus-Que-Parfaite », supérieure en Sagesse à « l'Être-Parfait » du Parlement-Colonial d'Ottawa du juge Spence de l'arrêt Scheer de 19774 de la Cour-Martiale Suprême, lorsqu'il nous partage que:

 

«L'expression la plus récente du droit positif sur ce point se trouve dans la Convention internationale du 21 décembre 1965, sur l'élimination de toutes formes de discrimination raciale, dont le préambule rappelle que «toute doctrine de supériorité fondée sur la différenciation entre les races est scientifiquement fausse, moralement condamnable et socialement injuste et dangereuse.» (ROUSSEAU, Charles, Droit International Public, vol. II, (extraits) 1974, Éd. Sirey, pp. 18-35, p. 25)

 

Le Racisme résultait d'un Vide-Juridique institué militairement et judiciairement, pour assurer ultérieurement de pérennité le Chaos-Asocial qui s'entretenait dès sa mise en marche en Mouvement-Perpétuel au Bordel des Souteneurs de leur abjecte Législation-Judiciarisée. Le Vide-Juridique est donc redevable à «la crapuleuse «Judge-Made-Law» de Juges-qui-font-la-Loi», mais, en Hors-la-loi, se permettant de contourner sournoisement et insidieusement DEPUIS PLUS DE 60 ANS le Droit International Public auquel s'est prétendument lié «le Fief du Canada», et cela supporte solidement ma Thèse de Militant-Anticolonialiste à l'effet que «la Séparation des Pouvoirs» n'est qu'une vulgaire Passoire», car la Cour-Martiale Suprême outrepasse toujours sa Compétence-Judiciaire lors «de tous ses Avis-Intéressés et de tous ses Renvois d'Ascenseur qui lui sont adressés» par un Exécutif abdicataire de son Pouvoir-Exécutif autant que du Pouvoir--Législatif, auquel il renonce pour laisser manœuvrer à Loisir son excrémentiel Judiciaire-Dictatorial avec sa Common Law à la ça va comme ça venait, comme-ça vient et comme ça viendra…ce qui fait que tout vénérable Irlandais et ses crédibles Supporteurs se disent: «qui a bu boira!» DONC: «qui y est allé IRA!»

 

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Au reel du set-carré de la Tribu des Goddamites de l’Extrême-Droite,

le Câlleur oubli toujours de câller:  qu’«on s’est trompé, changez de côté

et même de Compagnie!»

 

Le DIP, le DROIT INTERNATIONAL PUBLIC moderne

des Humains authentiques, versus

le Droit International Coutumier des Troglodytes Colonialistes,

en pratique de Sciences Juridiques, totalement exclues des Sciences Humaines :

 

Objection de Conscience

 

envers  la persistance de «l'Usage et la Coutume» du Droit International Coutumier,

afin que moi-même et tous les Autochtones puissions jouir sans entrave étatique

des Droits et Libertés du Droit International Public en tant que Créanciers Privilégiés,

et par conséquent, en tant que Bénéficiaires Légitimes de l'interprétation Évolutionniste

de l'article 103 de la CHARTE DES NATIONS UNIES

 

Article 103 de la Charte des Nations Unies:

 

-«En cas de conflit entre les obligations des Membres des Nations Unies en vertu de la présente Charte et leurs obligations en vertu de tout autre accord international, les premières prévaudront

 

«La Sagesse Supérieure de la Loi Postérieure», ELLE ne nous est pas accessible, absolument pas selon mon intime Conviction profonde, que je partage ouvertement en incitant à la Désobéissance Civile jusqu’à ce que l’on ait remédié à notre Situation de Subjugation par une Réforme démocratique onusienne, parce que le Judiciaire-Dictatorial caïnadien traficote sournoisement, en traîtresse Conspiration unanime, pour que cette garantie «Supra-Étatique» de l'article 103 de la Charte des Nations Unies nous soit déniée héréditairement de façon catégorique par le Droit des Capitulations qui ne reconnaît absolument pas aux Vaincus le Droit à la Vérité, le Droit à la Mémoire ainsi que la reconnaissance innée de la Dignité-Humaine dans le Respect de la Réciprocité, comme en témoigne de façon éloquente l’absence déshumanisante de ces Principes de Justice Fondamentale de la Charte-Théocratique, Martiale et Animalière caïnadienne du merdique Fif-Ségrégationniste, l’exécrablissime Pierre Hell-he-hot le très Corruptible Trudeau, le Patriarche du Bill-Omnibus de sa Bible anti-kashère de son Dieu-Yang à Trois Pénis en sortie de garde-robe post-vaticane.

 

***Analyse juridique d’un Résistant Anticolonialiste du Litige concernant la Folie persistante de la Loi-Antérieure «du Droit International Coutumier» de la défunte Société des Nations remplacée insidieusement par l'OTAN, versus le principe reconnaissant la Sagesse Juridique Supérieure de la Loi-Postérieure du Droit International Public de l'Assemblée Générale des Nations Unies.

 

Comme il vous a été signifié, ce chapitre vous propose un parcours de l'Institution de la Folie-Guerrière qui a occasionné les deux Guerres Mondiales aussi Coloniales que celle de 1812, de 1914-1918 et de 1939-1945, et par le fait même ayant provoqué le Décès de la Société des Nations, d'un Danger imminent qui perdure d'un Troisième Conflit Mondial qui ne manquerait pas de menacer nos Fils et notre Nation naissante, et de tuer par le fait même l'Organisation des Nations Unies, puisque déjà des Juristes anglo-saxons s'appliquent à saborder l'ensemble des Règles Impératives et Supra-Étatiques du Droit International Public, parce que les Adeptes de Polémologie de «l'ancien Droit International Coutumier» le gardent aussi vivace que le britichiant Bulbe de la Rose-Rouge. Et cette Supercherie monarchique anti-démocratique a cours, pendant que le Juge en chef Dickson dans l'arrêt Oakes, page 136, nous garanti mensongèrement que «la Société canadienne se doit d'être libre et démocratique», c'est iniquement son Judiciaire-Dictatorial qui nous persécute insidieusement. Comme vous pourrez le constater au fil des citations suivantes, ma Pensée concorde à la lettre à ce qui ressort des Critiques des auteurs de doctrine juridique de l'Organisme onusien.

 

Sur la Piste empestée de l'Activisme-Judiciaire

 

Si le Droit International Public est encore infesté des Traditions Juridiques anglo-saxonnes, comme le déplorent les auteurs de doctrine juridique du Droit International Public, il faut bien admettre que de tels Juges-Jongleurs existent pour en faire autant dans leur Droit-Colonialiste Interne, où ils nagent comme des poissons dans l'eau-de-rose en nous y noyant de Droits-Fictifs et de Libertés-Virtuelles.  Sans détour, voici d'après Charles Rousseau, quels sont les 2 principaux Obstacles  majeurs à l'essor du Droit International Public:

 

-« […] influence du positivisme juridique sur plusieurs membres de la Cour Permanente de Justice Internationale;

-persistance des traditions judiciaires anglo-saxonnes au sein de la Cour. »  (ROUSSEAU, Charles, Droit International Public, vol. I, «Les Sources», Éd. Sirey, pp. 297-298)

 

Le Boulet au pied de L'Humanité qui freine dramatiquement son Évolution, comme nous allons l'approfondir jusqu'à l'apercevoir, c'est le Joug de la Subjugation sur la Nuque des Colonisés par «la persistance des traditions anglo-saxonnes au sein de la Cour», et il faudrait croire que dans le Droit-Colonialiste Interne, le Judiciaire-Dictatorial caïnadien ne se lâche pas lousse dans sa sempiternelle Turpitude népotique sans aucune retenue, sauf celle d’enfreindre sournoisement le nouveau Droit International Public, dont il est chroniquement allergique autant qu’anachroniquement inadapté par le fait même, puisqu'il continue d'observer religieusement «leurs Traditions juridiques anglo-saxonnes» d’arriérés Primitifs de l’ancien Droit International Coutumier. Et toute cette bull-shit starbuckienne, alors que le Renvoi-Martial de 1981 cite lui-même la Retenue-Politique du PM Makenzie King pour ne pas modifier la Constitution que la Cour-Martiale Suprême «modifie» elle-même en accordant d’elle-même -un certain degré de primauté au Parlement Colonial d’Ottawa déclaré faussement Fédéral à deux reprises, donc en déclarant «faussement «Légal» leur merdique Constitution unilatérale victorienne en tant que «Pacte Fédératif», et par surcroît en l'inter-changeant pour «la Constitution-Martiale de la Proclamation Royale de 1921», ce qui revient à entériner un vulgaire Titre de Sujétion Coloniale. Citons Makenzie King, un autre PM-Pantin des géophages et démévores windsor:

 

« Nous avons évité tout ce qui aurait pu passer pour une pression sur les provinces et nous avons évité, en outre, une question d’ordre constitutionnel très grave, celle de savoir si en modifiant l’Acte de l’Amérique du Nord, il était nécessaire d’obtenir l’assentiment de toutes les provinces, ou si le consentement d’un certain nombre d’entre elles aurait pu suffire. » (Makenzie King, extrait des Débats de la Chambre des Communes de 1940, cité par la Cour-Martiale Suprême dans Renvoi : résolution pour «MODIFIER» (JUDICIAIREMENT) la constitution (VICIÉE), [1981], 1 R.C.S. 753, 901)

 

C’était là des propos qui reflétait la Mentalité Colonialiste de 1940, alors que la Retenue Politique et la Retenue Judiciaire s’appliquaient avec plus de transparence avec un Pouvoir Exécutif qui ne s’abdiquait pas ouvertement au Pouvoir Judiciaire par la pratique insidieuse des Avis-Intéressés et des Renvois d’Ascenseur adressés à une Cour-Martiale Suprême qui, de sa pratique ultra-partisane transmute tous les Tribunaux inférieurs en autant de Cours-Martiales politisant nos Droits et Libertés de leurs Chartes-Bidons. Parce que même si l'article 103 de la Charte des Nations Unies est catégoriquement impératif en tant que règle Supra-Étatique, y contrevenir sournoisement et fallacieusement ne répugne pas à ce Judiciaire-Dictatorial de ses 60 ans d'Expertise à contrevenir au Droit International Public, soit l'équivalent du règne d'élisabeth II du «Amistad» de 1982, et autant l'équivalent d'une douzaine de Mandats électoraux sous les Conservateurs et les Libéraux alternativement, avec leur même Judiciaire-Dictatorial en poursuite effrénée de ses Contraventions de plus de 60 ans au Droit International Public. 60 ans, l'équivalent de mon âge à me faire entuber du dogme disant que «the queen can do no wrong», et, d'être envoyés-tous par le même Dieu-Yang cruel et jaloux de sa divine Mysogynie, comme se dit à la fin de chaque messe «Seigneur, ne regardez pas nos péchés mais la foi de votre Église», aussi fervente que friande de vierges anus. Pourtant, cette Règle Impérative intime aux États-Signataires de faire prévaloir l'évidente «Sagesse-Juridique» qui ressort de «la Loi-Postérieure» que représente la Charte des Nations Unies avec les autres Règles Impératives et Supra-Étatiques du Droit International Public, de préférence à «l'ancien Droit International Coutumier», forcément «antérieur», primitif et révolu, qui tolérait la promotion de la Colonisation et le maintien de la Ségrégation raciale et sociale qui l'accompagne toujours en parallèle.

 

Ainsi donc, sans «Véritable Consentement au Pseudo-Pacte Fédératif», dûment vérifiable dans «une Constitution ratifiée», en l'occurrence l'AANB de 1867, «ce Vice de Consentement bas-cadien» serait reconnu comme lui étant fatal aux yeux de la Cour Internationale de Justice qui le déclarerait incontestablement «Illégal» par la règle d'interprétation «Contra Proferentem, contre celui, celle qui a rédigé seul(e) la loi», faisant que le Renvoi-Marial de 1981 se montre totalement contraire au chapitre 5 de la Convention de Vienne sur le Droit des Traités; et autant en Contravention avec l'article 103 de la Charte des Nations Unies en reconduisant le Colonialisme dans «le Droit Interne», avec sa seule et unique Constitution-Martiale de la Proclamation Royale de 1921 en tant que Titre de Possession Coloniale élisabéthain, et par conséquent «une Constitution complètement Illégale». À l'évidence, ils n'étaient définitivement pas Réglo les Juges-Négriers du Renvoi-Esclavagiste de 1981 de la Cour-Martiale Suprême, et l'épidémie de Mauvaise Foi a envahi le reste des Cours-Martiales qui lui sont inférieures dans la hiérarchie judiciaire. Et cette minable «Constitution» était pour tout l'Empire britannique, rien d'autre que «ses Armoiries-Mères», qui reposent de façon absolument irréfutable «en Fait et en Droit Héraldique», sur «la Tradition-Martiale» des Fanatiques-Adeptes des Principes-Polémologiques des articles 34 et 35 de l'Acte Général de Berlin de 1885 dont se disputaient le Monopole mondial george V, avec son Allié et cousin Nicolas II le Tsar de Russie contre leur Ennemi commun, leur autre cousin, Guillaume II, lors de la Guerre aryenne de 1914-1918 des Trois Cousins-Germains, du Monopoly-Mondial par la Guerre avec ces Trois exécrables Fascistes «bismarkiens», étant indiscutablement des Allemands, comme en témoigne leur Arbre Généalogique de géophage et démovore Ostro-Wisigoths. Et que dire, après un tel constat catastrophique qui sied sur mesure à tous ces Nazis-Caïnadiens en Toge incontestablement fasciste pour leur exécrable Führer Adolf Harper? sinon: «Heil Hitler!»

 

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***Que la Folie belliqueuse de la Toge-Polémologiste caïnadienne cède devant

la Sagesse Juridique Onusienne!

-Interprétation légale onusienne de l'article 103 de la Charte des Nations Unies

 

En Litige: le principe d’interprétation désuet privilégié par la Magistrature misonéiste caïnadienne:

 

«Generalia specialibus non derogant, versus lex posterior derogat priori»,

(trop moderne pour ces arriérés Troglodytes du Droit International Coutumier)

 

En tant que piteux Subjugués du Troisième Millénaire, c’est là notre épine au pied, en comprenant que le rétrograde principe de «la Souveraineté de l’État» est judiciairement consacré quotidiennement par l’incontournable utilisation de l’antique principe d'interprétation de la maxime latine «Generalia specialibus non derogant, les dispositions générales ne dérogent pas aux dispositions spéciales»; pour que s’explique salutairement que cette pratique partisane représente encore aujourd’hui l’humiliante reconduction de la Subjugation initiale britannique qui prévalait depuis 1760 par le Droit des Capitulations reconduit par des merdeux Capitulards-Entogés, tout simplement à force de s’adonner allègrement à la promotion asocialement insensée de l'absurde archaïsme juridique de l'ancien Droit International Coutmier, qui nous déphase complètement de notre Spatio-Temporalité en nous empêchant de nous Épanouir de façon injustifiable.

 

Et cela se produit insidieusement, en nous projetant dans le sordide médiévalisme de l’infecte et avilissante inféodation des Troglodytes-Colonialistes, qui pour notre perte, mettent en poste à vie leurs Toges-Fascistes après les avoir scrupuleusement triées sur le volet pour maintenir efficacement leur Conspiration à suivre de façon partisane la Ligne de Parti, parce qu’ils ne veulent absolument pas se départir sagement de leurs régaliennes Lois unilatérales, en dépit qu’elles n’aient jamais évolué selon le principe parlementaire moderne des 3 Lectures; ce qui nous explique que cette esquive consistant à promouvoir les Législations obsolètes de Monarques décédés leur est vitale, pour perpétuer leur infamante Supériorité inséparable de leur inclination à promouvoir la Bipolarité-Haineuse, ainsi que la raison plus que douteuse pour laquelle ces Lois déshumanisantes sont évidemment toujours en vigueur n'ayant jamais été «désavouées» par le Parlement-Colonial d'Ottawa, ni même non plus que «déclarées inconstitutionnelles» dans la Jurisprudence partisane de ses Juges-Ségrégationnistes qui remplacent despotiquement autant l'Exécutif que l'Opposition exécutrice, en le déclarant pour être à jamais «l'Être-Parfait», absolument imperfectible: «so don't you fucking touch this greatest Mother-Fucker of all time!»

 

Parce qu’en définitive, il faut voir clair et s’avouer franchement que tous ces Juges-Fourbes, Procureurs-Vendus et Avocats-Achetés à grands-frais perdants-losers de leur Capitulardise qui sciemment s'y prêtent bêtement à ce merdique Simulacre de Démocratie de Toc, le font tout en s'y vendant à la baisse avec leur Portée qu’ils animalisent, du négoce de vendre à rabais l’ensemble de la Population trahie, d'être vendue à son insu à leur commerce d’Esclaves-Subjugués en héritage héréditaire d’Ilotes invertébrés, parce que ces Juges-Négriers reconnaissent délibérément et d'autant plus débilement, que «les Lois Générales» du Droit International Coutumier d'autrefois» n’ont jamais dérogé et ne dérogeront jamais «aux Lois Spéciales» émanant de la Volonté régalienne des Rois-Morts; ce qui fait en conclusion, quils vivent à notre place qui ne vivotons que par Procuration Royale de 1921 de george V le Boche, parce que leurs pestillentielles Lois-Iniques prévalent toujours sottement sur le Droit International Public, en considérant inapplicables ses règles en tant que «Lois générales» de moindre envergure.

 

Il suffit donc, pour le Parlement-Colonial caïnadien, de ne jamais désavouer leurs Lois archaïques unilatérales d'arriérés monarques rétrogrades, pour que le Passé prime sur notre Modernité utopique, en nous frappant avec l'argument du bâton du «Malheur et Honte aux Vaincus», reconduit par la Sentence-Fatwa d'«honnir qui mal y pense!» -contredire mes Évêques ensoutanés de Robes-Rouges à la Cour-Martiale Suprême liant les Cours-Martiales inférieures avec le «Stare Decisis» leur commandant de suivre la Jurisprudence dogmatique des Cours d'Appel, et puis, d'épicer le tout avec la règle d'interprétation «dura lex sed lex, la Loi est dure mais c'est la Loi!» de la Common Law protest-anglicane rétro-adventiste de la Magistrature caïnadienne, qui ne déclarera jamais inconstitutionnelles «les Lois Spéciales» de tous ces monarques despotes. De l'immunité ecclésiatique de «ne pas regarder nos péchés mais la foi de notre Église», à l'immunité royale «des monarques qui ne peuvent commettre de Torts, ni de péchés («im-peccable, de peccare, péché»), il reste que tous ces Envoyés du même Dieu unique, suivront le même mode opératoire, qui consiste chez les Ecclésiastiques en soutanes noires, de reconduire les dogmes des Encycliques des Conciles et des Bulles papales qui sont promus par les Évêques «en Soutane Rouge»; et chez les Juristes à proximité de leur Bible de Colonialistes, de perpétuer les Lois-Iniques des Monarques décédés physiquement, mais toujours vivants législativement, parce que ces Lois-Ségrtégationnistes sont promues par la Jurisprudence dogmatique des Juges-Féciaux de la Cour-Martiales Suprême, évidemment «en Toge-Rouge»; parce que le rituel du symbolisme de «la couleur Rouge» est de perpétuer traditionnellement le Passé, ce qui se soutient par cette citation d'un livre d'Histoire de l'angleterre, avec fresque médiévale à l'appui, montrant le cortège funèbre de Charles VI de France, escorté de Hauts Dignitaires portant «la Robe-Rouge», comme il y est expliqué:

 

«Above Charles VI of France's funeral in 1422. His effigy lies on the bier. The chief mourner (the duke of Bedford) and members of the parlement of Paris wear red robes because 'the king never dies'.»

(«The Chronicles of The Wars of the Roses», de Elisabeth Hallam, 1997 Bramley Books, à la page 183; les italiques sont de E. Hallam)

 

LA CORRUPTION COLONIALISTE NOUS TIENDRA

DANS LE ROUGE

PAR CE VIDE-JURIDIQUE QUI NOUS ANNULE TOUS!

 

C'est ainsi que le Passé bouffe l'Avenir des Éternels Vaincus de l'Empire Britannique, qui sont obligatoirement Absents devant leur Volonté régalienne, plus vivante « post mortem» que la Nôtre de Pseudo-Vivants; ce qui résulte en atteinte grave à notre Liberté d'Expression de l'article 2, muselée nécrologiquement, ainsi qu'à notre sécurité physique et psychique et notre Droit à la Vie de l'article 7 de la Charte-Théocratique, Martiale et Animalière caïnadienne, et sans même que cela n'éclabousse la Justice déshonorée irrémédiablement contrairement à son article 24, du fait de cette pratique insidieuse faisant que nos Droits et Libertés nous soient rendus «Inconsistants» contrairement à la gfarantie de l'article 52, puisque devant cette Justice-Inique, nous ne sommes et ne seront jamais que des Zombis de leur B.D. armoriale, des corps vides de toute Volonté dissoute, des Êtres anéantis d'invisibilité dans l'État-Végétatif des Citoyens-Ballayeurs de l'État d'On qui exclu la Personne qui parle...«Hello! Is there anybody Home in a Nobody blown away from it's empty body?» Poser cette Question existentielle, «that Nobody under a Toga can answer, this Ghost not being in Himself!» -de promouvoir son maintien au Carcan législatif des articles 5 et 8 de l'Acte de Québec de 1774, au Club-Med des Anus brûlés au Soleil de l'Empire britannique, et valorisant sur leur Passeport de la Honte nationale, de voyager avec les symboles orangistes du Droit Héraldique de la Proclamation Royale de 1921 de george V, en tant que leur seule et unique Constitution-Martiale.

 

Mais pour moi, la Rubitude est flagrante de s'être illustrée dans ma Famille, et au fil des Rencontres d'une multitude de Gens en quête de leurs Racines Généalogiques, chamboulées dans un Val-Jalbert pan-canadien par cette Loi-Ethno-Linguicide qu'est la Loi sur les Indiens, qui a provoqué les Séparations de Familles par le Bannissement exclusivement appliqué aux Indiennes, d'où l’origine de leur Exclusion de la Condition-Féminine des Blanchardes vachardes, en promotion d'une Condition Féminine de l'Auto-Misogynie, comme Louise Arbour-Zundel. Et cette Rubitude catastrophique est enchâssée à l'article 35 alinéa 2 de la Charte-Animalière caïnadienne, minablement Misogyne, et indigestement Indigénophobe...

 

L'Égalité des Sexes n'existe pas pour la Matrice-Maudite des Indiennes qui n'accouchent que de Revendicateurs plein de Reproches, ce qui ne convient pas au Faire-Semblant élisabéthain, en Jubilé diamantaire de la Persécution Historique dont elle a héritée; sauf qu'il lui est rappelée qu'elle est présentement poursuivie en Recours-Collectif pour Crimes contre l'Humanité durant toute l'existence des Pensionnats-Carcéraux d'assimilation forcée, avec en bonus la Charité très chrétienne des Agressions physiques et sexuelles, et des milliers de corps d'Enfants non-rendus aux Familles, (voir absolument le site, Kevin Annett 15 September 2012 Announcement), et que bientôt, il sera universellement notoire que l'absurde s'est fait judiciariser par la Magistrature caïnadienne, de son dogme aliénant à l'effet que «the queen can do no wrong», et autant son Parlement-Colonial caïnadien que la Cour-Martiale Suprême qui l'a reconnu complaisamment comme «l'Être-Parfait», qui est Imperfectible, et cela dans l'arrêt Scheer de 1974, par le juge Spence reprenant comme nous l'avons vu les déclarations saugrenues du Juge-Lord Halsburry de l'arrêt Pemsel de 1891. Il existe une Foule de Gens que je connaîtrais mieux s'il leur était tout simplement permis -de se Connaître! -comme dire de -naître avec, sa Vérité d'Être et avec des Notions véridiques favorisant l'Épanouissement Humain, comme de se Savoir Soi-Même dès l'Enfance.

 

Mais cela est Interdit de se Connaître à ceux dont on a affublé de la présomption de Bâtardise des Bardots-Métis de la Clause-Négrière de la corrosive Rubitude, à l'alinéa 2 de l'article 35 de la Charte-Théocratique, Martiale et Animalière caïnadienne, qui classifie facistement de façon cladistique les Autochtones qui s’y dégradent en Métis dès la première génération d’hybridisme faunique, pour décliner ensuite drastiquement dans la décadence des Quarterons et des Octavons javellisés en Propagange-Ségrégationniste, coupés de tous leurs Droits Ancestraux, irrémédiablement disqualifiés du vénérable «Statut d’Indien» attestant de la Pureté Raciale qui leur est déniée, comme leur Dignité-Humaine…autant de Zappés-Apatrides en indésirables Intouchables de la route des épices, autant d'Abels exclus de la Promotion du multiculturalisme caïnadien...

 

Tant de Gens qui se baladent complètement incognito à Eux-Mêmes, et que je défends comme mon Humanité. Et lorsque je le fais, pour Eux, Moi-Même et les Miens, je suis politiquement judiciarisé Interdit de me pénétrer et de me recueillir, comme d'une fallacieuse Accusation non-déclarée comme telle d'«Entrée par effraction» au Monastère de L'En-Soi. Vous tous de la Magistrature-Ségrégationniste, vous pratiquez allègrement la Promotion, le Maintien et la Valorisation d'un Patrimoine-Matricide des Cultures Autochtones qui ne m'inspirera jamais que répulsion. Nul ne peut me contraindre à l'Usage et la Coutume de maudire les Indiennes et leur Descendance incitée sournoisement au plus haut taux de Suicides par Déni de Justice. Nul ne peut m'empêcher de le décrier, surtout en Procès.  J’ai 4 Vérités à dire là où l’on exige de moi la Vérité pour me vendre une absurde vraisemblance mensongère. Aussi, je répands partout cette Vérité:

 

-De l'Interdit qui me prive de devenir mon meilleur Ami...

Danger: te tue deux fois, quiconque t'empêche de te Connaître!

Conne naissance avortée, si spoliée de Connaissance...

Sans s'en Défendre du Non-Être, à Qui est-ce? -ne pas Naître!

S’ignorent tant d’Étoiles, à Elles-Mêmes inaccessibles...

[…]

 

Concernant l'interprétation de la règle d'interprétation «Posteriora prioribus derogant, les Lois Postérieures dérogent aux Lois antérieures», nous avons vu sa logique maîtresse de reconnaître «la Sagesse-Supérieure des Lois-Postérieures» qui viennent naturellement corriger l'insuffisance des Lois-Antérieures», sinon à la satisfaction générale, elles seraient restées inchangées. C'est ainsi qu'il faut comprendre que «le nouveau Droit International Public» de l'Assemblée Générale des Nations Unies, est venu remplacer «l'ancien Droit International Coutumier», qui connaît encore des soubresauts d’Attardés-Misonéistes à cause «du Positivisme-Judiciaire dans la persistance des Traditions juridiques anglo-saxonnes», comme nous l'a révélé Charles Rousseau dans la citation précédente. Mais il y a qu'il nous faut être Solidaires pour procéder par nous-mêmes à la Mise à Mort de «cet archaïque Droit International Coutumier» qui devrait s'éteindre bientôt, tout comme la Société des Nations qui le chapeautait, sinon nous pouvons nous attendre au pire à se contenter du statu quo pour Zombis déshumanisés.

 

La prochaine citation réfère aux deux sources «du Droit des Gens» qu'il faut garder en Mémoire; d'abord «l'ancien» qui prévalait jusqu'à la disparition de la Société des Nations, connu sous l'appellation du Droit International Coutumier qui permettait «le Droit des Capitulations», et puis «le moderne» de l'Assemblée Générale des Nations Unies, connu pour être le Droit International Public, celui dont «la Sagesse Juridique est considérée « Supérieure » de sa ratification Postérieure venant corriger les abus et dérappages du Passé par les Comportements étatiques qui ont occasionné les Guerres Coloniales jusqu'à leur Mondialisation,  et auquel Droit International Public le Canada a adhéré généralement, sans aucune Abstention déclarée ouvertement équivalent à «une Dérogation Expresse» laissant entendre que sa Justice ne s'y conformera pas. Pour mieux comprendre le Principe de la Sagesse-Supérieure de la Loi-Postérieure, suivons à ce propos, ce qu'en dit Charles Rousseau concernant l'interprétation privilégiée de cette Règle:

 

« En réalité le problème général de la valeur respective des deux sources du droit des gens, doit être posé non comme un problème de hiérarchie dans la valeur des sources, mais comme un problème d'antériorité dans leur application: la règle incompatible n'est pas la règle subsidiaire ou subordonnée, c'est la règle la plus ancienne: et si elle est abandonnée, ce n'est pas en raison de son infériorité intrinsèque, c'est parce qu'elle a cessé de refléter l'accord de volontés des sujets de droits, la plus grande «positivité» internationale appartenant à la règle la plus récente. Le phénomène s'explique par la règle lex posterior derogat priori, règle dont on a parfois exagéré la portée pour résoudre le conflit survenant entre deux règles conventionnelles concurrentes ([...]), mais qui, il faut le reconnaître, trouve son exacte application dans l'hypothèse de la contrariété d'une règle conventionnelle et d'une règle coutumière. »

(Rousseau, Charles, Droit International Public, Vol., Éd. Sirey, 1974, pp. 342-363, p. 343)

 

Dans notre Réalité incontournable, «le problème entre les deux Sources du Droit des Gens», à l'évidence, c'était de faire admettre par ses Adeptes, que «l'ancien Droit International Coutumier» ne peut se targuer d'une plus grande Sagesse-Juridique que le Droit International Public qui l'a remplacé après la deuxième Guerre Mondiale, parce que l'on c'était concerté à l'ONU pour en tirer une Leçon de Sagesse qui sombre dans l'Irrésolution de la Partisannerie-Complice qui s'avère Criminelle, et ce point de vue qui est mien d’Objecteur de Conscience, représente l'Opinion majoritaire à l’ONU, comme le soutiennent les extraits que je propose en citant les Juristes de l'Assemblée générale des Nations Unies, qui me sont généralement sympathiques, de ne pas y rencontrer de Troglodytes caïnadiens du Droit International Coutumier.

 

Selon moi, c'est par Héritage britannique Martial et Dogmatisme-Judiciaire en relais que le Canada justifie la Préséance de sa Charte prétendue «Supra-Constitutionnelle», c'est-à-dire qui supplante les Chartes des Provinces, mais sans avouer franchement que «cette Supra-Constitutionnalité» de la Charte Canadienne se fonde sur sa nature Théocratique», pour que se perpétue le Jeu des Poupées Russes sur les Chartes Provinciales affaiblies drastiquement d'Infra-Constitutionnalité, ce qui fait en sorte de consacrer l'injustifiable bouffonnerie de votre Cirque-Judiciaire. Dans notre Réalité démentielle, «la Supra-Constitutionnalité de la Charte canadienne», résulte du fait, que tout au long de son écriture hypocrite sur presque vingt ans, le coefficient de difficulté pour Pierre Eliott le Corruptible-Trudeau, était de prendre tout son temps pour la livrer afin de nous faire croire qu'il s'y appliquait en mettant le paquet comme on dit, mais, tout en évitant d'y garantir «la Dignité-Humaine dans le Respect de la Réciprocité». Parce que la Dignité n'est évidemment pas reconnue «aux Animaux», ces vils Descendants des Vaincus qui signèrent l'Acte de Capitulation de 1760, et qui sans rechigner dans leur docilité débile, se font rabaissés «en Prise de Guerre» sur les Armoiries caïnadiennes promulguées par la Proclamation Royale de 1921, en guise de Constitution-Martiale pour le Fief du Canada, puisqu'il s'agit d'«une Constitution-Armoriale» qui se retrouve machiavéliquement sur le Document Officiel de la Codification des Lois Constitutionnelle de 1867 et de 1982, en Réquisition-Militaire de notre Droit à la Vérité, de notre Droit à la Mémoire, ainsi que de notre Droit à la reconnaissance innée de la Dignité-Humaine, de façon authentique, dans le Respect effectif de la Réciprocité des Personnes et des Peuples.

 

Mais, voilà des principes de justice fondamentale qui nous sont déniés sournoisement sans avoir même à les nommer, en préférant apposer les Armoiries caïnadiennes sur leur Charte-Bidon de sa martialité sans que les Gens ne s'en aperçoivent jamais, parce qu'ils en sont noyés sans jamais avoir été Instruits de leur teneur Constitutionnelle. Et Hop-Là pour les Bernés de l'acquiescement tacite sournoisement soutiré!

 

Depuis les Années-60, l'Opinion Majoritaire des Juristes de l'Assemblée Générale des Nations Unies s'est exprimée par la ratification des Résolutions Anticolonialistes, ce qui atteste qu'ils prônent le Droit à la Décolonisation; c'est donc dire que «le Colonialisme» est considéré Illicite de nos jours par le Droit International Public. Pourtant, il est toujours bien vivace, parce que certains des États qui s'engagent à ces Règles Impératives et Supra-Étatiques ne le font que pour la Frime de se bâtir la Présomption d'État Démocratique, en se dotant d'un Critère de Sélection des Juges selon leur Capacité d'y contrevenir fallacieusement dans la plus abjecte Hypocrisie, en ne déclarant pas de façon Expresse en les nommant, les Règles du Droit International Public dont ils nous prive, pour se justifier minimalement de la privation de Droits ou de Libertés avec «des Clauses dérogatoires», et qui dès lors ne sont plus ni des Règles Impératives ni encore moins des Règles Supra-Étatiques rendues devant notre Judiciaire-Dictatorial de ce fait évident, et qui se confirme comme tel dans le Déni de Justice en regard de l' « Auto-Absolution » de «vos Actes de Génocide».

 

En l'absence d'abstention expresse, le Canada est présumé avoir acquiescé pleinement aux règles impératives et supra-étatiques du Droit International Public. C'est du moins ce qui ressort des propos suivants des constitutionnalistes Henri Brun et Guy Tremblay qui, de par leur Profession et nationalité canadienne-française, nous géopolitisent que:

 

« Dans le cas du droit international conventionnel, nous verrons ci-après qu’il ne fait pas partie du droit interne s’il n’est pas confirmé législativement. Il existe tout de même une présomption voulant que le parlement n’a pas l’intention de contrer les engagements internationaux du pays. » […] « Une fois confirmé, le traité a évidemment force de loi et prévaut en droit interne. Toutefois, il devra être interprété en fonction du droit international. »

(BRUN, Henry, et Guy TREMBLAY, Guy, Droit Constitutionnel, 1990, Les Éditions Yvon Blais,  2 éd., aux pages  600-601)

 

Il ressort clairement de cet extrait, que le principe de « Souveraineté de l'État » est subordonné dans son Droit Interne à l'interprétation onusienne des Conventions, Pactes ou Traités internationaux. Toute privation de ces Droits est juridique, puisqu'une campagne électorale n'a mentionné se faire élire pour y contrevenir : le Juridique est donc Politique, de façon « incorrecte », sans être « politiquement correct ».

 

Section 3 -INTERPRÉTATION DES TRAITÉS,

Convention de Vienne sur le Droit des Traités, article 31 (1):

 

« Un traité doit être interprété de bonne foi suivant le sens ordinaire à attribuer aux termes du traité dans leur contexte et à la lumière de son objet et de son but.

 

(2): Aux fins de l’interprétation d’un traité, le contexte comprend, outre le texte, préambule et annexes inclus:

a) tout accord ayant rapport au traité et qui est intervenu entre toutes les parties à l’occasion de la conclusion du traité;

 

b) tout instrument établi par une ou plusieurs parties à l’occasion de la conclusion du traité et accepté par les autres parties en tant qu’instrument ayant rapport au traité.»

 

***Notion juridique aliénante -«de l'Occupation de Guerre»

interprétée insidieusement «en Territoire sans Maître», du Renoncement de Louis XV

de son prétendu Territoire et de ses Sujets concédés par le Traité de Paris de 1763,

«l'Accessoire Ilote suivant le Principal»,

pour se justifier ultérieurement de la britichiante Prétention élisabéthaine :

«de Pareatis! -que vous Obéissiez

Mais comment donc faire obéir une Chose,

sinon en la manipulant en supposant sa Possession incluant son Consentement?...

 

Notre Vérité-Historique, était celle de subir le Joug d'une Subjugation déguisée frauduleusement «en Fédération-Démocratique» après la Conquête Militaire qui représente «de facto, le Fait» de la Dépossession du Territoire simultanément à la Réquisition Militaire de notre Dignité Humaine, et il s'ensuit comme on l'a vu cette double Dépossession à la fois Territoriale et Spirituelle par l'implantation «de Jure, de Droit» de «sa louche Légitimation judiciarisée» pour pouvoir s'en justifier. «Le Droit International Coutumier» d'antan, s'étant installé sur une longue période de temps «sans aucune Interruption, comme l'exige toute Coutume pour être reconnue en Obligation Légale», il nous faut donc maîtriser ces Notions juridiques de «l'ancien Droit International Coutumier» pour y mettre fin, car si nous entretenons «cette Coutume» il nous est prêté tortueusement «un Consentement Tacite» par interprétation fort restrictive d'Arbitraire qui s'affirme par la Proclamation Royale de 1921 de george V promulguant «les Armoiries caïnadiennes» qui se constituent en pitoyable Droit Constitutionnel du sournois Jugement par Contumace rendu par le «Royal College of Arms», qui est institué en Tribunal de Droit Héraldique se permettant de Notifier pour le garantir, ce piteux Titre de Possession Coloniale accomplie sur «le Fief du Canada», en capricieuse et arrogante Prétention élizabéthaine d'Intronisation «de Pareatis, que vous obéissiez!»

 

Pour ma part, je trouve absolument odieux que leur Volonté-Royale de Rois-Morts soit reconnue Judiciairement en Préséance sur notre Volonté-Contemporaine se voulant Évolutive en vain de nos supposés Décideurs, comme de la Nôtre, prise individuellement, du général-anonyme au particulier-désaffecté. Parce qu'un Mortel sait qu'il l'est et que la Mort l'absorbera tôt ou tard, mais il ne peut s'expliquer l'absence de Justification concernant sa Vie réduite à une intolérable Inexistence-Animalière de Brouteur qui végète au Point d'Eau exproprié par le Prédateur britannique, après avoir prouvé deux fois que la seule et unique Volonté de la reine victoria supplante non seulement la Mienne en regard de l'Unilatéralité de l'AANB de 1867, mais également notre Volonté-Collective, puisqu'il en serait encore ainsi «en dépit» d'un Référendum-Démocratique qui voterait en s'exprimant contre à 50%+1, et même s'il était gagné à 100% Unanime, il demeurerait dérisoirement «Facultatif», et non pas «Décisionnel», à l'antithèse d'une véritable Démocratie. Et cela est naturellement apeurant que ce Vide-Juridique aspirateur, de me savoir un Mort-Vivant en état de panique que l'on ne procède à mon Autopsie sans Anesthésie; -et il va sans dire qu'un Esprit-Sain cherche à comprendre par Instinct de Survie avant de rendre son Âme, à l'évidence Possédée par des Suppôts de Satan. Désireux de percer ce Mystère-Létal avant d'en crever, mon Enquête se solda en apprenant la Notion de «Jugement «de Pareatis», qui me fit piger notre Vente aux Enchères, en comprenant que la Cour-Martiale Suprême du Renvoi-Esclavagiste de 1981 s'était soumise à un tel «Jugement par Contumace» provenant du Tribunal de Droit Héraldique du «Royal College of Arms «directement sous l'autorité de la Couronne», en rappel des propos précités de Michel Pastoureau. Voyons comment se définit cette Notion d'une capricieuse Prétention belliqueuse qui représente notre Boulet de Forçat. Du Larousse de 1912, aux sections lexicale et de maximes latines, et qui fut édité exceptionnellement à Montréal :

 

«Pareatis, que vous Obéissiez!» -Formule qui rendait exécutoire les jugements en dehors du tribunal qui les avait rendus ou qui permettait de publier en France les bulles de Rome. Accorder le pareatis.»

 

«pareatis: (tice) n. m. (lat. qui signifie obéissez). Jurisp. Formule impérative qui rend les jugements exécutoires en dehors du ressort du tribunal qui les a rendus.»

 

Et encore, non repu de précisions, j'ai consulté mon «Bélisle», vieux d'une cinquantaine d'années, qui lui aussi «avait son Mot à dire» sur le Sens de ce terme:

 

«paréatis: (pa-ré-a-tis'. Lat. Pareatis, obéissez) n. m. Lettres de chancellerie par lesquelles le roi ordonnait l'exécution d'un jugement, dans un lieu qui n'était pas du ressort de la juridiction où ce jugement avait été rendu.» + Requête qu'un huissier présentait à un juge pour obtenir son ordonnance donnant pouvoir d'exécuter, dans l'étendue de sa juridiction, le jugement ou sentence d'un autre juge

 

Il faut reconnaître qu'il apparaît fort probable que cette sordide Notion Juridique est susceptible d'avoir trouvé son application par la Cour-Martiale Suprême du Renvoi-Esclavagiste de 1981, «d'obéir» en s'y soumettant «au Jugement par Contumace» du Tribunal de Droit Héraldique du «Royal College of Arms» d'élizabeth deux du «Amistad» de 1982, dont c'est la Juridiction de faire reconnaître les Prétentions aux Titres d'Intitulation de la Reine-Papesse en Conversion forcée sur ses Fiefs-Pontificaux...

 

Entendons nous! -en tant qu'Athée de votre Dieu-Yang de Phallocrates, je ne réclame assurément pas les Libertés gallicanes mentionnées auparavant, mais plutôt substantiellement, les Droits et les Libertés que me confère le Droit International Public dont je suis Créancier avec les Miens tout autant. J'irai s'il le faut jusqu'à me faire excommunier de la Théocratie protest-anglicane caïnadienne par sa Reine-Papesse qui honnira qui mal y Pense, comme ce Trickster de sa création, qui profane son Dieu et son Droit, simplement en suivant ce britichiant mode d'emploi de la Devise royale repris dans le Préambule de la Charte-Charia caïnadienne des hérétiques Dogmes protest-anglicans et arriérés arrangements biblico-rétro-adventistes, pour que s'applique instinctivement sa Sentence-Fatwa presque millénaire, et toute aussi extrémiste qu'une Fatwa musulmane!

 

***la Responsabilité de l'État

incluant l'ensemble de ses Agents, Ministres, Députés et Juges

 

En regard de la Responsabilité de l'État canadien en ce qui concerne l'Obligation onusienne de conformité de son Droit-Interne avec le nouveau Droit International Public, il en va comme pour tous les États-Signataires selon l'extrait suivant de Charles Rousseau qui tranche on ne peut plus clairement sur ce sujet d'éternelle discorde:

 

« 1- Elle s'applique à l'État fédéral, pour les actes illicites commis par les États particuliers. Des difficultés particulières se sont élevées à ce sujet autrefois, l'État fédéral manifestant une tendance naturelle à se soustraire à sa responsabilité internationale en alléguant l'impossibilité où il se trouve d'agir sur les gouvernements locaux des États membres. Mais la primauté nécessaire du droit international réduit à néant les objections tirées en cette matière du droit constitutionnel. L'État fédéral ne saurait, par la suite, arguer du régime spécial de répartition des compétences constitutionnelles pour échapper à ses obligations internationales, en l'espèce à l'obligation de réparer les dommages résultant des actes imputables aux États membres ». Re: sentence arbitrale rendue le 26 juillet 1875, États-Unis c. Colombie, dans l'affaire Montijo, un État fédéral ne peut se soustraire à l'application du droit international en invoquant l'insuffisance de son droit interne; c'est le droit interne qui, dans ce cas, doit être adapté au droit international, non le droit international au droit interne. » (Rousseau, Charles, Droit International Public, Dalloz, 1970; Chapitre II, sanction de l’exercice des Compétences, par. 110. –Responsabilité directe et responsabilité indirecte, pp. 104-107, p. 106)

 

Ici, concernant ce Litige, il faut préciser que l'État-Fédéral n'était pas contesté en tant que «Fédération-Légitime de sa Ratification», et qu'un État Fédéral même en 1885 sous le Bouclier-Belliqueux de «l'ancien Droit International Coutumier», se voyait tout de même contraint à l'Obligation de s'y conformer. Il faut donc en comprendre que non seulement cette Obligation subsiste intégralement, mais aussi qu'elle ne peut qu'avoir pris de l'ampleur sous l'Égide du «nouveau Droit International Public

 

***Pour y mettre fin à ce Cirque-Judiciaire, il fallait instruire la Population pour qu'Elle soit plus exigeante quant à la Démocratie qui lui est servie. D'abord, lui faire entrevoir par l'Abécédaire de l'Empathie élémentaire, que «le Fief du Canada» devrait prendre ses Engagements Internationaux dans la Bonne Foi, comme l'exige la Convention de Vienne sur le Droit des Traités à son article 31; soit, de la première Notion élémentaire de «L'Allégeance-Effective» au Droit International Public, à l'effet que jamais l'Acceptation-Tacite ne saura constituer un Consentement-Légal qui tienne «envers le Colonialisme et la Ségrégation Raciale et Sociale qu'il incorpore infailliblement», ce que vous explique autrement, mais très clairement, Milan Sahovic:

 

« Elle découle de la nature du droit international qui ne reconnaît que les obligations prises librement, sans contrainte. Le consentement des parties est, aujourd'hui comme autrefois, la condition majeure de la validité des obligations juridiques internationales.» (SAHOVIC, Milan, Influence des États sur la conception du Droit International, -Inventaire des positions et des problèmes, 1966, A.F.D.I., pp. 30-49, p. 34)

 

Pour ce qui est du «Droit à la Résistance Armée», qui est interprété comme le Principe de «la Légitime Défense», le même auteur, Milan Sahovic, nous affirme clairement qu'un État-Membre à l'ONU, ne peut pas perpétuer le Colonialisme en Droit Interne, et cela parce qu'en tant que Règles «supra-étatiques», les Résolutions Anticolonialistes se dressent au-dessus «du Principe de la Souveraineté des États», puisqu'Elles se fondent elles-mêmes sur la Charte des Nations Unies:

 

« Une conclusion est imposée par la Charte elle-même pour qui la lutte contre le colonialisme n'est plus une question interne aux pays coloniaux. » (Sahovic, Milan, Influence des États sur la conception du Droit International, - Inventaire des positions et des problèmes, 1966, A.F.D.I., pp. 30-49, (op. cit.) p. 43)

 

***Que l'on s'entende une fois pour toutes sur ce sujet, «la Légitime Défense» s'interprète juridiquement de la même façon «Universelle», exactement comme elle s'applique dans leur Droit Interne pour l'ensemble des États-Signataires du Droit International Public, qu'elle concerne une Personne seule ou bien toute ou en partie sa Nation d'Origine; parce que partout universellement et depuis toujours, «la Légitime Défense» fut reconnue en réaction considérée «Légale» par le Droit et la Jurisprudence.

 

La propension des Juges-Négriers caïnadiens de se pâmer devant la Jurisprudence des Juges à Moumouttes du Conseil Privé, m'avait incité à inclure cet extrait dans «ma Lettre-Plaidoirie de Juillet-2003» adressée à ce merdeux Juge-Ségrégationniste qu'est Yves Fournier-Carnavon, le fourbe, qui a insidieusement fait disparaître 56 minutes de Bandes Sonores de la séance du 12 février 2003, tout simplement parce que ma Défense était de nature Anticolonialiste. Comment diable ce trou’d’cul de Juge-Tordu expliquerait-il à Mr. Charkaoui, détenu sans Procès pendant deux ans sous l'autorité des Mandats de Sécurité alors légaux, que ma Lettre-Plaidoirie de Juillet-2003 envoyée par courrier recommandé, contenait des Menaces de Mort très explicites envers les Juges-Négriers caïnadiens à compter de 2010, en prévision des Parades Militaires pour fêter britanniquement le 250e anniversaire du Droit des Capitulations, et que suite à sa réception officielle, Yves Fournier-Carnavon ne m'a jamais dénoncé publiquement? -(après 10 ans, ce qui se constitue en acquiescement à se faire menacer et attaquer venant de cet ivrogne invétéré et invertébré, selon l'arrêt Jobidon de la Cour Suprême, en soulignant que depuis, ce dangereux boit-sans-soif a soufflé l'Alcotest deux fois à plus de .16), comme quoi il n'existait absolument aucune Égalité entre Mr. Charkaoui profilé Arabe, et moi-même, redouté en tant qu'Autochtone (dont la Sauvagerie est naturelle), lui châtié et moi impuni! Voici cet extrait éloquent lu par Yves Fournier-Carnavon, provenant des déclarations instructives des Juges-Lords du Conseil Privé dans l'arrêt Guibord:

 

« [...]it is to me clear that, according to English law, a man under unlawful restraint of his personal liberty at sea, as well as on shore, has a right to take life to free himself from such constraint on his personal liberty; and further, on the authority before cited, to use his master's or captor's property necessary to effect his object, that object being in itself not only a lawful, but a laudable object: this would seem to be the first law of nature, the right of self-preservation of liberty equally with life, wich is fully sustained by text-books and cases. » (In Re Guibord, [1874] Law Reports Privy Council (1873-1875), vol. VI, 157-220, 186)

 

Ainsi donc, même avant l'existence des 11 Chartes-Bidons du «Fief du Canada», la Loi anglaise et sa Jurisprudence-Intrusive reconnaissait «l'Instinct d'Auto-Préservation» comme un Droit Naturel du Droit Interne et du Droit des Gens (de l'ancien Droit International Coutumier reconduit par les Résolutions Anticolonialistes A/1514 et A/2625, sous l'égide de l'article 103 de la Charte des Nations Unies). Bien sûr, cette sage Jurisprudence livrée par Lord Selborne à la Postérité, fera en sorte que «la Légitime Défense» sera toujours «Légitimée et fort Louable», mais, strictement lorsque «le Bateau-Négrier» n'est pas de la Flotte victorienne laissée en héritage esclavagiste à élisabeth deux du «Amistad» de 1982, pour qui les Juges-Négriers reconnaîtront toujours «la légalité de la Légitime Défense», mais en autant que «l'Axe du Mal» qui est pointé soit d'ailleurs, comme l'a fait pour Saddam Hussein le président du Royaume-Uni étasunien, «george le Buisson aux deux yeux dans l'même Trou d'Cul en pleine face», et tout comme l'a fait Louise Arbour-Zundel, nous pointant les Talibans en tant qu'«Axe du Mal», pour mieux mettre «la Burka» sur la Vérité des Femmes Indiennes et de leur Descendance méprisées, et pour faire en sorte de continuer de profaner la Mémoire-Sacrée de Ceux et Celles qui sont disparues. Cette Poule de Luxe de la Basse-Cour élisabéthaine, aurait grand intérêt à lire «Le Respect» de Catherine Audard, dont voici un extrait merveilleusement mémorable:

 

«Le droit à la mémoire»

 

« Lorsqu'un régime d'oppression disparaît laissant derrière lui des crimes, la restauration de l'état de droit inclut, s'agissant du respect des personnes, le droit à la mémoire, c'est-à-dire savoir ce qui s'est passé et savoir en conserver le souvenir.

 

Savoir ce qui s'est passé, c'est connaître les actes, leurs auteurs et leurs victimes. Les actes d'abord: ils ont nom assassinats, tortures, génocide, déportations, emprisonnements, internements et traitements psychiatriques à des fins politiques, avilissement de la personne sous toutes les formes imaginées en notre siècle. Il faut nommer ces actes. Puis leurs auteurs: [...]

 

Les victimes: il existe un besoin social impérieux, une obligation morale intense de les identifier et de les nommer. Pourquoi? Afin d'éviter qu'elles ne sombrent dans la mer de l'anonymat et du nombre. [...] Cela vaut de toutes les victimes de toutes les oppressions, partout. Nul pays ne peut aujourd'hui être assuré d'avoir rempli intégralement cette obligation. Il suffit de penser aux stèles à demi amnésiques, aux commémorations inégales, aux «fichiers perdus et retrouvés, avoués avec malaise...»

 

Si le «révisionnisme» appelle ici une observation, c'est qu'il constitue une intolérable agression contre les morts, les survivants et la société toute entière. Son but est la profanation et la destruction de la seule tombe des victimes, qui est notre mémoire, et l'érosion de la conscience même du crime. Il doit donc être combattu.

[...]

Savoir ce qui s'est passé est une chose. S'en souvenir en est une autre, parfois plus difficile et douloureuse, non moins nécessaire. La plupart des tyrannies modernes ne se bornaient pas à régner par la terreur, la peur et le mensonge, beaucoup se sont aussi efforcées d'abolir systématiquement la mémoire collective, de réécrire le passé, en supprimant ou falsifiant des pans entiers de l'histoire du pays et de la conscience nationale.

 

C'est pourquoi il est si important de restaurer la mémoire: sa réhabilitation est la seule riposte à ce qui fut une tentative de mutilation de l'esprit de la société. À l'oeuvre des historiens, s'ajoute ici la parole des responsables politiques, irremplaçables à son niveau.

 

En définitive, la mémoire est la forme ultime de la justice et du respect des personnes. » (Audard, Catherine, France, 2002, Éditions Autrement, aux pages 160-161)

 

***Pour moi, toute la Persécution-Historique des Polémologistes est autant Raciste que Misogyne de «leurs Actes de Génocide», d'avoir légitimé les Bannissements des Femmes Indiennes par la Loi sur les Indiens, et qui ne furent pratiqués exclusivement qu’envers Elles dans la Pratique-Ségrégationniste des Séparations des Familles. L'Histoire parlait en Faits récurrents se prêtant à l'Observation empirique en définitive, à l’effet que peu importe le Tyran, tous «ses Actes de Génocide» et même le Génocide-Accompli, c'est-à-dire l'Extermination des Nations Autochtones ou dites Aborigènes, visait indubitablement davantage «les Femmes» que les Hommes de ces Nations. D'abord, en suivant ma Pensée, -«parce qu'il serait particulièrement «cyniquo-sadique» à la manière d'un sanguinaire Caligula, de prétendre qu'«autant les Femmes que les Hommes ont enfin trouvé «l'Égalité de Traitement» dans «la Mort», ce dont ils ne jouissaient pas de leur Vivant de Conquis» avant leur Extermination», et qu'on appelle communément «L'Égalité des Sexes»; -et parce que «la Réalité-Implacable» est que pour toutes ces Femmes comme pour toutes ces Personnes qui trouveraient ensemble la Mort par l'Extermination autant accomplie de façon Subite qu'à l'Usure de leur Peuple, il reste qu'ils doivent tous à une Mère de les avoir porté et mis au Monde, et lorsque les Enfants de ces Femmes sont tous tués, l'évidence parle d'elle-même, à l'effet qu'on visait bien plus les Mères qui leur ont donné la Vie, en risquant la leur!

 

Mais, il y a que les Arriérés-Misonéistes, irrémédiablement atteints de chronique Misogynie phalloctratique, et qui ne seront jamais que des pitoyables Traditionnalistes invétérés, sont évidemment exclus de ce genre de Réflexion de Port-Sélène, parce que ces Réflexions humaines leur sont par trop empathiques, d’être directement connectées à la Matrice des Mères de Clan qu’ils méprisent systématiquement, avec ces Réflexions humaines qui ne seraient donc appréciées vénérables qu'avec les Peuples Civilisés du Calendrier Lunaire qui adoraient autant des Déesses que des Dieux; par des Nations qui se dotaient intelligemment de Mères de Clan qui détenaient un véritable Droit de Veto sur le Droit à la Guerre des Chefs, dont le mandat était vitement écourté advenant que ce Mal-Venu n’avait pas tenu compte de leur Sagesse-Yinississime. En ce qui concerne l’ancien Pouvoir Étatique des Indiennes, bien que non généralisé, il était tout de même très susceptible de se répandre, comme il en est avec le principe de la Neutralité. Voici une citation qui atteste de l' existence de ces Pouvoirs jamais reconnus aux Troglodytes Européennes, toute Nation con-fondue, Filles du Roy-Soleil ou Plottes de la Queen des ténèbres de Greenwich, comme les Génitrices Colonialistes de la Commission Bouchard-Taylor des « Arrangements déraisonnables »:

 

 « Clan mothers select the fifty chiefs of the league. They can veto war decisions, initiate legislation, keep a separate formal council, and are empowered to remove chiefs from office by symbolically «knocking on the horns», a sometimes dramatic event that can be accompanied by the beating of the chief. » (National Geographic Society, Indian Nations of North America, 2010, p. 32)

 

C’est admettre finalement que ce genre de Réflexions humaines et de Comportements civilisés prévalait chez les Autochtones avant l’arrivée des Blancs, et n’a sûrement pas trouvé de Preneur Éclairé chez les Peuples ultra-machistes du phallocratique Calendrier Solaire du Dieu à 3 Pénis, parce que ces Attardés-Machistes ne verront jamais Ève qu’en sempiternelle Bouc Émissaire biblique, et par conséquent, ils n’auraient jamais acquiescé d’accorder de tels Pouvoirs Étatiques décisionnels à leurs Fûmelles venant tout juste de se libérer de leur ceinture de chasteté...ce qui a fait en sorte en conclusion, que l’exécrable Gynécocratie élizabéthaine s’avère être une Gynécocratie-Phallocratique héritée de ses Patriarches bibliques, comme en témoigne l'Exclusion des Indiennes de la Condition Féminine de l'Auto-Misogynie des vachardes Féministes javellisées Blanchardes, qui, éloquemment, n'ont aucunement remédié depuis 62 Ans à cette piteuse persécution occultée, conformément à ce qu’exige les prescriptions du Droit International Public, et cela, parallèlement au cruel Déni de Justice dans la Pratique-Ségrégationniste des Juges-Nazis caïnadiens qui contreviennent traîtreusement et outrageusement à ses sages Préceptes...

 

***Furax au max votre Amer-Indien, transmuté en Poète qui leur apparaîtra assurément comme un démentiel Mal-Plumé! Pour ma part, de mon Acêtre de la Anse de la Ève, je ne peux oublier venir d'une Famille comptant une bonne centaine de Petits-Enfants de la Descendance «d'une des Femmes de la Tour de N'Elles», une des Indiennes bannies et condamnées «sewellement» à l’intransmissibilité de leur Langue Maternelle et de leur Culture Tribale, et dont je recherche la Nation d'Origine avec mes Sœurs motivées d’autant d’acharnement, afin que notre Descendance Autochtone puisse connaître entièrement leurs Racines-Généalogiques éradiquées jadis par l'État-Forceps, -pour que nos Enfants puissent bénéficier honorablement du «Statut D'Indien», et qu'ils connaissent cette Reconnaissance prestigieuse par les Nations Autochtones de leur Ascendance et les autres Nations cousines, ce qui les sortirait définitivement de l'avilissant Anonymat-Métis, et ferait cesser définitivement ce qui n'est écrit nulle-part, mais qui existe de façon absolument Impitoyable et Outrageante, et qui est «leur Présomption de Bâtardise» à l'article 35 alinéa 2 de la Charte-Animalière caïnadienne, ce Sortilège ignominieux dont je les exorcise en Inversant égalitairement le Fardeau avilissant de l'Ignominieuse Présomption de Bâtardise, pour les en revêtir aussi longtemps avec leurs Génitrices dégénérées, et cette démarche monumentalement vindicative prévaudra en Invectives comminatoires égalitaires jusqu'à ce que s'en lassent définitivement les Bâtards de Politicards-Colonialistes et leurs Corniauds de Juges-Ségrégationnistes»...

 

En suivant ma Pensée d’Avoué-Affidé du Complot pour obtenir la reconnaissance tardive de ma Dignité-Humaine ainsi que Celle des Miens, et par conséquent, obligé au Duel Judiciaire de l’Accusé qui accuse, je me dis résolument qu'il fallait absolument «obliger ces Merdeux-Colons à ne prendre leurs Décisions saugrenues qu'en ce qui concerne leurs Fûmelles bâtardes et leur Portée de Rejetons débiles». Car je crains pour ma Descendance, l'Encodage-Génétique dans leur Plasma de la Tare-Génétique des Tarés anglo-saxons trop belliqueux de leur multitude de Guerres sur un Millénaire, pour Coloniser de façon Universelle notre Humanité, et partant, des Conséquences désastreuses sur ma Descendance de la Proximité menaçante de cet Empire de Colons anglo-saxons secondés de leurs très dociles Cooperators French-Canadians Pea-Soup of War as well as UN's Democracy.

 

Parce qu'en résumé de 6, 000 Ans de Décadence Biblique, après avoir subi la Domination des Germains, des Romains et des Normands, la souveraine et le PM des anglo-saxons se conduisent tout comme le PM d'Israël, qui se complaît en tant que Pharaon des véritables Peuples-Élus de Dieu, qui sont en fait les Palestiniens et les Cijordaniens et les Autochtones du Monde entier, et ils se rabaissent de cette pratique barbare après avoir été persécuté par le Colonialisme sur plusieurs millénaires, avec les autres Envahisseurs, sinon à leur tête, n'auront su par la suite que le répandre pour en-cloisonner notre Humanité dans la Débilité d'un Temple dont les Murs sont autant «de Murs des Lamentations». Un Raisonnement Creux, de la Lacune-Cérébrale dont l'espace est entièrement occupé par «leur Raisin-Amygdalien», puisqu'en primitive Réflexion du genre tout à fait «simiesque»: «j'ai subi le Colonialisme et la Ségrégation qu'il incorpore, -donc, en toute ÉGALITÉ: -que le Monde entier les subisse en Mondialisation de l'Inféodation en-neworldée! -selon mes Vœux mégalomaniaques, –pour la Quadrature du Cercle étant le Globe Terrestre.»

 

Au Juge-Nazi Claude Millette-Zundel, j'ai même tenté de préciser en vain mon Objection à l'encontre de l'«Auto-Absolution» du Judiciaire-Despotique quant aux Séparations des Familles Autochtones à considérer en tant qu’Actes de Génocide. C'était normal que je soulève mon Objection de Conscience, en songeant que lors du Procès de Nuremberg de 1946, la Cour Internationale de Justice avait établi «le Précédent-Judiciaire» de la première Reconnaissance des Séparations de Familles Juives» sur les Quais des Gares par la Gestapo jugées en tant qu'«Actes de Génocide». Et pour ces Nazis, l'Argument fort douteux du Devoir d'Obéissance de tout Soldat envers un Supérieur de sa Hiérarchie Militaire fut rejeté par la sage et savante Cour Internationale de Justice.

 

Et voilà que dans «le Fief du Canada», pour les mêmes Actes de Génocide des Séparations des Familles Autochtones, le port de la Toge plutôt que l'Uniforme disculperait les Juges-Nazis caïnadiens, qui eux seraient liés «par un Devoir d'Obéissance à leur Hiérarchie de Cours-Martiales selon la stupide règle du «stare decisis». Autrement dit dans le Droit-Colonialiste Interne, «les mêmes Actes de Génocide» sont rendus louchement justifiables, d'avoir été Judiciarisés par des Toges-Nazies qui ne portaient absolument pas l'Uniforme, mais qui, tout autant que les Nazis, sont des Adeptes-Accros de la même Idéologie antipathique des Principes-Racistes des articles 34 et 35 de l'Acte Général de Berlin de 1885.

 

L'indomptable Trickster que je suis s'était convaincu m'être «royalement trompé de Stratégie Judiciaire, en faisant Témoigner ma vielle Mère octogénaire en 2005 devant le Juge-Négrier Claude Millette-Zundel, grâce à qui Elle devra sans doute mourir dans «la Présomption de Bâtardise «des Bardots-Métis», et surtout en pensant à l'affaire de M'sieur-Dame Anglesberger, me faisant comprendre ma grave erreur d'avoir exécuter : «ma Plaidoirie de façon Orale, -plutôt qu'en tournant le dos à la Justice comme elle le fait pour nous, en me descendant le pantalon sur les chevilles tout en mettant mon Siège en Jeu comme Ti-Pète, bien penché en m'écartant les Fesses des deux mains en les manipulant vigoureusement, pour ainsi pouvoir maximiser toute l'éloquence de ma Plaidoirie-Anale afin de séduire cette Justice-Sodomite tout de Go “Ye! Ye!” «more and more pour Ti-Pète» qui pète, brète, s'encroûte: et Proutte!» De là, j'en avais conclu cyniquement de ce qui s’infère de ma Saga-Judiciaire: qu'«afin de rencontrer le Critère-Hébraïque des Juges-Négriers caïnadiens, pour faire reconnaître en tant qu'Actes de Génocide «leurs Séparations des Familles Autochtones», et par conséquent, en tant que «Crimes «Imprescriptibles» contre L'Humanité», que j'aurais dû, pour attendrir Claude Millette-Zundel devant «sa fucking Buy-Bulle» de Faux-Prophètes, de feindre ma Conversion à leur Bible burlesque en me ridiculisant pour satisfaire «le Critère hébraïque » du Droit-Colonialiste Interne», soit en m'habillant sur mesure «en rabbi Jacob» qui soudainement, se dandine frénétiquement de la danse Saint-Guy, tout en me faisant aller débilement les Couettes devant le Mur de la Salle d'Injustice déterminé par le Juge-Nazi pour être le Mur des Lamentations. Nazis et Juifs à la fois, un curieux hybridisme chez nos Juristes anglo-saxons de l'anglo-franchouillardise...

 

Plus sérieusement, de réalité vécue, en tant que Membre d'une Famille dont la Branche-Maternelle n'illustre qu'un Clan décimé de ne compter que «des Victimes d'Actes de Génocide», je n'ai pu manquer de noter que la Loi du Silence judiciaire permet de poursuivre la Persécution-Historique par «Omission-Négative» plutôt que par «Commission-Positive», comme avant l’arrêt CANADA contre Mme Sandra Lovelace devant la Cour Internationale de Justice en 1989, mais qui engage toujours «votre Responsabilité Criminelle par négligence», du fait de cautionner la Léthargie-Législative hyper-chiche de Réparation à la manière des Excuses-Bidons d'Adolf Harper en 2008, puisque «cette Omission-Négative» persiste «à séparer encore des Familles en empêchant sournoisement leurs Retrouvailles»; comme si les termes de «Prévention» et de «Répression» du titre de la Convention pour la Prévention et la Répression du Crime de Génocide de 1951 ne voulaient absolument rien dire; comme si les termes des articles 23 et 27 du Pacte relatif aux Droits Civils et Politiques étaient également Vide de Sens, ce que je dénonce afin que la Population en prenne Connaissance et se sensibilise à la Rubitude, et afin de lui signaler que dans la Colonie caïnadienne ces Règles ne veulent absolument rien dire, puisqu'il s'agit de Droit International Public auquel ne se sentent pas lier les Juges-Négriers caïnadiens au point d'en être allergique depuis plus de 60 ans:

 

Pacte relatif aux Droits Civils et Politiques,

 

article 23(1): «La Famille est l'élément naturel et fondamental de la Société et a le droit à la protection de la Société et de l'État

 

Article 27: «Dans les États où il existe des minorités ethniques, religieuses ou linguistiques, les personnes appartenant à ces minorités ne peuvent être privées du droit d'avoir, en commun avec les autres membres de leur groupe, leur propre vie culturelle, de professer et de pratiquer leur propre religion, ou d'employer leur propre langue».

 

Quant à moi, j'ai bien noté que les 3 Instances-Judiciaires requises dans le Droit-Colonialiste Interne avant d'accéder devant la Cour Internationale de Justice en 1989 dans l'arrêt CANADA contre Mme Sandra Lovelace précité, totalisaient bien 13 Juges-Ségrégationnistes sur 13 en dépit des 11 Chartes qui, dès lors, «victimisent» plus de leur inconsistance qu'elles ne protègent effectivement, de n’offrir que des Droits-Fictifs et des Libertés-Virtuelles. Ça me prouvait la persistance d’une Mentalité-Tarée, d’une Société en Décadence puisque cette Mentalité-Haineuse pré-existait déjà lorsque la Colonie caïnadienne n'avait que deux ans en 1869, cette Mentalité-Raciste se retrouvant comme nous l'avons vu dans les propos Racistes du juge Loranger à l'endroit des Coutumes Matrimoniales Indiennes et de «Suzanne la Sauvagesse» et « Suzanne oas de nom », selon qu'il l'appelle, et dont les Enfants étaient irrémédiablement «des Bâtards», de ce fait de provenir «d'une Sauvagesse», selon les déclarations du Juge-Négrier Loranger qui s’est présenté comme le seul Dissident dans l'arrêt John Connolly de la Cour du Banc de la Reine en 1869. Et, de «ce Cliché jurisprudentiel de 1869 à l'autre de 1989»...

 

Du Constat aberrant de « virage à l'extrême-droite » ressortant de ces deux Clichés-Judiciaires, j'en conclu que la Justice victorienne était néanmoins plus Humaniste que l'Élisabéthaine, en considérant l'arrêt John Connolly de 1869, avec un seul dissident Raciste pour une majorité de 4 sur 5, même sans Pacte-Fédératif ni aucune Charte des Droits et Libertés à cette époque, et évidemment, sans le Droit International Public ni la Charte des Nations Unies, démontre qu'elle offrait tout de même une Justice d'Équité composée à 80% de Juges Démocrates et Humanistes. Par contre, de l'autre Cliché-Judiciaire de l'arrêt Canada contre Mme Sandra Lovelace, rendu  en 1989 devant la Cour Internationale de Justice, je perçois en contraste alarmant que cette Mentalité-Raciste a dégénéré jusqu'à la Décadence la plus crasse, puisqu'en 1989 avec leurs 11 Chartes-Bidons, il s'est produit que 13 Juges-Nazis sur 13, pour 100% d'une Magistrature-Ségrégationniste, se sont retrouvés gros Jean comme devant devant la Cour Internationale de Justice dans l'arrêt CANADA contre Mme Sandra Lovelace. La Charte-Animalière caïnadienne ayant été mise en vigueur en 1985, les Juges-Nazis caïnadiens, du fait de contrevenir au Droit International Public, contrevenaient donc également depuis 4 ans à leur propre Charte-Bidon des Droits-Fictifs et des Libertés-Virtuelles. D'abord, à l'article 28 pour «l'Égalité des Sexes», en ne bannissant de leur Milieu de Vie que les Indiennes exclusivement, ainsi qu’à l'article 15 pour l'Égalité-Générale, par leur Traitement différent envers les Métis qui sont leur Descendance; et encore doublement persécuté dans le Traitement différent puisque seuls les Métis par la Branche-Maternelle ignorent leurs Racines, en regard de leur Nation d'Origine, et, par absence d’Immersion, ignorent également leur véritable Langue Maternelle; et de même, ces 13 Juges-Nazis sur 13 étaient-ils Tous en Contravention à l'article 52 de la Charte-Animalière caïnadienne, en jugeant de façon à ce que la Charte canadienne soit «Inconsistante» à elle-même,  puisque son article 27 englobe toute votre Jurisprudence-Ségrégationniste. Et toutes ces Privations, sans déroger nommément à nos Droits et Libertés, comme l'exige l'article 33 de cette Charte-Chimérique caïnadienne.

 

-la Victoire « post mortem » mégalomaniaque  de victoria :

« la Négritude » de l'Amérique africanisée en Rubitude

jusqu'à élizabeth deux du «Amistad» de 1982

 

Combien de pauvres Gens leurrés à leur Insu par le Droit Héraldique qu’il leur est interdit d’apprendre semble-t-il, de me voir contraint d’importer des livres d’Europe pour m’en instruire, pendant que ces Ilotes élisabéthains dégringolaient par le fait même de cette Censure de la Vérité dans l'Infantilisme dégradant de l’avilissant Bestiaire-Constitutionnel «des Armoiries caïnadiennes» de la Proclamation Royale de 1921, qui légalise outrageusement «le Titre de Possession Coloniale élisabéthain en Méga-Clause privilégiée la favorisant» pour notre Perte, par ce Refus injustifiable de nous reconnaître la Dignité-Humaine ainsi que notre Libre-Arbitre concernant notre Épanouissement-Optimal qui est conditionnel à la Mainmise sur nos Potentialités, bien évaluées pour mieux les faire croître?

 

Jusqu'où cela pouvait dégénérer un tel Scénario si macabre de la Complicité d'un Judiciaire-Dictatorial, auto-programmé en Acteur-Compulsif débilement «mnémo-stockholmisé» en Geoliers de leur Auto-Séquestration frenchpeasoupienne de Juristes-Losers, de la Reconduction de la Persécution-Historique dans la Ségrégation autant raciale que sociale concernant les Natifs et leur Descendance autant animalisée? Parce qu'en définitive, en appliquant la Loi sur les Indiens, c'est la la Magistrature elle-même par sa Jurisprudence,  qui a effectué «les Séparations des Familles Indiennes», et qui a occasionné le Saccage des Arbres Généalogiques de la Branche-Maternelle exclusivement, comme elle est la Cause de la Dévastation dans les Personnalités-Juridiques occasionnant une Crise Identitaire et Culturelle qui ravage les Autochtones; ces semailles de déprime et de désœuvrement d'un laisser-faire en Lien-Causal avec la récolte macabre du plus haut taux de Suicide de la Colonie caïnadienne. Et ce Déni de Justice revenait à une Abdication du Judiciaire-Dictatorial de juger en toute Justice en conformité du Droit International Public, surtout lorsque l'on se donne de pratiquer «l'Omerta-Judiciaire» comme Louise Arbour-Zundel, en Manigance comploteuse pour compléter l'«Auto-Absolution» des «Crimes «Imprescriptibles» contre L'Humanité» commis par Injustice-Canada. Une Persécution-Historique qui est d'Origine Législative militaire du Droit des Capitulations, judiciairement «récapitularisé» par le Judiciaire-Dictatorial du Renvoi-Esclavagiste de 1981, donc, par «les Véritables Séparatistes» que sont «le Parlement-Colonial d'Ottawa» et sa Magistrature de Juges-Négriers qui se sont appliqués depuis toujours à briser «L'Âme-Métisse» depuis la Pendaison de Louis David Riel, dont la Mémoire est profanée de sa nommination « post mortem » de «Père de la Confédération», par les héritiers de ceux qui ont tout fait pour le pendre.

 

Mais ce faisant, en s'acharnant aveuglément sur «le Premier Melting Pot», il en a résulté que c'est « le canadian-soul from Higher-Canada » qui se contaminait avorté dans «L'Oeuf battu en omelette», de sa propre manie de fonder son Pouvoir-Étatique sur «la Bipolarité-Haineuse», qui semble bien un Mal-Incurable chez les Dirigeants anglo-saxons, si britichiants de leur traditionnelle médiocrité «rétro-gardiste». Parce que: «Diviser pour Régner», ne saura jamais être un Principe Rassembleur», qui serait susceptible de faire naître ce qui a été avorté dès la Capitulation, d’être totalement incapables de Bonne Foi, s'empêchant eux-mêmes de tisser «L'Âme de la Nation» qui nécessite d’apprécier les Distinctions et donc, l’Originalité, plutôt que de valoriser l’insignifiante Uniformité de la Pensée-Unique par le fait d’un Judiciaire-Dictatorial de devenir lui-même «le rouleau compresseur du Kolkhose» mentionné par le juge Jules Deschênes dans l’affaire Quebec Association of Protestant School Board précitée, à la page 11 de ce document. Voyez ce qu’en dit Rush W. Dozier:

 

« Toute stratégie visant la création d’une entité nous/nous doit être gérée par le système nerveux évolué, et non par le système nerveux primitif. Le but est de reconnaître que l’humanité est composée de nombreux groupes, mais que les membres de chaque groupe sont de nature humaine, nature qui ne peut être ignorée ni réduite à un stéréotype. Bien qu’un individu ou un groupe puisse avoir tort, et même commettre des actes de barbarie, aucun être ne devrait jamais être déshumanisé. La déshumanisation tend à anéantir le système nerveux évolué, qui permet la réaction la plus efficace à un adversaire impitoyable. Quant à la haine primitive, elle pousse celui qui en est infecté à commettre des actes barbares. L’optique nous/nous vise l’élimination de la haine, mais non celle d’un conflit ou d’un désaccord, qui peuvent servir un objectif utile tant qu’ils proviennent du système nerveux évolué. En fait, toute opposition de principe guidée par la raison constitue une stratégie indispensable pour débattre de questions importantes et pour trouver des solutions astucieuses. » ((op.cit.), Dozier, Rush W., La Haine: Comprendre et éliminer la haine, 2003, les Éditions de l’Homme, page 288)

« […] Tout système de sens qui glorifie l’agression et le pouvoir est susceptible de neutraliser les forces qui favorisent la création des liens nécessaires pour arriver à une entité nous/nous. Lorsque le système nerveux primitif domine des facteurs de motivation comme le patriotisme, le nationalisme, la fidélité à un parti et l’esprit d’équipe, il en résulte un sentiment du « nous » très vif mais associé à une grande intolérance, car ce sentiment se développe au prix de l’élaboration d’un « eux » stéréotypé. »

(id. supra, Rush W. Dozier, (op. cit.),  p. 289)

 

Pour l'Amer-Indien au Casino des Dés abusés, le Premier Melting Pot, était à l'Origine composé de la Race Blanche avec la Race Indienne, et il n'était pas exclusivement Francophone, il était aussi Anglophone; et pourtant «L'Harmonie-Sociale» régnait sans leur satanique Harpe-Biblique rendue une Harpe-Héraldique, parce qu'il apparaît de «L'Histoire», que la Tolérance était d'abord et avant tout une Vertu Familiale, puisque la Réalité-Historique est à l'effet que fort peu de Vieilles Familles canadiennes peuvent soutenir qu'après deux siècles et demi, elles ne comptent aucun Métissage avec une Nation Indienne ou une autre Nationalité. Alors, d'où venait le Mal? -il ne pouvait pas venir simplement de ce qui démarquait les Personnes, comme par exemple la Race, la Langue, les Coutumes et les Croyances, etc. Non! L'Histoire est Claire! -les Races s'étaient unies naturellement et le Respect des Différences prévalait dès l'arrivée des Français, et ainsi subséquemment avec les Anglais de la Population qui s'étaient également Métissés et qui formaient Tous-Ensemble «la Nation Métisse» de Louis David Riel et de Gabriel Dumont. Il n'y avait donc pas encore eu de Tensions Raciales ou Linguistiques s'avérant propices à répandre le Racisme. D'où venait-il alors ce Racisme corrosif? -sinon de la Cupidité de Posséder le Territoire, « la Valeur Immobilière » dont est si friand le Conquérant britannique en Ruée vers l'Ouest depuis 1760 jusqu’au règne de victoria, la Bâtarde de Législatrice-Léopardienne saxonne de l'Unilatéralisme indiscutablement Colonialiste de l'AANB de 1867, dont a hérité sans aucunement s'en gêner élisabeth II du «Amistad» de 1982, en primitive Troglodyte du Troisième Millénaire.

 

C'est à cause des Juges-Négriers caïnadiens que je restais dans les Ténèbres en regard de ma Personnalité-Juridique, me heurtant à leur mafieuse Loi du Silence se traduisant en insidieux Déni de Justice en regard de «leur sournoise Pratique Ségrégationniste» qui m'empêchait, moi et ma Famille, de nous Connaître en Substance, ainsi que toute notre Parenté connue intégralement, sans aucune restriction de la part des Politicards-Colonialistes et de cette Magistrature immonde de sa Complicité unanime. Comment s'expliquer que notre Quête n'aboutissait pas, de pouvoir dire à notre vieille Mère nonagénaire, ainsi qu’à une centaine de Petits-Enfants de Luce Ouellet, notre Grand-Mère de la Branche-Maternelle: «voilà, nous sommes des Autochtones de Telle-Nation du côté de la Branche Maternelle, vous pouvez dorénavant changer «votre Statut Anonyme et d'autant plus dégradant de «la Présomption de Bâtardise des Bardots-Métis», pour acquérir enfin ultimement «le Statut d'Indien» sans Interférence-Étatique incluant le Judiciaire, et ainsi, pouvoir apprendre «notre véritable Langue-Maternelle» en renouant avec notre Famille, tout en pouvant vivre enfin dans notre véritable Milieu de Vie, ce qui n'aurait absolument jamais dû cesser d'être, que cette Épuration Raciale s'implante «intra-tribale», au point d'être jaugé à la baisse par beaucoup de Natifs d'être privé du «Statut d'Indien»?

 

Quel outrageant Fardeau de Preuve inique d'arbitraire, après que l'État-Forceps ait chamboulé vos Racines Généalogiques, d'avoir à lui prouver que vous êtes, comme il est exigé aux Descendants des Mi’kmaqs et des autres Nations Indiennes au Royaume-Uni étasunien, d'établir au moins 25 % d'Ascendance Autochtone pour être reconnu comme tel, mais sans pour autant jouir effectivement du Statut d'Indien et de vos Droits ancestraux; et en double calamité, tout en établissant par le fait même que vous êtes à 75 % un Quarteron Bâtard sinon un Octavon dégénéré, un « Mix-Blood and therefore Half-Breed », un Sang-Mêlé à Demi-Engendré comme un Rejeton, une Fausse-Couche ambulante; ce qu'aucun Indien Civilisé n'a jamais demandé à aucun Blanc, que d'exhiber son Pedigree de Pure-Race, d'Européens nouvellement débarqués, et qui s'autorisent de baptiser les Natifs en les dégradant d'Épuration raciale, eux qui ont oublié trop facilement après l’avoir tant fait subir aux Autres, avoir subi eux-mêmes d'innombrables Droits de Cuissage du Grand FUCK, de Fornication Under Consent of the King; pour faire perdurer une Persécution insidieuse orchestrée par l'apposition des Armoiries caïnadiennes de la Proclamation Royale de 1921 sur la Charte-Animalière caïnadienne, dont le blasonnement comprend le terme «Fief», qui signifie étymologiquement «Bétail», qui beugle, bêle, hennit et coasse à qui mieux mieux...

 

Vous comprenez maintenant, n'étant pas un merdeux Juriste caïnadien-français, que cela m'offusque que les britichiantes Armoiries caïnadiennes soient apposées en Réquisition Militaire de notre Droit à notre Vérité, à notre Droit à la Mémoire, indissociable de cette Vérité, elle-même liée intimement à notre Dignité-Humaine d'Autochtone, subtilisée pour mieux se faire dégrader de la présomption de Bâtardise des Bardots-Métis, dans le cercueil de la Rubitude, à l'alinéa 2 de l'article 35 de la Charte-Animalière caïnadienne. C'est ignorer stupidement ce que signifie le verbe blasonner, «caractériser en bien ou en mal, quelqu'un ou quelque chose», selon le Glossaire des Oeuvres complètes de Rabelais, 1976, Suisse, Éditions Famot. Nul Juge ne peut contraindre un Accusé de réfuter des Notions véridiques vérifiables, sans pratiquer insidieusement une Lobotomie-Judiciaire, afin d'uniformiser la Pensée-Unique, en Conversion-Œcuménique épiscopalienne pour l'Écume-Ethnique de la prétendue Treizième Tribu des Peuples Élus de la fucking Buy-Bulle des Colonialistes «hébraïco-sioniste», les soit-disant Goddamites, en tant que primitive Tribu des Réducteurs de nos Têtes...secondés par leurs Collaborateurs frenchpeasoupiens, en Juristes-Réducteurs de leur propre tête de Bétail, comme de celle de leur fûmelle et de leur portée de p'tits moutons passerellistes qu'ils animalisent passionnément...

 

Question Juridique à esquiver, d'être trop embarrassante

 

Pourquoi (au risque de me faire scalper), aucun Procureur n'a-t-il poursuivi les Mohawks en 2009, pour avoir banni hors de leur Réserve les Blanches mariées à un Indien, mais sans Statut d'Indien, pour Elle-même et leurs Enfants, dénigrés par cette odieuse Épuration raciale? -sinon que c'est leur propre Culpabilité qui engendra la Retenue-Arbitraire du Judiciaire-Despotique en 2009, de ne pas accuser les Mohawks d'«Actes de Génocide» pour l'Expulsion de leur Réserve des Blanches mariées à un Indien, de peur de se faire reprocher «les mêmes Actes de Génocide» pour le Bannissement des Indiennes mariées à un Blanc ou à un Indien provenant d'une autre Nation. Et toute cette funeste Démission de Justice-Inique, commise par un Judiciaire-Ségrégationniste à demeure, qui croit stupidement pouvoir nous forcer à participer lâchement en merdeux pea-soup dans sa Profanation-Ignominieuse de la Vérité des Indiennes et de leur Mémoire-Sacrée; justement parce que ces Juges-Nazis se rappellent de leur Jurisprudence impitoyable de Discrimination arbitraire, qui s'est acharnée exclusivement sur les Indiennes et leur Descendance d'Enfants du Clan des Obrizés de «ces Femmes de la Tour de N'Elles», qui furent cruellement contraintes à l'assimilation «sewellienne» de l'Intransmissibilité de leur Culture en tant que Mères de N'Elles et de N'Ils...

 

Vous, Juristes-Réducteurs de nos Têtes et de nos Mémoires comprimées, vous ne pourrez jamais nier ces Actes de Génocide, ni les Stigmates Sociaux que vous reconduisez impitoyablement en toute Préméditation, ni encore moins en éluder la Responsabilité Criminelle, en osant prétendre à l'Impunité en pratiquant «l'Auto-Absolution», comme autant de Ponce Pilate, de Barrabas et de Judas sous la même Toge romaine, se souhaitant garder Vierge votre hideuse Image d'Irréprochabilité de la Justice; car elle est entachée par votre indéfectible adhésion au Droit International Coutumier de Magistrature-Ségrégationniste abonnée à la Jurisprudence-Législative d'une mafieuse «Common Law» de «votre Judge-Made-Law de Juges-qui-font-la-Loi» louchement borgiaque du «Patrimoine-Matricide des Cultures Autochtones», à promouvoir, maintenir et valoriser «en Hors-la-Loi» du Droit International Public depuis plus de 60 ans, à poursuivre selon l’invitation à la Ligne de Parti de l'article 27 de «votre Magna-Charia protest-anglicane rétro-adventiste», dans votre antique Rituel-Polémologique lors des Avis-Favorables et des Renvois d'Ascenseurs adressés à la Cour-Martiale Suprême, et qui selon moi, sont l'équivalent d'autant d'Abdications du Pouvoir-Exécutif jeté à la poubelle de l'Arbitraire d'un Judiciaire-Tyrannique, en contravention totale du principe voulant qu'«un Pouvoir délégué ne peut être redélégué», tel que déclaré dans In Re the Initiative and Referendum Act, Appeal Court,  page 935, de 1919, de la Cour-Martiale Suprême, qu'il ne faut suivre que lorsqu'elle contrevient au Droit International Public.

 

Il fallait permettre «la Paix-Sociale», et j'ai bien noté que Rush W. Dozier dans «La Haine: Comprendre et éliminer la haine», propose  pour ce faire l'Excuse, la Demande Sincère de Pardon, préalable à une Réparation efficace autant qu’il soit possible d’être accomplie de Bonne Foi. N'est-ce pas ainsi qu'a procédé le Pape Jean-Paul II, pour s'excuser des Torts de son Église, aussi, c'est ce qu'il suggère:

 

« L'une des meilleures stratégies pour désarmorcer les antipathies de longue date consiste à présenter des excuses sincères. Il s'agit là d'une première étape dans le processus de réconciliation et dans l'instauration d'une empathie réciproque. Présenter des excuses favorise la disparition du sentiment de menace, met fin à la fixation sur les Injustices passées et crée une atmosphère propice au pardon et à la réconciliation. [...] Mais pour avoir un tel effet, les excuses exprimées doivent être sincères. Or, il n'est pas toujours facile de faire la preuve de sincérité dans un climat de scepticisme et de suspicion. Le pardon, l'empathie et la compréhension requièrent non seulement la réconciliation, mais aussi la justice. » (Rush W. Dozier, La Haine: comprendre et éliminer la haine, 2003, Éditions de l'Homme, page 300)

 

De ma collection de citations humaniste, un véritable bijou littéraire dans ce long extrait d'un très beau texte de Catherine Audard, qui est l'auteure de ce merveilleux livre qui m'a emballé, «Le Respect», écrit par une Femme-Humaniste, et qui nous propose une interprétation éclairée de cette Résistance en Manifestation de la part d'un Citoyen, en l'occurrence de Julius Tomin, un Philosophe de nationalité «Tchèque», et nous partage en même temps la Réaction en Contre-Partie de la part de l'État-Oppresseur qui se sentait menacé par la Dissidence de Julius Tomin. Voyons ce qu'elle exprime sous ce sous-titre qui est révélateur à mon avis de ce que «l'État-Forceps et ses Juges-Négriers caïnadiens nous nient avec autant d'acharnement que «la Dignité-Humaine» et le Droit à la Mémoire, et qui s'avère être le Droit Légitime de:

 

«Vivre dans la Vérité»

 

« Ce que vous apprend ici la dissidence, c'est la force de cette fragilité, de ce «pouvoir des sans-pouvoir », pour reprendre à nouveau une expression de Havel. Telle est la source de la peur du régime. Une telle initiative n'est pas purement individuelle, elle ne peut être rejetée comme une revendication subjective et arbitraire. Elle émane, au contraire, d'un principe universel qui lui donne sa force. Elle énonce un droit, droit de se réaliser selon ses normes et ses potentialités, ainsi qu'un devoir vis-à vis de soi-même et de la communauté, le devoir de respecter ses potentialités et de les développer dans la mesure du possible. Alors que le régime voulait faire croire à la marginalité du comportement des dissidents, en diffusant des rumeurs sur leur santé mentale ou sur le caractère élitiste ou asocial de leurs demandes, la lettre de Tomin était écrite par un individu, certes, mais qui parlait au nom de tous, au nom de l'«humanité», pour reprendre le vocabulaire kantien, et qui demandait non des avantages ou des privilèges, mais la possibilité pour cette humanité de se respecter elle-même.

 

Cette lettre de Tomin nous place au coeur même du projet démocratique et nous rappelle la place centrale qu'y occupe le respect de soi, non seulement de soi comme être unique et irremplaçable, mais de soi comme sujet de droits et de devoirs. »

 […]

« La réponse des collègues britanniques, français, canadiens, américains, hollandais, etc. de Julius Tomin est, elle aussi révélatrice de la «politique sans politique» au sens de Havel et d'une vision de la démocratie où le respect de la «vérité» de chacun joue un rôle essentiel. » ((Audard, Catherine, France, 2002, Éditions Autrement, pp. 180-181; les italiques sont de C. Audard) 

 

Venant d’un Natif de l’indigeste Rubitude et de l’outrancière Subjugation britannique qui perdure, ma Vérité est néanmoins Celle de Chacun, simplement de vous la partager; mais Elle ne vous concerne vraiment que dans la mesure où vous sortirez de cette lecture plus sensibilisé sur la Condition d’Autochtone, et dès lors, plus préoccupé des ravages de la Rubitude, plus apte et enclin à l’adoucir, et nécessairement Certain de votre propre Humanité d’avoir pratiqué véritablement L’HUMANISME épanouissant des authentiques Praticiens des Sciences-Humaines, en Manifestations enrichissantes d’Évolutionnisme d’un Mieux-Être onusien qui nous est indiscutablement dû depuis plus de soixante ans.

 

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Liste-Noire des (16) principales contraventions au Droit International Public, commises sournoisement, mais néanmoins commises de façon dictatoriale par la Magistrature caïnadienne depuis plus de 60 ans, et qui reste indifférente à leurs effets néfastes. «Sournoisement et de façon dictatoriale», parce que toujours en outrepassant despotiquement leur prétendue Compétence Judiciaire, et sans jamais minimalement déroger nommément à chacune de ces Règles contournées despotiquement pour se faire vider mafieusement de leur teneur Supra-Étatique:

 

1- à la Convention de Vienne sur le Droit des Traités de 1969, chap. 5, pour le Vice de Consentement originel à l'AANB de 1867, et qui rend autant le Renvoi-Esclavagiste de 1981 totalement Illégal.

 

2- à l'article 103 de la Charte des Nations Unies, pour avoir fait prévaloir l'ancien Droit International Coutumier, au détriment du principe de la Sagesse Supérieure de la Loi-Postérieure qui est Celle du Droit International Public, et en privant presque tous les Citoyens canadiens de toutes leurs protections évolutionnistes.

 

3- à la Résolution Anticolonialiste A/742, sur le caractère non-autonome du Territoire, occulté en prétendant «dé-britanniquer» l’Acte de l’Amérique du Nord Britannique de 1867 pour l’appeler hypocritement et dérisoirement la Loi Constitutionnelle de 1982 pour la faire paraître faussement indépendante, souveraine, moderne et démocratique; mais, d’une Colonie canadienne en Courbette d’Impétration vassalique d’avoir piteusement quémandé la Permission de son Rapatriement à sa Mère-Patrie, l’angleterre.

 

4- à la Résolution Anticolonialiste A/1541, sur la présomption de dépendance étrangère, en l'occurrence de la monarchie de l'angleterre, qui est demeurée ce qu'elle était, sempiternellement une Oligarchie Colonialiste de son incorrigible Instinct de Prédateur «des Points d’Eau» des Nations étrangères, et qui sont généralement appelés «des Oecoumènes» en Géopolitique martiale, cette science sanguinaire, en tant que «sciencette» des merdeux Polémologistes.

 

5- à la Résolution Anticolonialiste A/1514, sur le Droit à la Décolonisation, nié autant par l'État caïnadien que par sa Magistrature, en scélérate «Auto-Absolution» de ses Actes de Génocide envers les Autochtones, ce qui revient sans contredit à «se faire justice à elle-même», ce qu'elle interdirait avec véhémence à tout Citoyen Canadien.

 

6- à la Résolution Anticolonialiste A/2625, sur le Droit à la Résistance Armée qui nous est nié d'être jugulé par l'État caïnadien avec sa Loi de contrôle sur les armes à feu, et autant par sa couarde Magistrature, en Auto-Préservation de Pea-Soup, les Juges-Négriers caïnadiens n'ayant, plutôt que de cautionner des Fouilles Illégales dans leur Palais d'Injustice, qu'à se conformer à la lettre au Droit International Public, et ainsi, de se mériter tout naturellement le Droit de Vivre!

 

7- à l'article 2 de la Convention pour la prévention et la répression du Crime de Génocide de 1951, qui prohibe impérativement de pratiquer les Séparations de Familles, en législation onusienne donnant effet au Précédent judiciaire du Procès de Nuremberg de 1946, dans lequel fut rejeté l'argument des Nazis ayant séparé les Familles juives sur le quai des gares, et qui se voulaient disculper en vain par l'argument fallacieux de l’Obligation de suivre les ordres des Supérieurs de leur hiérarchie militaire. Et pourtant, dans le Droit-Colonialiste Interne, l'arrêt Canada contre Mme Sandra Lovelace devant la Cour Internationale de Justice en 1989, nous prouve indubitablement 38 ans de Contravention à la Convention de 1951, et cela par «Commission-Positive» de la part des Juges-Négriers caïnadiens; en tenant compte que Mme Sandra Lovelace a dû gravir les Trois Instances judiciaires du Droit-Colonialiste Interne pour obtenir enfin Justice devant la Cour Internationale de Justice, ce qu'elle n'a jamais eu des 13 Juges-Négriers caïnadiens auxquels elle a dû faire face auparavant, parce qu'ils se sont débilement crus obligés de suivre les ordres de leur hiérarchie judiciaire en suivant la Cour-Martiale Suprême.

 

Où était-il, son Droit à l'Égalité des Sexes de l'article 28 de la Charte-Animalière caïnadienne et celui de toutes les Indiennes bannies par la Loi sur les Indiens s'appliquant d'«un océan à l'autre», Coast to Cust!?» À l'évidence, à une trentaine de pouces du sol, soit quelques 76 centimètres, par conséquent, à la même  hauteur de la dérisoire Liberté de Penser et du piteux Droit à la Vie des Méa Penchée et des Méo Penché en tant qu'Habitants de la province du Québec au Carcan des articles 5 et 8 de l'Acte de Québec de 1774 de george III, de l'Obligation pour jouir parcimonieusement de leurs Droits Civils et de leurs Libertés de Conscience et de Religion, «à l'allégeance au monarque britannique et à la soumission aux lois de Grande-Bretagne

 

Et pour ses Enfants à Mme Sandra Lovelace, où était-il leur Droit à l'Égalité générale  de l'article 15? -tout autant sans consistance, sans que cela ne vide de tout sens et substence l'article 52, non plus que l'article 24 de cette Charte-Bidon, à l'effet que sa Magistrature d'Adeptes du Droit International Coutumier ne se déshonore aucunement en y contrevenant sans déroger nommément de façon expresse à nos Droits et Libertés dont les Toges-Despotes nous privent, comme le stipule en vain l'article 33. Et les Séparations de Familles perdurent, sans qu'aucun procureur ne s'en offusque, d'avoir vu les Blanches en 2009 se faire expulser avec leurs Enfants hors de leur Réserve par les Mohawks. Des Crimes contre l'Humanité qui resteront lamentablement impunis, parce que (au risque de me faire scalper à froid), les Mohawks sont de «Bons-Indienss» de ce côté-ci de la Frontière caïnadienne, d'avoir été jadis les Alliés du Conquérant britannique (comme aux USA, les Mi'kmaqs sont reconnus «de bons Indiens» jamais déportés comme tant d'autres Nations, en récompense d'avoir été de «bons Alliés» durant la Guerre d'Indépendance étasunienne); et parce que les Toges-Ségrégationnistes en ont fait tout autant avec les Indiennes alors que maintenant, elles se souhaitent crapuleusement blanchies, comme le requiert le Faire-Semblant protocolaire élisabéthain voulant à tout prix que: the queen can do no wrong...cause Hell is a Bet who Devil stinks! -et aussi, parce que si un Procureur canadien-français osait dévisager un Mohawk en le regardant droit dans les yeux, «son syndrome french-peasoupien de la trace de brake au cul» ferait que comme le Soldat aux Barricades, il sombrerait peu après dans la cocaïne et se suiciderait pour le plus grand bien de la Population, ceci dit, nonobstant son dérisoire droit à la vie faunique de la Charte-Animalière caïnadienne.

 

8- à la Convention sur l'imprescriptibilité des Crimes de Guerre et des Crimes contre l'Humanité de 1970, à laquelle les Toges-Tordues tentent désespérément d'échapper par scélérate tentative d'«Auto-Absolution», cette Convention servant à interpréter la Convention de 1951 précitée au numéro 7...en gardant en Mémoire, qu'ils ont jugé Ernest Zundel pour des Actes moins répréhensibles de les nier sans les avoir commis, que de les commettre et de les nier par la suite...

 

9- à l'article 1 de la Déclaration des Droits de l'Homme, pour l'atteinte à la Dignité-Humaine qui résulte de tous ces Traitements discriminatoires examinés jusqu’ici; et par le fait même, en renonçant débilement à la Sauvegarde de leur Dignité, de leur Honneur et de leur Réputation prévus à l'article 4 de la Charte des Droits et Libertés de la Personne du Québec, pour se plier en Méa Penchée et en Méo Penché au Carcan législatif de george III, des articles 5 et 8 de l'Acte de Québec de 1774, en Toges-Promotrices du Club-Med des Anus caïnadiens-français au Soleil de l'Empire britannique, comme autant d'Anus à préserver de l'Insolation windsorienne.

 

10- à la Convention internationale sur l'élimination de toutes formes de discrimination raciale du 21 décembre 1965. Est-il besoin de se répéter ou prétendre ici prouver davantage ma dénonciation? -sans être de Mauvaise Foi envers moi-même, qui ne porte pas la Toge par Principe, pour ne pas renoncer à ma Dignité-Humaine, (art. 4 Charte du Québec, et art. 1, Déclaration Universelle des droits de l'Homme), et non par incapacité intellectuelle...

 

11- à la Déclaration sur la race et les préjugés raciaux de 1978. Idem pour la remarque.

 

12- à la Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des Femmes de 1981, qui est inaccessible aux Indiennes, comme les Conventions de 1951 et de 1970 précitées. En rappel, l'arrêt Canada contre madame Sandra Lovelace de 1989, précité.

 

13- à la Convention relative aux Droits de l'Enfant, Rés. A/44/25, du 20 novembre 1989...en pensant aux Enfants bannis en 2009 de la réserve Mohawk.

 

14- aux article 23 et 27 du Pacte relatif aux Droits Civils et Politiques concernant la protection de la Famille et le Droit de vivre dans son Milieu, refusé aux Métis.

 

15- à la Déclaration des Droits des Personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, religieuses et linguistiques, Rés. A/47/135, du 18 décembre 1992.

 

16- à la Déclaration des Nations Unies sur les Droits des Peuples Autochtones, Rés. A/61/295, du 13 septembre 2007; à l'article 2 interdisant toute forme de discrimination raciale; à l'article 6,  du Droit à une Nationalité qui soit valorisante, contrairement au sort réservé aux Bardots-Métis de l'article 35 alinéa 2 de la Charte-Animalière canadienne;  à l'article 7 (1), du Droit à la Vie, à l'intégrité physique et mentale, et à la liberté et la sécurité de sa Personne, sans être soumis à «des Traitements différents présentant une situation particulière et inhabituelle de Détresse, ciblant des Minorités discrètes et isolées»; à l'article 7 (2), prohibant les Actes de Génocide prévus aux Conventions de 1951 et de 1970, précitées; à l'article 8 (1), sur le Droit de ne pas subir d'assimilation forcée, contrairement aux stigmates sociaux provoqués par la Loi sur les Indiens, de même que par le Rapport-Sewell de 1810 du Juge en chef prônant ouvertement l'assimilation des Canadiens-Français, ces deux calamités faisant partie intégrante du Patrimoine discriminatoire caïnadien que les Juges sont appelés à promouvoir, maintenir et valoriser à l'article 27 de la Charte canadienne; à l'article 8 (2) a), sur le Droit à une Identité ethnique; à l'article 8 (2) c), prohibant le transfert forcée de Population, en se rappelant que c'était bien là l'Objectif-Ségrégationniste des Écoles Résidentielles, ces Pensionnats-Carcéraux d'où ne sont sortis systématiquement que des Enculés ou bien des Têtes-Brûlées dont je suis; en infraction aussi à l'article 8 (2) d), prohibant toute forme d'assimilation ou d'intégration forcée; et à l'article 8 (2) e), interdisant toute propagande de discrimination raciale, contrairement à ce que véhicule insidieusement les Armoiries caïnadiennes de la Proclamation Royale de 1921 et l'article 35 alinéa 2 de la Charte-Animalière caïnadienne; à l'article 9, sur le Droit d'appartenir, sans contrainte étatique, à une Communauté ou Population Autochtone; à l'article 11 (2), au Droit à la Réparation lorsqu'il y a atteinte aux Droits culturels, intellectuels, religieux et spirituels; à l'article 13 (1), relatif au Droit à une Personnalité juridique qui ne soit pas avilissante; à l'article 13 (2), relatif aux Obligations de l'État, de respecter ses engagements internationaux en administrant sa Justice; à l'article 15 (1) et (2), sur l'Obligation étatique accomplie de Bonne Foi de combattre effectivement les préjugés raciaux.

 

Nous sommes donc accusés, jugés, innocentés ou condamnés par la pire Organisation Criminelle qui soit! -la Justice de la Monarchie britannique...chipeuse de Territoire, chapardeuse de Dignité, voleuse de Vérité, tueuse de Mémoire...dans l'ordre du désordre chahotique des Exterminations et des Déportations pour Dépossession de Territoire, de désâmante Subjugation lucrative spoliatrice et d'Assimilation déshumanisante d'infantilisation populaire par Animalisation des Vaincus condamnés à perpète héréditairement, Bétail bas-canadien et Faune Locale autochtone, pour finir avec le Lavage de Cerveaux par massive scotomisation révisionniste d'Effaceurs de Souvenirs équivalent à une Lobotomie étatisée de la Mémoire-Collective...et cet apolalyptique scénario élisabéthain, nous est imposé à L'Ère de la Mémoire informatisée, et vous résume les 5 sordides Libertés anglaises, taillées politico-judiciairement à froid par les Orfèvres ringards de son jubilée diamantaire.

 

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Argumentation d'un Objecteur de Conscience

s’indignant légitimement de sa Dépersonnalisation déshumanisante

 

Bien sûr, les Ultra-Soumis de la Docilité inconditionnelle condamnent toujours automatiquement la Contestation et la Dissidence qui ne leur paraîtra jamais justifiable ni méritoire. Pourtant, par le passé, ne serait-ce de la courageuse Contestation à une contravention routière unilingue anglophone par un certain Bilodeau, la Loi sur le Manitoba serait toujours en vigueur telle qu’elle avait été écrite cent ans plus tôt, parce qu’elle n’avait jamais été désavoué par les Législatures canadienne et manitobaine, non plus que déclarée inconstitutionnelle par les Tribunaux avant la salutaire Contestation de Bilodeau, ayant obligé la Cour-Martiale Suprême à intervenir à deuxième occasion, de façon pour le moins politico-juridico-législative dans le Renvoi sur les Droits linguistiques du Manitoba, [1985] 1 R.C.S. 721. Sans la Contestation de Bilodeau, les Droits linguistiques des Manitobains francophones seraient toujours brimés, autant par indifférence que par ignorance, de tant suinter la Mauvaise Foi de l’Intolérance instinctivement routinière; de n’avoir rapatrié somme toute que l’Obsession britannique de l’Assimilation systématique, avec des Valeurs Dominantes lestées du Joug du Fascisme asocial et empestant l’«Apartheid» si cher à leur Mère-Patrie l’angleterre.

 

Pourquoi ma Répulsion profonde envers le système tout entier tout Pouvoir confondu? -mais justement, parce que les 3 Pouvoirs de l’État sont inextricablement liés et par conséquent sans étanchéité aucune, présentant «une Passoire comme Séparation des Pouvoirs». Parce que s’il est admis que «la Nature a normalement peur du Vide», qu’il soit aussi admis logiquement que l’Humain a «naturellement» extrêmement peur de la Déshumanisation qui l’annihile; que si «la Liberté» de «l’Un» s’arrête là où «la Liberté»  de l’Autre» commence», ce critère d’interprétation judiciaire se présente pour n’être bon qu’à solutionner des Litiges concernant des chicanes de clôtures, et que dès lors, il est absolument inapplicable à l’Humain; comme cela apparaît clairement, l’absurde se prouvant par l’absurde, en affirmant l’Ineptie à l’effet que: «la Dignité-Humaine» de «l’Un» s’arrête là où la Dignité-Humaine de «l’Autre» commence», (en 1760)nous inférant naturellement que «l’Autre» en manque forcément d’énoncer un tel illogisme, puisque les Dignités-Humaines sont sensées s’inter-pénétrées dans l’Empathie des authentiques Humanistes qui ne sont jamais des Intrus indésirables; «la Dignité-Humaine» se présentant donc en Vertu-Spirituelle inhérente à L’Âme, et qu’il ne sera jamais question de rejet vital qu’envers l’Intrus de Mauvaise Foi, l’exécrable Manipulateur mal-intentionné, et cela, parce que la Dignité-Humaine est sans contredit une vertu Spirituelle non-négociable, dont il est inutile d’en réclamer le Titre (comme il en est pour une Valeur Immobilière), non plus qu’il soit requis pour sa reconnaissance un Permis de Possession (comme pour une Valeur Mobilière), d’en être incontestablement «Détenteur de façon innée» de L'Âme incarnée à son Esprit incorporée.

 

Ma Répulsion s’explique tout «naturellement» d’être devenu un irréductible Objecteur de Conscience en tant qu’Humain trompé par les Méfaits persécuteurs de l’État-Forceps, ayant constaté de façon alarmante être dépossédé de ma Dignité-Humaine par infamante négation législative d’abstention de garantie, complétée insidieusement par un outrageant déni de justice. Un psychanalyste clairvoyant pourrait fort bien y voir la Haine salutaire d’un Théomache déicide atteint d’un sévère Complexe d’Œdipe parricide envers le Père de l’État ainsi qu’envers tous les Popahs européens présentant des Comportements de Colonialistes en puissance, parce que l’État caïnadien a toujours été et est encore incontestablement un Père abuseur de ses Enfants des Nations Pré-Capitulatives qui regimbent évidemment contre ses Traitements infamants, et qui s’affirment ensuite ouvertement en clamant de saines Revendications. Finalement, pour comprendre l’Objecteur de Conscience, il suffit d’imaginer que l’État lui est devenu indigeste et quil le demeurera jusqu’à la Réforme onusienne qui le rendra effectivement «aimable», pour reprendre a contrario la vénérable Pensée de Pierre Teilhard de Chardin:

 

« Tant qu’il absorbe ou paraît absorber la personne, le Collectif tue l’amour qui voudrait naître. En tant que tel, le Collectif est essentiellement in-aimable. Et voilà où échouent les philanthropies. […] Il est impossible de se donner au Nombre Anonyme. Que l’Univers, par contre, prenne en avant pour nous un visage et un cœur, qu’il se personnifie si on peut dire. Et aussitôt, dans l’atmosphère créée par ce foyer, les attractions élémentaires trouveront à s’épanouir. Et alors, sans doute, sous la pression forcée d’une Terre qui se referme, éclateront les formidables énergies d’attractions encore dormantes entre molécules humaines. » (Teilhard de Chardin, Pierre, Le Phénomène Humain, 1955, Éditions du Seuil, p. 268)

 

Le Canada, depuis sa fondation en 1760 sur le Droit des Capitulations, est demeuré invariablement «un Collectif in-aimable», ne s’étant raffiné quen maîtrise de Simulacre démocratique en contradiction de l'arrêt Oakes, pour dissimuler sournoisement la Subjugation originelle qui perdure par partisane judiciarisation. La Colonie canadienne ne s’est jamais véritablement appliquée qu’à l’Assimilation radicale des Nations Pré-Capitulatives en s’acharnant particulièrement sur les Autochtones, parce que par Ancienneté d’Occupation, les Natifs représentent toujours les véritables Propriétaires du Territoire conquis. Privilégiant l’Uniformité de la Pensée-Unique, la Colonie caïnadienne ne reconnaîtra jamais de façon évolutionniste un visage distinct aux Nations Pré-Capitulatives, incapable de concevoir cette:

 

« […] nécessité d’un Foyer personnel autonome et suprême pour lier, sans les déformer, dans une atmosphère d’active sympathie, les personnalités élémentaires. » ((op. cit.), Teilhard de Chardin, Pierre, Le Phénomène Humain, 1955, Éditions du Seuil, p. 289)

[…]

« Capable de contenir la personne humaine, il ne saurait y avoir qu’un Univers irréversiblement personnalisant. » (Id., supra, p. 292)

 

Au lieu d’«un Univers irréversiblement personnalisant», l’État canadien et sa Magistrature Ségrégationniste se sont acharnés dans l’objectif d’anéantissement de ma Personnalité Juridique et Celle des Miens, les Natifs; de même que Celle de nos Ex-Alliés les Canadiens-Français en tant que Nations Pré-Capitulatives, menacées «francophobiquemernt» entre autres, par le Bill 17 de l’Ontario francophobe, comme nous l’avons vu précédemment. Le danger d’extinction nous guette dangereusement, à l’Usure de l’Assimilation préconisée «sewellement» par incorrigible instinct d’Anomie-Déculturation généralisée systémique depuis l’Empire britannique.

 

Cependant, n’étant pas tous d’impotents Britanniques dégénérés désaxés ou des nullards-annulés Canadiens, des Esprits plus perspicaces de leur Humanisme indiscutablement non-négociable, comme Pierre Teilhard de Chardin, ont déjà noté les Stigmates incorporant la Bipolarité-Haineuse répandue par cette pratique atavique importée machiavéliquement de l'Ancien dans le Nouveau-Monde:

 

« En fait, cette lutte d’influence s’est vite localisée. Celui-ci trop isolé dans le Nouveau-Monde, -et celui-là trop dispersé sur la poussière monotone de ses îles lointaines, le foyer Maya et le foyer polynésien n’ont pas tardé, l’un à s’éteindre complètement, l’autre à rayonner dans le vide.» (op. cit.), Teilhard de Chardin, Pierre, Le Phénomène Humain, 1955, Éditions du Seuil, p. 289) p. 208)

 

4 Questions juridiques :

 

1- Confirmer mensongèrement jour après jour la légalité de l’AANB de 1867 en reconduisant le Renvoi-Esclavagiste de 1981, ne fait-il pas en sorte que tous les Juges-Négriers canadiens se retrouvent automatiquement en quadruple conflit d’intérêt, puisqu’ils reconduisent les fourberies et la corruption de Lord Carnavon, le Président du Colonial Office de 1866-67? et par surcroît, qui jugent les Accusés avec un Code Criminel tout à fait Illégal tout comme sa source carnavonesque à l'article 91(27) de l'AANB de 1867, et au nom d'une reine qui est elle-même présentement Accusée de Crimes contre l'Humanité? –et il y a que pour un neveu et fils de Héros de Guerre s’étant portés Volontaires, il est autant Immoral qu’Illégal, de légaliser rétroactivement 2 Conscriptions-Génocidaires avec une Constitution Colonialiste de son Unilatéralisme victorien; et que nos Enfants méritent mieux que d’hériter d’«une Extorsion Colonialiste» déguisée frauduleusement «en Dette nationale n’ayant rien de Fédérale»; en se rappelant démocratiquement que Juriste ou non :

 

«nul n'est écouté invoquant sa propre Turpitude

 

-de juger un Accusé-Victime doublement, d’abord d’avoir subi les conséquences des Séparations de Famille et la Déculturation, et ensuite, de me rendre Complice de la Magistrature en Auto-Absolution de ses Actes de Génocide ce qui fait qu'«elle se fait justice à elle-même» de cette ignomieuse tentative d'«Auto-Absolution», ce qui résulte en fait comme en Droit, que l'Imprescriptibilité des Crimes contre l'Humanité de la Convention de 1970 est automatiquement prescrite arbitrairement:  «because the queen can do no wrong, wich I do not believe at all!»

 

2- Il ne peut exister d’Indépendance ni d’Impartialité judiciaires, puisque les Avis-Intéressés et les Renvois d’Ascenceur adressés à la Cour-Martiale Suprême par l’Exécutif, ne garantissent que l’abdication de «son Pouvoir-Exécutif» au bénéfice d’un Judiciaire-Dictatorial, contrairement à In Re: the Initiative and Referendum Act de 1919 de la même Cour-Martiale Suprême, qui déclarait dans cet arrêt le principe qu': «un Pouvoir délégué ne peut être re-déléguéen l'occurrence, provenant (la 1ère fois:) «du Pouvoir-Exécutif britannique» délégué (en deuxième main :)  à «son Vassal le Parlement-Colonial d'Ottawa» qui l'abandonne ensuite (en troisième main de la Mainmise) «au Pouvoir-Judiciaire», à chaque Avis-Intéressé et à chaque Renvoi d'Ascenseur, en lui reconnaissant par Abdication «le Pouvoir-Réel» par «la règle du «stare decisis», puisque la Cour-Martiale Suprême est toujours assurée de l’obligation préconçue des Tribunaux inférieurs de suivre aveuglément sa jurisprudence pour en faire autant de Cours-Martiales, puisqu’elles sont toutes sans Pacte Fédératif. «La règle du «stare decisis» ne devrait-elle pas être déclarée inconstitutionnelle, dans la mesure où elle sert à contrevenir au Droit International Public? tout comme la pratique du «Judge-Made-Law» de la Common Law, de «Juge-qui-font-la-Loi», mais, despotiquement et traîtreusement en Hors-la-Loi du Droit International Public, puisque ces deux pratiques arbitraires évident les Droits et les Libertés en Droit Interne, ce qui les rend outrageusement Inconsistants, contrairement à la garantie de l’article 52 de la Charte canadienne, tout comme à l’article 33, qui exige de déroger nommément aux Droits et aux Libertés; et cette pratique judiciarisée systématiquement déshonore la Justice, contrairement à l’article 24 de la même Charte-Bidon, puisque chimérique?

 

3- Selon les archéologues, les Autochtones habitent ce Territoire depuis 12, 000 à 20, 000 ans, et jamais n'ont-ils été racistes au point d'exiger des Blancs la même ignominie que d’avoir à prouver leur Pureté Raciale pour jouir pleinement du «Statut d’Être-Humain», comme il en est du «Statut d’Indien» permettant de vivre parmi les Natifs sans discrimination des Natifs, et de jouir pleinement de ses Droits Ancestraux, ce qui revient pour un Bardot-Métis à «son Statut d’Être-Humain» que de posséder «le Statut d’Indien». Il s'agit ici de Prégnance d'Ipséité, de ce qui fait qu'un Être est unique, et que lui seul sait vraiment pour pouvoir correctement et justement se révéler aux Gens de se Savoir en Substance du fait de se ressentir intimement, sans se faire affubler d'une quiddité baptismnale avilissante par des Européens qui viennent à peine de débarquer avec leur cladisme invétéré. Ce stigmate asocial provient de la Subjugation outrageusement véhiculée par la Proclamation Royale de 1921 et qui est enchâssé en présomption de Bâtardise à l'alinéa 2 de l'article 35 de la Charte-Martiale et Animalière caïnadienne, dégradée de sa Martialité flagrante par l'apposition des Armoiries caïnadiennes sur le Document Officiel de la Codification des Lois constitutionnelles de 1867 et de 1982, ce qui est à l'antithèse d'«la Société canadienne» qui «se doit d'être libre et démocratique», selon l'affirmation dogmatico-politico-juridique du juge en chef Dickson dans l'arrêt Oakes, page 136, et ne saurait donc pas être justifié non plus que reconnu raisonnable de ce fait?

 

Il est fortement recommandé que ces Lois iniques soient toutes déclarées désavouées et inconstitutionnelles, pour que «l'Être-Parfait» du Parlement accède à cette perfection émérite qui lui est reconnue de façon partisane; par exemple, législativement, en changeant le terme «Métis» pour celui en lien avec l'Ascendance Autochtone de la Personne, même si cette dernière n'établit qu'une Branche-Familiale sur deux; ou poétiquement, celui d'«Obrizé(s)es)», du nom de cette Or Fine d'avoir été fondue et refondue par les Orfèvres d’autrefois pour en éliminer toutes les impuretés, ici (raciales)…ce qui se pratique encore présentement depuis l'assimilation «sewellienne» de son ciblage linguistique. Le principe d'être reconnu «Autochtone», ne serait-ce que par «Relations Historiques», tel que dégagé de l'arrêt Freedmen de la Cour Suprême des États-Unis, ne sera jamais reconnu en Canada qui empêche systématiquement les Retrouvailles des Familles qu'il a séparées.

 

Cette Refonte Humaine en Réforme aurifère, s’avére indispensable à la Paix-Sociale et à l’Épanouissement des Êtres, rendue nécessaire pour enrayer le Racisme implanté depuis l’origine et redevable à une Volonté assimilatrice cruelle d'arbitraire, répandue par la Loi sur les Indiens, supposément non-discréminés par le nom de «la rue Amherst», de l'infra-constitutionnalité de l'article 11 de la Charte du Québec, inférieure à la Supra-Constitutionnalité de la Charte-Martiale canadienne; «martiale» des Armoiries apposées en page couverture comme une couverture «amherstienne» empoisonneuse; et de même, pour leurs Ex-Alliés les Francophones, par les articles 5 et 8 de l’Acte de Québec de 1774, qui conditionnent despotiquement la jouissance des Libertés de Conscience et de Religion ainsi que la jouissance parcimonieuse des Droits Civils «des Habitants de la province de Québec», obligés à «l’allégeance au monarque britannique et à la soumission aux lois de Grande-Bretagne»; et encore, par le Rapport-Sewell de 1810 du juge en chef Sewell de la Cour-Martiale Suprême éloquent de Volonté-Assimilatrice, tout autant que l’exécrable  Bill 17 de l’Ontario francophobe des «Higher Canadians, much Higher then thoseones known as the Pea-Soup from Lower-Canada»; d’une Volonté dominatrice anachronique de la part d’un État-Membre à l’ONU, resté pitoyablement accroché à la primitivité de «l’ancien Droit International Coutumier», et par conséquent, dont la pratique juridique est totalement contraire à ce qu’exige la modernité effective du Droit International Public.

 

Car, que l’on s’entende au moins sur ce point: nul ne peut «promouvoir, maintenir et valoriser» l’Inégalité en vrac, d’un Patrimoine-Matricide des Cultures Autochtones, ravagées par l’intransmissibilité préconisée depuis la Conquête de 1760 pour viser l’Assimilation accomplie des Natifs, toujours motivé par l’Instinct atavique de la Bipolarité-Haineuse qui menace inexorablement de disparition l’ensemble des Cultures Autochtones, et même, n’en doutez pas naïvement, de vous sentir trop facilement rassuré en rejetant d’emblée cette amicale mise en garde: qui menace également la Francophonie canadienne, dans et hors le Québec

 

En effet, Claude Hagège, linguiste de renom, rapporte dans «Halte à la Mort des Langues», qu’il se trouve présentement plusieurs linguistes très alarmés par les politiques économiques qui menacent belliqueusement une grande quantité de Langues, et dont ils prédisent la disparition prochaine d’ici un siècle. Et puisque le langage courant véhicule que nous parlons tous «une Langue Maternelle», la menace appréhendée annonce donc une catastrophe qui vise «le Matrimoine» Culturel de L’Humanité», l’Édifice de la Pensée Humaine, la Langue s’avérant être «la maison de l’Être», selon les paroles ressenties et sensées de Heidegger. Ainsi, je serais donc le Défenseur des Cultures Autochtones que je sais menacées, ainsi que le Défenseur du Français (que j’ai rebaptisé la Langue du Lys), et cela, après avoir été dûment assimilé doublement par les Missionnaires des Colonisateurs Français d'abord, qui se cherchaient alors des Alliés auxquels ils tournent désormais le dos en négligeant de façon irresponsable de défendre leur Culture, pour finir par mettre L’Amer-Indien dans une situation d’impasse, dans un micmac calamitesque, digne d’«un Mi’kmaq «algonquinisé», dont la Peronnalité Juridique est fragmenté du Québec aux Maritimes et du Maine jusqu'aux Îles Saint-Pierre et Miquelon, et par surcroît sur la «Sûre-Proie», sans le «Statut d'Indien», en «Nobody» au «Nowhere» en «Time-Out» pour les «Misfit» du «Outfit» des « Has Been before forbidden to be » de la Pourvoirie caïnadienne.  Quant à la menace qui pèse sur le Français, voyez de façon alarmiste ce qu’en dit Claude Hagège:

 

        « Or le français, qui ne figure pas même, avec les quelque 100 millions de locuteurs qu’il compte sans doute à travers le monde, parmi les 9 langues les plus parlées, continue néanmoins, aujourd’hui comme hier, de tenir la seconde position derrière l’anglais, en termes, non pas en volume démographique, mais de diffusion universelle, ainsi que de présence dans les institutions internationales et dans l’activité mondiale de traduction. Dès lors, le français, même si cette seconde place est plus théorique que réelle, même si, dans bien des organismes, son statut d’égalité avec l’anglais est souvent violé, ne peut pas apparaître comme un rival encombrant, dont on souhaite, consciemment ou non, l’éviction. C’est pourquoi sa promotion face à l’anglais revêt une valeur symbolique. Sa défense et son illustration sont depuis longtemps liées à celles de la place qu’occupent la culture française et la francophonie dans le monde.

        Le français est une affaire éminemment politique. Chacun sait, y compris ceux qui s’en gaussent ou s’évertuent à la vilipender, que la défense de l’exception culturelle par plusieurs acteurs de la politique française n’est pas une petite guerre d’opérette. En défendant la culture, c’est-à-dire la vie, le français défend sa vie. Il défend aussi, et par là même, celle de l’allemand, de l’italien et d’autres langues d’Europe, pour ne parler que d’elles. »

(Hagège, Claude, Halte à la Mort des Langues, France, 2000, Éditions Odile Jacob, pp. 402, (op. cit.), p. 366)

 

Si «le Français défend sa vie» en défendant sa Langue, l’Égalité réelle exige qu’il en soit ainsi pour quiconque, quelle que soit le nombre de Locuteurs de sa Langue Maternelle, démographiquement parlant, qu’Elle lui soit inculquée de façon naturelle (matriarcale), ou qu’Elle lui soit acquise par immersion colonisatrice. Il est question ici d’«Auto-Préservation» qui est impossible à réfréner chez le Défenseur de sa Langue, puisqu’aucun Pouvoir Étatique ne peut instituer une restriction à la Liberté d’Expression, et cela, tout simplement parce que cette restriction serait universellement reconnue pour être arbitraire, et ne saurait non plus être reconnue «raisonnable» et «justifiable» dans «une société libre et démocratique»; et cela, en même temps que les juges se retrouvent appelés «à promouvoir, à maintenir et à valoriser le patrimoine multiculturel canadien». À trop se retenir de parler du Passé, on ne s’applique finalement qu’à le reconduire pour sous-vivre déphasé de notre Spatio-Temporalité d'un Espace-Temps qui est loin d'être «relatif», de sa néantisation systématique du Système du Point-Zéro de l'annulation des Êtres. Et que peut-on en conclure, sinon qu'après le Français et l'Anglais, les Autochtones devront apprendre le Chinois, les Politicards-Capitulards caïnadiens-français se révélant ouvertement arabophobe pour ne pas s'avouer Colonialistes), et que cela aura certainement pour effet d’accomplir cette prédiction alarmiste des linguistes, telle que relatée de ses confrères par Claude Hagège:

 

« […] Ce qu’une communauté linguistique juge digne de recevoir un nom, une autre l’ignore et ne lui donne aucun accès direct au dicible.

         La science  du langage et des langues ne peut se contenter d’être une axiomatique sur fondement unilingue. Elle doit, de toute nécessité, exploiter tout son matériau, qui est considérable. Et c’est précisément parce que les langues meurent, ou se trouvent en péril de mort, que la linguistique est menacée par des dérives rhétoriques, qu’encourage l’indigence de la base factuelle concrète. Ainsi, l’étiolement de la diversité des langues est, à long terme, celui de la linguistique elle-même. Ce pourrait même être une perte sévère pour d’autres sciences humaines. Car comment se faire une idée fidèle et complète des capacités créatrices de l’esprit, si des témoins de réalisations qui ne sont attestées nulle part ailleurs s’engouffrent dans l’oubli?

 

LE DOMMAGE ÉCOLOGIQUE

ET GÉNÉTIQUE

 

        Les prévisions les plus pessimistes, fondées sur le nombre de langues en état d’obsolescence ou d’agonie, évaluent à 90% les pertes probables à l’horizon de l’année 2100. Cela fait 4 500 langues sur 5 000 !

        Une comparaison avec les espèces zoologiques et botaniques peut être faite ici. Selon une étude de spécialistes à laquelle la presse a récemment fait écho (cf. journal Le Monde, 10 mars 2000), le rythme de disparition des espèces vivantes est aujourd’hui 1 000 à 10 000 fois supérieur à ce qu’il a été lors des grandes périodes géologiques d’extinction. Contribuent à cette performance remarquable l’agriculture intensive ( moins de 30% des espèces végétales procurent plus de 90% des aliments de la population mondiale), la déforestation massive et méthodique (bien qu’anarchique), l’urbanisation et l’industrialisation. Le résultat est que sont en danger d’extinction immédiate une proportion considérable des quelque 1 650 000 espèces actuelles, lesquelles se répartissent en 45 000 vertébrés, 990 000 invertébrés et 360 000 plantes. (…)

        […] Si la progression continue au rythme actuel, 25 % des espèces animales risquent d’être effacées du globe avant 2025, et 50 % avant 2100, soit des proportions sensiblement égales à celles des langues.

        […]

        La disparition des langues est à regarder comme un grave dommage subi par ce qui a été appelé le «génome linguistique» de l’espèce humaine (cf. Matisoff 1991, 220), ou patrimoine de gènes linguistiques que représente l’ensemble des langues vivantes ou mortes depuis l’origine des temps. N’y a-t-il rien qu’il soit possible de faire pour réagir contre ce dommage ? Les langues qui sont encore vivantes sont-elles moins dignes d’être protégées que les espèces animales ou végétales ? » ( Hagège, Claude, Halte à la Mort des Langues, France, 2000, Éditions Odile Jacob, 402 pages, (op. cit.), pp. 228-230 )

       

«Pour réagir contre ce dommage» pour ne pas qu'il se perpétue, il faut l’appréhender comme un Danger Réel à la Survie même des Utilisateurs du Français, et la Réaction de notre part doit être telle, qu’il soit impossible de lui faire la sourde oreille en filant à l’anglaise par la banalisation de ce Fléau-Asocial, redevable à la survivance absurde des Lois-Ethno-Linguicides dénaturées francophobes. Qu’attendre de toutes ces Toges-Tordues qui préconisent «le Nivellement de la Pensée-Unique par la Conversion Oecuménique pour l’Écume-Ethnique de la prétendue Treizième Tribu des Peuples Élus», les soit disant Goddamites, de la Tribu des Réducteurs de nos Têtes?

 

Que faire, sinon les alerter par une Dissidence Anticolonialiste tapageuse, appelée inévitablement à se manifester lors d’une mémorable Jacquerie littéraire et judiciaire: -ce qui nécessitera sans contredit de ma part, de monter hardiment à la barre comme on monte aux Barricades! –parce que l’Empathie n’est assurément pas la qualité humaniste qui prime à posséder effectivement chez ces invétérés Promoteurs de la Pensée-Unique. Parce que finalement, je me suis posé la question, inévitablement: comment mettre ces Toges-Tordues dans mes Mocassins, alors que par Assimilation fanatique, elles ont fait en sorte que je sois Absent de Moi-Même, le Nullard-Annulé qui s’ignore, d’être appelé sur le tard à apprendre le Mi’kmaq, ma véritable Langue Maternelle à m’inculquer en même temps que de voir à m’impliquer véritablement à la défendre, et cela, simultanément en défendant autant mon autre Langue Maternelle d’utilisation quotidienne, le Français, afin de ne pas me retrouver doublement dépossédé?

 

Afin d’ébranler et ultimement confondre les irréductibles Sceptiques de la menace réelle qui pèse sur le Français, la citation suivante de Claude Hagège, est susceptible de les convaincre finalement, la Vérité se frayant un Chemin parmi toutes les inepties qui nous ont été inculquées pour mieux nous faire dormir au gaz somnifère de «la Révolution «trop» Tranquille» et «des Arrangements ultra-déraisonnables», tout juste bons pour des Rampants invertébrés, que sont toutes les piteuses Méa Penchée et tous les pitoyables Méo Penché bien domptés à échapper leur barre de savon au britichiant Carcan des Subjugués en Ilotes héréditaires des Démovores windor, en héritiers bas-canadiens peu enviables des articles 5 et 8 de l’Acte de Québec de 1774, ces Tardenoiseuses et ces Tardenoiseux du Royaume de Tardenoise, que j’entends aimer bien en les châtiant aussi bien, jusqu’à leur Transmutation salvatrice de Défenseurs de leur Humanité, c’est-à-dire, en vénérables Primenoiseuses et en superbes Primenoiseux du Royaume de Primenoise, au même Endroit, le Québec dans un Canada démocratiquement onusien, par conséquent, en tant qu’Êtres-Là qui firent tout pour que cela advienne d’en devenir d’honorables Citoyens, qui ont su confectionner le Présent en Cadeau à tendre à la Postérité pour qu’Elle puisse jouir pleinement de L’Avenir et de son Humanité. En me demandant combien de Langues un Autochtone doit-il assimiler avant d'être autorisé à apprendre sa Langue Maternelle, l'utiliser et la promouvoir effectivement, voici cette citation de Claude Hagège:

 

«  Sur le sort des francophonies de Terre-Neuve et d’Ontario »

 

«  Deux exemples frappants concernent le français, en des lieux dont la puissance d’absorption est élevée, et qui sont évidemment situés dans l’Amérique du Nord en majorité anglophone. L’un est la péninsule de Port-au-Port, dans la province canadienne de Terre-Neuve, où des Acadiens vinrent s’installer entre le milieu du XIXe siècle et les premières années du XXe. À cette époque, la population francophone était de 2 000 âmes, alors qu’elle n’est plus que d’un millier à peine, surtout dans les villages de Cap-Saint-Georges et la Grand-Terre ; les deux autres, L’Anse-à-canards et Stephenville, n’avaient plus en 1980, que des sous-usagers de plus de 50 ans. L’avenir du français de Terre-Neuve, langue d’une infime minorité environnée d’anglophones que les nouvelles générations ne rêvent que d’imiter, paraît bien sombre, à moins de quelque prodige. Le second lieu de francophonie en danger est la ville de Welland, dans l’Ontario, à proximité des chutes du Niagara. Là vinrent s’installer après la Première Guerre Mondiale, attirées par le développement des industries du fer, de l’acier, du caoutchouc, des textiles, une quarantaine de familles franco-canadiennes du Québec, qui constituaient, lors du recensement de 1981, 15,5 % des 45 000 habitants de la ville. Cependant, le poids de la majorité anglophone et sa présence sur tous les lieux de travail, l’augmentation constante des mariages mixtes, ainsi que l’énorme pression des médias, ont pour effet une désaffection des plus jeunes à l’égard du français, en dépit des mesures nombreuses qui le soutiennent. » ( Hagège, Claude, Halte à la Mort des Langues, France, 2000, Éditions Odile Jacob, (op. cit.), pp. 213-214 )

 

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Avis

à quiconque prétends superviser dogmatiquement  

l’Éducation de nos Enfants, qu’il soit bien entendu que,

votre Contrat Social à sens-unique est rompu:

 

-si aucun Juge Canadien-Français, utilisateur et bénéficiaire d'une des 6 Langues officielles qui traduisent le Droit International Public moderne, ne s'objecte du maintien en vigueur d'une telle Loi-Ethno-Linguicide comme le Bill 17 de l'Ontario, qui a fait en sorte qu'en 1900 la Population francophone de l'Ontario était de 15%, et que cette Loi-Ethno-Linguicide ultra-francophobe a fait que 100 ans plus tard en l'an 2000, la Population francophone de l'Ontario avait chuté à moins de 3%, (en arrondissant à 12% de perdus en 100 ans, les 3% restants = x ans), ce qui laisse clairement entrevoir mathématiquement l'équation apocalyptique qu'en 2025, la Population francophone de l’Ontario sera complètement sinon pratiquement assimilée, sauf pour les noms de Famille, s’ils ne sont pas anglicisés par les N’Importés du qu’Importe, en débile jubilation de docile Conformité à l’Uniformité de la Pensée-Unique encadrée protest-anglicane rétro-adventiste par «l’Être-Parfait» du Parlement-Colonial d’Ottawa, ce qui se présente pourtant totalement contraire au principe «du multiculturalisme canadien», quotidiennement promu, maintenu et valorisé judiciairement, selon l’article 27 de la Charte-Théocratique, Martiale et Animalière caïnadienne.

 

Par conséquent, comment pourrez-vous prétendre à la crédibilité minimale ainsi qu’à la volonté démocratique nécessaires à la protection des Cultures Autochtones, combien plus fragiles que le Français? -et même, à être envisagé encore pire comme menace, après le cruel Saccage judiciarisé de nos Arbres Généalogiques visant notre Dépersonnalisation et notre Déshumanisation par le fait même, de promouvoir la Crise identitaire et culturelle et la Détresse psychologique qui incite sournoisement au Suicide dans la Population où le Taux de Suicides est le plus haut au Canada. Aussi, comment après un tel Despotisme criminel, osez-vous prétendre détenir la crédibilité nécessaire pour superviser professionnellement l'Éducation de nos Enfants, alors que vous menacez dangereusement leur développement intellectuel autant que leur Épanouissement-Humain, ce qui me démontre encore très clairement que vous en êtes absolument disqualifiés suite à votre exécrable tentative d’ « Auto-Absolution » à vos Actes de Génocide, d’être toujours en pratique partisane et arbitraire de ce fait, selon votre exécrable impéritie chronique motivée de votre incorrigible Turpitude-Népotique!

 

4- En Rappel de Sensibilisation-Mnésique: ma Culture n'est pas un objet de «douanes»,

un Son mécanisé radio-télévisualisé ne laissant entendre que le cri d'une Bête:

puisque c'est un Son-Humain qui vibre en passant vos Frontières urinées

d'une pestillentielle Pisse régalienne qui empeste le Sang calciné par la Poudre d'escampette

d'une Désertion à L'Humanisation à faire oublier coûte que coûte à des Valeurs-Mobilières

à qui il est nié tout Titre de Propriété-Immobilière, ce qui leur semble impensable,

que de décerner un Titre de Propriété à un Animal domestiqué; 

pas à de «sales Mulâtres impures» de Race, à l'évidence, comme les Métis

de Louis-David Riel, de l'absence de cette incomparable Blancheur des Blancs-Blanchons,

ayant oublié depuis plus de mille ans leurs Racines fuligineuses, mais qui se précisent

autant Tribales que «Quarteronnes octavonniennes», suite à mille Envahissements

suivis systématiquement du Droit de Cuissage royalement autorisé du «FUCK»

of: Fornication Under Consent of the King»...et du Troussage foncier des Terres

de la Couillonne avec l'Imposition de la Taxe de l'Usurier qui est «le Shy-Lock»

et le Persécuteur nous faisant subir la Subjugation britannique;

exigeant de Nous par un insidieux Harcèlement ponctuel

d'une invitation radiophonique bilingue, à trahir la Démocratie en invitant sournoisement

le Bon-Peuple à s'avilir  pour le Convertir

par Recensement-Baptismal protest-anglican rétro-adventiste, à revêtir

 

la fucking filthy Caïnadian Colonialist Citizen-Shit!

 

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Yerk! -rien ne va plus! -ni de la Tête ni du Cul! -c'est sans Couronnement que je procède

à mon Investiture, et de vos gardes-robes, un bon Conseil: sortez-en car j'y entre! -aussi, sachez que jamais je ne transgenrerais mon Genre de Peau-Rouge remodernisé

en Mi'kmaq-Trickster au rutilant Pénis, interchangé pour le clitoris tout rabougri

et vermoulu d'écarlate tout empoussiéré de victoria la Holstein sans Pedigree,

dont le Gynécologue-Barjo s'ignorait être le Vétérinaire d'une Basse-Cour gynécocratique

d'où elle chante encore le chant du Coq au Soleil-Levant chapardé universellement,

parce qu'elle fausse notre Itinéraire vers notre Destinée, comme un Chant de Sirène

nous attirant aux Récifs...-d'un Droit à la Vie tué par une Reine-Morte en 1901,

toujours collée à «son Droit International Coutumier» d'arriérée Troglodyte refilé

à fiston george V le Ségrégationniste, puis à george VI le Bégayeux, faisant que sa portée

se répète avec sa génisse en «gêne-aise» élisabeth deux du «Amistad» de 1982, et Pok! -Pok!

-Pok! -et Toc! -Toc! -Toc! -qui nous fait voir se parader son prétendu sceptre d'ébène

du chevalier à la verge noireau funeste service macaque de son gangraineux

«pénis clitoridien», dérisoire, comparativement «au Vagin-Phallique» de sa monarque,

en parodie de l'Iniquité à son comble motivant ma Jacquerie-Littéraire qui la dénonce,

de prévaloir injustement et cyniquement sur notre Volonté-Populaire contemporaine

avec la Volonté-Débile d'un Spectre satanique de s'être voulue autant couronnée

que mitrée en immortelle Reine-Papesse, et qui n'est en rien Signataire

du Pacte-Onusien étant décédée avant l'avènement du Droit International Public

des Êtres-Civilisés. »

 

Ce qui résulte en Droit à la sous-existence dans une cacophonie assourdissante

de «Bêhêhêh!» -de la part des vaticanes Brebis, entre les pattes desquelles se coassent

un glorieux concert de «Reurritte!» -de clovissiennes Grenouilles; ainsi proposé

par la Charte-Animalière Ti-Pètienne de ses flatulences «Post-Mortem» de nous restreindre

à un Droit à la Vie-Faunique, limité dérisoirement à quelques 80 pulsations-cardiaques

par minute, dans un Bestiau chauffé à plus ou moins 33° Celsius, mais dont L'Esprit,

par ailleurs Prometteur, est tristement consigné dans un lamentable État-Végétatif

de Mort-Cérébrale victorienne; parce que les Juges-Négriers caïnadiens

font prévaloir la Volonté-Étatique de victoria, la Reine-Morte, préférée à tout Zombi

héraldiquement animalisé; car à l'usure du Bon-Peuple, son ignorance cultivée

s'interprète systématiquement en Consentement Tacite à son Animalisation, du préjugé

d'être éligible héréditairement à la méprisable Docilité des Vaincus, d'un Reproche souhaité

en sus de sa Couardise à se faire respecter; d'avoir renoncé à toute Dignité simultanément

à toute Verticalité Humaine à l'Enclos «des Arpents-Verts» des Réducteurs de nos Têtes

au marquage du Rodéo, dans les Échos déchirants, mais hilarants,

des «Bé-Bé-Bé-Bêh-Bêh-Bêh! -des Bébés des moutons roses»,

d'être constamment rasés» dans toute la Colonie caïnadienne...

 

Mais il y a que le Fait de ne plus s'accepter en Zombis nous rend Consistants

de notre Résistance-Vitale du Spectre en Investiture s'incarnant, du Non-Être à L'Être-Là!

-cependant,  pour la Descendance des Pendus rependables, pathétiquement,

qui sont maintenus en acharnement thérapeutique misant sur l'Effet Placebo

avec leur Justice-Bipolaire de «docteurs Jekill&Hyde the « natural born killers »

de leur crasseuse Toge enchiennée, parce qu'ils opèrent en salle non-aseptisée

dans l'objectif britichiant de nous infecter «amherstiennement» pour nous occire,

sinon nous plonger dans l'État-Végétatif qui inspirerait tout Tribunal-Démocratique

en tout autre lieu, d'octroyer d'emblée l'Euthanasie sur Demande,

par jugement compatissant accordant assurément le Débranchement sans hésiter,

parce que nous y serions appréciés en tant qu'Être-Humain...

 

Je le sais, d'être Mi'kmaq, du Peuple des Gentils déchu drastiquement dans l'Imbroglio

de L'Amer-Indien longtemps enmêlé de son Impasse à démolir en solutionnant

mon Énigme; qui vous précise être Mort-Né le 8 Décembre 1950, d'avoir pratiquement

passé l'arme à gauche le 8 Septembre 1760, à demi-avorté, à moitié-euthanasié  

d'un antique Jugement par Contumace qui frappe héréditairement, reconnu

crapuleusement valide par les Juges-Négriers de l'État-Forceps qui m'a exproprié

de ma Personnalité-Juridique en se prétendant «Humain» après m'avoir animalisé,

pour qu'il illustre sa Lâcheté d'être incapable d'achever la pauv'Bête qui le lui réclame!

-J'ai oublié la Messe en Latin que tout jeune je servais régulièrement,

de même que le Credo, le Pater Noster, l'Ave Maria, mais surtout, la prière à l'Esprit-Saint,

cet Intrus dans mes Méditations Introspectives, qui s'accaparait de ma Gloire

en me dépossédant, d'autant d'imprécations maléfiques que j'ai troquées savamment

dans mon Espièglerie qui s'amplifie sagacement en renouant avec la Coutume

du Scalp immérité. À brides abattues, L'Esprit propulsé par L'Âme d'y siéger,

j'énonce avec Ferveur ma Prière du Matin dans le Cri de Guerre des Apaches:

«quel Beau Jour pour mourir!»

 

Ils haïssent nos Cultures avec leurs putrides Lois Ethno-Linguicides pour l'Usage

des Politicards-Capitulards de leur Délégation vassalique. Nos Cultures qui se font saper

par l'Anomie-Déculturation qui objective l'Assimilation du Bas-Canada souhaitée clairement

par le Haut-Canada dans le Rapport-Sewell de 1810;

et le même Droit Saxon dénaturé-décadent prévaut au Royaume-Uni étasunien;

notre Déshumanisation légalisée par le Passeport de la Honte

à la mode médiévale du Droit Héraldique de «l'Import-Export»

pour les N'Importés du qu'importe»; puisqu'à «la Bourse du Point-Zéro»

nous sommes cotés «ISO» de L'Être-Annulé «en Valeur-Mobilière»,

si méprisée de son Dépérissement si coûteux justifiant de souhaiter sa Mortalité

d'ailleurs inexorable; qui, si ce Vaurien était estimé en «valeureuse Valeur-Immobilière» aurait obtenu «Compensation»selon l'arrêt Manitoba Fisheries de la Cour-Martiale Suprême;

sauf pour ces Carpes de bas-fonds, le ventre dessus la gueule ouverte;

de l'attitude des Possédés dépossédés de leur Âme.

Comme la Femme de la Chrétienté du «Calendrier-Solaire» d'il y a cinq siècles,

la Bouc Émissaire du Dieu-Yang de sa Trinité dénaturée Tri-Phallocratique,

qui a cureté la Matrice de nos Mères pour mieux chambouler nos Racines-Généalogiques

dans son Val-Jalbert pan-caïnadien,

pour nous faire oublier nos Langues-Maternelles qui vont mourir

dans «le Patrimoine-Matricide du Fieffé-Fief du Caïnada».

 

En Rumeur inédite, cet extrait en finale de Défense Anticolonialiste

devant être plaidé au Pro Domo par votre Mal-Plumé, et jugé devant Juge et Jury

les 31 mars et premier avril 2014 au Palais d'Injustice de Montréal:

 

Il y a atteinte à la Personnalité juridique des Autochtones, expropriés de Celle-Ci

sans Compensation, d'être jaugés en Faune Locale, en vulgaires Valeurs Mobilières, qui, si elles avaient été de lucratives Valeurs Immobilières,

auraient reçues Compensation fort avantageuse, selon l'affirmation catégorique:

«No expropriation without Compensation -de la Cour-Martiale Suprême

dans l'arrêt Manitoba Fisheries. Selon ce que cela m’infère d’avoir vu se judiciariser

l’absurdité ainsi rendue dérisoirement brevetée, c'est dire franchement

qu'il eût mieux valu que je plaide la Cause des Natifs, avec un Titre de Propriété

sur la tête, avec pot de terre et une canne de sardines,

afin d'être perçus avantageusement en tant qu'inestimables « Valeurs Immobilières »,

et ainsi, rendus éligibles à l'inespérée Compensation de Sincère Excuse piaculaire

et aide effective à débroussailler nos Arbres Généalogiques

après l'outrageante expropriation de nos Personnalités juridiques. Tant qu'à moi,

à choisir ma Sentence à la manière de Socrate, j'opte sans hésitation

pour l’Excommunication de votre bâtarde de Théocratie élisabéthaine,

et même encore plus, j’opte pour l'Euthanasie libératrice, plutôt que le statu quo

d'une piètre sous-existence de Zombi soumis législativement à la Volonté débile

des Rois-Morts! -ou bien, minimalement, en ultime Espoir d’Émancipation évolutive,

que l'on me reconnaisse ouvertement et sans aucunement lésiner,

l’inestimable Liberté céleste d’une Outarde, qui, la Chanceuse privilégiée,

voyage glorieusement sans le merdique Passeport de la Honte pour Vaincus rabaissés

en «POW, Prisoniers Of War», et qui s'acceptent ainsi de tolérer

être pitoyablement dégradés en «WOP, Without Official Paper», alors qu’en Outarde,

je n’encourerais bravement somme toute annuellement

qu’une courte saison de chasse…«IDLE NO MORE  

 

«to be consider very seriously, from the Mikmaq-Trickster Kwi'kwa'ju!»

 
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