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mercredi 5 mars 2014

Défense Anticolonialiste partie 1


Défense Anticolonialiste

 

Les emphases, italiques et soulignés sont généralement de nous; ne sont signalés que les ajouts provenant des auteurs. Quant aux trois astérix ***, ils n’indiquent en repérage personnel que le début des collages provenant de plusieurs de mes textes, qui s'offrent en agrégat traitant de Rubitude et de causes en justice qui ont eu lieu ou qui sont appelées à se faire juger en 2014, et dont les détails vous sont précisés de façon éparpillée obligatoirement, comme se doit être absolument tout ce qui provient d’un Excentrique malencontreusement mis Hors-de-Lui, de ma Personnalité-Juridique pulvérisée et atomisée tout autour de ma carcasse d'Annulé avec tous les Miens «zombifiés» en Zappés-Apatrides…

 

Ce texte casse-tête se tient néanmoins, et n’en constitue pas moins une incontournable Défense Anticolonialiste dénonçant une insidieuse situation de Subjugation britannique qui perdure hypocritement et qui persécute insidieusement tous les Autochtones. Je vous signale que cette Défense Anticolonialiste fut déjà soulevée très explicitement à deux reprises par le passé, d’abord, dans l’affaire pré-arrangée de Reine contre Denis Dubé, #500-008023-9880 du 17 mars 2004, rendue par Yves Fournier avec Isabelle Roy pour procureure de la Couillonne, alors que j’étais poursuivi d’une Accusation pour Harcèlement Criminel téléphonique; et par la suite, je fus accusé de Vandalisme des Armoiries canadiennes dans le jugement-préjugé de Reine contre Denis Dubé, #500-01-002223-045 du 30 septembre 2005, rendu par un vendu à rabais abonné à «l’Usage et la Coutume» des Rétrogrades Misonéistes à la Piquerie des «Junkies» de l’ancien Droit International Coutumier, Claude Millette avec son loufoque poodle sans Pedigree, Jacques Rouiller pour procureur de la Couillonne.

 

En tant qu’Adepte indéfectible de la Vérité obligatoire sur tout partout et en tout temps, je vous précise d’emblée ma détermination intime et absolument inébranlable de poursuivre mes attaques jusqu’à l’instauration d’une Réforme démocratique du Droit-Colonialiste Interne, avec cette Défense Anticolonialiste qui est appelée à être re-représentée en 2014 dans deux autres Procès bien réels qui vous sont précisés plus en détails en amont. Cette Défense Anticolonialiste, je l’offre donc publiquement sur Internet, tout à fait librement et on ne peut plus légalement, puisqu’il paraît théoriquement «by the book» (except that Rigths and Freedom are not granted in front of «the crook» wearing a canadian Toga»), que tout Accusé a droit à un Procès Public, et il se trouve que ce Public pour toute cause en justice qui me concerne, inclut bien sûr les honorables Juristes de l’Assemblée générale des Nations Unies dont les règles sont Supra-Étatiques, les États s'étant liés à la Volonté majoritaire, sauf Abstention déclarée ouvertement d'avance en signe de Dérogation expresse.

 

J’avoue franchement que je leur fait parvenir toutes les bandes sonores et toutes les copies sténographiques de mes jugements antérieurs, afin d’établir l’irréductible encrassement nocif de l’ancien Droit International Coutumier au détriment du Droit International Public dont on nous prive effrontément, et c’est la raison pour laquelle je leur fait parvenir exactement cette même critique personnalisée qu’il vous est proposée de lire ci-après, venant d’un irréductible Libre-Penseur exerçant humainement, sans restriction étatique, donc avec: mon Libre-Arbitre en Conscience de mon Âme incorporée pour m’accomplir à force d’agir et de m’assumer, comme se doit convenablement s’entendre: «Age quod agis ab imo Pectore, fais ce que tu fais du fond du Cœur!» Ma raison à la fois personnelle et stratégique, parce que je me prétends être Créancier des Droits et Libertés du Droit International Public, et que je prétends très sérieusement comme il vous sera démontré, être privé insidieusement par la Magistrature canadienne de toutes ces protections évolutionnistes, et cela, depuis ma naissance, parce qu’elle est restée pitoyablement accrochée à l’ancien Droit International Coutumier, suite aux prétentions d’intitulation d’élisabeth II du «Amistad» de 1982 qui lui furent crapuleusement reconnues lors du Renvoi-Esclavagiste de 1981.

 

La jubilation du jubilé  diamantaire élisabéthain se cisèle, mais n’est absolument pas partagée par l’Accusé qui, en 2014, en me représentant moi-même cette fois-ci, accusera l’Âcre-Accusatrice d’Actes de Génocide et de Crimes contre l’Humanité, et j’entends me représenter moi-même afin d’éviter de faire face à mon absence de défense, d’avoir été sous-représenté le 10 septembre 2012 par Me Nicolas Welt qui, sachant que les Gardiens de Prison du Centre de Rivière des Prairies m’avaient privé durant deux jours de ma médication de cardiaque, se retint de soulever ces traitements cruels et inusités. Il s’agissait de la première de mes deux bagarres qui eurent lieu en Juillet-2011 contre la Milice Patriotique du Québec, celle du 12 Juillet 2011, dont le premier épisode fut préjugé le 10 septembre 2012 par Jean-Pierre Boyer-Sewell, d'être aussi « Assimilateur » que le juge en chef Sewell de la Cour-Martiale Suprême de 1810, #500-01-059-163-110, dans un jugement où je fus acquitté de voies de fait graves, mais trouvé coupable fort injustement de voies de fait simples, puisque j’étais indiscutablement la Victime d'une agression sauvage, d’avoir, Témoins à l’appui, reçu deux coups de marteau au visage par le major Serge Provost, alors que Benjamin Dusseault que j’accompagnais, prenait un coup de marteau à la tête de ce même trouillard de Serge Provost en plus d’un coup de couteau de combat à l’épaule gauche par l’autant froussard milicien Michaël Guay-Lachapelle. Je vous précise que Benjamin Dusseault est un épileptique dans la trentaine, et moi-même, sexagénaire cardiaque, et que nous étions complètement désarmés lors de cette altercation à sens-unique, absolument à mains nues contre ces deux traces de brake frenchpeasoupiennes.

 

En résumé des Hauts Faits d’Armes du major Serge Provost de la MPQ, en 2003 Serge Provost  profanait la tombe d’un Juif et vandalisait l’Hôtel de Ville de Baie d’Urfé sur lequel avec ses comparses, il avait inscrit des propos anglophobes, en plus à cette même occasion de se faire prendre stupidement avec des matières explosives; et le 12 juillet 2011, cette agression à coups de marteau et de couteau par le major Serge Provost et son milicien Michaël Guay-Lachapelle contre moi-même, un cardiaque sexagénaire au cœur nécrosé, diagnostiqué le 13 juin 2011 comme porteur d’un caillot sanguin dans le ventricule gauche, qui pèse à peine une soixantaine de kilos et qui souffre en plus d’une grave scoliose; et ce pauvre Benjamin Dusseault terrorisé par l’agression, et se retrouvant en état de choc d’être un épileptique terrassé régulièrement par des crises sévères.

 

Pour ce qui est de ma deuxième bagarre du 17 juillet 2011 contre la MPQ, qui s’avère assurément de plus en plus comme un pitoyable Mouvement Pro-Colonialiste bas-canadien de tant faire fonctionner un système judiciaire qu’ils savent ségrégationniste, je me suis encore retrouvé accusé d’agression, cette fois par Patrick Leclerc qui me pourchassait sur la rue Ste-Catherine, le major Serge Provost qui me cherchait et Michaël Guay-Lachapelle qui me recherchait autant. Cette affaire boueusement douteuse d’Agresseurs-Provocateurs qui accusent, est appelée à être jugée le 17 janvier 2014 et porte le #500-01-64410-118. Sous réserve de mes imminentes récidives, dont les dates de jugement me sont inconnues présentement, mais qui se précisent de jouissive tentation grandissante, elles vous seront communiquées dès qu'elles seront appelées à se faire juger dans le Futur pour que L’Avenir soit un Présent sans Passé dépassé...se reconduisant dramatiquement par des Toges-Tordues demeurées Accros de leur Junk-Food de l'ancien Droit International Coutumier élisabéthain, et qui plus est, en signe alarmant de décadence, n'arrive même pas à la cheville de celui du règne de victoria, qui elle ne pouvait pas contrevenir au Droit International Public, de ne l'avoir jamais signé d'être décédée en 1901. Entretemps, s’ajoute à mon épopée judiciaire, l’accusation grave de port d’arme dans un dessein dangereux au Palais de Justice de Montréal le 10 septembre 2012, avec celle de port d’arme dissimulée, ainsi que celle de menaces de mort envers le Juge-Négrier Claude Millette-Zundel et Jacques Rouiller-Fasciste, son procureur-activiste de la Couille-On de la Couillonne élisabéthaine; cette cause, #500-01-080125-120, est appelée exceptionnellement à se faire médiatiser en dépit de toute manigance de Censure éventuelle, puisque le 30 janvier 2012, elle fut déterminée pour se faire juger devant juge et jury le 31 mars et premier avril 2014.

 

Assez curieusement, comme pour toute méthode de provocation pea-soupienne, Jacques Rouiller-Fasciste était bien présent dans la salle d’audience 4 :06 le 30 janvier 2013, et sans avoir aucune cause à plaider, et sans aucune protection particulière venant des Constables Spéciaux, ce qui prouve déjà la futilité et la superficialité des Accusations portées contre moi, et l'arbitraire des conditions imposées le 17 octobre 2012, de ne pas me retrouver à moins de cent cinquante pieds de cette ambulante Trace de Brake, de s’être pitoyablement montré devant moi comme tous les Juristes qui renoncent à leur Dignité-Humaine, en se montrant  bas-canadiennement un invétéré Capitulard-Froussard de Démocratie onusienne…

 

Les Faits de la cause, #500-01-080125-120: le 10 septembre 2012, soit la journée du jugement pour ma première bagarre du 12 Juillet-2011 contre la MPQ, ce Mi’kmak-Trickster que je suis est entré au Palais d’Injustice de Montréal avec un couteau de boucherie d’une douzaine de pouces, bien coincé sous des dossiers contenus dans un sac à rabat dont les deux sangles étaient fixées à leur boucle respective. Un couteau méticuleusement choisi, je l’avoue, avec la lame visiblement très émoussée et qui en plus se plie facilement à la rencontre de la moindre résistance. Moins dangereux qu’un bon vieux rasoir de barbier, mais suffisant pour faire paniquer les Pea-Soup of War as well as Democracy que sont les Juristes canadiens, en scélérate tentative d’Auto-Absolution de leurs Actes de Génocide contre les Autochtones. L’accès pour prendre ce couteau était volontairement difficile, d’être sous une pile de dossiers, en plus que j’étais absolument certain que la Sécurité s’en accaparerait en procédant sans tarder à ma fouille dès mon apparition, puisque lors de mon introduction au Palais d’Injustice élisabéthaine, je portais une pancarte très apparente de 4 pieds par 8, pour 32 pieds-carrés par façade, avec des inscriptions non équivoques des deux côtés avec des lettres colorées de six pouces de hauteur, affirmant ces Vérités :

 

SENTENCE AUTOCHTONE: LA DÉMOCRATIE :

AVEC LES RÉSOLUTIONS ANTICOLONIALISTES A/1514 ET A/2625

DES NATIONS UNIES, PERMETTANT L’EXTERMINATION

DES JUGES-NÉGRIERS CANADIENS!

 

1951-2012: 61 ANS D’ACTES DE GÉNOCIDES CONTRE

LES AUTOCHTONES PAR VOS POLITICARDS-COLONIALISTES

ET LEURS JUGES-NÉGRIERS. 61 ANS:

L’ÉQUIVALENT DU RÈGNE D’ÉLISABETH II DU «AMISTAD» DE 1982,

LA VACHE BÂTARDE SANS PEDIGREE!

«CAUSE HELL IS A BET WHO DEVIL STINKS!»

 

Malgré le contenu non équivoque de ma pancarte d’Anticolonialiste avoué, qui a fait venir tout de suite vers moi les Constables Spéciaux, ces derniers ont négligé de procéder à ma fouille, ils ne se sont qu’offusqués du contenu de ma pancarte en s’objectant sans succès à ce que je l’introduise dans la salle d’audience, alors que je leur affirmais que ma pancarte allait être déposée dans la Preuve au Procès. (Parce qu’il y a que suite à ma deuxième altercation avec Serge Provost, Patrick Leclerc et Michaël Guay-Lachapelle, de la Milice Anti-Patriotique du Québec, le Policier qui a procédé à mon arrestation le 17 juillet 2011, était venu vers moi en me reconnaissant puisqu’il m’avait déclaré: «Tiens! –si c’est pas le Gars de la Pancarte et il y a, que c'était tombé tout comme tombe une Sentence! –puisque les Policiers qui m’ont conduit au Centre Opérationnel de l’Est, (dont une Policière prénommée Roxanne), m’ont laissé cuire sur la banquette arrière durant 45 minutes, en me refusant à deux reprises ma bouteille de nitro de cardiaque, qui ne me fut rendue qu’en soirée. Le lendemain matin lors de la Fouille avant d'être transporté en fourgon au Palais d'Injustice, un Gardien de Prison du Centre de Détention de Rivière des Prairies, RDP, a failli briser ma bouteille de nitro en mille miettes en la lançant sur une tablette tout en se moquant de ma condition de cardiaque ; comme tous les autres Gardiens d’ailleurs, puisque durant deux jours et demi je fus privé de toutes mes pilules, quand mon cardiologue me recommande de les prendre aux heures fixes et de les prendre toutes pour que mon sang soit constamment liquéfié, ce qui a fait en sorte quà ma sortie, je craignais sérieusement de subir un ACV tellement j’avais mal à la tête, même en amortissant mes pas. Cette Sentence-Carcérale me confirme de Chartes-Bidons de Droits-Fictifs et de Libertés-Virtuelles! Ceci précisé pour souligner leur incompétence manifeste, en revenant sur l’affaire «du Jour du Long-Couteau mou et émoussé», le 10 septembre 2012, ce n’est qu’en l'avouant franchement à un Constable-Spécial (en quoi?), que la Sécurité en a pris connaissance de la présence de ce couteau, seulement une fois rendu dans un cubicule au quatrième étage. 

 

Que cela vous illustre la vulnérabilité des Avocats caïnadiens qui persisteront à se gaver du Junk-Food de l'ancien Droit International Coutumier...rendus susceptibles de finir comme autant de Frank Schoofy et de Sidney Leitman, et dès lors, en Invétérés-Capitulards autant Renégats que Lapsis, se convertissant de Païens à Fidèles du Droit International Public. Parce qu'il est complètement faux de croire que seuls les Juges et Procureurs nous privent depuis plus de 60 ans des protections onusiennes; de l'affirmation dicksonnienne de «Société qui se doit être libre et démocratique», comme d'«un Tribunal indépendant et impartial», ou d'«une Défense pleine et entière», autant de foutaises juridiques de toutes ces Méa Penchée et Méo Penché en Toges promotrices d'Auto-Séquestration au Carcan des articles 5 et 8 de l'Acte de Québec de 1774 de george III, comme autant de Promoteurs du Club-Med des Anus au Soleil de l'empire britannique, dont il faut préserver de l'insolation rectale...tout en les faisant cesser de renoncer à la Sauvegarde de «leur Dignité, de leur Honneur et de leur Réputation», stipulée en vain à l'article 4 de la Charte de Droits et Libertés de la Personne du Québec, autant utopico-chimériques que leur Libertés de Conscience et d'Expression de l'article 3, escamotées d'outre-tombe par george III...le Despote jugé salutairement indésirable aux yeux des Républicains américains...

 

L’accusation de menace de mort ne visait d’abord uniquement que le juge Claude Millette, quand on sait bien qu'il est évidemment plus qu’improbable de croiser un Juge comme monsieur tout-le-monde dans les aires publiques du Palais, sauf s'il s'agissait d'un Juge-Accusé, comme le juge Jacques Delisle, trouvé Coupable de l'assassinat de son épouse. Le 17 octobre 2012, une deuxième accusation de menace de mort m’a été signifiée, visant cette fois-ci le procureur Jacques Rouiller, ceci dans le but évident de rendre la première accusation plus susceptible «de culpabilité vraisemblable», et non pas «hors de tout doute raisonnable», d’autant plus que seul le couteau a été reçu dans la Preuve manipulée, c’est-à-dire que ma Pancarte de Militant-Anticolonialiste en est exclue après l’avoir gardé trois semaines au Palais d’Injustice, ce qui laisse présager que l’on entend encore me servir l’ancien Droit International Coutumier, en parfaits Toglodytes du Troisième Millénaire. Quant à ces deux Toges-Tordues que sont Claude Millette et Jacques Rouiller, je m’attends à ce que mon prochain Juge entendra les protéger en fidèle Comparse-Activiste, tout en se prétendant libre, indépendant et impartial, «as usual with the usage and as the custum of Make-Believe», pour ces deux Accros en manque de l’ancien Droit International Coutumier qui agissaient dans le jugement-préjugé Reine contre Denis Dubé, #500-01-002223-045, du 30 septembre 2005, dans lequel j’étais accusé d’avoir saccagé les Armoiries canadiennes sur le Bureau de Postes-Canada du 1251 rue University le 15 février 2004 un peu après midi, à 12 heures 15 minutes précisément. En témoigne depuis quelques années, une éloquente vidéo de mon saccage prise par deux amis et qui circule toujours sur Internet. Ces deux Escobars de Claude Millette et Jacques Rouiller m’avaient alors littéralement envoyé aux Oubliettes des Aliénés pour que ma Liberté de Penser se nivelle lamentablement à la leur, puisque je fus détenu une première semaine en Santé-Mentale à RDP, du dimanche 15 février 2004 au 24 février 2004 sans qu’aucun psychiatre ne procède à l’entrevue déterminant mon aptitude à subir mon procès. Ensuite, malgré une entrevue psychiatrique qui m'était favorable le mercredi 25 février 2004, je fus séquestré au Goulag de l'Institut Louis-Philippe Pinel durant une autre semaine jusqu'au lundi premier mars 2004, et cela, avec prise de sang non-consentie. Croyez-vous vraiment que deux semaines en Santé-Mentale, équivalent à un mois de Détention dans une aile de non-psychiatrisés, dont l'approche et la communication vous est nettement plus naturelle? -donc: dans une aile où vous serez encore considéré en Humain et plus susceptible de faire valoir vos Droits en cas d'abus d'un Judiciaire-Arbitraire?

 

 

Historique d'une Séquestration arbitraire

 

Le 24 février 2004, une juge apparemment Humaniste (Wow! -la Magistrature canadienne en compte au moins Une!), s’offusquait de ma détention arbitraire et ordonnait que mon évaluation se fasse dans les plus brefs délais, et qu’elle soit présentée à un juge pour le vendredi 27 février 2004. Cette juge avait en outre acquiescé à ma requête, d’être envoyé dans une aile de détenus qui ne souffrent pas de quelque trouble mental. Le lendemain mercredi 25 février 2004, plutôt que de me transférer dans une aile normale, comme l’avait accepté la juge de l’audience du mardi 24 février 2004, je fus amené arbitrairement à l’Institut Louis-Philippe Pinel. La psychiatre, Mme Kim Bédard-Charrette, procéda avec diligence à mon entrevue après le dîner. Son professionnalisme s’est avéré impeccable, d’avoir, après lecture de ma déposition au poste de police, eu l’humilité de m’avouer de ne s’y connaître aucunement en Droit International Public, et pour cette raison, de m’avoir proposé la présence d’une Juriste afin de s’assurer de la validité juridique de ma Défense Anticolonialiste que je présentais moi-même pour tenter de jouir d’«une Défense pleine et entière». Suite à l’entrevue, les deux, psychiatre et juriste, me déclarèrent apte à subir mon procès concernant le saccage des Armoiries canadiennes. Croyez-le ou non, malgré la conclusion positive de l’entrevue juridico-psychiatrique de Mme Kim Bédard-Charette, je ne suis sorti de l’Institut Louis-Philippe Pinel que le lundi premier mars 2004, pour totaliser une détention en Santé-Mentale de deux semaines, et par surcroît, en me faisant subir une prise de sang non-consentie et ultérieure à mon évaluation psychiatrique. Sans oublier que le juge Claude Millette a eu le culot de se considérer magnanime de me compter ces deux semaines en Santé-Mentale comme un mois de détention, quand deux semaines en Santé-Mentale valent bien minimalement un an de détention normale, en considérant l’atteinte injustifiable à la Dignité-Humaine. Une sournoise Dictature-Judiciaire que ce vicieux système de goulag-nazi! Voilà ce que j’en pense, d’avoir indiscutablement vu «ma loufoque présomption d’innocence» se faire transmuter arbitrairement et cruellement «en présomption d’aliénation mentale». Donc, si je comprends bien leur Parabole biblo-juridique: «Bienheureux les Innocents, car le royaume des cieux est à eux».  C'est dire que je me préfèrerais une Présomption de Culpabilité à 99%, avec 1% de non-dangerosité à prouver de mon passé pour en répondre, sans me faire présumer Coupable à 100%, comme la statistique des Sciences-Humaines le présente, à l'effet que «99% des Crimes contre la Personne sont commis par des hommes.» 

 

Quelle est la Logique qui m'interpelle? Mais parce que ce sont les Hommes-Juges qui ont précédé les Femmes-Juges dans leur Magistrature Patriarcale-Phallocrate, et, de leur herpétique Méat-Urinaire, ces Coqs-Proxénètes ont accouché de Poules de Luxe bien mises à leurs mains dans la Basse-Cour élisabéthaine, afin de perpétuer l'exclusion des Indiennes en pitoyables Promotrices d'une Condition Féminine de l'Auto-Misogynie, dans une pratique calquée sur le modèle plus que dérisoire de Louise Arbour-Zundel, la Poule de Luxe et Gerda-Nazi du Führer Adolf Harper: -Aïe! i't'leurre! d'avoir ainsi, en la donnant pour Modèle, sournoisement légalisé la Zoophilie...11 Chartes-Bidons de leurs 11 Libertés de Penser pour un pauvre Végétal, ma Volonté d’homme moderne parasitée du Bug de l'An-1000 en l’An-2000, supplantée fallacieusement par la Volonté-Législative des Rois-Morts, sauf législativement, de leur presque millénaire Sentence-Fatwa:

 

«Dieu et mon droit (protest-anglican rétro-adventiste, ou) honni soit qui mal y pense»

 

 

Objection de Conscience contre la Ségrégation judiciarisée

 

Définition du terme «Conscience»:

 

« n. f. (du lat. conscientia). 1- Perception, connaissance plus ou moins claire que chacun peut avoir de son existence et de celle du monde extérieure et de soi-même. Prendre conscience, avoir conscience de qqch. Perdre ou reprendre conscience : s’évanouir ou revenir à soi. 2- Sentiment intérieur qui pousse à porter un jugement de valeur sur ses propres actes; sens du bien et du mal. Avoir bonne, mauvaise conscience, n’avoir rien, avoir qqch. à se reprocher, ne pas se sentir, se sentir coupable de qqch. Avoir qqch sur la conscience : avoir qqch. de grave à se reprocher. Cas de conscience : situation délicate, problème moral très difficile à résoudre. Conscience professionnelle : soin avec lequel on exerce son métier. En conscience :  honnêtement, franchement. En mon âme et conscience : très sincèrement. Conscience de classe : chez les marxistes, ensemble des représentations idéologiques et des comportements sociaux par lesquels on sait qu’on appartient à une classe sociale déterminée.» (Petit Larousse Illustré, 2006. (À noter, que la version 1995 du Petit Larousse Illustré concernant la Conscience de classe ne mentionnait pas les marxistes, et de plus, qu’elle incluait cette précision: «–Liberté de conscience : droit que chacun a de pratiquer la religion de son choix. »)

 

En regard de cette dernière précision, il importe de spécifier qu’il existe simultanément une certaine complémentarité et une certaine particularité entre la Liberté de Religion et la Liberté de Conscience. Il faut comprendre que c’est du point de vue de l’interprétation judiciaire que se détermine cette complémentarité ou cette particularité de ces Libertés de Religion et de Conscience de l’article 3 de la Charte des Droits et Libertés de la Personne du Québec et de l’article 2(a) de la Charte canadienne des Droits et Libertés. Évidemment, l’Athée voit sa Conviction recevoir sa protection en vertu de la Liberté de Conscience, plutôt que sous le couvert de la Liberté de Religion à laquelle il ne croît pas, quelle qu’elle soit. S’ajoute à cette différenciation importante d’interprétation judiciaire, celle de la Supra-Constitutionnalité de la Charte canadienne par rapport à l’Infra-Constitutionnalité qui mine les feluettes Chartes Provinciales, et qui se présente pour le moins incompréhensible et inexplicable de ne pouvoir se justifier logiquement ni même judiciairement, que de favoriser dogmatiquement un arriéré Principe Théocratique inférant de cette Supra-Constitutionnalité la Suprématie du protestantisme et de l’anglicanisme sur le Christianisme des Catholiques de Rome sans protection du Traité de Paris de 1763 contre la Loi sur le Divorce d'henri III), comme nous le démontreront en amont, cette différenciation d’interprétation affecte les Convictions profondes de l’Athée qui ne croît à aucune de ces hérésies de Païens de Démocratie onusienne. La Liberté de Conscience est un Principe de Justice Fondamentale relativement nouveau qui n’a pas encore reçu l’interprétation judiciaire appropriée pour le consolider en Substance. Voyons ce qu’en disait Pierre Elliott Trudeau en 1968, alors que la Liberté de Conscience recevait sa reconnaissance constitutionnelle, soit 17 ans avant que la Charte canadienne ne soit mise en vigueur en 1985:

 

« On pourra toutefois soutenir qu’une garantie de religions ne protège pas la liberté des personnes qui ont choisi de n’avoir aucune religion. Pour protéger les droits de ces dernières, on pourrait envisager la possibilité d’élargir la garantie afin qu’elle s’étende, par exemple, à la liberté de conscience. » (Trudeau, P.E., Charte canadienne des droits de l’homme, 1968, Ottawa, Imprimeur de la Reine, p. 20)

 

Avant la mise en vigueur de la Charte canadienne, cette recommandation d’octroyer une interprétation judiciaire large à la Liberté de Conscience était partagée par M. Manning:

 

« The separation of freedom of conscience is a clear guarantie of the secular nature of the state and of a recognition that the Charter was designed to guarantee to those who act out of conscience the same level of freedom as to those who act out of religious belief.

[…]

The insertion of freedom of conscience to protect the atheist and the agnostic is a clear indication that the drafters intented a very wide range of activities to be protected. » ((op. cit.), Manning, M., Rights, Freedoms and the Courts, 1983, Toronto, Edmond-Montgomery, p. 199)

 

Pour une interprétation surprenante de ce à quoi réfère le concept de Conscience, d’être à la fois scientifique, philosophique et spirituelle, il nous faut considérer avec pénétration l’implacable Sagesse de Pierre Teilhard de Chardin, d’envisager la Pensée et la Conscience en tant que Facultés illimitées, et par conséquent absolument impossibles à contenir, sans nous faire pressentir la répression de la Censure jusqu’à l’appréhender, d’une Mise en Boîte conçue par la Turpitude d’un vil Manipulateur de Mauvaise Foi, un odieux Intrus envahissant votre Pensée :

 

« […] L’animal peut se lancer à corps perdu dans une impasse, ou vers un précipice. L’Homme ne fera jamais un pas dans une direction qu’il sait être bouchée. Et voilà exactement le mal qui nous trouble.

 

Ceci posé, que faut-il, au minimum, pour que, en avant de nous la voie puisse être dite ouverte? –Une seule chose mais qui est tout. C’est que nous soit assurés l’espace et les chances de nous réaliser, c’est-à-dire d’arriver en progressant, (directement ou indirectement, individuellement ou collectivement) jusqu’au bout de nous-mêmes. Requête élémentaire, salaire de base : et qui recouvrent cependant une exigence énorme. Le bout de la Pensée, de quelque façon que ce soit : mais n’est-ce pas la limite supérieure encore inimaginable, d’une suite convergente se propageant interminablement plus haut? Le bout de la Pensée, mais n’est-ce pas justement de n’en point avoir? –Unique en cela parmi toutes les énergies de l’Univers, la Conscience est une grandeur dont il est inconcevable, contradictoire même de supposer qu’elle puisse plafonner ni se recourber sur elle-même. Des points critiques en chemin, tant qu’on voudra. Mais l’arrêt ou la réversion, impossible : et ceci pour la simple raison que tout accroissement de vision interne est essentiellement le germe d’une nouvelle vision incluant toutes les autres et portant encore plus loin. » (Teilhard de Chardin, Pierre, Le Phénomène Humain, France, 1955, Éditions du Seuil, p. 231)

 

Vous commencez à percevoir maintenant l’Antithèse illogique de confronter la Conscience avec Elle-Même, et par conséquent en Elle-Même avec ce concept loufoque autant que pernicieux de la Supra-Constitutionnalité de la Liberté de Conscience plaidée en vertu de la Charte canadienne des Droits et Libertés, appelée par interprétation judiciaire népotique à supplanter la Liberté de Conscience dépréciée en Conscience Infra-Constitutionnelle parce qu’Elle serait plaidée en vertu de la Charte des Droits et Libertés de la Personne du Québec. Une telle interprétation à l’évidence Partisane, suinte la Théocratie protest-anglicane rétro-adventiste comme nous le verrons, et se fait promotrice de la Bipolarité-Haine qui parasite le système judiciaire canadien depuis son implantation par le Droit des Capitulations.

 

Cela présente une incohérence absurde et une insulte choquante de se fonder sur une Humiliation historique déshumanisante. S’il est vrai que la Conscience Humaine est exponentielle, son interprétation commande l’application d’un Critère Mondial Optimal de nature onusienne, afin de promouvoir la sérénité sociale par une Fraternité Sororale effective, plutôt que de sombrer dans l’oisiveté de l’irrésolution quant aux Leçons du Passé et par le fait même dans l’ignorance suscitée par le Parti-Pris qui sape l’Indépendance et l’Impartialité judiciaires. La Réforme s’impose, sinon, après les Guerres de Religions, l’Humanité sera ravagée par les Guerres de Consciences, ce qui revient à en manquer totalement d'implanter une supra-constitutionnalité de Méga-Poupée russe de Goulag.

 

Mon intérêt pour agir en Objecteur de Conscience est conforme à la trilogie des arrêts Thorson, Mac Neil et Borrowsky  de la Cour Suprême, et ne saurait être rejeté banalement pour futilité ou frivolité, ni comme présentant des élucubrations imaginaires pouvant inférer à de la prétendue quérulence, en éternel argument insignifiant d’arriéré Misonéiste se vautrant dans la fange de sa pestillentielle médiocrité intellectuelle, qui reconduit sempiternellement et sciemment l’atavique Bipolarité-Haineuse du régalien Droit des Capitulations que véhiculent fallacieusement les Armoiries canadiennes de la Proclamation Royale de 1921. Après cette lecture d’agrégat de textes, il se peut que vous en soyez amèrement persuadé, de ne pas jouir aucunement du principe de justice fondamentale «de la société canadienne qui se doit d'être libre et démocratique», selon les déclarations mensongères du juge en chef Dickson dans l'arrêt Oakes, page 136, ce que déni catégoriquement la Proclamation Royale de 1921 de george V, reconduisant l’anachronique Droit de Conquête de 1760 de george II, à george III, à george IV et puis à victoria jusqu’à george V, complice de l'assassinat de la famille de Nicolas II, son cousin, jusqu’au tour du règne de george VI le Bégayeux, en héritage hyper-géophage et ultra-démovore légué à la bâtarde de lignée dino-windsorienne, n’assurant que notre déshumanisation par la ségrégation légalisée d’avoir été judiciairement validé lors du Renvoi-Esclavagiste de 1981 pour satisfaire le caprice d’intitulation d’élisabeth II du «Amistad» de 1982…souverainement minable de son jubilé diamantaire, en parfaite Troglodyte du Troisième Millénaire!

 

Réflexions de l’Objecteur sur l’Objection de Conscience

 

On ne peut pas conclure superficiellement à la panique paranoïaque imaginaire de l’Objecteur de Conscience parce qu’il revendique en temps de Paix, si dans sa Réalité basse-canadienne virtualisée utopie-démocratique, une Guerre-Froide couve et infecte la Fibre-Sociale d’une pernicieuse Bipolarité-Haineuse dûment judiciarisée, comme il vous sera démontré en amont. Selon certains constitutionnalistes de renom, dont Henri Brun et Guy Tremblay, il y a une certaine sagesse stratégique à s’objecter en temps de Paix:

 

« De plus, comme «chacun» a la liberté de conscience en vertu de l’article 2(a) de la Charte canadienne, toute personne naturalisée conserve le droit de soulever une objection de conscience. En ce sens, il peut paraître étrange de soulever l’objection de conscience au moment de prêter le serment de citoyenneté dans la mesure où la personne naturalisée a la possibilité de le faire au moment opportun. Toutefois,  il y a un « avantage stratégique » à le faire au moment de prêter le serment de citoyenneté : il est plus facile d’obtenir gain de cause en soulevant l’objection de conscience en temps de paix. Il y a fort à parier qu’en temps de guerre, les juges se montreraient plus stricts à l’égard de l’objecteur. » (Brun, Henri et Guy Tremblay, Droit Constitutionnel, 1990, Les Éditions Yvon Blais, 2e édition, (op. cit.), p. 159)

 

À ma connaissance, jamais la Paix ne fut-Elle signée, et s’il est «notoire» que les Canadiens-Français ont capitulé jusqu’à perdre la Tête et la Face en Vaincus ayant piteusement signé l’Acte de Capitulation de 1760, et que la Notification héraldique de leur Soumission par les Armoiries caïnadiennes de la Proclamation Royale de 1921 en Subjugation qui s’éternise, se justifie et se rend effrontément légitime de la «notoire» longévité de cette Persécution avilissante, à la satisfaction insignifiante d’absurdité chronique du juge-ilote Yves Fournier-Carnavon dans Reine contre Denis Dubé, #500-023-9880 du 17 mars 2004; n'en déplaise aux Révisionnistes, il est également «notoire» qu’en 1777, les braves Mi’kmaqs se battaient encore honorablement contre les Britanniques lors de la Guerre d’Indépendance américaine:

 

« The Penobscot joined the Passamaquoddy, Maliseet and Micmac in securing the town of Machias against British attack in 1777. This victory represented America’s first naval success and secured the northern boundary of colonies for the rest of the Revolutionary War. » (National Geographic Society, Indian Nations of North America, 2010, (op. cit.), p. 54)

 

En revenant sur la pertinence de soulever l’Objection de Conscience comme à présent, en temps de trêve bien plus qu’en temps de Paix véritable, avec cette Guerre-Froide qui s’éternise entre Canadiens-Français et Canadiens-Anglais, et entre Bons et Mauvais Indiens, il peut s’agir là d’une précaution pouvant s’avérer salutaire en se rappelant que lors du Référendum sur la Conscription, les Canadiens-Français étaient clairement contre à 71,3%, (d'une seule Province francophone contre Huit Provinces anglaises, le battant avec un frauduleux 80%, de moins de 9%, de leur Référendum-Décisionnel de Peuple-Élu de leurs Valeurs Dominantes), en tenant compte facilement, que de cette éloquente Volonté-Collective de 71,3% réunissant des dizaines de milliers d’Hommes, seulement 28 Québécois purent soulever avec succès l’Objection de Conscience, comme nous le rapporte de façon alarmante l’éminent constitutionnaliste et professeur émérite, Pierre Patenaude:

 

« Enfin, on rapporte qu’il n’y aurait eu que 28 québécois francophones objecteurs alors que le Québec s’était opposé à la conscription. » (Patenaude, Pierre, (loc.cit.), «L’objection éthique et de conscience : Impact de la charte canadienne des droits et libertés», (1983) 13 R.D.U.S., pp. 315-351, p. 324)

 

Ainsi vu, l’Esprit peut raisonnablement devenir dubitatif quant à l’éloquente rhétorique jurisprudentielle du juge Jules Deschênes qui s’écroule comme un château de carte lorsque la Loi-Martiale est décrétée, comme ce fut le cas lors des Événements d’Octobre-1970 avec l’arbitraire des arrestations massives sans mandats préalables et dégénérant en détention injustifiable, et plus récemment, encore la brutalité policière en manque de Victimes, même collatérales, nous démontrant par surcroît, des Victimes, se faire en-fourgoner arbitrairement parqués dans des Paniers à salade César suite aux arrestations massives lors du Printemps-Érable en 2012, plutôt que de recevoir les Premiers-Soins. Après en avoir été Témoin de ces deux Événements historiques, je suis fort sceptique et même, sérieusement alarmé, plutôt que confiant et rassuré par les déclarations suivantes, pour le moins fortement exagérées, de l’Axe du Mal toujours Ailleurs que chez le Peuple-Élu, et surtout si le Plaignant en est, ne lui faudra-t-il pas un jugement favorable, précurseur par sa nature aux Arrangements déraisonnables de la Commission Bouchard-Taylor, comme ce fut le cas dans cette cause à saveur partisane de courbette judiciarisée, et ainsi, les déclarations suivantes s’avèrent toute aussi  frivoles que des Promesses Électorales venant de Jules Deschênes, qui était à cette époque le  juge en chef de la Cour Supérieure:

 

« La personne humaine est la plus grande valeur que nous connaissions et rien ne doit concourir à diminuer le respect qui lui est dû. D’autres sociétés placent la société au-dessus de l’individu. Elles emploient le rouleau-compresseur du Kolkhose et ne voient de mérite que dans le résultat collectif, même si des individus doivent être laissés pour compte au terme de l’exercice. Cette conception de la société n’a pas encore prit place chez nousmême si certaines initiatives politiques paraissent parfois la courtiser dangereusementet cette Cour ne l’honorera pas de son approbation. Chaque individu au Canada, au Québec, doit jouir de la plénitude de ses droits, soit-il seul, soit-il membre d’un groupe, et si ce groupe compte 100 membres, le centième a autant le droit de bénéficier de tous les privilèges de citoyen que les quatre-vingt-dix-neuf autres.» ((op. cit.) Jules Deschênes, juge en chef de la Cour Supérieure du Québec, dans Quebec Association of Protestant School Board contre Procureur Général du Québec, (1982) C.S. 673, pp. 692-693)

 

Pour ma part, je me souviens très bien que mon tout premier décrochage scolaire était purement hormonal, et le chamboulement virilisant qui me tiraillait s’est empiré en séisme interne redevable à n’en pas douter à l’austérité écrasante des Pensionnats-Carcéraux, ces Écoles Résidentielles où je fus interné durant quatre ans, contraint à servir mille messes en Latin pour ma facilité à lire à voix haute l’Épître et l’Évangile, et contraint par surcroît à coucher dans un grand dortoir pour environ deux cents gars; et je me rappelle qu’à ma Libération de ces cloîtres en puissance, je m’étais inscrit à l’école secondaire Joseph-François Perrault qui était mixte, elle, mais une Institution Académique où je n’avais rien à apprendre, d’être complètement dépourvue de dortoir, ce qui me motiva à m’inscrire pour de bon à l’École Buissonnière pour enfin assouvir librement ma sexualité débordante qui affectait grandement ma concentration. Mais, pour ce qui en est de mon deuxième décrochage scolaire, après deux années de droit durant lesquelles je m’étais affirmé comme un étudiant performant, ce deuxième décrochage scolaire est redevable à la constatation fort décevante d’un Judiciaire-Dictatorial rétrograde qui persiste à pratiquer l’ancien Droit International Coutumier avec sa pitoyable expertise au Simulacre démocratique, et redevable aussi à une répulsion irréversible en tant qu’Autochtone, à devenir Membre du Barreau canadien et à côtoyer quotidiennement une Magistrature-Ségrégationniste en scélérate tentative d’Auto-Absolution de ses Actes de Génocide envers les Natifs dont je suis avec ma Famille, comptant parmi les Victimes de ce sournois Judiciaire-Pervers d’être aussi insidieusement Raciste. Il se trouve que si je n’ai pas complété mon Bac durant la session de l'Hiver 1997-98, c’est afin de ne pas renoncer bêtement à ma Dignité-Humaine, mais je n’en ai pas moins continué à étudier le Droit International Public et tout ce qui l’affecte, comme par exemple le Droit-Héraldique de la Couronne britannique qui véhicule le Droit des Capitulations par la Notification de notre Subjugation avilissante dûment signifiée dans les Armoiries caïnadiennes de la Proclamation Royale de 1921, qui nous résument éloquemment l’ancien Droit International Coutumier auquel adhère toujours fanatiquement le Judiciaire-Dictatorial caïnadien. Et j’avoue franchement que si j’ai continué à étudier en forçat en autodidacte, c’est pour mieux me munir afin d’affronter ce système despote jusqu’à ce qu’il se réforme salutairement pour le plus grand bénéfice de l’ensemble de la Population.

 

Pour la plupart des Objecteurs de Conscience, l’insinuation de quérulence soulevée instinctivement contre Eux sous la Loi du moindre effort, est un argument fallacieux et suffisant, tout juste bon pour satisfaire le Faire-Semblant si cher à la médiocrité monarchique et sa loufoque bourgeoisie décadente. Lorsqu’ils se font de plus en plus nombreux, les Objecteurs de Conscience signalent un Mécontentement Populaire au Législateur et à sa Magistrature, qui, dès lors, peut fort bien présager l’imminente Désobéissance Civile généralisée se dressant unanimement en Revendication Démocratique. Après tout, l’Objection de Conscience devant les Tribunaux est le fait même d’une Revendication ouverte qui se rend légitime de sa Libre-Expression, et l’empêcher est malsain socialement et signe révélateur d’une Justice qui renonce traîttreusement à sa charge de se montrer en déni d’intention de rendre Justice en écoutant la Vérité du Citoyen, au lieu de l’exiger à sens unique en échange d’une vraisemblance de Toc. L’Objection de Conscience n’est somme toute, qu’une forme de Résistance Pacifique d’un Objecteur déterminé qui réclame de bon droit son dû, «le suum cuique tribuere»:

 

« Ceux qui soutenaient le devoir absolu d’obéissance à l’état disaient que, le pouvoir de l’état était imposé par la loi de la nature, la violation d’une loi de l’état était par conséquent une violation de la loi naturelle sur laquelle l’état était basé ; ceux qui affirmaient le droit de résistance disaient que la loi naturelle qui justifiait l’état ne supprimait pas les Droits naturels individuels, et que, par conséquent, il était naturel de désobéir à la loi de l’état qui ne respectait pas les droits individuels. » (co-auteurs, B. de Jouvenel, Kelsen, H., Ch. Perelman, A. P. D’Entrêves, N. Bibbio, M. Prélot, Ch. Esenman, «Anales de philosophie politique. Le Droit naturel», 1959, Presses universitaires de France, Paris, Institut international de philosophie politique, (op. cit.), pp. 229, p. 181)

 

Une fois que vous m’aurez lu jusqu’à L’Âme et compris combien et jusqu’où le britichiant Fardeau de la Rubitude qui désâme les Autochtones peut être accablant, peut-être comprendrez-vous la normalité de ma répulsion profonde pour le statu quo ravageur, et cela qui sait, jusqu’à cautionner ma Haine irréversible envers la Monarchie, ainsi que son vassalique Gouvernement-Fantoche et leur Magistrature-Ségrégationniste. Je ne suis ni un Agitateur, non plus un Anarchiste, et encore moins un Terroriste, (ni même un Souverainiste, car si le Législateur me donnait par exemple, les Titres de Propriété du Labrador, j’anticipe que fort peu de Natifs de la Confédération Wabanaki viendraient m’y rejoindre, en délaissant pour de bon leur Milieu de vie ancestrale, leurs lieux de Culte et de travail, et à bien y regarder, je ne ferais qu’appliquer la règle de Jules César de diviser pour régner, ce dont je ne tiens absolument pas de jouer le rôle des Conquérants); je suis tout simplement un Défenseur des Droits des Autochtones qui se retrouve vraiment contraint à devenir ouvertement un Militant Anticolonialiste pour la Démocratie onusienne, et évidemment par trop dérangeant pour les rétrogrades Misonéistes. Oui! -je m’alarme, parce qu’encore en 2013, nous végétons toujours lamentablement dans une exécrable Colonie britannique qui se refuse puérilement à devenir effectivement «une Société libre et démocratique», contrairement à ce qui m’a été promis judiciairement par le juge en chef Dickson dans l’arrêt Oakes; et donc par la faute du Judiciaire-Despote de sa létale mainmise monopolistique sur la Vérité. Va-t-on me re-brandir en rafale le spectre arbitraire de l’argument du bâton de l’Outrage au Tribunal, dernier vestige archaïque et anachronique d’arbitraire du crime de lèse-majesté, de cette importation britannique d’une despotique Common Law, spécialisée à l’écriture improvisée des Jugements-Politisés, inspirés bêtement des précédents judiciaires concernant un Droit anglais faussement prétendu non-écrit par ceux-là même qui écrivent ces jugements, dans lesquels les Juges-Féciaux canadiens suivent invariablementt la Ligne de Parti de la Filiale de la Compagnie de la Baie d’Hudson qui les a mis en poste à vie?

 

Cela prouverait sans contredit la véracité de mes arguments que mes prévisions d’incarcération arbitraire en Santé-Mentale se concrétisent. Je ne suis pas dingue! J’exerce sérieusement mon Droit d’Objecteur de Conscience, en tant qu’Homme mature de nature Humaniste de même qu’en tant que Bon Père de Famille fort préoccupé que sa Descendance, tous les Siens, la Population entière et la Postérité n’héritent que d’un vorace Vide-Juridique qui engouffre les Êtres et les annihile débilement de Déshumanisation par sa Démocratie aussi fictive que sa Reine du Canada de la Convention Constitutionnelle de 1926, qui n’a accouché pour notre plus grand malheur, que d’une hideuse laideronne avec la Dulcinée Death-Trèsbozos du Donkey-Shot du Parlement-Caïnadien de sa rachétique Fée des Rations. Fuck la fucking Bitch de Greenwich et son jugement par Contumace de merdique de pareatis, que vous obéissiez! Il est Grand-Temps que descende sur sa nuque chétive, le couperet de mon Indignation exprimée en toute Bonne Foi (de n’être ni chrétienne, ni protestante, non plus qu’anglicane), de provenir simplement d’un Objecteur de Conscience fanatique de Vérité, qui ne réclame tout bonnement que l’Égalité de Traitement ne me soit appliquée, que lorsqu’elle me convient, et surtout, de pouvoir en jouir sans me départir de mon Humanité. Voyons maintenant ce qu’en disent les distingués auteurs de la citation précédente, dans cette longue citation concernant globalement l’Objection de Conscience, le refus catégorique au Traitement différent, sauf lorsqu’il est requis d’être nécessaire au Bien-Être de l’Humain, ainsi que des réflexions socio-philosophiques sur la justification de la Désobéissance Civile:

 

« Personne ne peut nier que, tout comme le sentiment du droit des uns exige un traitement égal pour tous sans condition de race, le sentiment du droit des autres exige un traitement différent selon la race. » (op. cit.), Kelsen, Hans, co-auteur avec Ch. Perelman, A. P. D’Entrêves, B. de Jouvenel, N. Bibbio, M. Prélot, Ch. Esenman, «Anales de philosophie politique. Le Droit naturel», 1959, Presses universitaires de France, Paris, Institut international de philosophie politique, pp. 229, p. 100)

 

[…] « il y a péril d’intolérance inhérent à tout système qui se donne pour nécessaire. »

(Id., (op. cit.) de Jouvenel, Bertrand,  p. 169)

 

[…] À la vérité dans la pluralité de ses significations, «naturel» s’oppose à «artificielle», cette opposition présentant un parallélisme avec celle d’«endogène» et «exogène », de sorte qu’artificielle et exogène seraient par exemple l’introduction par des conquérants ou colonisateurs d’un corps d’institutions différent de celui qui s’est développé de façon naturelle et endogène dans la vie d’un peuple. Et de même une telle introduction par un monarque conquis à des idées qui ne sont pas les sentiments immanent à un peuple (par exemple Pierre le Grand et Catherine II en Russie).

(Id., (op. cit.) de Jouvenel, B.,  p. 162)

[…] « Quod libi non vis alleri non feceris. L’homme est capable de se mettre en pensée à la place de l’autre, d’endurer par l’imagination ce que l’autre endure en fait, et par conséquent de vouloir éloigner de l’autre ce mal qu’il fait sien. […] Il n’est pas étranger à mon sujet de souligner que la grande explosion d’écrits regardant le Droit naturel s’est produite en Espagne dans les ordres particulièrement informés des souffrances infligées aux Indiens d’Amérique. Il suffira de rappeler l’encyclique de Paul III: « Dans notre zèle à les secourir, nous déclarons…que quoi que l’on puisse dire ou avoir dit en sens contraire, les dits Indiens, comme tous les autres peuples que les chrétiens pourront découvrir par la suite, ne doivent se voir frustrés en rien ni de leur liberté ni de leurs biens (quoiqu’ils se trouvent hors de la religion de Jésus-Christ) et qu’ils peuvent, qu’ils doivent en jouir librement et légitimement. On ne doit les asservir d’aucune façon. Tout ce qui contreviendrait à ces instructions sera nul et non avenu. »

« À la vérité, c’est en frappante manifestation de solidarité humaine que la ré-activation du Droit naturel en Europe ait eu son principe dans la douleur morale ressentie par les théologiens espagnols des ravages causés en Amérique. » (Id., (op. cit.) de Jouvenel, B.,  p. 172)

 

Il est pour le moins paradoxal et absurdement contradictoire, qu’un système judiciaire qui se dit Contestataire s’affiche aussi allergique à toute Contestation Populaire, et il faut bien admettre que cette antithèse aberrante entre la Théorie et la Pratique suinte l’Imperfectibilité narcissique de la Monarchie britannique et son absurde principe de Common Law, à l’effet que: «queens and kings can do no wrong». Bien sûr, j’anticipe que la Liberté de Conscience que j’invoque et revendique en Objecteur irréductible, est de nature à provoquer un séisme dans le Droit Constitutionnel canadien dont la Conscience est inébranlable de britichiant flegmatisme et condamnée à l’Insensibilité chronique d’être ainsi affectée maladivement par son narcissisme systématique d’Imperfectibilité. J’entrevois que le contexte des Méga-Procès contre les Motards et les Gangs de rues criminalisés se prête mal à la réception de ma Défense Anticolonialiste paraissant celle d’un Anarchiste irréductible, ce que je ne suis pas et ne serai jamais; de craindre moi-même à ce que ma Défense Anticolonialiste ne serve à des fins illégitimes ou déloyales, ce qui serait propre à la discréditer et à la faire rejeter arbitrairement de façon définitive. Et il vous faut savoir que mon appréhension s’est renforcie grandement au fil de mes lectures sur l’Objection de Conscience, comme de cette citation du constitutionnaliste Pierre Patenaude:

 

« Nous espérons que les tribunaux continueront à préférer la primauté du droit individuel plutôt que celle du droit collectif lorsque se présentera devant eux un objecteur marginal qui exigera le respect de sa conscience. Nous sommes cependant sceptique,  car tout le poids politique et économique ne sera plus du côté de celui qui exige la protection de son droit individuel mais au contraire, l’objecteur devra faire face à tout le système. » (Patenaude, Pierre, (loc. cit.), «L’objection éthique et de conscience : Impact de la charte canadienne des droits et libertés», 1983, R.D.U.S., vol. 3, no 2, pp. 315-351, p. 351)

 

 

«L’Objecteur devra faire face à tout le système», cela s’entend de la trinité des Pouvoirs de l’État-Forceps, et, comme la Séparation des Pouvoirs n’est qu’une vulgaire Passoire, ce dernier membre de phrase n’est pas sans me rappeler le vieil adage machiavélique exprimant que: «si l’on ne dirige pas les Tribunaux, on ne dirige pas le pays.» Bien sûr qu’une telle devise implique indiscutablement la Dissimulation imperceptible, comme la Manigance de demeurer au Pouvoir même en perdant ses Élections, tout simplement en ayant au préalable procédé à des centaines de nominations de Juges âgés entre 35 et 45 ans, scrupuleusement choisis pour leur Indubitable allégeance envers la Ligne de Parti politique du Parti qui les a mis amicalement en poste à vie jusqu’à l’âge de 75 ans, pour ainsi se doter insidieusement pour les 40 prochaines années, d’un Gouvernement-Parallèle de Toges-Tordues qui sauvegarderont ses Lois de toute déclaration d’inconstitutionnalité, ceci précisé nonobstant l’Omerta-Judiciaire de Michel Bastarache et sa Commission-Bidon; tout comme il s’est magouillé sournoisement durant les 3 Mandats de cette vulgaire Filiale de la Compagnie de la Baie d’Hudson que sont incontestablement les Troglodytes-Libéraux de la Médiocrité Colonialiste de Me John-James la Charogne-Nazie Charest. Et s’il a au moins une couille, qu’il s’amène contre moi en dérisoire poursuite diffamatoire de Pea-Soup, en exécrable Païen de Démocratie onusienne,  comme un piteux Avocat sans cause…

 

Lorsqu’un tel principe antidémocratique prévaut de Dissimulation-Étatisée, il faut s’attendre à ce que la Vérité se confine dans l’Enceinte de la Conscience, là même où furent conçus les inestimables Principes de Justice Fondamentale appelant les authentiques Allégeances envers le Genre-Humain. Parce que c’est dans ces Principes de Justice Fondamentale que l’Humanité a résumé la somme de ses souffrances traduites en Leçons de Sagesse pour que cette glorieuse expérience soit mise à profit et s’incruste à demeure dans la Conscience-Collective de l’Humanité. C’est dans la Conscience que la Vérité mûrit, jusqu’à ce qu’un Objecteur de Conscience se donne résolument pour Mission-Existentielle de la reformuler sainement pour la remettre à l’ordre du jour.

 

Les Droits et Libertés réunis en Principe de Justice Fondamentale, sont à prime abord de la nature d’un Droit désarmé, souffrant d’incoercibilité nous dit-on, mais je n’en crois pas moins qu’ils s’imposent à la Conscience-Étatique, ne serait-ce qu’en rencontrant le Fardeau de Preuve qui m’incombe de la prépondérance des probabilités. Armé de ma seule Vérité, je n’en suis pas moins Confiant. Je me tiens résolu et ferme même si, suivant l’expression précitée du professeur Pierre Patenaude, j’ai à «faire face à tout le système». Indispensable à l’Évolution humaine, la Vérité ne se veut-elle pas rassurante de Mieux-Être pour Chacun-Chacune, puisque c’est la Vérité qui cimente l’Amour, les Relations familiales et l’Amitié, et qui permet de gérer sereinement l’ensemble des Relations Humaines:

 

« Psychologiquement, que se cache-t-il sous cette initiation ? Si l’Histoire n’était pas là toute entière pour nous garantir qu’une vérité, dès lors qu’elle a été vue une fois fut-ce par un seul esprit, finit toujours par s’imposer à la totalité de la conscience humaine, il y aurait de quoi perdre cœur et patience en constatant combien d’intelligences, même non médiocres, demeurent encore aujourd’hui fermées à l’idée d’évolution. » (Teilhard de Chardin, Pierre, (op. cit.), «Le Phénomène Humain», France, 1955, Éditions du Seuil, pp. 318, p. 218)

 

Il y a en effet «de quoi perdre cœur et patience», de constater que les Juges caïnadiens qui exigent de nous la Vérité la fuit comme la peste. Parce que ces Toges-Tordues de la Cour-Martiale Suprême, s’ils n’ont pas déblatéré jusqu’à s’égosiller à vociférer contre la Vérité, ne se sont pas retenu de la traficoter, et n’en ont pas moins erré en Droit et en Faits-Historiques en politisant la scène judiciaire de leur règle du stare decisis, de l’obligation de suivre aveuglément tout jugement provenant de la Cour-Martiale Suprême et des Cours d’Appel provinciales, de même qu’en délaissant arbitrairement la proportionnalité impérieuse entre la Règle de Droit et la Règle de Morale; et cela m’incitera témérairement à soulever la Récusation Générale, si les Tribunaux caïnadiens ne renoncent pas à la pratique anachronique de l’ancien Droit International Coutumier, pour adhérer inconditionnellement et pour de bon  au Droit International Public. L’Objecteur de Conscience n’exige somme toute que l’équilibre épanouissant de la proportionnalité entre la Règle de Droit et la Règle de Morale, comme le propose Bertrand de Jouvenel:

 

« […] il me paraît au contraire certain que la Morale agit sans cesse sur le droit, comme un affluent évidemment plus efficace qu’il a plus de force et de pureté. Toute métaphore est un expédiant non sans inconvénients. Mais celle-ci me paraît expliquer le caractère cyclique de l’idée de Droit naturel : on ne parlera guère de celui-ci au cas où l’évolution du droit s’ajuste habituellement aux exigences du sentiment moral. Au contraire, on parlera du Droit naturel, au cas où une insensibilisation du droit se trouvera intervenir, ce qui peut arriver aussi bien par dynamisme politique extrême que par conservatisme juridique exagéré.

[…]

Il existe vigoureusement comme impératif qui déploie ses manifestations selon que l’on prend conscience d’autrui ; car l’esprit du Droit naturel veut que l’on pense à partir de «l’autre». C’est par erreur que l’on rapproche le Droit naturel de l’individualisme : il a son principe dans «l’altérisme» : or rien n’est moins «instinctif. » (op. cit.), de Jouvenel, Bertrand, co-auteur avec Kelsen, Hans, Ch. Perelman, A. P. D’Entrêves, N. Bibbio, M. Prélot, Ch. Esenman, «Anales de philosophie politique. Le Droit naturel», 1959, Presses universitaires de France, Paris, Institut international de philosophie politique, 229 pages, p. 174)

 

Dans l’arrêt Edwards de 1930 de la Cour-Martiale Suprême, il est affirmé mensongèrement que «l’AANB a planté un arbre capable de croître dans les limites naturelles de ses paramètres», alors qu’en réalité, l’AANB de 1867 n’est qu’une pitoyable Loi-Coloniale unilatéraliste de victoria; ce qui me fait conclure que l’AANB de 1867 a plutôt été planté dans les limites naturelles des Cerveaux-Lavés de nos Grands-Parents et retransplanté débilement dans les nôtres par les Juges-Négriers du Renvoi-Esclavagiste de 1981. Ainsi donc, mine de rien, dans la Colonie caïnadienne du Séquoia géant, aucun Gardien de la Constitution ne peut vous l’exhiber honnêtement après l’avoir faussement déclaré Légal, pas même un mini Bonsaï à nous montrer pour nous servir d’Arbre à Palabres. Et cette odieuse Cachotterie  n’a rien de banal, de s’ériger en crapuleuse Trahison Antidémocratique, tout simplement pour ne pas établir son absence totale de caractère fédératif, pour qu’un odieux Mensonge en couvre un autre, comme un vieux tatou ridicule devenu de plus en plus gênant, que l’on fait fondre dans un autre qui le recouvre. Que leur dire qui soit sensé et pertinent à tous ces Politicards-Colonialistes et leurs Juges-Ségrégationnistes, concernant l’Égocentrisme arbitraire et suffisant qu’ils affichent systématiquement, sinon de reprendre à mon compte pour les sensibiliser, les sages paroles de Pierre Teilhard de Chardin:

 

« Mais, si c’est là vraiment ce qui se passe, que nous faut-il de plus pour reconnaître l’erreur vitale cachée au fond de toute doctrine d’isolement ?

 

Faux et contre nature, l’idéal égocentrique d’un avenir réservé à ceux qui auront su égoïstement arriver à l’extrême du « chacun pour soi. »

 

Faux et contre nature, l’idéal raciste d’une branche captant pour elle seule toute la sève de l’Arbre, et s’élevant sur la mort des autres rameaux. Pour percer jusqu’au soleil, il ne faut rien moins que la croissance combinée de la ramure entière.

 

L’Issue du Monde, les portes de l’Avenir, l’entrée dans le Super-humain, elles ne s’ouvrent en avant ni à quelques privilégiés, ni à un seul peuple élu entre tous les peuples! Elles ne cèderont qu’à une poussée de tous ensemble, dans une direction où tous ensemble (fut-ce sous l’influence et la conduite de quelques-uns («d’une élite») seulement) peuvent se rejoindre et s’achever dans une rénovation spirituelle de la Terre, -rénovation dont il s’agit maintenant de préciser les allures, et de méditer le degré physique de réalité. » (Teilhard de Chardin, Pierre, (op.cit.), Le Phénomène Humain, France, 1955, Éditions du Seuil, 318 p., aux pages 244-245)

 

MESSAGE IMPORTANT:

 

Il vous est proposé au préalable de procéder attentivement à la lecture des Débats de la Chambre des Communes de 1938, volume 1, pages 350 à 355, et volume 3, pages 2234 à 2249, vous prouvant hors de tout doute raisonnable l'unilatéralité de l'AANB 1867, jamais ratifié par les prétendus «Pères  de la Confédération», qui clamaient mensongèrement et frauduleusement à nos Ancêtres leur assourdissant slogan: «No taxation without Representation!» -promu par des PM-Pantins, sans aucun doute, parce que dans la Colonie du Séquoia, aucun des pseudo-gardiens de la Constitution ne peut vous l’exhiber, c’est-à-dire, que les Juges-Négriers caïnadiens sont des Traîtres crapuleux de «la prétendue société libre et démocratique», puisque comme mentionné en aval, ils n’ont même pas un Mini-Bonsaï à nous montrer après 146 ans pour nous servir démocratiquement d’Arbre à Palabres dans la Colonie de la Fée des Rations, présentement en loufoque jubilation diamantaire de son Enrichissement sans cause…chanté mafieusement en glorieuse épopée…

 

Il n’y aurait donc plus rien à dire contre l’arrêt Edwards de la Cour-Martiale Suprême, qui a sciemment et catastrophiquement planté l’AANB de 1867 «dans les limites naturelles» des cerveaux lavés de nos Grands-Parents, non plus qu'il soit permis de s'offusquer contre le Renvoi-Esclavagiste de 1981 qui le transplantait dans les cerveaux lavés des Révolutionnaires de la Tranquillité létale, en Fable sordide de la Fée des Rations pour nos Enfants, parce que la Cour-Martiale Suprême a encore récidivé avec sa sempiternelle turpitude népotique, comme elle le fait selon «l'usage et la coutume» des abdications au Judiciaire-Dictatorial de la part du Pouvoir-Exécutif, comme il se pratique fallacieusement à chaque Avis-Intéressé de même qu'à chaque Renvoi d’Ascenseur adressés à la Cour-Martiale Suprême, qui reconnaissait d’elle-même à cette occasion «un certain degré de primauté» au Parlement-Colonial des Marchands de Bétail d’Ottawa, qui nous marchandaient ainsi à la baisse de façon fort britichiante…

 

Analyse concrète de ce qui se constitue en Traitement différent

 

Pour chacun de nous de la Population, si nous étions poursuivi en justice par des prétendus Associés pour séparer les profits d’une compagnie dont nous serions prétendument le Propriétaire unique, le juge du Procès ne se contenterait sûrement pas de notre affirmation à l’effet que nous sommes l’unique Propriétaire de la compagnie qui n’a donc pas à séparer ses profits avec des associés imaginaires. Le juge exigerait de nous que nous exhibions la Charte de la compagnie qui le prouve sans aucun doute, n’affichant uniquement que notre nom. Alors, pourquoi nous cacher l’original de l’AANB de 1867 ainsi que le photostat commandé en 1939 de Londres par le juge en chef Duff, l'instigateur du Premier Rapatriement? Pourquoi? mais tout simplement parce que l’AANB de 1867 n’est qu’un «manuscrit» griffonné en vitesse en 1866 par Lord Thrin sous les ordres de Lord Carnavon, en triple conflit d’intérêt; premièrement en tant que Lord de la Chambre des Lords, dévoué à sa souveraine et à la Chambre des Lords; deuxièmement, il était également président du Colonial Office chargé d’écrire les Lois Coloniales; et troisièmement, il était tout autant le Président du groupe des délégués canadiens chargé d’aller porter l’AANB  de 1867 à la Chambre des Lord. Voilà ce que nous apprennent les Débats de 1938, selon les déclarations du député Walter F. Kuhl, s'appuyant sur quatre Constitutionnalistes de son époque, dont W. P. Kennedy, qui était Doyen de la Faculté de Droit de l'Université de Toronto. Pourquoi ces Débats sont-ils exceptionnellement censurés de la Preuve de mes Procès? -sinon parce qu'ils contredisent les mensonges «apartheidiste» du Renvoi-Esclavagiste de 1981.

 

Donc, en résumé dramatique, nos Juges-Troglodytes seraient les arriérés «Gardiens» d’une Constitution écrite à la main en 1866, exactement quatre siècles après la mort de Gutenberg en 1466, qui perfectionna les procédés de l’imprimerie hérités des Chinois qui étampaient leurs caractères un à un…en se posant la question en tant que bons Parents responsables : nos Enfants hériteront-ils d’une vulgaire Extorsion-Colonialiste déguisée frauduleusement en prétendue «dette nationale», puisque leur Constitution unilatéraliste Coloniale n’est aucunement fédérative», ce qui fait que l’acquittement de cet Endettement par Extorsion-Colonialiste revient plutôt de Plein-Droit à cette Mafia-Judiciaire qui tolère que le Vice de Consentement de l’AANB de 1867 et le Renvoi-Esclavagiste de 1981 soient totalement contraires au Droit International Public, en l’occurrence au chapitre 5 de la Convention de Vienne sur le Droit des Traités qui prohibe tout Vice de Consentement même à un Traité commercial, de même qu'à l’article 103 de la Charte des Nations Unies qui oblige les États-Membres à reconnaître la primauté du Droit International Public sur l'ancien Droit International Coutumier? Par ce que tel est le cas, puisque la Cour-Martiale Suprême lors du Renvoi-Esclavagiste de 1981, a également légalisé rétroactivement deux Conscriptions Génocidaires qui ont coûté la vie à 100, 000 Canadiens, mine de rien…??? –dont la Mémoire est crapuleusement profanée depuis; et cela sans oublier qu’absolument tous les Accusés au Canada se font accuser illégalement, puisque la source constitutionnelle du Code Criminel, à l’article 91 paragraphe 27 de l’AANB de 1867 est illégale, l’AANB de 1867 l’étant dans son entièreté: «l’accessoire suivant le principal»…et pour tous ces pauvres Accusés dont je suis: adieu à «leur Défense pleine et entière» dans un Tribunal «indépendant et impartial!»

 

 vous de vous délaver le cerveau en prenant connaissance d’une page importante de l’Histoire…qui, comme toujours, ne concerne que les Êtres-Là qui s'habitent personnellement, et par le fait même, qui sont authentiques, s'étant mis à l'abri d'une pitoyable vivotance par procuration qui n'est bonne que pour les Parasités qui se complaisent à se faire annuler par des Intrus! -si de nouveau censuré en photocopies, voir absolument sur la clef USB dans le fichier Défense Anticolonialiste, -les Débats de la Chambre des Communes de 1938, volume 1, pages 350 à 355, et volume 3, pages 2234 à 2249.

 

Historiquement, toutes les monarchies ont illustré une aristocratie lorgnant sa Populace en tant que «vulgum pecus, troupeau vulgaire», même si cette Populace était composée de Gens partageant la même citoyenneté. Combien plus vulgaire une Populace étrangère leur apparaîtra-t-elle méprisable, après l’avoir conquise par les armes et lui avoir fait signer un Acte de Capitulation afin d’éterniser héréditairement son Humiliation et de s’assurer de sa déshumanisation? Jean-Paul Sartre, en préface à Albert Memmi dans «Portrait du Colonisé», nous résume le Colonialisme tel qu’il s’est révélé universellement, quel que soit l’État qui l’a propagé:

 

« Le colonialisme refuse les droits de l’homme à des hommes qu’il a soumis par la violence, qu’il maintient de force dans la misère et l’ignorance, donc comme dirait Marx, en état de «sous-humanité». Dans les faits eux-mêmes, dans les institutions, dans la nature même des échanges et de la production, le racisme est inscrit; les statuts politique et social se renforcent mutuellement puisque l’indigène est sous-homme, la Déclaration des Droits de l’Homme ne le concerne pas; inversement, puisqu’il n’a pas de droits, il est abandonné sans protection aux forces inhumaines de la nature, aux «Lois d’airain» de l’économie. » (SARTRE, Jean-Paul, en préface pour Albert MEMMI, Portrait du Colonisé, 1972, Édition L’Étincelle, p. 23)

[…]

Memmi a remarquablement décrit la suite des démarches qui les conduit à l’«auto-absolution». Le conservatisme engendre la sélection des médiocres. Comment peut-elle fonder ses privilèges, cette élite d’usurpateurs conscients de leur médiocrité ? Un seul moyen: abaisser le colonisé pour se grandir, refuser la qualité d’homme aux indigènes, les définir comme de simples privations. Cela ne sera pas difficile puisque, justement, le système les prive de tout; la pratique colonialiste a gravé l’idée coloniale dans les choses mêmes; c’est le mouvement des choses qui désigne à la fois le colon et le colonisé. » (Id., (op. cit.), p. 24)

 

Éric Schwimmer nous résume comment dès les bancs d'école, l’Europe a méticuleusement préparé pédagogiquement la relève du Colonialisme pour qu’éventuellement il se perpétue et s’étende universellement jusqu’en Afrique et en Amérique du Nord:

 

« Le jeu n'est pas nouveau. Il y a plus de 2000 ans, Jules César nous en a livré le secret. Ses Commentaires sur la guerre des Gaules ont été lus par les écoliers de tous les pays impériaux. César y explique comment se faire des alliés de certains vaincus et comment ceux-ci peuvent ensuite servir à liquider ses ennemis dans le reste du pays. Divide et impera. Il se trouve toujours des vaincus prêts à collaborer avec les vainqueurs. Ensuite, quand les vainqueurs disparaissent, défaits à leur tour par les aléas de l'histoire, les divisions dans le pays conquis ne disparaissent pas. Les Indiens et les Pakistanais, les Fijiens et les Indiens, les Juifs et les Arabes, les Turcs et les Crétois, les Irlandais du nord et du sud, les Birmans des plaines et ceux des montagnes, tous continuent à se battre entre eux, même si les Britanniques ne sont plus là depuis longtemps. » (SCHWIMMER, Éric, Le Syndrome des Plaines d’Abraham, 1995, Les Éditions du Boréal, (op. cit.), pp. 101-102)

 

***En résumé, auparavant, lorsque le Droit des Capitulations était légal et le supportait, le Colonialisme sévissait partout dans le Monde en allant prendre «de Facto, de Fait» naturellement Militaire, avant de tenter de se faire reconnaître «de Jure, de Droit», étant toujours celui des Conquérants, comme nous le démontre Simone Dreyfus, qui est une auteure de doctrine du Droit International Public:

 

« La nouvelle colonisation- La première vague de colonisation date, on l'a vu, des grandes découvertes et de la fin du XVe (s.) Et elle a abouti à l'implantation des Européens en Amérique, en Extrême-Orient et sur certains points des côtes Africaines.

[...]

Cette nouvelle colonisation donne lieu à d'âpres luttes entre les grandes puissances de l'époque. Les rivalités européennes se transportent outre-mer. Et ces rivalités en Europe et outre-mer s'alimentent réciproquement: la France et l'Angleterre s'oppose en Asie (en Indochine et en Inde), l'Angleterre et la Russie en Chine. Les luttes sont d'autant plus âpres que l'importance de l'expansion coloniale est grande. Ses mobiles sont économiques et aussi stratégiques (bases navales, protection de la route vers l'Inde, possibilité de ravitaillements des navires etc.) et liés au sentiment du prestige national, car un empire colonial est considéré comme la marque de la grandeur et du rayonnement d'un État, ou parfois traduisant sa mission humanitaire auprès de peuples plus arriérés. » (Dreyfus, Simonne, Droit des Relations Internationales (extraits), Éd. CUJAS, 1978, pp. 7-47, pp. 22-23)

 

***Comment trancher, entre une Probabilité de Parti-Pris et une Certitude véridique, en regard d'une Complicité évidente inspirée par Turpitude-Népotique de la part de la Cour-Martiale Suprême? Évidemment, cela implique de scruter scrupuleusement sa Jurisprudence, afin de percevoir si elle pratique effectivement «la Retenue Judiciaire» qui nous assurerait de «son Indépendance et de son Impartialité», ou si au contraire, ses Arrêts nous illustreraient plutôt des Faux-Prêtres au Sermon-Dogmatique, en adoration débile devant leur Divin-Législateur les incitant d'autant de Ferveur au Positivisme.

 

Voyons quels sont les Arrêts du Conseil Privé de Londres qui furent «rapatriés judiciairement» par la Magistrature-Ségrégationniste de cette vulgaire Colonie britannique, pour se faire automatiquement incruster en vrac dans le terme fourre-tout de «Patrimoine» de l'article 27 de la Charte-Théocratique, Martiale et Animalière caïnadienne.

 

En rappel, d'abord, dans l'arrêt British Coal Corp de 1935, les Juges-Lords déclarèrent que: «le Roi est la source de toute justice». Ici, il vaut de rappeler cette maxime latine qui proclamait «rex non potest peccare, le roi ne peut mal faire», il serait sans Péché selon le terme «peccare», ce qui suppose «son Impeccabilité». C'est pourquoi je décrie l'absence flagrante de Séparation entre «le Pouvoir-Séculier» et «le Pouvoir-Temporel» qui s'infère de notre Jurisprudence ecclésiastique reconnaissant ouvertement (jadis), que le Monarque britannique est aussi «le Chef de l'Église anglicane», ce qui est tout à fait le cas depuis le schisme d'henri VIII millimètres en 1534, pour ce qui supporte ma prétention à l'effet que depuis 1534, l'angleterre s'était instituée en Théocratie protest-anglicane, et que depuis elle est gouvernée par «une lignée de Roi-Pape et de Reine-Papesse». Comme il est relaté dans le tome 2 du «Complot pour la Dignité, Théocratie protest-anglicane caïnadienne du Fief-Pontifical élisabéthain», (texte inédité), c'est le Juge Berthelot de la Cour de Révision dans l'arrêt Dame Henriette Brown contre Le Curé et les marguilliers de l’oeuvre de la Fabrique de la Paroisse de Montréal, ci-après l’arrêt Guibord, qui reconnaissait le monarque britannique en tant que «Chef de son Église». Et il faut bien admettre qu'indiscutablement, pour la majorité des Gens sensés et minimalement cultivés, le synonyme le plus approprié de «Chef» est «Pape», sans aucun doute, pour le Fondateur et le Chef d’une Église. Mais faites-vous plutôt votre Opinion, en prenant connaissance de sa Déclaration prononcée comme un Sermon sur les Plaines d'Abraham:

 

« Le souverain anglais ne pouvait en effet promettre plus. Il savait qu'il ne pouvait comme souverain protestant, lui-même chef de l'église anglicane, se soumettre ou promettre à ses nouveaux sujets l'observance de ce qui était exigé par certains des articles des libertés gallicanes, telles qu'elles sont rapportées par Pithou dans Durand de Maillane. »

[...]

« Je le demande, comment le gouvernement britannique, ou le souverain anglais pouvait-il exercer ces moyens d'action pour nous conserver les libertés gallicanes de l'église gallicane? Comment pouvait-il se faire fort de se plier à ce qu'elles exigeaient ou imposaient au Roi de France, qui prenait en outre vis-à-vis du Pape le titre d'évêque de l'intérieur. » (In Re Guibord, [1869] Cour de Révision, (op. cit.), juge Berthelot, p. 302)

 

Vous comprendrez qu’en tant qu’Athée de votre Dieu-Yang de rétrogrades Phallocrates, que je ne réclame absolument pas les Libertés gallicanes susmentionnées par le juge Berthelot. Je me revendique plutôt comme étant un Créancier-Privilégié pour moi-même et les Miens en tant qu'Héritiers-Bénéficiaires des protections substantielles du Droit International Public, et par conséquent, avec le Droit Interne qui lui soit cohérent de fonctionner en tandem, parce que le Droit International Public ne peut absolument pas être jugé «Infra-Constitutionnelle» à la Charte-Théocratique, Martiale et Animalière caïnadienne, avec la Charte des Nations Unies lorgnée de haut comme une feluette et anémique Charte provinciale de Capitulards: puisque le terme «Pro-vince», signifie clairement d’être «Pour la Victoire» du Conquérant britannique, en minables Promoteurs du Droit des Capitulations de la britichiante monarchie britannique…ceci dit, nonobstant l’Omerta-Judiciaire de Michel Bastarache qui, à grands coûts de nos deniers publics nous cachait hypocritement que depuis 1867 et subséquemment, vous avez toujours voté et ne voterez jamais que pour des vulgaires Filiales de la Compagnie de la Baie d’Hudson.

 

Pour établir cette Certitude dans votre Conscience, votre Objecteur conscientisé se permet de reprendre avec quelques ajustements, les quelques paragraphes suivants tirés du tome 2 du Complot pour la Dignité, puisque notre Situation de Fait revient ni plus ni moins qu'à «une Subjugation-Théocratique» de la nature du «cujus regio ejus religio, la religion du prince est celle du Peuple», ceci résultant de l'Absence totale de Séparation entre le Pouvoir-Temporel et le Pouvoir-Séculier dans tout le Royaume-Uni. Que penser d'autre, quand le Preacher in Chief Dickson nous affirme dans l'arrêt Big M Drug Mart:

 

« Quant à la liberté de conscience et de religion, le contexte historique est clair. Pour autant que cela puisse concerner la Charte, la revendication de cette liberté a son origine dans les conflits religieux qui ont sévi en Europe après la Réforme. »

(arrêt R. c. Big M Drug Mart, [1985] 1 R.C.S., 1 R.C.S. 295, (op. cit.)  juge en chef Dickson,  p. 344)

 

Après avoir lu de tels propos, à quelle autre conclusion aboutir, concernant l'article 4 du Traité de Paris de 1763 entre Louis XV le Bien-Aimé (des siens) et george III, ainsi que l'article 5 de l'Acte de Québec de 1774 et la Proclamation Royale de 1921 de george V, entres autres? -Il s'agissait bien là «de Législations Théocratiques et Martiales», à n'en pas douter, qui établissaient le Principe-Patriarcal de source Biblique, comme l'énoncent les vieilles maximes latines à l'effet que «la Religion du Roi est celle du Peuple», et cela, tout simplement parce que depuis toujours, «le Roi est le Ministre de Dieu sur Terre». Voici le texte avilissant et humiliant de l’article 8 de l’Acte de Québec de 1774, concernant nos Droits Civils de Vaincus, rendus parcimonieusement et sous condition d'allégeance et de soumission, toujours en vigueur comme l’article 5, concernant les Libertés de Conscience et de Religion, et qui vous fait renoncer bêtement à votre Dignité-Humaine à les tolérer comme tels, et ainsi, cautionner votre Décalage médiéval, de vous faire télé-déporter en dehors de votre Spatio-Temporalité:

 

« That all His Majesty’s subjects within the province of Quebec, the religious orders and communities only excepted, may also hold and enjoy their property and possessions, together whit all customs and usages, relative therto, and all other their civils rights, in as large, ample, and beneficial manner, as if the said Proclamation, Commissions, Ordinances, and other Acts and Instruments had not been made, and as may consist with their allegiance to His Majesty, and subjection to the Crown and Parliament of Great-Britain. »

 

Critique-Juridique des Élucubrations dicksoniennes

 

L'arrêt Big M Drug Mart expose une étude législative de treize siècles qui invite à cette conclusion d'une Théocratie caïnadienne, et cela se perçoit clairement dans les propos du Juge en Chef Dickson qui dresse la liste non-exhaustive des principales Lois-Ecclésiastiques anglo-saxonnes concernant la Loi sur le Dimanche, en omettant sciemment de souligner ce qui s'infère naturellement de sa liste, pour ne pas mettre en évidence «l'hérésie démocratique anachronique de l’anglicanisme en tant que Religion d'État de la Colonie caïnadienne», le Fief-Pontifical élisabéthain:

 

« Selon la tradition anglo-canadienne, cet entrecroisement remonte au début de l'ère saxonne et se retrouve dans des lois comme celle promulguée par Ine, roi de Wessex de 688 à 725. » (R c. Big M Drug Mart, [1985] 1 R.C.S. 295, (op. cit.), juge en chef Dickson,  p. 316)

[...]

« Les lois canadiennes antérieures à la Confédération s'inspirent de la Sunday Observance Act de 1677. C'est notamment le cas de an Act to prevent the Profanation of the Lord's Day, commonly called Sunday, in Upper Canada, 1845 (Can.) chap. 45, qui abstraction faite de certaines modifications mineures apportées pour qu'elle puisse répondre aux conditions et aux activités particulières du Haut-Canada, reprenait essentiellement les dispositions de la loi anglaise. » (arrêt Big M Drug Mart, (op. cit.),  juge en chef Dickson, p. 319)

 

[...] « l'arrêt Hamilton Street Raylway Co, [1903] A.C. 524, lequel arrêt a été suivi de l'adoption, par le Parlement fédéral en 1906, de l'Acte concernant l'observance du dimanche. À l'instar de la loi ontarienne, la loi reproduisait les éléments de base et, dans une grande mesure, la formulation de la loi anglaise de 1677, savoir la Sunday Observance Act. C'est encore le cas aujourd'hui, même après quatre refontes. »

(Big M Drug Mart,  (op. cit.),  juge en chef  Dickson, p. 319)

                       

Et encore, de l'arrêt Big M Drug Mart, venant toujours du Prédicateur en Chef Dickson-Wycliffe de l'Enfer protest-anglican, citant cette fois le juge Fitzpatrick, assurément un Irlandais-Orangiste rendu un Fanatique Renégat de sa Foi Catholique, alors que cet Incitateur à vous faire Cooperator déclare que: « (...) le christianisme fait partie de la common law du royaume. » Et encore, le Prédicateur en Chef Dickson-Wycliffe, en Chaire à la Cathédrale du Styx de Wessex, de cet extrait tiré encore de l'arrêt Ouimet v. Bazin, (1912) 46 R.C.S. 502, p. 525, mais cette fois-ci, citant le Juge-Négrier en Chef Duff, qui commanda en 1939, le Premier Rapatriement de l'AANB de 1867, ce dernier ayant constaté sa Forme Manuscrite et «son Vice de Consentement», n’en devint pas moins le Complice d'une des Hontes-Nationales qui ternissent l'épopée du Fief du Canada», en l'occurrence, la Conscription-Génocidaire de Mackenzie King. Pour ce qui est de la Religion d'État, elle apparaît encore en lisant le Comparse de Mackenzie King, le Juge en Chef Duff:

 

« En réalité, il me semble que la Loi considère les actes interdits comme une profanation de l'institution chrétienne du dimanche et les déclare passibles de sanction à ce titre. À mon avis, l'arrêt Hamilton Street Raylway Co. nous oblige à conclure qu'il s'agit d'une loi traitant de droit criminel. » (R. c. Big M Drug Mart, (op. cit.), du  juge en chef Duff, de l'arrêt Ouimet v. Bazin, (1912) 46 R.C.S. 502, p. 507, repris par  le juge en chef Dickson, p. 321)  

 

D'après moi, «la Théocratie protest-anglicane de la Colonie caïnadienne» n'est toujours actuellement, encore en 2013, qu'«un arriéré Fief-Pontifical élisabéthain» de leur Diablesse de Reine-Papesse protest-anglicane, qu'une minable «Inféodation anachronique à notre Modernité suintant le médiévalisme par la pratique persistante de l’ancien Droit International Coutumier, en totale contraventions avec les règles impératives et supra-étatiques du Droit International Public», par conséquent, les 9 Corniauds-Nazxis de la Cour-Martiale Suprême ne sauraient prétendre avoir rapatrié en 1982 le Pseudo-Pacte Fédératif de l'AANB de 1867, puisque c'est le Juge-Négrier en Chef Duff qui en ordonna «le Premier Rapatriement en 1939» qui lui fut remis de Londres sous la forme d'un «photostat»; et je ne peux  dès lors que me convaincre de «son Vice de Consentement», avec l'absence de Ratification par «les Pères Noël de la Confédération» que ces Salopards de Politicards-Ségrégationnistes en Toge ont remplacé en nous vendant frauduleusement en se substituant à eux, et cela, en cautionnant «son Illégalité onusienne». Et il fallait bien conclure selon moi, que le Juge-Négrier en Chef Duff de la Cour-Martiale Suprême de 1939, s'est fait le Complice du PM de l'époque, Mackenzie King, dans «la Conscription-Génocidaire» qui fut décrétée sans Source-Constitutionnelle dûment «légale de son Consentement vérifiable de sa Ratification», en plus d'avoir été décrétée durant son Mandat, contrairement à sa Promesse Électorale pour laquelle il s'était fait élire, de ne pas engager le canada en Guerre, et: «Bingo pour la Chair à Canons!»

 

Il ne faut pas oublier les omissions volontaires du juge en chef Dickson dans l’arrêt Big M Drug Mart, concernant «les guerres qui ont sévi en Europe après la Réforme», sont bel et bien signifiées sur le Passeport caïnadien de la Proclamation Royale de 1921, en l’occurrence dans le deuxième quartier en senestre, exhibant les Armoiries de Marie Stuart, reine catholique d’Écosse, décapitée par sa charmante cousine, et ultérieurement méprisée haineusement et de façon obsessionnelle puisque Marie Stuart est rabaissée «post mortem» sur les Armoiries caïnadiennes pour honorer élisabeth I, la première Reine-Papesse protest-anglicane en tant que fille d’henri VIII millimètres, et en tant que Législatrice de l’Acte de Suprématie de 1559, et du Bill des 39 Articles de 1563 qui firent de l’anglicanisme la Religion d’État en angleterre. Cela vu, tout en faisant le lien logique qui s’impose avec les expressions de la suprématie de Dieu et la primauté du Droit évoquées dans le préambule de la Charte-Théocratique caïnadienne, s’agissant de la même Suprématie que celle de l’Acte de Suprématie de 1559; et en faisant encore l'autre lien logique avec la Devise royale: mon Dieu et mon Droit, qui est toujours suivie de son éternelle Sentence-Fatwa: honni soit qui mal y pense! et qui, cette fois-ci, de façon exceptionnelle, s’exprime par les Armoiries caïnadiennes qui rabaissent héraldiquement les Canadiens-Français en Prisonniers de Guerre, en POW, de cette sournoise et scélérate Réquisition-Militaire généralisée en Déni de notre Droit à la Vérité, de notre Droit à la Mémoire, ainsi que de notre Droit à la reconnaissance innée de la Dignité-Humaine dans le Respect de la Réciprocité, en tant que principes de justice fondamentale qui nous sont fallacieusement niés de leur absence, autant que par l’injustifiable apposition desdites Armoiries caïnadiennes, directement apposées dans cet objectif antidémocratique sur la page couverture du document officiel de la Codification des Lois constitutionnelles de 1867 et de 1982. Autant de Cachotteries toutes ces demi-vérités en litanie dogmatique «from the Evil's Preacher Chief Justice Dickson, naturellement tenté dans la propension effrénée des Juges-Ségrégationnistes caïnadiens au Révisionnisme-Historique pour nous dissimuler la Vérité, «en optant sciemment pour la vraisemblance «de la Société libre et démocratique» dans leur Scénarisation-Obreptice d'une Uchronie-Judiciarisée favorisant sournoisement «l'Inféodation du Fief du Canada». Tout ce Cirque-Judiciaire de Juges-Féciaux, comme autant de Robes-Noires venus physiquement (et sexuellement) en Missionnaires chargés de nous convaincre par Conversion-Judiciarisée à la Laïcité de leur loufoque Théocratie, mais à l’évidence, dans «une Jurisprudence-Oecuménique pour l'Écume-Ethnique anglo-saxonne de la Tribu des Réducteurs de nos Têtes», jamais en Banc de Juges-Démocratiques siégeant dans des véritables Tribunaux-Laïcs, -mais plutôt en Chaire-Promotionnelle selon la teneur de leur Sermon-Jurisprudentiel, inspiré de leur constante Ferveur autant Ostentatoire qu'Apologétique».

 

Ça devait venir de la déformation professionnelle des Hérauts d'Armes, d'avoir été jadis des Saltimbanques de foire médiévale, pour que Dickson le Chief-Preacher nous en remette comme un Clown-Jongleur sur son Banc de Sénéchaussée, au centre de la piste, comme «un Bèta-Misonéiste du Droit Héraldique «des géophages et démovores Ogres de la lignée dino-windsorienne» qui débarque dans la Modernité par une porte du Passé qu'il nous faut condamner à tout prix, parce qu'encore et toujours dans sa Suffisance insignifiante du Jongleur de l'Absurde, ce Juge-Négrier en Chef Dickson qui aime se rechanter dans l'arrêt Morgentaler, reprend sa Rengaine en Bis de son Vice, d'une autre de ses citations tirées encore de l'arrêt Big M Drug Mart, en véritable Prêtre-Marron du même sempiternel Sermon des Suppôts de Satans, «en Haute Surveillance sur «les Damnés de la Terre» que Nous sommes avec Ceux de Franz Fanon, qui se doivent de réagir pour s'exorciser des Imprécations de la Goétie-Satanique de la putain de Diablesse élizabéthaine, pour Nous et Notre Descendance, surtout que sa JETTATURA-MALÉFIQUE retombera sur ELLE de la Tare-Héréditaire des Subjugués; alors que son Sinistre-Successeur leur rechantera sa Messe-Noire en ces termes du genre que «les Axes du Mal» sont toujours Ailleurs, du terme impeccable «pour l'Alibi-Parfait»; et de même, laisse-t-il entendre sournoisement, en manque de franchise pour le dire clairement, que «toutes les Théocraties protest-anglicanes rétro-adventistes sont autant Extrémistes que tous les États-Islamistes», et «Ite Missa Est», pendant que ce même Preacher hérétique in Chief-Justice Dickson, nous proclame encore la prétendue Laïcité de la Théocratie protest-anglicane caïnadienne dans son Sermon-Ultramontain, en britichiants Échos assurément trans-océaniques, que voici:

 

« Une loi du Parlement ou d'une législature qui par exemple prétendrait imposer les croyances d'une religion d'état entrerait en conflit avec l'al. 2 a) de la Charte qui garantit la liberté de conscience et de religion, et devrait être déclarée inopérante sans qu'il y ait même lieu de se demander si une telle loi est susceptible d'être légitimée par l'art. 1. »  (Big M Drug Mart, 1985, 1 R.C.S., (op. cit.), juge en chef Dickson, p. 333)

 

Rien de banal, car il y avait que sa  Jurisprudence-Théocratique dicksonnienne, elle s'engouffre entièrement dans «le Patrimoine-Biblique» de l'article 27. Et cela nous démontre clairement que tant son Sermon-Judiciarisé que l'article 27 sont en conflits avec son alinéa a) de l'article 2 de la Charte-Théocratique canadienne, et autant en contradiction de son article 33 l’obligeant d’y déroger nommément à l’alinéa a) de l’article 2 en nous vendant la fausse laïcité de la Théocratie protest-anglicane rétro-adventiste canadienne, ainsi qu’à l’article 52, qui impose d'y exclure absolument tout ce qui «la rendrait «Inconsistante à elle-même», contrairement à ce qu'il fait lui-même en relatant l'historique des Lois-Théocratiques britanniques protest-anglicanes dont nous avons pitoyablement héritées. Mais il y a que L'Éristique-Hétérodoxe que je suis en était rendu à croire que «la Souveraineté des Québécois», toute Ethnie confondue, étaient conditionnelle à leur Excommunication par leur Diablesse de Reine-Papesse de l'Hérésie-Biblique «des Tribunaux de l'Inquisition protest-anglicane», en Refus d'Office d'un Droit-Personnel de Veto sur notre Épanouissement-Intellectuel d'Autochtones Civilisés de même que sur ce qui menace notre Équilibre-Mental, en Objecteur de Conscience du Bon Père de Famille interdisant à tous les Juges-Négriers caïnadiens de continuer de faire croire débilement à ma Descendance et à tous les Autochtones, ce dont ces Juges-Féciaux les ont déjà embobinés traîtreusement, à savoir, leur stupide Dogme-Doctrinaire de fausse laïcité sur un merdique  fondement protest-anglican...

 

Malheureusement, pour le Scénario de la Garse des Vues, il y a que je complote depuis belle lurette sous un sombre Scorpio-Nimbus, depuis que je me suis transmuté en L'Amer-Indien né de la première Pluie provoquée par une Danse s'apparentant à une Pyrrhique; tout simplement parce qu'un Gars finit par se dire: «Wo! -there is a fucking Limit!» -rendu à mon âge de s'acharner à vouloir m'apprendre à vivre comme un Zombi qui s'accepte comme tel, en Mort-Vivant, alors que je n'espère plus de vous que l'Euthanasie suite à un honorable Duel-Judiciaire se voulant de ma part un Combat à Mort, mais qui sera sûrement esquivé lâchement pour se faire sournoisement re-politiser à « la mode Libérale-Conservatrice SurPéquiste ADQuatiste »,  donc dans un mafieux Jugement-Législatif.

 

De l'ère victorien à l'air élizabéthain, d'une Putain de Mère-Colonialiste à une Bâtarde de Mère-Ségrégationniste autant fanatique des articles 34 et 35 de l’Acte Général de Berlin de 1885: parce que je sais fort bien que Sewell, le Juge-Fécial en Chef de 1810, ce Chargé d'Assimilation-Étatisée, n'était somme toute qu'un pitoyable Fonctionnaire de la Médiocrité à la solde du Colonial Office; et qu'encore aujourd'hui en ce qui concerne nos Toges-Tordues, le piètre Critère d'embauche de tout bon Fonctionnaire, réside dans leur légendaire aptitude d'oisiveté débile à faire un clin d'oeil en s'ouvrant un oeil...comme nous le démontre cette citation venant de Maurice Séguin, un honnête Historien émérite, comme il ne s'en fait plus:

 

« LE PLAN SEWELL:

PEUPLER ET UNIR LES CANADAS »

 

      Le juge en chef Sewell, que Craig considère à juste titre comme le haut fonctionnaire le mieux renseigné sur l'état de la colonie, rédige en 1810 un long mémoire sur le problème politique et national du Bas-Canada.

 

      « Les difficultés politiques proviennent de deux causes: de la prédilection pour tout ce qui est “français” chez la très grande partie des habitants et du manque d'influence et de pouvoir du gouvernement exécutif. S'il n'y a pas de changement, prédit Sewell, et si ce penchant n'est pas entravé, il continuera de se développer jusqu'à ce qu'une crise rende nécessaire d'intervenir par la force et, en ce cas, l'avenir du Canada se décidera par un recours aux armes. » Dès 1810, Sewell peut donc prévoir 1837 et la double révolte armée.

 

      Selon Sewell, quand il existe entre conquérants et conquis des différences de langues, de lois, de religions, la fusion véritable et complète en un seul corps ne peut se produire tant que persistent ces divergences culturelles. «Les conquis peuvent faire leur soumission dans de telles circonstances, mais c'est alors la soumission d'un étranger à un gouvernement qu'il ne considère pas comme le sien.»

 

      Les Canadiens sont aussi français qu'ils l'étaient à l'époque de la conquête. L'antipathie entre Canadiens et Britanniques est aussi intense que jamais. Tant que le nombre des colons anglais sera aussi restreint, on ne peut espérer aucun changement dans la langue, les lois et la religion du pays. « Cependant, affirme Sewell, cette province doit être convertie en une colonie anglaise, sinon elle sera définitivement perdue pour l'Angleterre. »

 

      Sewell croit absolument nécessaire de submerger la population canadienne au moyen de colons parlant anglais. Cette immigration ne viendrait pas obligatoirement d'Angleterre. Elle peut être obtenue des États-Unis. Certains craignent la désaffection de ces colons américains. Sewell riposte: ces colons seraient des descendants d'Anglais; ils s'assimileraient plus facilement. « Si pour peupler le pays au moyen d'Américains, il faut courir un risque, le danger sera alors moins grand qu'en laissant la province dans la situation où elle se trouve actuellement. »

 

      Les terres incultes de la Couronne suffisent pour établir une minorité. Cependant, il est désirable que les colons de langue anglaise soient disséminés au milieu même des Canadiens. Mais la tenure seigneuriale inspire une telle aversion aux anglophones que les seigneuries sont entièrement colonisés de Canadiens. L'absence de contact entre Canadiens et Anglais rend impossible l'assimilation. Seule une intervention impériale pourrait permettre de changer de tenure, car on ne peut rien attendre d'une Chambre d'assemblée dominée par les Canadiens.

 

      Sewell en arrive à la réforme essentielle. La situation critique de la colonie exige des mesures qui opéreront dans la législature un changement beaucoup plus rapide que celui qui résulterait de la colonisation par des anglophones. «Rien ne serait plus efficace, pour changer le caractère de la Chambre d'assemblée du Bas-Canada, que “l'union législative” des provinces du Haut-Canada et du Bas-Canada, sous un seul gouverneur général et avec une seule législature.» L'influence des anglophones dans l'unique Chambre d'assemblée deviendrait plus considérable. Cette influence serait prépondérante si le nombre de représentants du Bas-Canada est diminué et si le nombre de représentants du Haut-Canada est augmenté.

 

      Sewell, après tant d'autres, revient à la formule d'une Chambre d'assemblée dominée par une majorité de députés anglophones, même si la population britannique est en minorité dans les deux Canadas. L'intérêt du conquérant britannique l'exige. » (Séguin, Maurice, UNE HISTOIRE DU QUÉBEC, VISION D'UN PROPHÈTE, 1995, Éditions Guérin, pp. 98-99)

 

Lorsqu'une Minorité domine une Majorité, une telle Subjugation s'apparente indiscutablement à une situation d'«Apartheid Voilà ce dont nous avons hérité du juge en chef Sewell de la Cour-Martiale Suprême, et qui fut déplorablement confirmé par le Renvoi-Esclavagiste de 1981. L'Histoire nous a fait faux-bond de n’en avoir aucune, par manque d’Espoir de résignés à la docilité avilissante, d'une multitude de Figurants sans aucun Acteur de Premier Rôle. Je constate amèrement qu'il nous fallait un Nelson Mandela, et non pas cette sous-espèce d’Escobars-Colonialistes comme l'exécrablissime tandem de Pierre Hell-he-hot le Corruptible-Trudeau avec son inséparable gueule-croche, Jean le Crétin-Chrétien au Parlement-Colonial d'Ottawa! -que l’inclinaison à la médiocrité a fait déclarer débilement en tant que «l'Être-Parfait» par partisannerie judiciaire, comme nous le verrons en amont.

 

-la Prophétie Sewell de la Grande Répression de 1837     

 

Maurice Séguin nous rapportait plus haut que «Dès 1810, Sewell peut donc prévoir» la Grande Répression de 1837 par l'Oligarchie anglophone qui excite «l'Antipathie envers les Canadiens-Français» qui était pré-existante «depuis la Conquête» et même avant, héritée des Guerres franco-anglaises d’Europe, et qui va finir par déterminer «le Gang-Select des Nous» et «le Clan des Eux» à s'affronter dans la double révolte armée» de la Grande Répression de 1837. Sewell était sans contredit le Juge en Chef d'une Cour-Martiale Suprême pour faire une telle prédiction: -car à cela, il faut bien craindre que OUI.

 

Par exemple, prenez-le de J.R.M. Sauvé, un Général à la retraite que j'ai eu l'Honneur de rencontrer chez-lui, et qui est l'auteur de «Géopolitique et Avenir du Québec». Une Lecture qui vous apprendra que la maxime «si tu veux la Paix prépare la Guerre» s'applique toujours, puisque si les Guerres surviennent, c'est qu'elles sont préparées longuement à l'avance, avec bien plus de soins qu'on en met pour les éviter, parce que ce qui importe pour les Polémologistes, c'est de prendre «de FACTO, de FAIT», par Campagne Militaire, avant de penser instaurer un prétendu «Ordre Juridique», pour la Paix, l'Ordre et le Bon Gouvernement» si cher au despote Richard III pour se justifier de ses crimes crapuleux, comme l'énonce la propagande du paragraphe introductif de l'article 91 de l'AANB de 1867, avant d'énumérer les Compétences exclusives au Parlement-Colonial d'Ottawa. Donc, dans l'objectif pour l'Harmonie-Sociale souhaitée par «le Roi promis» du Psaume 72 de la Proclamation Royale de 1921 avec dans le troisième quartier de l’écartelure, «sa Harpe Mystérieuse à 10 Cordes» pour représenter l'indispensable Décalogue Divin, comme l’affirme Saint Augustin dans ses «Confessions»; ce qui m’amène à conclure à «une Harpe autant Biblique qu'Héraldique», et qui se présente piteusement dénaturée franc-maçonnique rosicrucienne, ceci en tenant compte du mouvement pythagorique à 90 degrés de ce Dieu annoncé qui vient vers nous, pour ensuite bifurquer carrément afin de nous emporter idéalement vers son ciel satanique, dont il faut tant se préoccuper jusqu’à l’obsession morbide qui nous télé-déporte, déphasés du Décalage en dehors de notre Spatio-Temporalité et de notre Existence-Réelle:

 

« C’est ainsi mon Dieu, qui vous approchez autant de nous par votre souveraine bonté, que vous êtes élevé au-dessus de nous par votre souveraine puissance, que tous les désordres de la vie humaine violent votre Décalogue divin (qui est cette harpe à dix cordes), les dix Commandements que vous avez gravés sur les tables de la loi, dont les trois premiers regardent les fautes que l’on peut commettre contre vous, et les sept autres celles que l’on commet contre le prochain. »

(Saint Augustin, Confessions, traduction du Latin sur 22 ans d’Arnaud d’Andilly, France, 1993, Folio Classique Éditions Gallimard, p. 106)

 

Que faut-il s’attendre de la part des Conquis déjà présumés Coupables des 7 Péchés Capitaux par les 7 autres fautes «que l’on commet contre le prochain Car il est rapporté que le climat social était tendu depuis la Conquête, et que l'animosité préexistante s'est naturellement perpétuée jusqu’à nous, en se rappelant l’attentat récent au Métropolis en 2012 par Richard Henry Bain. Parce qu'en l'Absence de «Reconnaissance de la Dignité-Humaine dans le Respect de la Réciprocité», il y a que «cette Répulsion réciproque» subsiste, elle ne s'est pas dissipée, mais s’est plutôt affirmée autrement pendant plus de deux siècles, s'il faut en croire Éric Schwimmer, qui est Anthropologue et l'auteur du «Syndrome des Plaines d'Abraham», dans lequel il nous partage que:

 

« L'aigreur des relations entre les Canadiens anglais et Canadiens français a sans doute été motivée aussi par l'antagonisme religieux. Les relations entre protestants et catholiques n'ont jamais été bonnes avant la Deuxième Guerre mondiale; par ailleurs, sur le plan politique, la subordination de l'Église anglicane à la royauté britannique est en contradiction fondamentale avec la subordination de l'État laïque catholique à l'élection du pape. Du point de vue catholique, des slogans du type « Onward, Christian Soldier » ne sont guère chrétiens; ils ne sont certainement pas catholiques. Même du point de vue anglican, comment ose-t-on qualifier de chrétien un soldat qui réalise un idéal sur terre? Mais s'il est prêt à sacrifier sa vie à sa patrie, cette loyauté ne lui confère-t-elle pas une vertu religieuse? Encore peut-on condamner un tel amour de la patrie comme idolâtre »...

[...]

L'«antimilitarisme» des Canadiens français, en particulier, était perçu comme une faiblesse et un manque flagrant de patriotisme. L'idéologie canadienne-française était « dénuée du sens de la responsabilité. Les impérialistes Canadiens anglais imputaient ce défaut à l'absence de toute conscience historique chez ce peuple » qui ne peut pas «se forger un jugement valable de relations qui doivent lier entre elles les diverses parties de l'empire. »

(Schwimmer, Éric, Le Syndrome des Plaines d’Abraham,  Québec, 1995, Éditions Boréal, p. 106)

 

D'après moi, quant à la citation précédente d'Éric Schwimmer, il faut préciser que «l'antagonisme religieux» entre protestants et catholiques» remonte indiscutablement «aux Guerres de Religions qui ont sévi en Europe après la Réforme», en complétant les dires d'Éric Schwimmer avec les déclarations du Juge-Négrier en Chef Dickson tirées de l'arrêt Big M Drug Mart de la Cour-Martiale Suprême, toujours « en retenue judiciaire de la Pure-Vérité ». De plus, rappelons que l'expression «Onward, Christian Soldier» fut récemment utilisée par Richard Henry Bain en 2012, par le francophobe assassin du soir des Élections gagnées par le PQ, et qui s'en tirera assurément à bon compte, tout comme l'assassin du caporal Lemay de la SQ, (comme deux Victimes francophones jaugées en Bestiaux dont le Sort importe peu). Du point de vue de «leurs Effets juridiques», ces Guerres de Religions sont exécrablement symbolisées dans le Deuxième Quartier de l'Écartelure «des Armoiries caïnadiennes» de la Proclamation Royale de 1921, par la présence des Armoiries de Marie Stuart, la Reine Catholique d'Écosse, décapitée par sa chère cousine, élisabeth la Première Reine-Papesse de l'anglicanisme, érigé législativement en tant que «Religion d'État» par ses Lois-Théocratiques de l'Acte de Suprématie de 1559 et le Bill des 39 Articles de 1563». La louche Dissimulation «dicksonnienne», consistait tout simplement de dissimuler sa reconduction épiscopalienne de sa Religion d'État, puisque ces 3 Lois-Théocratiques» font partie intégrante du «Patrimoine canadien» de l'article 27 de «leur diabolique Magna-Charia protest-anglicane», et sans effet social provocateur non plus que discriminatoire avec l'article 11 de la Charte du Québec.

 

***Maintenant, reconsidérons les propos de Paul Martin père de l’Ex-PM, tirés des Débats de la Chambre des Communes de 1938, volume 3, page 2248, en se demandant sérieusement quels seraient «les organismes qui battent la marche lorsqu’il s’agit d’interpréter le droit coutumier»? Parce que Michel Pastoureau, un éminent Héraldiste, nous apprend par ricochet certains détails procéduraux que l’on nous cache effrontément pour tirer profit de notre ignorance souhaitée, à l’effet que «la notification de Possession coloniale accomplie aux autres Puissances coloniales», pourrait fort bien être l’œuvre du «Royal College of Arms»; et la validation lors du Renvoi-Esclavagiste de 1981, d’un Titre de Possession Coloniale émanant de ce Tribunal Héraldique en Jugement par Contumace à portée héréditaire, nous laisse entrevoir de façon alarmante que la Cour-Martiale Suprême n’est assurément pas le plus Haut Tribunal du pays, de s’y être soumise si pitoyablement lors du Renvoi-Esclavagiste de 1981:

 

« Dans le Royaume-Uni, en particulier, le Royal College of Arms, qui dépend directement de la Couronne, a charge, compétence et juridiction, comme les collèges des hérauts au Moyen Âge, pour traiter et résoudre tous les problèmes héraldiques. » (PASTOUREAU, Michel, Figures de l’Héraldique, 1996, Découvertes Gallimard, p. 39)

 

Les Armoiries caïnadiennes nous désignent incontestablement en Prisonniers de Guerre, en POW, Prisoniers Of War, et leur présence sur le Passeport de la Honte fait de vous des WOP, Without Official Paper, comme des pauvres Bêtes bâtardes sans Pedigree. Cela ne fait aucun doute, en constatant la présence de l’ancien emblème constitutionnel de la France avant l'adoption post-révolutionnaire du Tricolore, la bannière constitutionnelle de la France, autrefois aux Trois Fleurs de Lys, qui se retrouvent rabaissée dans le quatrième quartier en senestre, par conséquent, située côté Vaincus, sous le deuxième quartier qui présente les Armoiries de Marie Stuart, reine catholique d’Écosse, comme mentionné, décapitée par sa cousine élisabeth première Reine-Papesse anglicane. Il faut donc prendre très au sérieux les propos qui suivent de Michel Pastoureau:

 

« 2. L'HÉRALDIQUE AU SERVICE DE L'HISTOIRE POLITIQUE, SOCIALE, FAMILIALE ET GÉNÉALOGIQUE

 

L'aide que la connaissance des armoiries modernes peut apporter à l'historien de la société, à celui du droit, à celui des structures familiales et au généalogiste est manifeste et relativement bien connue. Nous ne nous y attarderons pas. Tout le monde sait comment l'héraldique constitue une science auxiliaire précieuse des études généalogiques et, par là même, des études démographiques, sociologiques, voire ethnographiques ou biologiques.

 

L'examen des armoiries aide à situer un personnage au sein de sa famille, à établir son arbre généalogique, à démêler le réseau de ses alliances matrimoniales ou parentales, à connaître éventuellement ses possessions de terres ou de fiefs; il peut aider à retrouver d'anciens patronymes (cas des armes parlantes qui en raison d'un changement de nom ne sont plus perçues comme telles), à distinguer deux étrangers qu'une homonymie faisait croire parent; il peut fournir des pistes pour identifier les ancêtres d'un individu, pour redécouvrir l'origine géographique d'une famille, pour rattacher un prieuré à son ordre, etc.

 

L'histoire politique se lit particulièrement bien dans les armes des états, des souverains, des princes et des dynasties en général. Par la variété de ses possibilités, le système des écartelures au sein d'un écu permet d'y lire l'histoire d'un royaume ou d'un fief, les héritages et les possessions d'un prince, ses prétentions, ses alliances, ses acquisitions et ses renoncements. En ce domaine, l'héraldique des XVIIe  et XVIIIe  siècles est particulièrement riche de raccourcis instructifs.

 

Enfin l'historien du droit trouvera dans l'histoire de la capacité héraldique et du port véritable des armoiries de quoi méditer sur l'inanité de la législation et de la jurisprudence et sur l'impuissance des arrêts, édits et ordonnances, face à des mœurs emblématiques qui, au-delà de la seule héraldique, sont de toutes les époques et de toutes les sociétés. »

(PASTOUREAU, Michel, Traité d’Héraldique, Picard éditeur, 2003, 4e éd., 407 pages, p. 281)

 

Maintenant, vous savez que « le Renoncement » de Louis XV par sa ratification du Traité de Paris de 1763, est bel et bien « notifié » sur la Charte-Martiale canadienne ainsi que sur votre Passeport de la Honte Nationale; « ce Renoncement » de Louis XV à george III incluant « le Territoire » en tant que « Valeur Immobilière » ainsi que nos Ancêtres jusqu'à nous, en tant que « Valeur Mobilière », vulgaire, périssable, mortelle autant qu'exécrable, appelée à suivre « le Principal » de « la Valeur Immobilière » d'un Royal « Jeu de Monopoly » incontestablement apocalyptique.

 

***les 2 Critères déterminant la Clarté des Titres de Possession Coloniale

 

a) -l'Occupation physique et effective du Territoire

b) -la Notification de la  Possession Coloniale accomplie,

conformément aux articles 34 et 35 de l’Acte Général de Berlin de 1885

de l’ancien Droit International Coutumier

 

Ma répulsion est logique et légitime envers tout symbole discriminatoire totalement contraire à l'article 11 de la Charte des Droits et Libertés de la Personne du Québec; ainsi, elle est on ne peut plus rationnelle, depuis que j’ai appris l’origine des «Armoiries caïnadiennes» par législation unilatéraliste de la seule Volonté de george V, lors de la promulgation de la Proclamation Royale de 1921 en tant qu'unique «Constitution-Martiale» du «Fief du Canada», et qu'elle équivalait «pour l'Amérique du Nord Britannique», exactement aux mêmes Principes-Colonialistes cristallisés «en critères essentiels» pour déterminer «la Clarté des Titres de Possession Coloniale» pour la Colonisation de l'Afrique», ce qui s'est fait aux articles 34 et 35 de l'Acte Général de Berlin de 1885, dans lesquels s'énonçaient enfin exceptionnellement en toute limpidité, les règles habituellement nébuleuses «du Droit International Coutumier» qui reconnaissait «la légalité «du Droit des Capitulations», maintenant rendu Illégal»,  mais qui fonde encore en 2013 le Fieffé-Fief du Canada. Ces critères, concernant la détermination de la clarté des Titres de Possession Coloniale nous sont expliqués en ces termes par Charles Rousseau:

 

« Dans le Droit International moderne, la réglementation de l’occupation a été fixée par l’Acte général de Berlin du 26 février 1885, dont les articles 34 et 35 établissent «les conditions essentielles à remplir pour que les occupations nouvelles sur les côtes du continent africain soient considérées comme effectuées». […]

a) condition de fond: l’effectivité ou exigence d’une occupation matérielle (installation sur place par l’État occupant d’une autorité suffisante pour assurer l’ordre et la liberté commerciale); b) une condition de forme, la notification ou mesure de publicité (notification officielle par la voie diplomatique aux autres Puissances, du territoire exacte ainsi occupé). Rendue nécessaire par les affaires du Congo (rivalité de Stanley et de Savorgnan de Brazza en 1878, incident de 1884 entre la Belgique et le Portugal), en réaction contre les pratiques d’occupation fictive par lesquelles un État déclarait prendre sous son autorité un territoire immense et inexploré dont ses agents avaient simplement reconnus l’existence, sauf à matérialiser cette occupation théorique par l’élévation d’un monument commémoratif ou la signature d’un traité avec les chefs indigènes. » (ROUSSEAU, Charles, Droit International Public, Dalloz, 1970, pp. 147-157, p. 150 et 151)

 

Ainsi donc, en réflexion salutaire concernant la Géophage et Démovore lignée des windsor, la Première Guerre mondiale de 1914-1918 pourrait très bien s’appeler «la Guerre aryenne des Trois Cousins germains» en conflit pour le monopole des Titres de Possession coloniale en préliminaire du « New-World » selon les critères précités pour la clarté des Titres de Possessions Coloniales. Le fait que la famille royale britannique ait changé de nom pour « Windsor » visait à l’angliciser pour inciter la population mâle à l’enrôlement, comme cela s’était produit également pour l’épouse du Tsar Nicolas II, qui s’appelait Alice Hesse-Darmstadt, et qui russifia son nom en Alexandra Féodorovna, ce qui n’empêcha pas le Peuple de l’appeler « l’Allemande », comme Marie-Antoinette se faisait appeler « l’Autrichienne » par les Français. Devrions-nous faire confiance aux monarques britanniques, si avides de Guerres coloniales, et laisser nos Fils entre leurs mains cupides, nous qui bien souvent n’en avons plus qu’un seul? Prenez note que pour ma part, il n’en est même pas question! Parce que l’extrait qui suit nous démontre clairement le piètre esprit de famille de george V qui s’est rendu complice de l’assassinat de la famille du Tsar à laquelle il était apparenté, et cela en leur refusant froidement l’asile politique lors de la Révolution bolchévique. Voici les propos du marquis Michel de Saint-Pierre, nous parlant du ministre Kerenski:

 

« Quels efforts, quel luxe de précautions, de la part de celui qui reste, après tout, un « ministre révolutionnaire » ! On n’en est que plus amèrement surpris lorsqu’on examine l’inconcevable réponse du cabinet britannique : vers la fin du mois de juin, l’ambassadeur d’Angleterre, Sir George Buchanan, vient voir le ministre russe des Affaires Étrangères, Teretchenko, pour lui apprendre que le gouvernement anglais refuse définitivement d’accorder asile à l’ancien empereur. Ce refus, «exclusivement dû à des considérations de politique intérieure», est même assortie d’une lourde note ironique – le Premier Ministre d’Angleterre exprimant l’impossibilité dans laquelle il se trouve d’offrir l’hospitalité à des gens dont les sympathies pro-allemande sont bien connues : tel est le point final. C’est donc ainsi que les Anglais ont décidé d’abandonner à la mort le tsar et la tsarine c’est-à-dire, pour être plus précis, le cousin du roi d’Angleterre et la petite-fille préférée de la reine Victoria. » (de SAINT-PIERRE, Le Drame des ROMANOV, tome 3, La Chute, aux pages 98-99)

 

La critique suivante de Me José Woehrling concernant le Renvoi de 1981, nous laisse entrevoir, outre l'infraction à l'article 103 de la Charte des Nations Unies, les trois autres contraventions sous-jacentes de la magistrature caïnadienne qui découlent naturellement de la contravention à l'article 103 de la Charte des Nations Unies; d’abord à la Résolution Anticolonialiste A/742, sur le caractère non-autonome d’un Territoire, ainsi qu’à la Résolution Anticolonialiste A/1541, sur la présomption de dépendance étrangère, tout comme à la Résolution Anticolonialiste A/1514 sur le Droit à la Décolonisation:

 

« C'est oublier que la constitution canadienne demeure, après le 17 avril 1982 comme avant, une loi anglaise à l'égard de laquelle le Parlement anglais possède, autant qu'à l'égard de l'AANB de 1867 aux dires de la Cour Suprême du Canada, un pouvoir juridique discrétionnaire. »

[...]

« La Cour suprême, en refusant de tenir compte des conventions et de la pratique, [plus que cinquantenaire] opère une rupture radicale entre l'ordre juridique canadien et la réalité politique là où, précisément, le passage (la communication) entre la validité et l'effectivité est impératif.

 

De cette façon, la Cour suprême maintient également le caractère «colonial» de la constitution canadienne, puisque la validité de celle-ci repose non pas sur le fait qu'elle résulte désormais d'une entente entre le fédéral et les provinces, mais uniquement sur le fait qu'elle a été votée à Londres. Au contraire, en donnant un effet juridique, même indirect, aux conventions, la Cour aurait assuré le caractère « autochtone » (en partie du moins) de la Constitution. » (WOEHRLING, José, (loc. cit.), «La cour suprême et les conventions constitutionnelles : les renvois relatifs au «rapatriement» de la Constitution canadienne», 1984, R.D.U.S. volume 14, no. 2, p. 432- 433)

 

Pourquoi donc, élisabeth deux du «Amistad» de 1982 est-elle venue ratifier le changement de nom de l’Acte de l’Amérique du Nord Britannique de 1867 pour celui de Loi Constitutionnelle de 1982, sinon pour enlever de l’ancien titre la trop apparente Subordination à l’Empire britannique prouvant -le caractère non-autonome du Fief du Canada de la Proclamation Royale de 1921, et ainsi obvier également à -la présomption de dépendance étrangère; donc afin de contrevenir à la Résolution Anticolonialiste A/742 sur le caractère non-Autonome d’un Territoire, ainsi qu’à la Résolution Anticolonialiste A/1541 sur -la présomption de dépendance étrangère, celle-ci étant historiquement britannique, la Supercherie démocratique s’étant hypocritement pré-arrangée judiciairement par le Renvoi-Esclavagiste de 1981 pour se reconduire ultérieurement de façon législative, pour ainsi nous priver également du  Droit à la Décolonisation de la Résolution Anticolonialiste A/1514 de l’Assemblée Générale des Nations Unies.

 

Il faut bien reconnaître que les Armoiries caïnadiennes sont divinement omniprésentes, sur la monnaie royale, sur tous les Bureaux de Postes-Canada, et universellement sur toutes les Ambassades caïnadiennes; et encore, sur le mur derrière le Banc où siège la Cour-Martiale Suprême, en plus d'être arborées sur la limousine royale lors de chaque visite officielle de la démévore lignée des windsor, de préférence à l'Union Jack britannique ainsi qu'à l'unifolié caïnadien de leur Colonie vassaliquement Hôtesse. Les Armoiries caïnadiennes inondent le globe, pour nous illustrer la plus grande commandite qui soit, de nous notifier en Possession coloniale, et les propos qui suivent du général J.R.M. Sauvé soutiennent cette affirmation concernant l'Obsession du Conquérant d'éterniser sa Victoire, en parallèle au Harcèlement historique de rappeler éternellement aux Vaincus leur infamante Humiliation:

 

« On pourrait discuter longuement de l’importance d’un tel manquement chez un vainqueur, car le principe de poursuite de la victoire initiale est reconnu comme un principe universel de guerre, qui a fait ses preuves. » (SAUVÉ, J.R.M., Géopolitique et Avenir du Québec, 1994, Éditeur Guérin, p.172) 

 

Que faire de cet archaïque principe polémologique de «la poursuite de la victoire initiale reconnu comme un principe universel de guerre, qui a fait ses preuves», -sinon de lui donner préséance, comme à Québec en 2008 et en 2010...qui s'éternise jusqu'à la vantardise vengeresse de l'angleterre et du canada d'avoir perdu le Territoire américain, du rappel tout l'été 2012, que nous aurions planté la plus grande Puissance Mondiale en 1812? -parce que sont dupes ceux qui croient que ce Principe de Conquérant ne leur est pas appliqué depuis deux siècles et demi...sans qu'il soit discriminatoire, selon l'Usage exportée de la Coutume polémologique internationalisée, pour se garantir d'une supra-constitutionnalité martiale...

 

-Clichés du Pissage de Frontières des Bornés-Misonéistes

 

Quel est mon interprétation de ce Rituel Polémologique si cher à la famille royale britannique? D'après moi, c'est ce que cachent chacune de leurs visites officielles lors des Événements Historiques?

 

Traduit en termes juridiques, «ce Rituel de Horde de Loups est celui d'un infecte Pissage de Frontières» du Territoire Conquis, et qui est intimement lié au Critère-Colonialiste que nous avons étudié de «la Notification aux autres Puissances-Coloniales de la Possession Coloniale accomplie sur le Fief du Canada», qui se doit d'exhiber «ses Prises de Guerre» contre lesquelles ils se réclament le Vainqueur; cette opération s'accomplissant principalement par «les Armoiries caïnadiennes», où les Adeptes de Polémologie, en pitoyables Accros du Droit des Capitulations, se donnent de suivre religieusement «le Principe universel de Guerre de la Poursuite initiale de la Victoire, qui a fait ses Preuves», comme le souligne en connaissance de cause le Général J.R.M. Sauvé; et je m’en offusque de façon légitime, parce qu'elles portent la Haine, puisque la Reconduction de la Victoire s'éternise en contrepartie en Harcèlement du Rappel constant de la Défaite aux Vaincus.

 

Maintenant, une Notion-Capitale à retenir: le Territoire dont «le Fief du Canada» se réclame vassaliquement le Souverain, doit se comprendre en s'imaginant comme il en est pour tous les États qui sont Propriétaires d'une Souveraineté-Trinitaire, c'est-à-dire dans l'ordre de l'anti-évolution du déplacement des Armées darwiniennes, à pied, en bateaux puis en avions, qui convoitaient jadis la Possession des Territoires des autres Nations, afin de s’accaparer #1- «de la Souveraineté Territoriale», #2- pour ensuite, par extension, étant adjacente aux Côtes de ce  Territoire, établir ultérieurement «la Souveraineté Maritime»; pour finir avec #3- «la Souveraineté Aérienne» au-dessus de ce Territoire. De plus, pour ce qui est de «la Souveraineté Territoriale», re-soulignons que la limousine de la Souveraine arbore «les Armoiries canadiennes» de son Fief-Pontifical du Haut-Canada», sans aucune exception à «cette Coutume», et non pas l'Union Jack britannique, ni encore moins la Guenille rouge «des Fous-à-lier de l'unifolier caïnadien».

 

Rétrospective: En 2008, au 400e Anniversaire de la ville de Québec, nous avons eu droit à «l'Occupation physique et effective de la Souveraineté Aérienne du Territoire» par les avions de Guerre de l'OTAN. En 2010, si élizabeth II n'est pas venue au Québec pour y mettre le Pied sur sa prétendue Souveraineté Territoriale du Québec, c'est pour éviter toute Contestation de sa Souveraine-Présence, parce qu'il faut compter qu'en 2009, cet affreux prince charlot-les-Oreilles lui avait servi d'Éclaireur, et il faut croire que les heureuses Turbulences lors de son Accueil leur auront servi de mauvais présages.

 

Encore en 2010, la ville de Québec a reçu les navires de Guerre de l'Otan, et parce que le Canada en fait partie, cet Acte Officiel doit être interprété en Message clair d'Occupation physique et effective de la Souveraineté Maritime du Québec; et il faut bien admettre que les Événements annulés pour célébrer la Bataille des Plaines d'Abraham déguisaient la Célébration du 250e Anniversaire de l'Acte de Capitulation de 1760, par conséquent, de «la Prise de Possession Coloniale physique et effective de la Souveraineté Territoriale du Canada-Français; la Territoriale, la première Souveraineté dont dépend les deux autres, Maritime et Aérienne; qui sait, peut-être simplement parce que les Hommes-Cupides depuis l’Antiquité, ont d'abord convoité à pied le Territoire des autres Peuples avant de savoir Naviguer et d'apprendre à Voler pour mieux le Voler avec prestesse.

 

Quant à l'Accueil froid et turbulent qu'à reçu le prince charlot-les-Oreilles, on se souviendra qu'il lui a fallu rentrer par derrière la Caserne du Régiment de la Black Watch, soit du Régiment de la Noire-Surveillance; mais il reste qu'il a effectivement foulé le Sol du Québec dans ce qui se doit être interprété comme une Prétention de Possession Coloniale par Anticipation, parce qu'elle est appelée à lui être remise par héritage, à moins que sa popularité chancelante ne l'inspire à abdiquer son titre à son fils william. Ainsi vu, absolument toutes ces Visites Officielles dissimulent des Célébrations-Militaires de la Conquête Coloniale de 1760, puisqu'elles visent toutes à reconduire la Bipolarité-Haineuse de «la Poursuite de la Victoire initiale» autant qu'à entretenir vigoureusement le Schisme-Asocial de «la Bipolarité-Haineuse du Nous/Eux», qui s’est toujours avéré si dévastatrice de la Ségrégation qu’elle incorpore et de l’insensibilité qu’elle propage.

 

Quant à moi, je pige fort bien qu'il me faut expliquer ce que cache ce genre d'Esquive-Protocolaire qui se fait éloquente de Trouillardise de la part des Intrus qui se savent l'être et qui s'en culpabilisent; car je trouve alarmant que le Protocole élisabéthain serve de synonyme au Décorum-Judiciaire des Toges-Tordues essayant désespérément de jouir des mêmes Prérogatives royales, mais en vain sans Titre de Noblesse. Je m'entête en Messager en Continu, affairé à un URGENT-SOS lancé jusqu'à l'Arrivée des Secours Onusiens, à répéter inlassablement que pour «notre Sécurité-Nationale», il nous faut savoir lire «les Événements-Officiels», parce qu'avec des Toges-Belliqueuses qui nous éternisent «en Guerre-Froide», nous avons à faire à des Obsédés-Rétrogrades du misonéisme atavique du Droit des Capitulations, lequel procède toujours en deux temps: d'abord, «de Facto, de Fait, (pour prendre par Conquête Militaire), et ensuite, de Jure, de Droit» (pour se Légitimer de conserver sa Prise de Possession-Coloniale à tout prix); et cela s'explique: parce qu’invariablement, «le Fait précède toujours la Forme Juridique» nous précise le Général J.R.M. Sauvé à la page 102 de « Géopolitique et Avenir du Québec », 1994, Éditeur Guérin.

 

Et les exemples ne manquent pas de ces Faits-Officiels relatifs à la Guerre, et pourtant, qui sont dépourvus de toute Bravoure et de tout Honneur à l'image de leurs Promoteurs, comme «la Parade-Orangiste» qui se tramait sournoisement en vue de célébrer en 2010 le 250e anniversaire de l'Acte de Capitulation de 1760 menant à «la Victorieuse-Défaite» des Plaines d'Abraham, heureusement empêchée par le Réseau Résistance du Québec, -quant à moi, parce qu'elle se tramait dans l'Objectif belliqueux de signifier «la longue Occupation physique et effective de «la Souveraineté Territoriale sur «le Fief du Canada» ainsi que la Soumission docile de son Sous-Fief du Bas-Canada». Quant à «l'Occupation physique et effective de la Souveraineté Aérienne du Territoire», rappelons le 400e Anniversaire de Québec en 2008, avec son Maire-Conquis débilement de recevoir «les Avions de Guerre des Armées de l'OTAN»; et pour ce qui est «de l'Occupation physique et effective de la Souveraineté Maritime du Québec, le même Maire-Nullard doublement Conquis, recevait en 2010 «la Flotte de Guerre des Armées de l'OTAN».

 

Autant de Cérémonies et d'Événements à Caractère Militaire qui visaient à procéder à la Célébration de «la Poursuite de la Victoire initiale en tant que Principe universel de Guerre, qui a fait ces preuves», aux dires du Général J.R.M. Sauvé, d'une Coutume Multi-Millénaire qui se répète encore et toujours en Harcèlement-Continu des Victorieux aux Dépens des Vaincus, de tous ces outrageants Rappels qu'il nous faudrait oublier malgré leur Obsession-Maniaque de la Récapitulation de la Capitulation de 1760, pour s'éterniser dans le Carcan-Judiciaire depuis le Renvoi-Esclavagiste de 1981.

 

Pensez donc: «une Chose Réquisitionnée» par traîtresse judiciarisation outrancière lorgnée en Chose tenue pour la Vérité des Autres Ultra-Rationnels, de juges-négriers pour qui son Prochain est obligatoirement le Suivant de la prochaine cause à juger, avec mon Moi animalisé en de-ça du ça, que du vulgaire «Bétail de Fief» en Errance avec le reste de la Faune Locale dont je serais», et en plus, qui ose s'enquérir de sa propre Vente aux Enchères à leur Marché d'Esclaves, et même par surcroît, «de la Destination du voyage à fond de cale de leur Bateau-Négrier». Je vois bien à la scruter en Tous-Sens, que «L'Histoire», à force de Falsifications-Révisionnistes, était odieusement truffée de Trous comme cette Passoire de la Séparation des Pouvoirs étatiques.

 

Et le pire, pour que s'accomplisse cette Lobotomie de la Mémoire-Collective, -cela nécessitait «une Opération Chirurgicale», voulant en toute Préméditation à ce que la Vérité soit occultée outrageusement par «la Censure «alzheimerienne» d'un Judiciaire-Dictatorial de ses Docteurs Jekill», -alors que de l'École de l'Ignorantologie aux Médias de la Désinformation, ces Laveurs de Cerveaux nous vendent mensongèrement que nous sommes désormais de L'Histoire de L'Humanité, les Humains les plus choyés de Modernité-Scientifique d'être rendus à «L'Ère de la Mémoire informatisée»; ce qui, sans contredit, soutient mon Argument quant à «la Réalité-Fatidique de «notre Pseudo-Modernité de TOC», qui ne serait qu'une lamentable «Illusion» des Adeptes du «Faire-Semblant», -jusqu'à même «Faire-Semblant» d'être «une Société libre et démocratique», -alors que notre Réalité platonicienne est celle du «Bétail» du Fief du Canada» de sa Frontière-Aquatique «d'un océan à l'autre» de sa platonique Terre-Plate», qui est aussi «la Frontière de «la Bipolarité-Haineuse d'Importation-Européenne», pour qu'«un Pseudo-Nouveau-Monde» soit parasité par le Misonéisme «des Découvertes Tardives» de «l'Ancien-Monde», qui se croit «Seul-Peuplé par des Humains», en Nous jaugeant comme du Bétail de la Sous-Espèce franchouillarde ou de la Faune Locale pour les Natifs.

 

Et tout «ce Chaos-Asocial», -était indéniablement «redevable» à «un Judiciaire-Dictatorial» parce qu'il détient «le Pouvoir-Absolu» d'exiger de nous la Vérité en échange de ce qui n'est pitoyablement que vraisemblable: ce qui m'amène à conclure  que «la Séparation des Pouvoirs» n'est en elle-même qu'une minable Passoire, dans un sens comme dans l'autre, de façon «palindromique» pour ainsi dire, -en considérant ce Cirque: «des Trois Pouvoirs Étatiques du «Parlement-Colonial d'Ottawa», selon «la Sagesse-Yinississime» de ma vielle Mère presque nonagénaire, qui se présente naturellement teintée «d'un Sarcasme laconique» typique de «l'Humour Autochtone», et qui nous apprend concernant les Trois Pouvoirs de l'État-Canadien, -qu'ils sont on ne peut plus Familiers, comme «Trois Parties Intimes dans le même Pantalon»...

 

Nos Enfants feront-ils mieux que nous en falsifiant L'Histoire? J'en doute fort quant à moi, car si la Vérité n'est pas répandue pour nous épanouir et nous humaniser, je suis certain de la poursuite insensée des ravages de l’ordre du Chaos-Asocial par l'insensibilisation semée par des Ministères de l'Éducation de l'Ignorantologie et des Monopoles des Médias de la Désinformation, qui, comme Injustice-Canada fonctionnent sur l'absurde principe dogmatique à l'effet que «the queen or the king can do no wrong»...en oubliant trop facilement qu'en Amérique du Nord britannique et étasunien, les anglo-saxons ne se sont pas retenus pour appliquer la Coutume sanguinaire des primes de scalp, en récompenses données aux Chasseurs d'Indiens...que tout comme la Gendarmerie Royale du Canada, les Rangers ont été institué pour les exterminer ou les déporter et les clôturer dans des Réserves grugées par la Loi sur les Lotissements aux particuliers faciles à endetter pour les exproprier...tel que relaté par National Geographic en 2010 dans «Indian Nations of North America» à la page 63; et que Louis XV le Bien-Aimé, l’était, sauf des Fox-Mesquakie de la région des Grands-Lacs, contre lesquels ce roi si bienfaisant édictait en 1728, un Édit ordonnant au Gouverneur de la Nouvelle-France «de les éradiquer de la surface de la Terre»...à la mode des bons rois si impeccables d'Indigénophobie, ce qui fait en sorte que nos Enfants sont appelés à honorer d'une minute de silence la Mémoire de n’importe lequel Humain mort jusqu’au Soldat Inconnu, pour rester amnésiquement insensibles face à la Persécution faite aux Indiens de l'Amérique du Nord, où ne sont plus les Chatot, les Apalache, les Mobile, les Calusa, les Cusabo, les Timucua, les Eyeish, les Natsitoches, les Manahoc, les Tutclo, les Nahyssan, les Cherah, les Moncton, les Keyawe, les Sissipahaw, les Shakeree, les Mandan, les Hidatsa, les Illini, les Gatakas, les Molala, les Chimariko, les Shasta, les Yahi, les Yuki, les Huchnom, les Miwok, les Tulabatulabal, les Tataviam, les Gabrielino, les Concho, les Tobas, les Karankawas, les Ozette, les Chimakaum, les Multoma, les Watlala, les Clowewala, les Clakamas, les Chilluckittequash, les Dakubetede, les Chetko, les Chilula, les Nongalt, les Sinkione, les Lassik, les Tsetsaut, les Béothuk, les Amoroleck, (mentionnés dans Encyclopedia of Native Tribes of North America, Michael Johnson, 2007, Éditions Firefly Books Ltd.); auxquels s'ajoutent les Klikitat, les Esselen, les Salina, les Patwin, les Tonkawa, les Queets, les Skilloot, les Cathlapotte, les Chastacosta, les Taltushluntude, (mentionnés dans Indian Nations of North America, 2010, National Geographic).

 

Souvent, les derniers recensement furent tenus au début des années 30 et ne comptaient que quelques Membres, nous expliquant une infecte épargne gouvernementale d'avoir cesser de les recencer pour ne pas s'inculper de leur Extermination. Une cinquantaine de Nations disparues et non rapportées comme telles dans nos livres d'Histoire falsifiée, non plus que dans nos Dictionnaires, confectionnés pour ébahir les imbéciles, comblés qu'y soient à tout le moins bien présents Tintin et Mickey Mouse. Pour ce qui est de l'étatisation du racisme envers les Indiens et de la misogynie envers les Indiennes, ils prennent leur source de la mentalité colonialiste européenne encline à la ségrégation raciale et sociale, comme le présente cet extrait révélateur:

 

« Following the war, the Catawba found themselves subjected to the same abuse previously faced by the Tuscarora.

 

English traders seized Catawba women and children, selling them as slave to cover whiskey debts. Court record document physical abuse at the hands of these traders, who often beat Indian men to death and raped Indian women at will. » ( Indian Nations of North America, 2010, National Geographic, à la page 76)

[...]

« Few, if any, of those who murdered, raped, and kidnapped Indians were ever brought to justice. » (idem, à la page 330)

 

Rien à faire, un roi aura beau être dingue au point d'attaquer ses propres soldats comme Henri VI d’angleterre, la médecine et les historiens modernes laveront ultérieurement sa royale Mémoire en imputant son aliénation mentale à un autre de sa lignée, fut-il roi lui-même, en l'occurrence Charles VI de France, ancêtre d'Henri VI, comme le présente cet extrait :

 

« The mad king »

 

[...]

« The weak link in his genetic chain came not from the Plantagenets but from the Valois. His maternal grand-father, Charles VI of France, had been subject to fits of insanity wich made him a danger to his servants and a liability to his realm. In August 1453 Henry VI fell into a trance-like condition wich affected him periodicly for the rest of his life. The symptoms were dramatic: complete amnesia, no sense of time or place, no physical co-ordination, and extreme inertia. Some modern doctors have diagnosed catatonic schizophrenia or depressive stupor. Contemporaries, less charitable, called it madness. In their desperation, the royal coucillors commissionned doctors and surgeons to administer a bizarre combination of ointments, cordials, suppositories, head shaving and haemorroid removals. But all attempts failed, and the court had to accept the embarrassing reality that Henry VI had crossed the thin line between inanity and insanity. » (tiré de «The Chronicles of The Wars of the Roses», de Elisabeth Hallam, 1997 Bramley Books, à la page 212)

 

En tant que Loi non-écrite de la part du Législateur, la Common Law est néanmoins écrite par «Judge-Made-Law de Juges-qui-écrivent-la-Loi» dans leurs Jugements qui consacrent ce que sont les légendaires Libertés anglaises, que j'ai cherché partout sans les apercevoir jamais de façon positive, que des vantardises en flatulences impérialistes d'auto-flagornerie narcissique, parce qu'elles sont invisibles et inexistantes, sauf de leurs effets négatifs, comme l'établit cet extrait en indice crédible:

 

« The unwritten law »

 

[...]

«Despite the royal courts' enormous powers, many cases did not fall within their jurisdiction. The Church, for instance, had tribunals wich dealt with matters of family law such as paternity disputes, divorce proceedings and squabbles over wills. The lords of manors still claimed the right to hold private courts and judge the petty quarrels and offences of their tenants. And the whole country was dotted with 'liberties' where the king had given away his judicial rights to a local magnate, bishop or abbot.

 

Corruption and violence were endemic. There were two main reasons why the courts often failed to maintain law and order. First, procedures were protracted: a case could drag on for years, and many people preferred to resolve disputes by intimidation or private deals. Second, local landowners' power and influence made it virtually impossible for judges and juries to give impartial verdicts. The local magnate's support, not the sanctified of the law, offered the best insurance against enemies.

 

There had been an ominous increase in criminal activity throughout England during Henry VI reign and in his first parliament Edward IV promised to halt this decline into anarchy. He undertook an ambitious programme of law enforcement: the council and court of chivalry were put to work to try cases of treason; and special commissions were appointed to tour the provinces and impose order on the king's subjects. Edward himself sometimes presided over these extraordinary sessions.

 

The number of convictions rose, but it is impossible to tell how many criminals still escaped justice. However, the campain's superficiality raises doubts about its long-term impact. Edward made no attempt to overhaul the judicial system; his days on the bench look rather like public relations exercises. He was king by the goodwill of the nobility as well as by the grace of God, and any attempt to eradicate the magnates' influence from the courts would rebound on him. Ideals of justice would have to take second place to the cruder realities of politics. » ( tiré de «The Chronicles of The Wars of the Roses», de Elisabeth Hallam, 1997 Bramley Books, à la page 270)

 

L'Église et l'État ne faisant qu'un, surtout depuis l'institution hérétique de l'anglicanisme érigé despotiquement en Théocratie en 1534 par henri VIII millimètres, par conséquent, aucune surprise si  la corruption prévaut toujours chez l'Oligarchie anglo-saxonne et sa filiale caïnadienne-française de Cooperators de leur Syndrome de Capitulardise, refondue en sous-espèce anglo-franchouillarde complètement arriérée de Démocratie onusienne. 

 

Pour les instruire cyniquement de ce sujet morbide qui se présente impossible à amoindrir dans sa dénonciation sans trahir la Vérité et ceux qui la vénèrent, voici en résumé l'énumération sans détour de ce que sont «les britichiantes Libertés Anglaises» du Royaume-Uni de force», par la Stratégie instinctive de prendre la Liberté sordide

de 1- «leurs  Exterminations» de Peuples qui, si elles ne sont pas accomplies, sont suivies  hardiment par

2- «leurs Déportations», sinon

3- la Subjugation frappera les Vaincus  pour les exploiter à loisir et les déshumaniser  à plaisir avec des Lois-Ethno-Linguicides visant

4- «leur Assimilation «sewellienne», pour finir

avec 5- «le Lavage de Cerveaux des Survivants» condamnés irrémédiablement au Zombiïsme des Décérébrés en Soupe aux légumes Habitant», suite à «cette abjecte mise en boîte de conserves  avariées», comme me le prouvent la lecture des livres encyclopédiques récents de Encyclopedia of Native Tribes of North America, de Michael Johnson, 2007, Éditions Firefly Books Ltd., et Indian Nations of North America, 2010, par National Geographic.

 

 

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Excursion lexicale sur le Sentier des Cuisses Légères face au Fruit défendu

 

Vous êtes invité à comprendre qu'un Poète est habité par «L'Âme des Mots», qu'il n'est pas qu'un beau-parleur de rhétorique persuasive de Sophismes de Politicards, et c'est ce qui le différencie du commun des mortels, de posséder cette merveilleuse faculté humaine de pénétration ratio-émotive des Mots qui consiste à analyser tous leurs différents Sens descriptifs, positifs, neutres ou carrément négatifs, ainsi que leurs effets sur les Gens, puisque les Mots se montrent parfois Provocateurs de s'insinuer péjoratifs, et dès lors, sont-ils catégoriser porteurs de Discrimination, parce qu'il advenait que l'Intention mesquine des Reconducteurs de ces termes acerbes et corrosifs s'amplifiait au point de provoquer ma répulsion par la constatation de leurs effets par trop négatifs; et je ne pouvais dès lors qu'exécrer ces termes et ceux qui les chérissent comme un avare son or, et qui sont ainsi évalués pour être les arriérés Artisans de la Persécution-Historique qui stigmatise encore en 2013 les Descendants des Nations Pré-Capitulatives du Fief du Caïnada. Parce que cette Colonie de britichiants Troglodytes est orchestrée éminemment dépréciative à leur égard, dans l'objectif ultimement outrageant d'animaliser volontairement la Personne Humaine, en incessante injure héréditaire qui s'éternise méprisablement haineuse de l'atavique: «Vae Victis, Malheur et Honte aux Vaincus

 

Il ne s'agit pas ici de promovoir la disparition de ces Mots de nos Dictionnaires, pour oublier trop facilement que nous étions affecté d'une telle Mentalité-Asociale, mais de tirer profitablement une Leçon d'Eux, et voir à ne pas les utiliser de façon effective, si c'est pour reconduire exécrablement ce qu'ils véhiculent et éternisent, la Bipolarité-Haineuse.

 

Car il faut bien se rendre à l'évidence que le terme  «Ségrégation», porte sa Vérité étymologique de venir de «segregatio» du verbe «segregare», du Bas-Latin, et qui signifie très clairement «séparer du Troupeau»; tout comme il s'apparente du point de vue de son contenu «péjoratif et discriminatoire» avec le terme «Fief», de la Proclamation Royale de 1921, dont nous vous rappellerons «inlassablement «l'intolérable» «Constitutionnalité», jusqu'à vous en inspirer la Répulsion généralisée et irréversible dans «L'Humanisation-Populaire pour L'Humanisme-Popularisé», à l'effet que le Sens étymologique de «Fief» est «Bétail», en signe fragrant d'un Système-Raciste décadent on ne saurait plus de son Blasonnement insidieux, d'être un Texte-de-Loi despotique, qui ne saura jamais être que nocif à L'Humain ainsi qu'à L'Humanité à Laquelle renoncent tous les Indifférents N'Importés du qu'importe, de l’Acceptation même Tacite de ce genre de législation raciste venant d’un britichiant législateur, george V,  qui l’est autant! -et qui entend le demeurer de subsister «en vigueur» de sa Volonté Législative de Roi-Mort  qui, même «Post Mortem», supplante toujours la leur de Morts-Vivants, dont l'Esptit-Annulé nous les présente indiféremment comme autant de Légumes en conserve de «la Soupe Habitant du Québec»...sans vous nier être assez cultivé pour vous poser la salutaire Question Existentielle: en êtes-vous? -tout en étant un végétarien cannibale de vos semblables contemporaines crudités; ou êtes-vous utilement un Ouvre-Boîte à vous-même, et autant pour les Vôtres! -car le Végétarisme carnassier à ses « limites naturelles! » -qu'il vous appartient de tracer...sans vous re-clôturer chez le Boucher starbuckien.

 

À laisser faire, nous collaborons à la reconduction de ce Mal-Raciste qui persistera néfastement encore dans Mille Ans, «en se faisant inlassablement inférioriser tous par leur britichiant dénigrement» de notre Descendance Autochtone qu'ils avilissent avec «leur Bâtarde de Présomption de Bâtardise», iniquement enchâssée dans leur Clause discriminatoire de Promotion «racistement» vexatoire à perpétuer l'affligeante Rubitude qui affecte tous les Natifs, stipulée à l'alinéa 2 de l'article 35 de leur Charte-Animalière caïnadienne, pour qu'ils l'imputent à tous «les Mulets-Mulâtres», comme ils le font à tous «les Bardots-Métis», s'il est vrai que ce terme dégradant demeure tout de même «raisonnable et justifiable» dans «une Société canadienne qui se doit d'être libre et démocratique» de l'affirmation du Preacher in Chief de l'arrêt Oakes, le juge en chef Dickson en fieffé Menteur; puisque cela ne semble pas le cas en ce qui concerne «les Siamois-Eurasiens» d'Europe, d'où ce Racisme s'est répandu, et qu'il ne faut pas laisser pour compte, sinon, nous les priverions de «L'Égalité-Minimale»...

 

L'Amer-Indien que je suis devenu, horripile le Faire-Semblant de cette Législatrice léopardienne qui «donne et «dédonne» comme on dit, de sa «séraphinesque» Générosité fictive de «reprendre aussitôt» ce qu’elle mime d’offrir, en commentant l’insuffisance de fonds de ses Billets de $50 dollars qui nous embobinent avec la citation de l'article premier de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme qui garantit dès la Naissance la Reconnaissance de la Dignité à tous les Êtres Humains de L'Humanité, pour mieux nous la nier à l'endos des mêmes Billets dans tout le fucking Fieffé-Fief du Canada, et dans tout l'Univers entier avec les Armoiries caïnadiennes apposées sur le Passeport de la Honte et qui nous rabaissent «en Prise de Guerre» par «la Notification aux autres Puissances Coloniales, de la Possession Coloniale dûment accomplie sur le Fief du Canada» de la Proclamation Royale de 1921; qui est incontestablement la seule et unique «Constitution-Martiale» qui fonde pitoyablement la Colonie caïnadienne sur les Principes-Polémologiques de l'Acte de Capitulation de 1760 et les articles 34 et 35 de l'Acte Général de Berlin de 1885, (qui se résument à «l'Occupation physique effective du Territoire conquis» ainsi qu'à «la Notification physique effective» précitée.

 

Et il y a pire de constater que les Armoiries caïnadiennes se retrouvent encore arborées de façon discriminatoire et injurieuse, sur le Document Officiel de la Codification des Lois Constitutionnelles de 1867 et de 1982, en Réquisition Militaire sur la Charte-Martiale caïnadienne de ces 3 indispensables Principes de Justice Fondamentale évidemment non-reconnus à du Bétail-Conquis, et qui sont notre Droit à la Vérité, notre Droit à la Mémoire, ainsi que la Reconnaissance-Innée de la Dignité-Humaine dans le Respect de la Réciprocité), ce dont nous fûmes privés législativement et judiciairement de la part des Toges-Tordues de s'être conformé à «la validation du Titre de Sujétion Coloniale élisabéthain», comme ce fût incontestablement le cas avec l'infâme Antonio Lamer-Carnavon en Banc avec ce fourbe de Bora Laskin et les sept autres exécrables Juges-Négriers du Renvoi-Esclavagiste de 1981: «Therefore, Supreme Martial-Court remains what it was from the very start on their Segregationist Bench: 9 Fucking Filthy Cock Suckers, those 9 canadian Slave-Traders Judges crawling like 9 Pieces of stinking Shit, upraising as the Pushers of my O.D.!»

 

Pour commenter valablement «la Subjugation élisabéthaine découlant de la reconnaissance judiciaire de son Titre de Possession Coloniale consistant en un vulgaire Bestiaire-Constitutionnel armorial validé par le Renvoi-Esclavagiste de 1981», il serait approprié de reprendre en le soulignant, le qualificatif de Pierre Teilhard de Chardin, en soulignant que «la Notification héraldique» aux autres Puissances Coloniales de notre Assujettissement au britichiant Colonialisme britannique», est en elle-même essentiellement «in-aimable», et même absolument «Im-Poétique d'Ultra-Prosaïsme», parce qu'en plus d'être débilement anachronique et de nous déphaser hors de notre Spatio-Temporalité, il reste que valider une Inféodation est outrageant de s'ériger en une Provocation Martiale de la part de la Magistrature-Ségrégationniste caïnadienne qui a effectivement «cédé aux Armes» en reconnaissant «leur Soumission Armoriale» se dressant comme «un impitoyable Jugement par Contumace» héréditairement applicable «aux Vaincus de l'Empire»; d'abord «de facto, de fait» d'une Conquête militaire par son Armée, dont l'autorité se perpétue, «de jure, de droit», par «ses Cours-Martiales qui «occupent effectivement le Territoire», et à qui l'on doit la Supercherie Anti-Démocratique concoctée par ses Juges-Négriers pour nous la servir sans aucun scrupule, ce dont ils sont très capables, «la Ségrégation, autant Raciale que Sociale». Et pourquoi, sinon parce qu'ils ne nous craignent pas suffisamment, ce à quoi entend remédier radicalement «le KEBEK-AIM-AR», pour «Kebek-American-Indian-Movement of Anticolonialist Resistance».

 

Nous vous citons maintenant le texte de l'article premier de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme qui nous est passé sous le nez sans vergogne avec la privation de la Reconnaissance dès la Naissance de «la Dignité-Humaine», pour mieux nous endormir, et ne pas constater sa Négation Totale par son Absence de la Charte-Théocratique, Martiale et Animalière caïnadienne des Droits-Fictifs et des Libertés-Virtuelles. C'est comme de dire, que si vous possédez un de ces Billets de 50 dollars, ménagez-le pour la Vie, car c'est là toute «la Dignité-Humaine» qui vous sera reconnue; parce qu'il y a que les Armoiries caïnadiennes, étant arborées au verso de ce même Billet de la monnaie royale, font en sorte qu'elles vous nieront arbitrairement ce que le recto semblait vous offrir magnanimement; ainsi, vous ne bénéficierez que d'une dérisoire flatulence d'une Promesse rendue Non-Électorale «de l'absurde Faire-Semblant monarchique» de posséder «la Dignité-Humaine», que l'on nous fait miroiter au recto du même Billet où paraît en Mirage dans un Désert d'inhumanité l'article 1 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, et dont voici l'énoncé présentant «une raréssime Poésie juridique»:

 

« Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité. »

 

Mais, « le manichéisme biblique de la Fraternité-Fratricide » ayant prévalue en Chaos-Asocial, et « la Fraternité-Sororale » n'étant pas encore implantée génétiquement « en Fratrie-Humaniste » jusqu'à se manifester en Comportement empathiques « (r)évolutionnaires » naturellement instinctifs, reste à savoir si «le Bétail du Fief du Canada» est véritablement doué de raison et de conscience?» -avant d'oser lui reconnaître «a British Dignity of a Lady or a Sir of the british empire», (de ces britichiants  Titres ultra-dérisoires mérités en se hissant au sommet du Palmarès à nous chanter «les Tico Tico» d'Alice Roby, et «les Ye! Ye! Ye!» de «Sir Paul» M'écarte-le-nez», sur la voie dégradante de l'Impétration monarchique en supplication nobiliaire infériorisante, niant que la Dignité-Humaine nous soit Innée, ce que le Jugement par Contumace d'élisabeth deux du «Amistad» de 1982 nous déni catégoriquement par la Proclamation Royale de 1921 héritée depuis george V l'empoisonneur, le géniteur ultra-germanique de george VI le Bègue, son paternel, lui refilant son bégaiement législatif de Despote en tant que «Jugement «de Pareatis» que vous Obéissiezma capricieuse Prétention d'Intitulation de Souveraine de ma Possession Coloniale»; soit exactement l'Apocalypse Anti-Démocratique, ce qu'a effectivement judiciarisé débilement la Cour-Martiale Suprême du Renvoi-Esclavagiste de 1981, ce qui est vérifiable lors de toute visite officielle de leur Monarque, dont la limousine n'arborera jamais ni l'Union Jack, ni l'Unifolier des Fous à lier, mais bien dérisoirement les Armoiries caïnadiennes, le Symbole même de la Subjugation qui nous opprime!

 

Je voyais là résumé dans l'article 1 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, tout «L'Espoir légitime de L'Humanité» d'accéder enfin à «L'Égalité entre les Humains», comme l'entrevoyait «avant-gardistement» Jean-Jacques Rousseau en résumant son Oeuvre dont on s'est inspiré à l'évidence, pour rédiger cette disposition cristallisant toute la Poésie du Monde dans la Fraternité-Humaine: mais, de ne pas s'avérer une Fraternité-Sororale, leur Fraternité ultra-sélective reste revêtue de machisme-phallocrate patriarcal manichéen n'assurant que la Misogynie «défiminisante» envers La Ève du Matriarcat des Mères de Clan, pour une Dignité et une Fraternité utopiques, telles que reprises hypocritement par «leur merdique Législatrice léopardienne» sur sa monnaie royale qui a servi ainsi à monnayer notre Dignité-Humaine en Souveraine-Négrière, dont le Système est institué dans leur exécrable Monarchie de Cladisme-Raciste, dans la Hiérarchisation-Hominienne des Êtres-Humains qu'elle classifie par «Pedigree» préférentiel «pour le Gang des Léopards à Cou-Rouge»...

 

Géométriquement et juridiquement parlant, c'est parce que la Monarchie est hiérarchique que sa Constitution est inégalitaire de l'Arbitraire même des Prérogatives Royales, des Privilèges et des Proclamations émanant d'une seule Volonté, «en faisant fi à perpète du processus des 3 Lectures du Parlementarisme qu'exigerait la véritable Justice-Démocratique contemporaine», puisque ces Lois obsolètes ne sont ni désavoués non plus que déclarées judiciairement «inconstitutionnelles», en dépit de 11 Chartes-Évidées, garantes que d'Inconsistante Vacuité-Faunique. À l’évidence, du fond de son champ de déshonneur, le Législateur «star-buckien» a beuglé son Bestiaire-Constitutionnel aux Pâturages boueux de l'Étang de Satan, près duquel broutent allègrement les Vaticanes-Brebis de la prétendue «Pure-Laine «francojoualophile», pendant qu'y coassent sur des nénuphars géants les Grenouilles-Clovissiennes qu'elles étaient venues convertir...à Bêler, mais qui, abâtardies de Tri-Linguisme s'offrent en concert cacophonique de Quel Bestiau enterrera l'Autre: avec Star-Buck, ses «Meuheu!» -par-ci par-là parsemés «de Bêhêhêh!» -des Brebis qui moutonnent vaticanesquement, entremêlés d'un jouissif gargouilli de «Reuritte!» -à qui mieux mieux se meut et s'égosille, le Boeuf du Mouton tondu en Cooperator et de l'indépendante Grenouille, qui du moins, ne se trempe pas de leurs Ragots à l'Auge-Ronde de l'Étable-Carrée...

 

J'emphase à peine, d'un iota humoristique en commentant «leur Pedigree-Identitaire de Pureté-Raciale du prétendu «Multiculturalisme de la filthy fucking Caïnadian Colonialist Citizen-Shit», car c'est bel et bien «en Pedigree» que N. Lyon, un auteur anglo-canadien de Doctrine Juridique, a évalué le Renvoi-Esclavagiste de 1981 de la Cour-Martiale Suprême, qui, à cette occasion d'ultime Traîtrise, a légitimé le prétendu rapatriement de l'AANB de 1867, résolu de «modifier» la Constitution» de nature Coloniale qui est Unilatéraliste de la seule Volonté de victoria, par conséquent, qui n'est en rien Fédérative puisque les 5 premiers PM du Canada ne l'ont jamais ratifiée, se contentant, en Pantins-Fantoches de taxer nos Ancêtres sans vraiment les représenter, assurément le contraire de leur Slogan mensongeur: «No Taxation without Representation-ce qui revient à dire que vous votez pour une Classe-Politique de Politicards-Capitulards avec leurs Juges-Ségrégationnistes sans Constitution-Fédérarative, et qui, de par «son Vice de Consentement originel de 1867», se retrouve au bécosse monarchique de la selle trouée avec une Constitution incontestablement «Illégale» en vertu du Droit International Public puisque nous n'y avons jamais consentie, en comprenant qu'aucun des Pseudo-Dirigeants des Nations Pré-Capitulatives n'y avaient agréé depuis 1867 par l'effective Ratification Officielle de John A. Macdonald, le premier «Canadian-PM», et des 4 PM des quatre premières Provinces de l'époque. Et il va sans dire, que N. Lyon ignorait complètement «le Vice de Consentement» de l'AANB de 1867 en rédigeant son article, sinon sa Critique du Renvoi-Esclavagiste de 1981 aurait été encore plus vitriolique. Néanmoins, voyez ici ce qu'il en pensait en 1982:  

 

« [...] the majority opinion is based on the fallacious assumption that the Parliament of Canada, like the mother Parliament, has unlimited powers in law...In accepting this starting point, the majority find their analogy in biology rather than constitutional theory. They believe that once the Parliament of Canada was created and empowered by the constitutive act it could then free itself of that Act and simply assert unlimited power on the basis, not of law, but of pedigree. »  (Lyon, N., (loc. Cit.), 1982, «Constitutional Theory and the Martland –Ritchie Dissident», tiré de: «the Court and the Constitutional comments on the supreme court Reference on Constitutional Amendment», Kingston Institute of Intergovernmental Relations, (Queen’s University), pp. 59-60)

 

Évidemment, l'allusion de N. Lyon «au Pedigree» référait directement à la hiérarchisation du système monarchique, mais le terme de «Pedigree» s'associait tout de même à la Mentalité aristocratique se prétendant supérieure au «vulgum Pecus, au Troupeau vulgaire», et ce snobisme sur le dos de leur propre Populace dépréciée, témoignant qu'avant dêtre exportée, la Bipolarité-Haineuse s'affichait ouvertement intra-frontalière dans tout système monarchique. Aussi, je m'en pétais les bretelles d'avoir déniché ce rare extrait en Droit-Colonialiste Interne d'une Saine-Critique de Doctrine juridique provenant par surcroît d'un auteur d'origine anglo-saxonne. Pourtant, je restais sur mon appétit, car ce n'est pas l'Impéritie mais plutôt la Turpitude-Népotique que N. Lyon aurait critiqué s'il avait su l'Illégalité onusienne de l'AANB de 1867 résultant de «son Vice» de Consentement», qu'il aurait assurément critiqué vertement en dénonçant «leur Activisme-Complice» en tant que «Juges-Féciaux de la britichiante Polémologie britannique» qui fuit la Démocratie onusienne à l'anglaise, en prônant traditionnellement le Simulacre démocratique du Faire-Semblant». À l'évidence, il aurait conclu que depuis le Renvoi-Esclavagiste de 1981 de la Cour-Martiale Suprême, et toutes les autres Cours-Martiales qui lui sont inférieures en rang, mais non pas en Complicité Criminelle, sont «en Pratique mafieuse» digne d'une Sénéchaussée du Moyen Âge, de poursuivre -en Quatrième Vitesse -le Triple Conflit d'Intérêt de Lord Carnavon, qui était «le Lord-Président du Colonial Office de 1867», faisant d'elles toutes des Cours-Satellites du Conseil Privé du Royaume-Uni, de la Star-Chamber et du Tribunal Héraldique du «Royal College of Arms» soumis à la Couronne, en s'inspirant toujours de la Géopolitique-Martiale de l’«ancien Droit International Coutumier» si chère aux États belliqueux qui s'y accrochent désespérément en arriérés-traditionnalistes, de s'illustrer les Junkies de l'Étatisation de la Bipolarité-Haineuse; comme le «Universal Military-Police», le Royaume-Uni étasunien «de Sam a gesté Transgenre de l'Oncle Sam rendu OTAN-TANTINE de l'Art en Gaine du bas-culotte percé sans jarretière en désordre, nostalgique du Long-John avec dompeuse très pratique pour les p'tites vites au Backhouse du Sodomite y t'es mis ça est-ce? -cela, que la sodomie ait été le Fruit défendu de l'Arbre de la Connaissance en Tic, faisant en sorte qu'à la place de Ève et de ses malheureuses Descendantes, ce soient Adam et Caïn les véritables « croqueurs de pommes » Coupables d'inceste sodo-homophile, qui d'autres?

 

D'ailleurs, en honorable Distinction Historique différenciant humanistement l'Homosexualité Féminine de la Masculine, se démarquant déjà dès la simple masturbation, chorégraphiquement parlant plus érotique et plus intriguante des scientifiques pressions digitales rotatives sur le Clitoris, comparativement aux mécaniques mouvements parkinsoniens à la vericale du Mâle, qui s'est sans doute redressé ainsi avant de descendre de l'Arbre; car avouez que L'Histoire est éloquente, de l'Absence totale d'Envahisseuse prétendant à un Harem de centaines de torrides Gouinettes sinon d'un Sérail d'autant de viriles quéquettes affublées d'un condom métallique munis d'épines pour s'en réserver l'exclusivité à la mode de la Bergamasque, la Ceinture de Chasteté servant autres-fois de Piège à Quéquette en guise de guillotine de la circoncision radicale, sinon de Leurre à Pissette frustrée de l'envoûtant Trésor en Voûte à triple-tour. Aussi, méfiez-vous tous les pseudo Mâles-Hétéros, de la nouvelle Thémis-Travelo dévergondée du Patriarche Ti-Pète Trudeau du Psaume du Bill-Omnibus, car do-ré-n'avant-sol-la-si-do dit aise, après le Droit de Cuissage, pour la prochaine Croisade se démarquant de celles d'autrefois contre les Maures, que ces beaux Mâles virils d'autres-fois réincarnés ne s'enlisent avec « Lise-Éon de la raie Hospitalière» avec son pie-scrotale à mèche courte de ce nouvel Légi-Slather, qui force-et-ment, la Vache maudite! -n'offrira Elle-As qu'une seule tétine à barre-à-thé de l'argument du Bâton à un Bout...ce qui m'explique le «Lobby-Session» du Libre-Échange rendu «a-femmé», me privant arbitrairement de ma traditionnelle soupe Wong-Tong, pour qu'au restaurant Chinois de l'Hop-pis-Hommes du cogne-con de King Kong à Hong Kong sort en PD du garde-robe, et voilà qu'après le Moulin à viande elle prend du gallon en Mes-Gars-Shooters, ne s'envoyant goûlument en rafale de Culs-Sec bol après bol, que ce dont elle raffole follement en Purée de «Cream of some young'guy!» -ce qui me rassure toutefois d'être Passé-Date, mais m'inquiète néant-moins cette dissipation anti-récréative pour la Postérité avalée d'avance...

 

Et voilà ma Sentence tricstéréenne pour leurs Robes-Noires dépravées, avec, à quinze pieds devant eux dans chaque salle d’audience, leur merdique Bible qui condamne divinement la Sodomie, alors qu’ils jugent à leur Jauge-Séminale, tous affairés dans un Palais de Justice qui consacre juteusement les mariages sodomites et l’homoparentalité pour mieux jouer aux Juristes qui paraissent modernes en surface, alors qu’ils séparent toujours cruellement les Familles des Natifs, et qu’il ne faudrait pas y voir clairement leur préférence d’orientation sexuelle par ce flagrant Traitement différent! Mais comment pouvait-il en être autrement avec un tout premier PM comme John A. Macdonald, qui lorgnait les Indiens et les Métis «en sous-caste», comme le rapporte John Woodcock, un honnête historien anglo-canadien, d'être en réelle pratique de Sciences-Humaines:

 

«En raison de leur teint foncé, les Français les appelaient déjà «bois-brûlés», et les Anglais, «sang-mêlé»; certains empruntaient même une appellation originaire de l'Inde, leur donnant avec quelque mépris -comme le fit plus tard à plusieurs occasions sir John A. Macdonald -le nom de half-castes.» (John Woodcock,  Gabriel Dumont, Le chef des Métis et sa patrie perdue, traduit par Pierre Desruisseaux et François Lanctôt, 1986, VLB Éditeur, à la page 27)

 

Le PM Macdonad cautionnait la Bipolarité-Haineuse en sachant exactement les Préjudices que subissait cette «half-caste», comme en témoigne un extrait rapporté par John Woodcock de la Lettre de Monseigneur Taché à son Gouvernement, regretablement aussi Humaniste que celui de von Otto Bismark, absolument insensible, comme tout Adepte xénophobe des articles 34 et 35 de l'Acte Général de Berlin de 1885:

 

 […] «Les Métis sont très susceptibles: ils s'offusquent vivement de tout préjudice ou insulte, et leurs lamentations sont incessantes. En fait, ils sont humiliés quotidiennement en rapport avec leurs origines et ce, par la façon dont on parle d' eux non seulement dans les journaux, mais dans les documents officiels et semi-officiels.» Woodcock, John, Gabriel Dumont, Le chef des Métis et sa patrie perdue, traduit par Pierre Desruisseaux et François Lanctôt, 1986, VLB Éditeur, à la page 171. (Les italliques sont de l'auteur)

 

Pour approfondir sur le Racisme importé d'Europe qui affectait le premier PM, John A. Macdonald, précisons que cette haïssable Mentalité impérialiste britannique de pseudo-supériorité Raciale sur les Peuples soumis militairement, elle subsiste toujours de nos jours, pour faire ressortir le lien persécutif jusqu'à nous, du fait qu'elle existait toujours effectivement au siècle suivant, au tout début du vingtième siècle aux Indes de Gândhî, comme le rapporte impartialement Erik H. Erikson, un psycho-historien:

 

« On m'avait bien sûr, souvent demandé comment et où Gândhî «avait résolu sa crise d'identité». Mais celle-ci -si l'on peut la voir symbolisée par un événement -avait eu lieu avant, à la gare du chemin de fer de Maritzburg, en Afrique du Sud, lorsque ce jeune avocat «made in England», peu efficace et pourtant têtu, avait été expulsé d'un train parce qu'il insistait pour voyager en première, bien qu'il fût un «coolie», c'est-à-dire un «homme de couleur. » (Erikson, Erik H., La Vérité de Gândhî, les origines de la non-violence, France, 1974, Flammarion, page 40)

 

Rappelons-nous utilement que ce dénigrement systématique de Peuples infériorisés prévalaient encore dans les Années-50 aux USA, (avec cette Dame Noire refusant de céder son siège dans un service de transport en commun, et mettant fin à cette pratique raciste par la Notoriété de sa Résistance), supportée en renfort par les Black Panthers; et qu'au Nord de leur infecte Frontière, «nos légendaires simili-pseudo Droits Civils» s'avèrent «en décades d'ans d'ase»: du vent nauséabond de Côlon descendant en « Back-Wash » à l'ascendant, montant en pestillentielle Flatulence-Buccale juridico-monarchique!

 

L'Amer-Indien vous affirmerait que nos Droits Civils ne valent pas plus que nos Libertés de Conscience et de Religion «en regard de «l'Ordre Divin» de ne pas tuer son Prochain» et de «s'aimer les uns les autres», puisqu'en Faux-Prêtres pour le moins «Marrons-Colons», il reste que les Juges-Négriers du Renvoi-Ségrégationniste de 1981 et leurs Vassaux des Cours-Martiales inférieures, ne peuvent ignorer d'être toujours en vigueur, la subsistance injustifiable de l'article 4 du Traité de Paris de 1763, de même pour les articles 5 et 8 de l'Acte de Québec de 1774, et les ont «néant-plus» reconnus louchement «constitutionnels» de les tolérer pour ce qu'ils sont: 3 archaïques Clauses dérogatoires anachroniques occultant nos Libertés de Conscience et de Religions ainsi que nos Droits-Civils de Subjugués, à qui il ne reste plus que d'entendre chanter «la Messe-Noire» de la Rengaine-Judiciaire du Psaume-Dogmatique de «leur Promotion du Colonialisme», consistant «à Promouvoir» ce que les Toges-Tordues se donnent de «Maintenir» judiciairement, soit la Subjugation élisabéthaine», qu'«ils Valorisent» ensuite, en vantant l'Absurdité de leur Turpitude-Népotique de Dévôts de «l'Être-Parfait» que serait le Parlement-Colonial d'Ottawa, dont «l'Imperfectibilité» nous a été assuré par le Juge-Négrier Spense  lors de l'arrêt Scheer de 1974 en reprenant sans nuance les déclarations saugrenues de Lord Halsbury de l'arrêt Pemsel de 1891 du Conseil Privé, afin de nous enchaîner dans le Passé, en reconduisant la Médiocrité de «l'ancien Droit International Coutumier», toujours si prisé sournoisement par les États-Belliqueux de l'OTAN.

 

Le Litige juridico-asocial, pour les Démocrates-Créanciers du Droit International Public, dont leurs Païens en Toge nous privent depuis plus de 60 ans, est que ces Justiciers de L'Heur-Juste considèrent évidemment en toute logique, que «L'Être-Plus-Que-Parfait» est incontestablement la vénérable Assemblée Générale des Nations Unies. Parce que c'est bien au nom de «l'Être-Parfait» que serait prétendument élisabeth deux du «Amistad» de 1982, que les 9 Juges-Négriers de la bâtarde de Cour-Martiale Suprême, se sont permis crapuleusement de légitimer rétroactivement  les 2 Conscriptions-Génocidaires des Guerres de 1914-18 et de 1939-45. Et cette «Outrageante» Trahison si scélérate fut perpétrée lors du Renvoi-Esclavagiste de 1981 en légalisant rétroactivement ces deux Conscriptions fratricides longtemps après leur frauduleux Décret respectif; soit 63 Ans après la première Guerre Mondiale, et 36 Ans après la deuxième. Une Trahison asociale de dangereux psychopathes qui demeure «imprescriptiblement Illégale», autant que peut l’être leur Source Constitutionnelle aux articles 9 et 15 de l'AANB de 1867, parce que «cette Loi-Unilatéraliste» était, est, et demeure «onusiennement Illégale» dans son entièreté...

 

100, 000 Canadiens envoyés bestialement à la Boucherie Européenne des Heurts-Hop-et-Hein? vous dites que...100, 000 Morts en Deux Guerres Mondiales dont environ 25, 000 du Québec, pour qu'advienne que seul le Peuple-Élu des Goddamites du Haut-Canada se fasse «adouber» en Chevalier- Chouchou de leur Table-Ronde pour Têtes-Carrées exclusivement, d'y refuser tout Vaincu issu d'une Nation sans Hérauderie, donc sans Dignité ni Noblesse; dans ce Fief du Caïnada passé de Page-Vassal à Damoiseau à Chevalier servant, qui se fait redéléguer les mêmes Pouvoirs d'un «Dominion», en véritable synonyme de «Colonie», donc qui se fait reconfirmer le Statut de Westminster de 1931 pour ne bénéficier que d'une pitoyable Souveraineté octroyée par Délégation-Vassalique de «self-government», qui marche presque tout seul; sauf en 1981-1982, qui rampe en Supplication d'Impétration de Noblesse-Fictive devant élisabeth deux du Caïnada de la Convention Constitutionnelle de 1926, (la Dulcinée Death-Trèbozos du Donkey-Shot caïnadien proclamé «le Roi Promis» du Psaume 72 de la Proclamation Royale de 1921), d'un Titre qu'il était tout à fait dérisoire de quémander, puisque la Subjugation est un État d'avilissement voulu par les Gardiens de la Constitution qui nous en cache volontairement l'Original, vicié de Consentement; en Calamité persécutrice pour nous tous, venant sciemment d'une Magistrature sans Pacte-Fédératif après «une Ségrégation» de plus de deux siècles et demi, de la Militaire à la Judiciaire, du Fait -Militaire de la Conquête à sa Judiciarisation en relais, en insidieux Coup d'État de sournoiserie institutionnalisée de s'illustrer en Synarchie-Dictatoriale; pour aboutir au Troisième Millénaire avec une Inféodation de Fief anti-démocratique fondé sur un britichiant Titre-Fictif pour la Reine-Fictive du Fief du Caïnada, toute aussi Fictive que sa Démocratie-Virtuelle, puisque leur scénario protocolaire n'a absolument changé en rien son Statut de Colonie caïnadienne du Royaume-Uni.

 

Qu'on se le dise pour s'en inculquer, l'Acte de l'Amérique du Nord Britannique de 1867 ne sait fait changer de nom que pour enlever l'adjectif «Britannique», démontrant trop éloquemment la Soumission Coloniale britannique, afin d'obvier à la Résolution Anticolonialiste A/742 sur «le caractère non-autonome «du Territoire», ainsi qu'à la Résolution Anticolonialiste A/1541, sur «la Présomption «de Dépendance étrangère», et la Résolution Anticolonialiste A/1514, sur «le Droit à la Décolonisation». Et toute cette ignoble Fumisterie de Guerre-Froide judiciairement reconduite, pour ne pas qu'elle se fasse réchauffer par la Résolution Anticolonialiste A/2625, autorisant onusiennement la Légitime Défense par la Résistance Armée contre les Colonialistes. Parce que ça compte pour certains:

 

«25, 000 «Têtes de «Bétail bas-canadien et de Faune Locale amérindienne», faut-il comprendre, considérés par «ces British-Butchers» en Chair à Canons «du Fief du Caïnada», de ce que je dénoncerai en vous le répétant jusqu'à ce que vous vous en lassiez de tolérer l'Intolérance, à l'effet que le Sens Étymologique du terme «Fief» de la Proclamation Royale de 1921 signifie «Bétail», qui, vous incluant avec votre Portée, vous parque à l'Enclos «de l'Être-Parfait» aux yeux ultra-partisans de ses Juges-Négriers en selles en tant que Cowboys au Rodéo du Ranch des «Arpents Verts» des Goddamites de la Tribu des Réducteurs de nos Têtes; avec ces Toges-Tordues qui y sont autant les inciviques Sentinelles volontairement Alliés depuis toujours au Régiment de la Noire-Surveillance des Vaticanes-Brebis et des Clovissiennes-Grenouilles; ce qui reste en Lien avec la saine Critique de N. Lyon, de n'être pour «eux» que du «Bétail» sans «le Pedigree Officiel», auquel prétend stupidement la Suprématie de la Race Blanche de sa Spécialité impériale en Épuration Raciale; mais, indéniablement appliquée par une exécrable sous-espèce de «WOP, Without Official Paper»: like all Toga should be called as long as they cannot show «their invisible 1867 BNA Act» to the Mi'kmak-Trickster, requiering them to proceed to this democratic Exhibition right now! -nothwithstanding what «Simon says»...neither «prince Wiliam», that will very soon end-up stupidly like «Jean sans Terre!»  

 

Pourtant, c'est bien en se servant frauduleusement et criminellement de l'AANB de 1867 que les Canadian-PM ont envoyé «25, 000 Époux et Fils du Québec» à «la Boucherie-Européenne». Et quant «au deuxième Conflit Mondial» qui envoya aux Mânes 10, 000 de ces Braves, c'est tout simplement parce que ces pauvres malheureux s'offusquaient de «son Vice de Consentement» lors de leurs sanglantes Manifestations Anticonscriptionnistes antérieures au déclenchement du Conflit; et du coup, qui manifestaient contre l'Illégalité de l'AANB de 1867 qu'avait soulevé au Parlement-Colonial d'Ottawa le très Honorable Député Walter F. Kuhl, comme le prouvent «les Débats de la Chambre des Communes de 1938»; d'un Député qui s'illustre sans contredit, comme le seul Politicien véritablement Intègre et Humaniste qui fut jamais à Ottawa depuis la Conquête de 1760 et ultérieurement à la Fausse-Fédération de 1867; et qui aurait enfin donné à tous les Canadiens «leur tout Premier «PM-Démocrate». Que l'on s'en rappelle: ne s'implante que ce qui croît pour subsiter «en Lys-Éthérique» incomprimable par «le Bulbe de la Red-Rose» that is shurly no cup of tea, and therfore, deserves eloquently our own: «Beau-ce-Ton: t'es parti!»

 

J'exulte dans ce que La Poésie me dicte d'écrire, pour Être authentiquement ce qu'Elle m'inspire d'Être: «le Poète-Poème de ma Vie». Un Poète-Pélican dont L'Esprit-Phée entrevoit pour sa Livrée des millions de Battements d'Ailes dans toutes les Directions, en s'ouvrant dans le Sens de la Vie-Humaine avec «la Raison-«Enzennée», enrichie de cardio-sensibilisation: «Omni-Al-Samt, pour Tous le Droit Chemin», peut importe la Direction que prendra ma Descendance, pourvu qu'Elle s'envole dans sa Vérité. Aussi, méfiez-vous: je me suis sincèrement reconnu en tant que Poète de Combat en lisant les deux volumes intitulés «La Résistance et ses Poètes» des Éditions Pierre Seghers. Donc, ça risque de barder dans vos Neurones en remémorisation d'une ancienne Combativité susceptible de renaître éventuellement chez tout Lecteur que je narre de Notions vitales de leur Véracité, salutairement transformé en Être-Là par simple Lecture; non plus un Bèta-Annulé de sa morbide Docilité létale en tant que Tardenoiseuse ou Tardenoiseux du Royaume de Tardenoise, mais un Vénérable Citoyen ou Citoyenne de substantifique Démocratie onusienne, en tant que Primenoiseuse et Primenoiseux du Royaume de Primenoise...des Gens éminemment cordiaux, toujours Conciliables à envisager une autre Idée toujours bienvenue au Brassage-Collectif, mais Infléchissables sur tout Principe de Justice fondamentale, en Code D'Honneur considéré inaliénable de la part des Créanciers de L'Heur-Juste.

 

«La Résistance et ses Poètes» des Éditions Pierre Seghers, c'était là une Lecture qui me confirmait que «L'Écriture» était L'Art-Martial par excellence», puisqu'au départ, toute Guerre véhicule des Idéologies contradictoires dissimulant presque toujours le véritable Mobile de l'Attaquant, mais que l'on peut discerner préalablement et postérieurement par le Langage utilisé et les non-dit silencieux ou exprimés en murmures presqu'inaudibles, mais éloquents de fermeture d'Esprit chez tous les Polémologistes, comme ils le démontrent dans leurs vaines tentatives de négociations cupides et de médiations intéressées avant d'en arriver à l'Affrontement fatidique par les Haineux qui savent parler, qui connaissent les Mots, comme Compassion et Bonté, Fraternité et Charité, Empathie et Humanisme, mais ne savent pas les vivre. Et puis, Fauché comme les Blés et Méfiant des Crétins de la Statistique établissant que 99% des Crimes contre la Personne sont commis par des Hommes, et quant à moi, se retrouvant à 99% présumés Coupables à vue, en me comptant tout à fait impartialement d'en Être, de ces Dangers-Queutés, qui ne sont Crédibles de Libération qu'à 1%, strictement lorsqu'ils prouvent que leur Passé est garant de l'Avenir, n'ayant pas été plus Dangereux que tout Juge-Mâle qui subsistera dans cette nouvelle Magistrature phénoménale, d'être rendue Féminine à 99% et Onusienne à 100%.

 

Surtout que fourmillent les Traîtres parmi «ces Dangers-Queutés» qui s'infiltrent toujours partout, comme le démontre mondialement L'Histoire des Résistants à l'Oppression; et d'autant plus que je suis absolument allergique aux Uniformes, sauf pour les Pompiers, les Ambulanciers et les Karatékas; aussi, je n'allais sûrement pas me les casser à recruter des Fuyards déloyaux en déroute anticipée de Prospects à la Désertion pour la moindre peccadille, étant inhabités de tout Principe Existentiel, d'être asséchés d' avance comme un aride et stérile Désert-Ambulant salé d' affreux Mirages pour ce genre d' étanche Assoiffé, de sa perpétuelle Sentence, sans Oasis:

 

«Au Jardin de la Vie, demain comme hier,

un Croque-Mort que ce Jardinier jouant à l’Horloger morbide

du rudéral Humain-Clepsydre: Temps!

-arachnéenne Éphémérité en Filière, sans Missive aux Absents déficitaires,

du Courrier à retourner illico à la perfide Envoyeuse de Sortilèges,

qui, de Présence annulée...abrège le livide»...

 

Évidemment, en revenant sur l'extrait précité de N. Lyon, «le Pedigree» est un Document officiel attestant de la Pureté de la Race d'un Animal; ce dont s’est assuré de nous en priver le britichiant Conquérant Britannique, qui exclu absolument tous ses Vaincus de L'Humanité en les animalisant héraldiquement pour les infantiliser à l’usure et les tarir de toute Dignité-Humaine; ce qu'il fait en Coutume de Guerre à tous «ses «POW, Prisoniers Of War» sans Identité autre, que celle de «WOP, Without Official Paper»; qui ne bénéficient d'aucun Pacte-Fédératif, d’où qu’ils se font jauger en «WOP», et cela, tout simplement à partir de son Bestiaire-Constitutionnel de Conquérant, notoire universellement sans que les Dénigrés caïnadiens franchouillards ne s'en indignent, des exécrables Armoiries caïnadiennes présentes sur le Passeport de la Honte ainsi que sur sa Charte-Théocratique, Martiale et Animalière des Droits-Fictifs et des Libertés-Virtuelles...car c'est ainsi que le Conquérant-Colonisateur les animalise pour mieux infantiliser ses Vaincus et leur Descendance, dont vous vous assurez d'être par Recensement-Baptismal, en condition «sine qua non» de votre «coopération de Cooperators» à votre «propre Fongibilité», en tant que sale Bétail fangeux commercialisable une fois délavé de toute Vérité et de toute Mémoire, personnelle ou collective?

 

Et cette offusquante Dégradation des Humains par les Colonialistes n'est pas étrangère à ce que véhicule le Langage-Courant qui, notez bien, qu'il soit Français ou Anglais, sont notoirement tous les deux «d'importation Heurts-Hop!-et-Haine» de Peuple-Élu prétendu Supérieur à l'Infériorisé dégradé des Peuples supposés plus arriérés, ainsi qu'en témoignent les Définitions suivantes de leurs Dictionnaires et qui s’avèrent indiscutablement péjoratives, discriminatoires et autant vexatoires, à l'oreille et à l'oeil de tout Humain authentiquement «Démocrate et Humaniste», ce qui n'empêche pas qu'elles parsèment les Dictionnaires pour nous illustrer notre piteuse Mentalité d’Arriérés-Primitifs. Et persiste le Danger inhérent que nos Enfants s'en imprègnent dangereusement de cette Mentalité-Tarée, en risquant fort de reconduire notre Fiasco-Asociale...car, auparavant, en résumé des Invasions Coloniales européennes, jusqu'à la défunte Société des Nations, lorsque le Droit des Capitulations était légal et le supportait, le Colonialisme sévissait partout dans le Monde en allant prendre «de Facto, de Fait» naturellement Militaire, avant de tenter de se faire reconnaître «de Jure, de Droit», étant toujours celui des Conquérants de «l'ancien Droit International Coutumier», comme nous le démontre Simone Dreyfus, qui est une respectable auteure de doctrine du Droit International Public:

 

« La nouvelle colonisation - La première vague de colonisation date, on l'a vu, des grandes découvertes et de la fin du XVe (s.). Et elle a abouti à l'implantation des Européens en Amérique, en Extrême-Orient et sur certains points des côtes Africaines.

[...]

Cette nouvelle colonisation donne lieu à d'âpres luttes entre les grandes puissances de l'époque. Les rivalités européennes se transportent outre-mer. Et ces rivalités en Europe et outre-mer s'alimentent réciproquement: la France et l'Angleterre s'oppose en Asie (en Indochine et en Inde), l'Angleterre et la Russie en Chine. Les luttes sont d'autant plus âpres que l'importance de l'expansion coloniale est grande. Ses mobiles sont économiques et aussi stratégiques (bases navales, protection de la route vers l'Inde, possibilité de ravitaillements des navires etc.) et liés au sentiment du prestige national, car un empire colonial est considéré comme la marque de la grandeur et du rayonnement d'un État, ou parfois traduisant sa mission humanitaire auprès de peuples plus arriérés. » (Dreyfus, Simone, Droit des Relations Internationales (extraits), Éd. CUJAS, 1978, pp. 7-47, pp. 22-23)   

 

D'après L'Amer-Indien, de se savoir d'«un Peuple plus arriéré» ne fait qu'attiser mon ensauvagement ultra-vindicatif en Mi’kmaq-Trickster sur le Pied de Guerre de le prendre au Pied de la Lettre pour exprimer leurs Quatre Vérités à ces arriérés Troglodytes, car cela me contraignait irréversiblement dans ma Jacquerie-Littéraire, à décrier la britichiante Bipolarité-Haineuse dûment «constitutionnalisée» par la Proclamation Royale de 1921, et judiciarisée sournoisement par le Renvoi-Esclavagiste de 1981, pour se faire ultérieurement enchâsser dans la Charte-Théocratique, Martiale et Animalière caïnadienne des Droits-Fictifs et des Libertés-Virtuelles.

 

Ce qui ne garantit aux Autochtones que la reconduction de l'Épuration Ethnique. Par exemple, des Mi’kmaqs dont la Personnalité Juridique est atomisée en Mi’kmaq-Américain du Maine, sinon en Mi’kmaq-Français des Îles Saint-Pierre-et-Miquelon pour d'autres; pour finir avec les Mi’kmaqs-Canadiens dispersés en Gaspésie, au Nouveau-Brunswick, en Nouvelle-Écosse ou à Terre-Neuve; et qui se font ré-atomiser davantage dans l’exécration spéculée dans le texte même de l'alinéa 2 de l'article 35 de leur Torchon constitutionnel de la déshumanisation-nationalisée, pour «y» entrevoir «l'Étatisation choquante de l'Inégalité de Traitements» entre Autochtones bénéficiant en substance de leurs Droits-Ancestraux lorsqu'ils détiennent ce Passeport d'Humain certifié «du Statut d'Indien», en tant qu'Inuits ou Indiens reconnus «full Blood» and «Pure-Breed»; -ce qui exclu évidemment «tous les Métis» qui y sont mentionnés «en inférant sournoisement à leur État de Bâtardise» de «Mixed-Blood» d'être «Half-Breed», soit «de Sang-Mêlé» d'être presque né, «à Demi-Engendré», pour que la divine Épuration Raciale du Peuple-Élu biblo-militari-juridiquement se complète «en seulement Trois Générations» à les javelliser de «Métis» rougeau comme des Peau-Rouge en «Bois-Brûlé», en synonyme de «coolie» à pâlir en «Quarterons» rosâtres puis en «Octavons rose-assez» sortant de «la Blanchisserie des «Grisâtres des brumes d'Albion», déguisés nébuleusement en Toges-Fascistes, qui se grisent de «leur Baboche» à l'article 27, à  «promouvoir, maintenir et valoriser le Multiculturalisme canadien» de «ce Lebensborn» dégénérescent de la décadente Sélection surnaturelle extra-terrestre à l'Alambic du Calendrier-Solaire du Whisky, se miroitant en Guerre-Concurrentielle contre «la Distillerie-Locale de Moon-Shine», parce qu'Elle entend se diversifier jouissivement en se divertissant de «sa Fabrique de Miroirs» pour voir à «son Imagerie librement personnalisée», sans plus aucun Reflet néfaste de britichiant Rejet...   

 

Et cette Répulsion xénophobe suintait ignomionieusement jusque dans «l'Instruction-Publique» des 10 Ministères de l'Ignorantologie provincialiste», s'affichant en Institution éminemment Haineuse de la proverbiale Bipolarité-Institutionnelle du Conquérant-Dominant, quel qu'il soit en vertu de l'«archaïque Droit International Coutumier», de ce fait Supérieur par «la Volonté divine», et de cette Prétention désâmante pour les Nations Pré-Capitulatives, prônera ultérieurement la Suprématie de la vacharde Race Grisâtre s'auto-javellisant de «sa Blanchardise» obsessionnelle»; ce qui se perçoit dans tous les Dictionnaires à la section lexicale, où fourmillent des définitions péjoratives et discriminatoires qui subsistent ainsi dans le Langage-Courant; en vous invitant à prendre Connaissance du contraste paradoxal de ce qui y est dit des Autochtones dans la Section des Noms Propres, si toutefois ils sont mentionnés exceptionnellement comme Êtres-Existants ou ayant Existés. Parce que figurez-vous que ce n'est pas le fait du Hasard si «Apache» signifie «un Malfaiteur, un Voyou», comme le suggère éloquemment son synonyme, «Hooligan»; et que «le Huron» y soit décrit pour être «une Personne grossière, un Malotru»; et que le terme «Micmac», bien que venant du français moyen, et donc mentionné ici en tant qu'«Homonyme», sans allusion au Peuple, réfère tout de même «à une situation suspecte et embrouillée» du Reflet imprécis d'un Imbroglio»; ce qu'ici l'Efferé Mi'kmak-Trickster reconnaît franchement être face à moi-même, un Imbroglio, une Énigme de ne pouvoir préciser mieux mes Racines de la Branche-Maternelle.  

 

Non pas d'un Renoncement consciemment consenti, pas même tacitement, mais plutôt manigancé mafieusement par les Magouilles scandaleuses d'Injustice-Caïnada occultant mafieusement «ses Actes de Génocides», et préméditant sournoisement sa Mise à Mort de l'Indien-Abélien, en litanique suite biblique «du Caïn-Cro-Magnon en poursuite de Safari contre «L'Abel-Néandertalien»...Et ainsi, le Mal-Colonialiste se propage insidieusement par sa judiciarisation, comme on pouvait s'y attendre de tout Anti-Évolutionniste, comme tout invétéré Polémologiste qui cachera être assurément un invétéré Traditionnaliste englué d' «anglaiserie redneckienne», par conséquent, terrant forcément un arriéré Misonéiste qui s'affichera pourtant tôt ou tard autant Asociale qu'Inamicale, autant résolument Anti-Démocrate qu'Anti-Humaniste. Car il faut savoir qu'Ici, «au Passage-Rétréci», le Colonialiste est «un Corbeau» cupide de nature arthurienne éminemment vorace, dont il faut présager qu'il ne lâchera pas tout seul le morceau: il faudra l'y contraindre en Suée-Liliale de Code-Morse cardio-crypté du Coeur-battant sa Charade! -en m'adressant à tout «Mordu» à qui je reconnais expressément «le Droit de mordre qui l'a mordu»...par un Changement de Cap sud-ouest, nord-est, qui nécessite évidemment de manoeuvrer pour un Coup de Barre radical...en ne démordant pas de son onusien Signalement de reconduction judiciarisée d' avilissante Sujétion-Colonialiste britannique qui perdure mordicus...

 

De l'un, «son Extorsion est par trop lucrative»; et de deux, «il ne veut pas engager «sa Responsabilité Criminelle» par des Aveux de ses Torts qui seraient perçus universellement ultra-incriminants de concerner les Autochtones, plus que n'importe quel Groupe Ethnique de la Population, dont le Membre se fera choyé de Ménagements infinis à se faire traiter avec des gants blancs pour Blancs lors de la judiciarisation du très Sélectif «multiculturalisme caïnadien»; surtout si ces Aveux étaient suivis de l'Annonce inespérée de Réparation qui le forcerait à envisager des Changements significatifs menant à une onusienne Réforme-Démocratique; mais qui s'avère illusoire de son Penchant chronique pour la Mascarade et le Simulacre du Faire-Semblant monarchique, avec une Société prise en Otage, d’être parasitée d’un Judiciaire-Dictatorial décadent dont la Pratique-Partisane s'encrasse de sa crapuleuse caution de la Léthargie-Législative qui prévaut d'«un océan à l'autre» cumulant les Comptes en Souffrance à la Grande-Caisse élisabéthaine, «Coast to Cust!» -d'être indéniablement supportée par l'Omerta-Judiciaire qui se prétend «narcissiquement Impeccable», suffisamment suffisant pour se justifier de retenir chichement ses Excuses sincères pour que s'ensuive la Réparation légitime. Mais ces honorables Voeux pieux demeurent injustifiables à ses yeux; à moins d'être contraint à l'Examen de Conscience nécessitant préalablement une Greffe onusienne; car ce Pantin-Fantoche de Législateur vassalique fera tout pour préserver sa Pseudo-Supériorité qui ne se fonde piteusement que sur «l’atavique Bipolarité-Haineuse» qui aspire toute la Substance de ses rachétiques Chartes-Bidons. Ce Comportement en perpétuel Déni de Justice d' Invétéré-Impénitent est celui «d' un Usurpateur», selon Albert Memmi:

 

« Mais, il l'admet, il revendique une place usurpée. C'est dire qu'au moment même où il triomphe, il admet que triomphe de lui une image qu'il condamne. Sa victoire de fait ne le comblera donc jamais: il lui reste à l'inscrire dans les lois et dans la morale. Il lui faut pour cela en convaincre les autres, sinon lui-même. Il a besoin, en somme, pour en jouir complètement, de se laver de sa victoire et des conditions dans lesquelles elle fut obtenue. D'où son acharnement, étonnant chez un vainqueur, sur d'apparentes futilités: il s'efforce de falsifier l'histoire, il fait récrire les textes, il éteindrait des mémoires. N'importe quoi, pour arriver à transformer son usurpation en légitimité. » (Memmi, Albert, «Portrait du Colonisé», 1972, Éditions L’Étincelle, p. 64)

 

Tout s'éclaircit maintenant, en comprenant que «cette Victoire «de Fait» (de Facto), d'une Campagne militaire menant à la Signature de l'Acte de Capitulation de 1760, doit par la suite «se justifier «de Juris», de Droit»; mais qui demeure débilement celui du Droit des Capitulations de «l'ancien Droit International Coutumier» de la Défunte Société des Nations, remplacée sournoisement par l'OTAN, pour hériter de Cours-Martiales dans toute la Colonie caïnadienne; d'où vous imaginez l'embarrassante «gêne» du Conquérant, et sa Hantise de Révisionnisme Historique de son arbitraire privation «des Droits de l'Homme», pour se faire Bonne-Conscience à rabais», d'être suivi de ce qui apparaît nettement comme une scélérate Tentative d'«Auto-Absolution», selon l'expression justement très appropriée de Jean-Paul Sartre en préface à Albert Memmi.

 

L'Amer-Indien ne fait que considérer «la Plate Réalité de cette abominable Fatalité», qu'il ne pouvait pas en être autrement, puisqu'en Rafale-Lexicale, en commençant par les HUMAINS, pour ensuite aborder «les ANIMAUX», nous procéderons donc obligatoirement à un parcours «migratoire» d'une Jungle à l'Autre, afin de s'interroger, si différence il y a de Perception chez nos Dirigeants, qui ne sont «somme toute» que des Politicards-Colonialistes de Filiales de «la Hudson Bay Company» s'étant doté d'une Justice bancale provenant d'un Judiciaire-Dictatorial, d'avoir cumulé plus de 60 Ans de Contraventions multiples à l'encontre du Droit International Public, ce que seule une Synarchie-Despotique pouvait accomplir aussi longtemps, en considérant les 60 Ans durant lesquels «cette Organisation Criminelle» a outrepassé sciemment sa Compétence Judiciaire, pour illustrer une Subjugation qui fut judiciarisée et qui a persisté durant une douzaine de Mandats Électoraux de Libéraux et de Conservateurs s’alternant pour du pareil au même.

 

Ceci vous étant bien sûr précisé gratuitement et gracieusement, fort d’être «sous l'invulnérable Immunité Supra-Étatique» de l'article 103 de la Charte des Nations Unies et des Résolutions Anticolonialistes A/1514 et A/2625 de l'Assemblée Générale des Nations Unies; par conséquent, «en légitime Signalement» de la Subjugation élisabéthaine, exprimé ici en Libre-Arbitre sur mes Libertés de Penser, d'Opinion et d’Expression, donc: «nonobstant» l'Omerta-Judiciaire de Michel Bastarache & Cie...ceci dit, passons maintenant en revue tous les Synonymes du terme «BÂTARD», parce qu'il reste qu'un Législateur qui en fait la Promotion, en hérite naturellement avec l'ensemble de ses Juges-Négriers qui se sont prêtés à une telle Propagande Haineuse, à subir égalitairement... 

 

D'abord, appliqué aux HUMAINS: et provenant sans doute de l'indissociable obsession de l’Hommerie en regard de «l'Enfant-Adultérin» qui le confirmerait Cocu, en Relique Biblique du vieux Péché de «la Faute-Originale d'Adam», puisqu'elle est définitivement moins grave à commettre pour l'Homme que pour la Femme qui n'a jamais affublé son Homme de la Bergamasque, la Ceinture de Chasteté brevetée à Bergame, Italie, depuis la Sentence biblique qui s'éternise pour «la Bouc Émissaire sans barbiche des Barbus-Patriarches du Complexe d'Oedipe Matricide»; soit des Adorateurs-Phallocrates de leur Dieu-Yang de la Baise kashère «fast-food» d'une Étoile Morte sous un drap percé au centre; ce qui, dans la Vraie-Vie des Étoiles bien Vivantes, qui battent des bras et des jambes en se déhanchant d'une Bonne-Baise, revient à leur Dégradateur mural de l'Intensité de la Lumière de l'Étoile-Tétraédrique «moïsement» transmutée Hébraïque, rendue Morte par l'antique Mise en Boîte pharaonnique ajustée hébraïque, dans l'infernal «Cube de Métatron».

 

Vous dire la Réalité invivable pour l'Enfant qui naît hors mariage ou d'«un mariage à l'Indienne» non-reconnu légalement, combien il lui sera quasiment impossible en dépit d'efforts surhumains et de mérite infini, d’obtenir Justice qui se montrera invariablement blessante et décevante, et de même que se faire reconnaître le Respect populaire qui lui sera généralement refusé, pour le faire mourir  de Dénigrement outrageant toute sa Vie durant, de provenir d'une Justice-Inique qui scénarise «criminellement» son Rejet dans le Drame inhumain de la lui rendre renchérit de Désespoir. Car il en fût, en est, et en sera ainsi pour cet Indésirable qui sera dès lors catégoriquement catégorisé comme étant «un Enfant-Champi», comme s'appelaient autrefois les Enfants trouvés dans les Champs; ce qui n'est peut-être pas sans Lien avec l'ancienne Coutume «des Louves Romaines», ces Prostituées qui oeuvraient dans les Champs; pour comprendre de ce qui réfère à «l'Enfant-Naturel», qu'il est fautif de vivre de sa Conception trop naturelle qui le rapproche des «SAUVAGES», ce qui l'exclu de leur prétendue «Société-Civilisée» par la Déchéance imputée et infligée systématiquementement à «l'Enfant-Naturel» avec tous leurs préjugés qui le dégradent autant que cette Société-Asociale, qui le rejettera jusqu'à ce qu'il en  meurt de l'Avilissement institutionnalisé après avoir été populairement et judiciairement destitué de toute Humanité. Et cette Iniquité calamitesque survient, par le fait même, de l’injustifiable Déni de ne lui reconnaître aucune Dignité-Humaine, pour qu'ainsi, «L'Enfant-Naturel» se retrouve «naturellement» en Dégradation irréversible vers la Nature, inévitablement avec les Bas-Instincts de Rût-Rural que l'on suppose merdiquement de l'antique Stigmate biblique qui l'affecte de la Mentalité-Tarée qui en résulte, puisqu'Il en sera enmerder durant toute sa sous-existence... 

 

Parce qu'il y a que sur ce propos sensible concernant «les Enfants nés de la Cuisse Gauche», du fait d'insinuer aux Enfants «leur Bâtardise» et qu'ils proviennent d'une Mère dévergondée, he bien, je m'en indigne au nom des Miens, qui se font avilir du Complexe d'Épuration-Ethnique pour les «enmeltingpoter» à la britichiante Refonte des Métis rosâtres «en Quarterons simili-blanchâtres», pour finir «en Octavons rose-assez grisâtres», presque javellisés, pratiquement Blancs suite à la Propagation du Multiculturalisme caïnadien de l'Assimilation judiciarisée «sewellienne», telle que préconisée par le juge en chef Sewell dans son Rapport de 1810, visant déjà à cacher leur Hybridisme suite à mille Guerres européennes légitimant l'immémorable Coutume du «Grand «FUCK», for: Fornication Under the Consent of the King» .

 

Et de là, il m'avait été facile de ressentir jusqu'à l'apercevoir, ce Lien-Causal directement connecté avec l'outrageante Discrimination à outrance venant de cette expression infamante qui sous-entend de «notre Présomption de Bâtardise», d'être Mi'kmaq de la Branche-Paternelle de notre Famille, mais incapables jusqu'ici de préciser la Généalogie de notre Branche-Maternelle, autant Autochtone, mais saccagée sciemment par la Législation-Ethno-Linguicide qu'est en réalité la Loi sur les Indiens, telle qu'elle fut judiciarisée par leurs Juges-Négriers concoctant que notre Branche-Paternelle soit populeuse, contrairement à la Branche-Maternelle dépeuplée par leur Patrimoine-Matricide de nos Langues et de nos Cultures, d'être fondé sur un Patriarcat ultra-misogyne hérité de la britichiante Gynécocratie-Phallocratique élisabéthaine qui faisait inexorablement en sorte, selon leur jurisprudence vexatoire, que je suis sûrement enclin à «une irréversible Prédisposition-Innée» à «la Gaucherie», leur permettant de faire le rapprochement instinctif avec «l'Anticipation de la Commission incontournable de ma part d'une litanie de Maladresses à l'infinie» venant de  «L'Être-Imparfait», obligatoirement, d'Être né pour évoluer «en Maudit Gaucher» tant en manutention qu'en Comportements qu’en Idéologie. Ce qui vous laisse entrevoir chez L'Amer-Indien, un Sauvage fort enclin à la Gaucherie et bien sûr, très susceptible de cacher un Extrémiste de la Gauche...de s’avouer L’Être en Avoué-Affidé et de se commettre comme tel…

 

En parallèle du Langage-Courant et du Langage-Gestuel, propres à nous illustrer notre pitoyable Mentalité rétrograde, par exemple, cette Présomption douteuse de Démonisation automatique sur «le «South Paw» à la Boxe, un des sports préférés des Anglo-Saxons, ce pauvre «South Paw» est irrémédiablement associé pour être «une maudite Patte Gauche de «Sudistes»; cette Discrimination historique s'étant banalisée par l'usage résultant sans doute d'une expression qui s'est incrustée machinalement dans le Langage-Courant des Anglo-Saxons, en Relique d'un ancien «Axe du Mal» de la Guerre de Sécession; par conséquent «un Gaucher» dont on peut anticiper qu'il sera irrémédiablement «un incorrigible Maladroit», (jusqu'à ce qu' « il passe « l'arme à droite »...); mais, bizarrement, qui ne rend Maladroit que «les bons Droitiers du Bon Dieu», soudainement rendus «GAUCHES» devant «le Gaucher» qui jure sataniquement bien plus qu'il ne déteint sur ce Bon-Droitier du Bon-Dieu, en synonyme très controversé par inférence, comme s'il s'agissait obligatoirement «d'un Pataud maladroit» qui se montrera sûrement bien «MAL-EMPOTÉ»...(de Pote, signifiant jadis le côté Droit, alors que le terme «Orche», représentait le côté Gauche); quand on analyse logiquement la Cause de cet arriéré Préjugé qui terrorise ces idiots (de l'Hémisphère-Cérébral gauche), qui s'explique tout simplement «de l'Expérience accumulée au fil des Combats», parce qu'avec le temps «ces Maudits Gauchers» s'habituent à 9 fois sur 10 de se battre contre «un Droitier» du Bon-Dieu», soudainement rendu «Maladroit» et en Beau-Diable de s'être montré si Gauche, de se retrouver presque toujours déjoué par «ces Maudites Pattes Gauches», parce que «les Droitiers du Bon Dieu du Paradis» ne se battent environ qu'Une Fois sur 10 contre «ces diaboliques Gauchers de l'Enfer», d'où leur Inexpérience d'«Empotés» devant «L'Habilité-Gauchère du Gaucher se démarquant avantageusement en Adroit-Dandin»; qui, historiquement, de leur britichiante «Senestreté» héraldique sont historiquement déterminés «du Clan des «Eux», afin de les séparer «du Gang «des «Nous», pour qui le Dextre est inévitablement réservé sur «les Armoiries caïnadiennes», les Vaincus deviennent autant tous des Gauchers à maudire à jamais, autant que ces maudits Sudistes…

 

...d'ailleurs, dans la même Famille que «la Fausse Patte» de la Boxe, il subsite dans le Langage vernaculaire de l'Imprimerie, soit le jargon des Éditeurs et leur main d'oeuvre, l'expression éloquente par elle-même de «la Fausse Page», désignant la «Page Gauche», alors que la Droite est priviligiée de l'appellation prestigieuse de «Belle Page», en supposant pratiquement que pour écrire un Chef d'Oeuvre, il nous faudrait laisser vierges toutes «les Fausses Pages»...et par extension, du Verbal au Gestuel, le double de Pénitence après le Confessionnal inquisiteur pour une branlette Gauchère, de n'être pas kashère...et pour L'Amer-Indien tout juste bon pour les amitiés sûrettes, la Contrainte fatale de ne jamais pouvoir devenir le véritable Ami du PM des Anglo-saxons, qui ne le considèrera jamais comme «son Bras-Droit, his Right-Arm», d'avoir été jadis «un Mauvais-Indien» de son Alliance catastrophique avec le Français et le Caïnadien-Français, (puis ultérieurement avec l'Américain prétendument débritanniqués), mais du côté des loyaux monarchistes orangistes caïnadiens, qui l'ont rejeté et trahi tous les deux par Capitulardise chronique constitutionnalisée, à s'appliquer de pratiquer exécrablement leur «if we can beat them, let's join them», faisant que L'Amer-Indien doublement dupé, n'a plus aucune envie de se faire passer loufoquement «pour leur Couille-Gauche, la Ballotante», aussi frivole que leur Allégeance ultra-opportuniste et leur Féalité supra-nombriliste de Bourgeoisie de la médiocrité de sous-espèce complaisamment inférieure, proportionnellement à la dérisoire infra-Constitutionnalité de leur Sous-Charte-Animalière de la Québécitude et de la Rubitude...

                                                                         

Et me voilà comme je suis, tout en vous exposant jusqu'où une telle Usure par massive Scotomisation préméditée équivalent à une Méga-Lobotomie de docteurs Jekill peut dégénérer jusqu'à s'avérer inespérément Créatrice en ressortant du Fouilli-Mental d'un ambulant Mi'kmaq, naturellement prédisposé à m'offrir en Imbroglio dans mon jonglage lexicale, se permettant ci-après de remercier des Amis qui me sont très chers, de m'avoir sécurisé amicalement quant au Méli-Mélo de l'Imbroglio dans le bric-à-brac du Mi'kmak qui ne s’en tire qu’inévitablement tiraillé dans «son Cafard n'a Homme»; ce qui transparait de façon transcendantale dès la première des deux OpuStrophes doublées de Pentacles fantasmagoriques vous étant ainsi proposées(és) en introduction étourdissante de ce Poème échevelé intitulé:

 

«le Chant-Verlan: 10 Lexiques sur une Bête AmbiSenestre»...

 

 

Ah! si un Chien pouvait                                                          ...E    L    L    A   B     !U   O   T   I     P

m'adopter;                                                                                ...L    H    I     B   A    -O   Ç    I    P    I...

après tout,                                                                                    L    I     L    I     L    -T    I    L   I     T...                        

le meilleur Maître                                                                       A    B    I     H    L    -I     P   I   Ç    O?

de l'Homme                                                                                 B   A    L    L    E     -P     I   T   O   U!...

c'est le Chien. Voyez!   S   E   R   V    I     O   L   U   O   B-

comme je lui obéis ;  ...E   L    I   O    V - -L   I    H   L   O!

à chaque fois                R    I    R   I     R   -U   H   A   H  U!   M     I   N   O   U!     J     A   P     P     E!

qu'il me désigne           V   O    I   L    E   -O    L   H   I    L     I     D   H   I    O!     A    L   U    O      P!

la balle,                          I    V   R   E    S   -B    O   U   L   O    N    H   A   H   N!      P   U   A    U      P...

je la lui relance en bon serviteur...                                           !O    I    H   D    I-      P   O   U    L     A...

                                                                                                   ...U    O   N    I   M … E    P    P   A      J-                                                           

                                                                                                                                                                                                                        

Ainsi suis-je, he oui! -même avec mes Amis, les pauvres! T    R   O    L    L...      M   U   T      I   N...

-car je pense du Côté Gauche plutôt que du Côté Droit,  R    E    B    E    L...   ...U    L   O     D   I!

ai-je confié à Yvon Brabant.                                                O    B    O   B    O...    ...T   O   R    O   T...

Il m'a répondu: «Et après! à l'embauche,                        ...L    E    B   E    R...      -I    D   O    L   U...

ne vaut-il pas mieux un Gaucher adroit                           ...L    L    O   R    T-     ...N    I    T    U   M-

qu'un Droitier gauche!?!» Puis, l'Ami Mike  d'ajouter

en portant son Pagne en Paillettes :                                     L    U   T    I    N:       C    O   L    O    C...

«Tu es une Bête tournant SeneStrorsum, en somme:       -U    L   O    D   I:        O   M   A    G   O!  

Sois Toi-Même ! -comme tu es, AmbiSenestre,                   T    O   R   O   T...      L    A   B    A    L...

ça sait qui vaut en équivoque                                               -I    D    O    L   U:      !O   G   A   M    O...

puisque nous sommes tous Humains,                                ...N    I    T     U   L-       C    O   L   O    C...

d'ailleurs, «si les Coqs n'ont pas deux mains:                                      

c'est que les Poules n'ont pas deux seins !»...U  O   L   I    F- ...U   O   Z    A   Z- ...N    E   R   O   T-

que nos louches regards bigles                    ...O  C   I    L   I!    -O   D   O   R   A...  !E    N   O    Z   O!   

Adroits ou Gauches                                         L   I    L   I    L    -Z   O   U   O   Z!     R    O   Z   O    R...                                   

fauchent adroitement                                      I    L   I    C   O! ...A   R   O   D   O-    O    Z   O   N    E...                         

en Adroits Dandins...                                       F   I    L   O   U... -Z    A  Z   O   U...   T   O   R    E    N...

 […]

 

D'après le dictionnaire de Philosophie de Larousse, «un Dislexique» se définit comme «quelqu'un», un  Être-Humain je suppose, «que l'on a contrarié» mais sans préciser comment on s'y est pris, sans doute par l'infléchissable Droiture imposée dans le monde manchot des Droitiers, et je propose, aussi, qu'il vous faut vous méfier de ce genre de Lecture hétéro-clit! -vous entraînant on ne sait où; en revenant approfondir autant sur leur Obsession multi-millénaire, en regard du Sens manichéen prêté au terme «Gauche» appliqué à L'Humain insinué en Ouvrier-Malhabile, appelé ici à être associé à ce qu'il crée en se présentant en «Objet mal usiné», de posséder «un Défaut», celui de ne pas avoir été fabriqué «Droit», d'être gauchi en gachis d'avoir été Faussé par ses Manutentionnaires parentaux, engendrant assurément un futur Faussaire avec «cet Être Faussé» (à force de congédiements discutables, malgré pourtant qu'il se soit montré généralement de Bonne Compagnie?), et par conséquent, en faisant référence à «l'Être Tordu qui ne Marche pas Droit», ce qui est contraire à l'Équerre de leur fétide et répugnante Loge Franc-Maçonnique rosicrucienne de même qu'à leurs Armoiries à l'Enquerre depuis la Prétention au Trône de France par édouard III. Pour son Peuple-Élu, la Béatitude anglo-saxonne en Dextre leur assurant les Traitements favorables «pour ces Bons Droitiers du Bon Dieu»; et l'Enfer du Mépris en Senestre, dans l'Axe du Mal des Gauchers malhabiles de leur Défaite militaire frappant de manière héréditaire toute la Descendance des Nations Pré-Capitulatives qui combattaient autrefois sous la Bannière Constitutionnelle «aux Trois Fleurs de Lys», reléguée dans le Quatrième Quartier de l'Écartelure, parce que nous serions appelés à nous faire convertir à s'acoutumer de cette Défaite de jadis par des Arrangements déraisonnables à «l'Harmonie-Asociale de leur Harpe biblique», qui s'adresse à Nous à partir du Troisième Quartier de l'Écartelure des Armoiries caïnadiennes.

 

De là, la Dégradation animalière qui s'intensifie fallacieusement d'autorité constitutionnelle depuis leur Bestiaire-Constitutionnel des Armoiries caïnadiennes de la Proclamation Royale de 1921, apposées sournoisement et belliqueusement sur la Charte-Théocratique, Martiale et Animalière caïnadienne des Droits-Fictifs et des Libertés-Virtuelles, en Déchéance hyper-avilissante jusqu'à «la Présomption de Bâtardise des Bardots-Métis», du Stigmate des Avatars du Non-Être, marqués en arrêt de Mort pour les Morts-Vivants ensevelis dans la Fosse Commune de la Clause-Négrière de la Rubitude, à l'alinéa 2 de son article 35. Depuis jadis, les Misonéistes et les Polémologistes nous vocifèrent «le Vae Victis! Malheur et Honte aux Vaincus -du Rappel d'un Harcèlement humiliant pour les Ex-Alliés-Plumés des Canadiens-Français, avec les Natifs châtiés doublement pour avoir combattu sous la même Bannière Constitutionnelle «aux Trois Fleurs de Lys» de Louis XV le Bien-Aimé (de qui donc?); mais, à la différence que les Natifs sont frappés encore plus par exemple, à se retrouver contraints de tolérer l'Intolérance que porte le nom de «la rue Amherst», du  général-donateur de couvertures infestées de variole, sans que cela soit contraire à la faiblarde Infra-Constitutionnalité de l'article 11 de la Charte des Doits et Libertés de la Personne du Québec, stipulant en vain que: «Nul ne peut diffuser, publier ou exposer en public un avis, un symbole ou un signe comportant discrimination ni donner une autorisation à cet effet». Il reste que le sacro-saint nom d'Amherst, jamais ne sera perçu Discriminatoire ni Provocateur envers les Natifs, d'avoir été jadis «les Alliés de la Guerre d'Indépendance étasunienne» et punissables exemplairement par la Sentence-Anathème dino-windsorienne d'Honnir à outrance lorsque ce sont les Natifs-Païens de «Peuples plus arriérés»  qui se retrouvent «En-Senestrés» avec les Conquis de la Francophonie à mépriser, ces Vils Vaincus qui sont tous repoussés en Senestre», à Gauche sur les Armoiries caïnadiennes, dans «l'Axe du Mal».

 

Mais pour les Peaux-Rouges, indéniablement exécrés davantage en tant que «Propriétaires-Légitimes du Territoire» dont il faut les priver du Titre, puisqu’ils ne sauraient en jouir en tant que «vulgaire Faune Locale «accessoire» «aux Bestiaux caïnadiens-français», le «Principal» intéressé à sa Capitulardise, pour que les Natifs soient lorgnés par leurs Juristes sous l’appellation méprisante de «Pupilles de l’État» sous-entendant l'institution d'un Protectorat d'Indigénat. Qu'on se le dise, les Mi'kmaqs ne sont pas des Capitulards, selon ce qui est rapporté de leur véritable Histoire non-révisée, du moins, moins à ce sujet, et par conséquent, moins «punitive» chez nos Voisins Sudistes du Royaume-Uni étasunien, comme un bémol sur le «Vae Victis» en Retour d'Ascenseur rétroactif pour leur soutien glorieusement efficace dans «la Guerre d'Indépendance étasunienne»:

 

«Since 1779 they have been peaceful, scattered occupants of their former domain, never deported, like many tribes, to the south. But a long association with whites, particularly the French, has seen a gradual loss of culture and traditions, and the inevitable mixing of the races.» (Johnson, Michael, G., et Richard Hook, pour les illustrations, Encyclopedia of Native Tribes of North America, Éditeurs, Firefly Books N.Y., U.S.A., et Firefly L.t.d., Ont. Can., 2007, p. 23)

 

...et encore, la Raison de ce traitement favorable aux Bons Indiens étasuniens,

 

«The Penobscot joined the Passamaquoddy, Maliseet, and Micmac in securing the town of Machias against British attack in 1777.» (National Geographic Society, Indian Nations of North America, 2010, Washington, D.C., U.S.A., p. 54)

 

Et maintenant, d'une incroyable exception phénoménale, inculquez-vous de l'inimaginable, dans l'inespérée Providence d'un Bon Samaritain en Toge, tellement inusitée et inattendue, qu'il peut être présumé empathiquement d'Ascendance Autochtone de par sa Franchise si spontanément naturelle, car d'après le juge Dollard Dansereau, auteur de «Causes célèbres du Québec», c'est exactement ce qui s'est produit avec les Indiens et les Métis de Louis David Riel et de Gabriel Dumont, dans l'Objectif-Haineux de les provoquer législativement à défendre leurs Droits qui leurs étaient déniés de façon coutumière pour les faire sortir et revendiquer «par l'Usage et la Coutume» de leur Chasse à courre, pour faire lever  ces Gibiers de Potence de par leur Présomption de Bâtardise; d'être «des Sauvages des Bois, des Enfants de la Nature», qu'il leur faut mépriser doublement dans la Disgrâce de leur Loi d'Indigénat d'Empire qui rempire de Racisme envers les Autochnones, d'être hautainement jaugés par des Quarterons et des Octavons sans Pedigree et sans Identité Nationale; pour une Population entière de vulgaires WOP, Without Official Paper de se retrouver en 2013 sans aucun Pacte-Fédératif d’«une véritable société libre et démocratique»; dirigée Ici par une sous-espèce bâtarde que l'anglofranchouillarde sans Pedigree de Pureté-Raciale et sans Constitution Fédérative onusiennement Démocrate; d’être plutôt coincé «au Carcan «des Méa-Pliée» et «des Méo-Penché» de «la Honte-Nationale» exclusivement «frenchpeasoupienne», avec un Bestiaire-Constitutionnel qui les dégrade le plus sauvagement du Monde «en tant qu'Enfants Bâtards du Grand-Fuck dino-windsorien. Par conséquent, de Blasonnement et de Symbolisme discriminatoires «héraldiquement» parlant, mais, d'Intolérance tolérée (qui ne dit mot consent!) -même tacitement par omission judiciaire de renseignement indispensable au Consentement Éclairé, et donc apparemment très appropriée pour des Vaincus bâtards qui sont héréditairement présumés tous nés de «la CUISSE GAUCHE»...Alors que Louis Riel s'interposait face à l'Arbitraire, en commentant «l'affaire Louis Riel», le juge Dollard Dansereau rapporte les paroles du contremaître des Arpenteurs de «la Hudson Bay Company», venus en groupe pour ré-arpenter la Terre de son cousin, André Nault, dûment achetée depuis longtemps, mais dont «le Bon-Titre» leur était systématiquement refusé d'y être considéré «en «squatter» Nomades, sédentarisés seulement pour dépossession à perpète les acculant à la Révolte, pour frustration assurée de leur part de leur sous-condition de Métis animalisés et abâtardis d'Hybridisme:

 

« Ça va, les gars, dit-il à ses hommes. Prenez vous effets. On a autre chose à faire qu’à discuter avec une bande de mulâtres...Il ajoute, à l'adresse de Riel: «Vous allez en entendre parler jeune homme.» (tel que rapporté par le juge Dollard Dansereau, «Causes célèbres du Québec», 1974, Éditions Leméac, à la page 17)

[…]

« Durant l’été de 1869, des équipes d’arpenteurs, sous la direction du colonel Stoughton Dennis, pénètrent dans la vallée de la Rivière-Rouge comme en pays conquis. Ils font fi des Métis. Pour eux, ce sont des Sauvages, des mulâtres, des bâtards. » ((op. cit.), Juge Dollard Dansereau, Id., p. 18)

[…]

« Les Métis se défendent d’être des esclaves que le gouvernement de Londres peut assujettir au gouvernement d’Ottawa sans leur assentiment, et dont la Compagnie de la Baie d’Hudson peut livrer les biens en échange pour elle d’argent et de terres. » (Id., (op. cit.), Juge Dollard Dansereau, paroles rapportées de Louis David Riel, p. 20)

[…]

« Encore aujourd’hui, l’État n’a rien trouvé de mieux, pour compenser les Indiens de la perte de leur territoires de chasse, que la création de réserves et le paiement d’allouances. Quant aux Métis, on ne les regarde ni comme des blancs ni comme des Indiens; par conséquent, le gouvernement n’a pas d’assistance à leur donner. » (Id., (op. cit.), juge Dollard Dansereau, p. 30)

 

«En pays conquis», autant de Menaces simili-parlementées et pseudo-légales en Toc de Bon Voisinage, lorsque « la Valeur Mobilière » dûment animalisée en Faune Locale, et s'avérant «de fait» et «de droit» une Chose homiminienne lorgnée en «accessoire» condamnée au régalien Monopoly des Dépossessions et du Renoncement capétien, se devant suivre « le Principal » de « l'inestimable Valeur Immobilière », si prisée de leur fiévreuse cupidité «klondikienne» de géophage et démovore windsor:

 

«Ces questions furent noyés dans la grande effervescence qui s'ensuivit; par suite de l'inaction persistante, chaque Métis demeura, année après année, un squatter selon la loi, sans aucun droit de propriété sur sa terre, alors même que des étrangers arrivaient en nombre croissant dans la région. Qui plus est, ces étrangers n'étaient pas que des Métis anglophones ou des colons canadiens ou immigrants qui, tous partageaient l'inquiétude de leurs compatriotes face à l'inaction du gouvernement; il s'y trouvaient aussi des agents de spéculateurs fonciers cherchant à accaparer de vastes portions de territoire au mépris des occupants.» ( Woodcock, John, historien, Gabriel Dumont Le chef des Métis et sa patrie perdue, 1976, George & Hurtig Publishers; version française, Québec, 1986, V.L.B. Éditeur, traduction de Pierre Desruisseaux et François Lanctôt, p. 174)

 

Autrefois, le Métis était interdit de Titre de Propriété par sa prétendue animalité, et même si ce n'est plus le cas en 2013, il reste que ce même Métis aujourd'hui Propriétaire foncier chez les Blancs, n'est cependant pas bienvenu dans une Réserve sans le Statut d'Indien établissant sa Pureté Raciale. Donc: illusion létale de croire que le Traité de Paris de 1763 protège la Liberté de Conscience et de Religion, les Droits Civils et la Langue Française des Vaincus de l'Empire britannique; il s'agit simplement du Renoncement capétien du Territoire et des Sujets du Royaume du Canada de Louis XV le Bien-Aimé, concédé à george III, ce Despote si détesté des Néo-Américains Républicains. L'accessoire, la Populace, suivant le Principal, le Territoire convoité, comme il en fut pour l'arrêt sur l'Annexion du Labrador du Conseil Privé, de même que plus récemment pour le Renvoi-Esclavagiste de 1981. Pourtant, nul ne peut nier la Présence-Humaine des Premières Nations et des Colons Canadiens-Français au Labrador. Il reste cependant que la citation suivante illustre bien, que seul le Territoire et ses Richesses Naturelles intéressent les Annexionnistes anglo-saxons:

 

« Il y avait à établir des frontières qui n’avaient jamais été définies. Lorsque je suis parti pour Londres, un marchand de bois m’a montré une circulaire d’un courtier américain offrant en vente une grande propriété. Savez-vous laquelle? Le Labrador. Dans sa circulaire, le courtier offrait en vente les forêts, le pouvoir d’eau, qui était en litige. Il disait de plus que de puissants Anglais étaient intéressés dans cette propriété et qu’elle était garantie par le gouvernement britannique. Dans cette circulaire on fait miroiter les possibilités d’exploitation de la rivière Hamilton, avec ses dix millions de chevaux-vapeur, et ses limites forestières, et on insiste sur le fait que le gouvernement britannique assure les titres sur ces richesses naturelles. Cette circulaire fait également valoir que des Anglais bien connus sont intéressés dans cette affaire. Voici la circulaire en question. » (propos de l’honorable (?) Taschereau en ministre sinistré Capitulard, tirés des Débats de l’Assemblée Législative du Québec, de la 16e législature, 4e session, pp. 1-34, à la page 7)

 

Sans Territoire, sans Culture, sans Histoire...Il faut justement considérer honnêtement la Plate Réalité à l’effet qu’elle s’est bel et bien exercée de façon systématique, cette pratique Ségrégationniste simultanée de «l'Expropriation des Territoires» et «des Personnalités-Juridique, qui agit sur les Êtres en exerçant littéralement sur Eux comme «une Télé-Déportation les propulsant dans une Modernité pipée, orchestrée Médiévale» dans l’arrogance monarchique qui tolère hautainement votre Présence: mais, dépersonnalisé et par conséquent, déshumanisé «en Étant-Autrementque ce que vous êtes sensé «ÊTRE», (comme lors de l'Annexion du Labrador en 1927, par laquelle le Conseil Privé a décidé arbitrairement qu'une bonne partie de notre Population «se coucherait Québécois, pour se réveiller enterrés en Terre-Neuviens de «la Terne-Neuvième», privés arbitrairement du Code Civil des Civilisés, dès  lors, faussement prétendu garanti par le Traité de Paris de 1763). Les Pauvres, Tous à la merci de la débile Common Law des Morues à Cou-Rouge de l'Île des Cabillauds»...dans une britichiante Pratique n'évoluant qu'en raffinement de Cruauté-Mentale, d'être rendue plus sournoise dans le maintien de la Ségrégation, quoi que se présentant presque identique à «la Franche-Déportation des Acadiens en 1755»...mais qui, «Eux», à tout le moins, de cette regrettée Coutume de montrer franchement son Despotisme, conservaient malgré tout «leur Droit d'être Acadiens» et de se présenter comme Tels, -mais: Ailleurs! -alors que dorénavant, l'hypocrite Protocole de l’insidieux Faire-Semblant élisabéthain veut bien tolérer notre plaisante et agréable Présence Physique, -mais: «Autrement!» -du point de vue «Intellectuel», littéralement dans l'État-Végétatif des Zombis complètement annulés, totalement annihilés en Zappés-Apatrides, de se retrouver dramatiquement Innommables après avoir été longtemps ressentis Indésirables, complètement en errance Inexistants, de n’avoir réellement absolument Personne à présenter à quiconque dans l’Anonymat-Collectif qui ne s’en souci guère, de notre pré-occupation de nous savoir Incognitos à Nous-Mêmes...comme il en était pour notre cousin Guy Ouellet, qui en 2006, âgé de 76 ans, a enfin appris qu'il était d'ascendance Abénaquise, ceci vous signifiant l'aridité préméditée étatiquement en regard des Reccherches Généalogiques autochtones.

 

Maintenant, pour «les Animaux», en ce qui concerne particulièrement les synonymes «de Bâtard», mais qui sont «généralement» appliqués à l'Humain, que l'on pense à «Corniaud», qui décrit «un Chien Bâtard», un sale Cabot sans Pedigree, ce qui infère à «un sale Chien sale» en commune insulte dûment «joualisée» par une Meute de Moutons qui se la bêlent bêtement; en considérant sa définition dans les Dictionnaires décrivant «un Homme qui est stupide et imbécile», par conséquent, qui n'est définitivement pas «de L'Imperfectible Race Pure» comme tout «Bâtard de Corniaud!» -qui, somme toute, n'est qu'«un HYBRIDE», un mal-foutu de Mélangé que ce Croisé-Païen» qui mêle tous les Autres reconnus de Bonne-Volonté, avec leur ignoble judiciarisation de l'abâtardissement du Multiculturalisme caïnadien de la Sélection surnaturelle de sa Supra-Constitutionnalité dogmatique dénaturée Théocratique protest-anglicane parasitée rétro-adventiste; parce qu'en étant «un Mélangé» de mon prétendu Sang-Mêlé qui circule fluidement en Lévogyre, je suis Titré forcément pour me faire reconnaître «en ÉTOURDI». L'Amer-Indien ne serait pas du tout surpris qu'on me confirme un bon jour, que l'archaïque inclinaison «à généraliser» a été répandue de façon «générale» par des bâtards de Généraux sanguinaires, tapis au point d'eau et au puits de pétrole des paisibles brouteux qui moutonnent, autant que jappent en rogne leurs putrides Meutes de Chiens kakis»...

 

Suite à cette généralisation d’animalisation universalisée de L’Être-Humain déprécié de son Étrangeté nationale à réquisitionner par annexion de la part des Colonialistes de tout acabit, rappelons encore que le terme «MÉTIS» est appliqué indifféremment en synonyme autant à L'Humain qu'à l'ANIMAL, et les désigne ainsi péjorativement en «dégénérés BÂTARDS» autant pour l'Un que pour l'Autre, selon le Dictionnaire du Petit Larousse Illustré de 2006, nous définissant «le Croisement animal de deux Bêtes de la même Espèce, mais, de Races différentes»; à l'instar «des Mulets-Mulâtres», qui sont issus d'«un Âne et d'une Jument», «les Bardots-Métis» sont issus d'«un Cheval avec une Ânesse»; mais qui, cela va de soit, «Mulets-Mulâtres» ou «Bardots-Métis», ne sont par conséquent ni un Cheval «Pure-Race», ni un Âne «Pure-Race», de l'hybridisme des Bâtards de Mulets et des Bardots sans Pedigree.

 

Pour tout dire de façon imagée mais exacte, le Renvoi-Esclavagiste de 1981, nous avait servi tout le contraire de l'heureuse conclusion d'un «Happy-End» du scénario du très bon film «Amistad», avec Anthony Hopkins et Morgan Freeman, nous montrant un jugement dans lequel des Esclaves-Mutins de l'équipage de leur Bateau-Négrier, le «Amistad», sont considérés en tant qu'«Humains», et non pas «des choses négociables» n'ayant aucun Droit de se rebeller; et encore pour Nous, tout le contraire de l'arrêt Guibord devant le Conseil Privé en 1873, dans lequel le Droit à l'Auto-Préservation par la Légitime Défense est reconnu «Légal» et même, «fort louable» par les Juges-Lords. Mais, dans leur fourbe Turpitude-Népotique, Nous fûmes judiciarisés totalement dans le sens contraire lors du Renvoi-Esclavagiste de 1981, non pas en tant qu'Humains, mais en tant que «Bétail franchouillard et en Faune locale amérindienne» par les Juges-Négriers en Banc de Forbans en Méga-Forfait; par Neufs-Quarterons s'auto-javellisant en Octavons, mais toujours «sans Pedigree Généalogique», et par surcroît, doublés de «WOP» Without Official Paper», meaning «Illegal» 1867 BNA Act». Et ce Déni de Justice vendue pour «une Vache Bâtarde de la Frise allemande», d'être elle-même «une puante Holstein sans Pedigree!...Ça horripilait amèrement L'Amer-Indien et pour Cause, que le terme «Métis» se retrouve enchâssé à l'alinéa 2 de l'article 35 de la Charte-Animalière caïnadienne...parce que les Armoiries caïnadiennes de la Proclamation Royale de 1921 sont apposées sur ce Bestiaire-Constitutionnel, en conséquence asocialement calamitesque de son Blasonnement insidieux qui insinue discriminatoirement l'animalité des Vaincus, du seul terme «Fief», signifiant «Bétail»...

 

Évidemment, pour parer leur Lavage de Cerveaux liliaux, inutile de tergiverser à négliger la réitération si bénéfique à l'incrustation des Notions, à vous re-spécifier le rapprochement «si naturel», à l'effet que le terme «MÉTIS» réfère à l'Enfant-Naturel qui est né «des Marriages à l'Indienne», comme il est dit dans l'arrêt John Connolly de 1869, dans lequel «ce MÉTIS» qui est avocat plaidant pour lui-même et ses Frères et Sœurs une Requête en reconnaissance de Paternité devant une Cour d’Appel (du Banc de la Reine), se fait carrément traiter de «BÂTARD» par le juge Loranger en plus d’entendre sa Mère se faire qualifier de «Suzanne la Sauvagesse» et de « Suzanne pas de nom », sans aucune référence à sa Nation, comme cette expression vague et avilissante d'«espèce de sauvage», que l'on retrouve durant les fastidieuses et insultantes Recherches Généalogiques.

 

Demandez-vous sérieusement, après la lecture des propos du juge Loranger cités en amont, si «l'Union de Fait» (divers) de l'arrêt Lola, ne fut pas juridiquement perçue comme «des Marriages à l'Indienne», au préjudice des Descendantes d'Ève...

 

Mais, bien que le Juge-Ségrégationniste Loranger y soit le seul dissident sur cinq en 1869, ce Cliché-Jurisprudentiel nous présente également, avec les quatre autres juges, une Justice victorienne sous «l'ancien Droit International Coutumier» qui était tout de même Humaniste à 80%, sans même la prétendue Protection farfelue chimérique des 11 Chartes-Bidons du «Fief du Canada», et cela, près d'un siècle avant que le Canada ne soit devenu Signataire du Droit International Public des Nations Unies, auquel à cette époque, aucun Juge ne pouvait consciemment contrevenir. Mais que dire de cet arrêt John Connolly, après l'avoir comparé avec l'arrêt Canada contre Mme Sandra Lovelace en 1989, jugé cent-vingt ans plus tard, pour nous montrer la Saga judiciaire de cette brave Indienne qui a dû gravir péniblement les Trois Instances Judiciaires du Droit-Colonialiste Interne avant d'aboutir devant la Cour Internationale de Justice, pour enfin pouvoir l'obtenir et nous illustrer la Ségrégation-Judiciariée d'un éloquent score parfait de 100% de Juges-Ségrégationnistes en considérant ces 13 Juges-Négriers sur 13 en 1989, contre 1 seul Juge-Raciste sur 5 en 1869 pour l'arrêt John Connolly...sans qu'il soit possible de soutenir qu'il n'y a pas de quoi s'alarmer de ce que cette seule Mauvaise graine avait pu semer judiciairement pour se répandre insidieusement; d'être un foutu Jugement de «Common Law», qui fait partie intégrante du Patrimoine-Matricide des Cultures Autochtones; que la Décision ait été rendue avant comme après sa mise en vigueur en 1985, «de ce Patrimoine-Ségrégationniste» dont le rituel machiavélique de propagande de Ségrégation Raciale est stipulé aux articles 27, 28 et 35 alinéa 2 de la Charte-Théocratique, Martiale et Animalière caïnadienne des Droits-Fictifs et des Libertés-Virtuelles pour les Autochtones, ensevelis dans la Clause-Négrière de leur Rubitude, de ce même Torchon de décadence avilissante constitutionnalisée. 

 

Du Fief-Politico-Militari-Théocratique windsorien au Fief-Judiciaire élisabéthain, la Misogynie-Ségrégationniste initiée par le juge Loranger de l'arrêt John Connolly de la Cour du Banc de la Reine de 1869, selon la citation suivante, qui nous prouve qu'il est du même acabit que son merdique PM, John A. Macdonald, qui nous jaugeait à la baisse «en sous-caste», «en sous-espèce» de Demeurés à protéger d'Eux-Mêmes par Loi d'Indigénat dans un Protectorat:

 

« La polygamie repousse donc l’idée chrétienne du mariage dans ses deux caractères les plus intimes, dans ses deux points fondamentaux. Juge d’un tribunal chrétien, je ne puis reconnaître la loi des infidèles. Appelé à prononcer sur les droits les plus sacrés des citoyens, le sort d’une famille et l’honneur de son nom, je ne puis fonder ma sentence sur un principe subversif de tout ordre social, sur une institution reprouvée de Dieu et en abomination devant les hommes. »

[…]

 « En pays polygame ou dans le Nord-Ouest avec les mœurs que les témoins ont décrites, je dis sans hésitation, non! À Suzanne, les collatéraux de Connolly auraient pu objecter son concubinage, et aux enfants leur bâtardise. » (Idem, p. 304)

[…]

« Il retourne dans le Nord-Ouest où il continu à vivre avec la sauvagesse et à en avoir des enfants. Il continu également à dire qu’elle est sa femme, mais à la mode du pays. » (Id., p. 305)

[…]

« Le temps ne peut changer la nature de leurs rapports vicieux dans le principe. » (Id., p. 309)

[…]

« A-t-il jamais eu, lui, la possession d’état qui peut quelques fois suppléer à l’acte de naissance? Le sien n’en est pas un de bâtard à sa face, mais il en est bien approchant.

Quant à la filiation, elle n’est pas niée, il est le fils de Connolly et Suzanne. Il a été reconnu comme tel en plusieurs occasions mais jamais comme un enfant légitime. Et depuis l’année 1813, date de son arrivé en Canada jusqu’à l’institution de cette cause, j’énonce comme un fait qui n’est pas susceptible de contradiction, qu’il a toujours été reconnu comme un bâtard. Il n’est pas un seul témoin qui se soit présenté pour dire qu’il l’a connu comme légitime.

Il en a été ainsi de ses frères et sœurs; la preuve en est abondante. » (Id., p. 311)

[…]

« Quant à sa bonne foi elle est patente. Elle n’ignorait pas la liaison de Connolly et de Suzanne; mais croyant avec l’opinion public qui considérait comme nuls les prétendus mariages indiens, elle a contracté avec lui un mariage scellé par l’autorité religieuse et civil et sous la protection de la loi public. Comment pourrait-elle être destituée de son rang, privée de son état et voir ses enfants dégradés comme bâtards et remplacés par ceux qui avaient toujours été considérés comme illégitimes et voir sa place à elle occupée par la sauvagesse, c’est ce qui me paraît injustifiable, aussi j’opine pour l’infirmation du jugement.» (Id., p. 313)

 

Voilà un flagrant exemple de Traitement différent d'anti-égalitarisme assuré dans une Monarchie constitutionnelle, et c'est pourquoi il est si infamant de se faire affubler par de telles appellations comme le terme «MÉTIS» qui est sauvagement «Encodé» à l'article 35 alinéa 2 en les reconnaissant globalement en tant qu'«AUTOCHTONES» du «CANADA», mais qui sont injustement «privés» du «Pedigree» du «Statut d'Indien», le Passeport de leur Dignité-Humaine qui leur est niée en héritage avilissant depuis la Rubitude instituée des Bannissements exclusivement appliqués aux Indiennes par la Loi sur les Indiens, ce qui avait fait en sorte depuis le fondement même du «Fief du Canada», qu'Elles-Mêmes et leur Descendance se sont faits dénigrer par les Leurs, et le sont encore inévitablement par ce Racisme systémique qui s'opère «constitutionnellement», par surcroît, en ciblant précisément «ces mêmes BÂTARDS INFÉRIORISÉS» en sous-caste» par John A. Macdonald, premier PM caïnadien...

 

Un manque d'Équité, de Civisme, de Tact, d'Empathie et autant, un manque de Charité Chrétienne en plus, de la part du juge Loranger de son préjugé sur «les Mariages à l'Indienne» qui, selon la Preuve, ne tolérait pourtant la polygamie que pour les Chefs qui s'en prévalaient, lorsque les Coutumes Tribales des Siens l'autorisaient. Pour «Suzanne la Sauvagesse» et «ses Enfants bâtards», que les Témoins aient été unanimes sur la Fidélité de John Connolly père durant trente ans envers «cette moins que rien» qui lui a donné six Enfants, fait ressortir que la Mentalité raciste du PM John A. Macdonald persistera, d'en avoir hérité «trudeauïstement» jusque dans la Charte-Animalière caïnadienne. Et cette Calamité perdure par le principe débile du «King can do no wrong», car il faut bien croire que «le Tribunal chrétien» du juge Loranger, s'il n'en tenait qu'à lui, aurait approuvé et même loungé le mariage chrétien dûment célébré de Richard II, qui était alors âgé de vingt-sept ans, sans penser à le considérer celui d'un pédophile pervers, en dépit de l'éloquente citation suivante:

 

« ISABELLA of Valois was only seven years old when she became queen of England in 1396, two years after the death of Richard's first wife.» […]

 

The match was not popular in England, because of both her age and her nationality. There was, in fact, only a 20-year age difference between Richard and Isabella and the king grew attached to the child, who plainly adored him -when the news of his death reached her, she was ill for two weeks .» (Elisabeth Hallam, The Chronicles of the Wars of the Roses, 1997, by Bramley Books, Elisabeth Hallam Editor, page 76-77)

 

C'est à nous tous d'y voir, car avec un peu d'attention impartiale, le Racisme de la Suprématie de la Race blanchisée grisâtre apparaît clairement dans ses Lois Ethno-Linguicides. Par exemple, le Bill 17 de l'Ontario francophobe, ayant assimilé de 1900 à l'an 2000, soit en un siècle, plus de 12 des 15 % de sa Population francophone, dont la Langue est pourtant une des six Langues officielles à l'ONU, (ce qui laisse douter de la capacité franco-canadienne de défendre les Langues des Natifs); de même que les articles 5 et 8 de l'Acte de Québec de 1774, encore francophobe, tout comme la Proclamation Royale de 1921 qui dénigre autant tous les Descendants des Nations Pré-Capitulatives, considérés héraldiquement en Bestiaux francophones sur la page couverture et en Faune Locale autochtone au Cercueil de la Rubitude enchâssée à l'alinéa 2 de l'article 35 de la Charte-Animalière caïnadienne, exécrablement indigénophobe. Ce Racisme envers les Natifs originant de la Loi sur  les Indiens qui s'est traduit en Suprématie de la Race-Pure même chez les Autochtones, qui jaugent britanniquement à la baisse les Métis selon «l'impitoyable Présomption de Bâtardise» enchassée après près de vingt ans d'écriture de Mauvaise Foi protest-anglicane rétro-adventiste par ce bâtard de Fif-Ségrégationniste qu'était sans contredit Pierre Hell-he-Hot le Corruptible Trudeau; presque vingt ans, de 1968 à 1985, pour nous écrire cette abominable hérésie anti-démocratique, de s'être assuré d'y destituer «les Métis du «Statut d'Indien», pour qu'ils restent «constitutionnellement (?) «Ignorants» de «leurs Racines et de leur Langue-Maternelle», pour ainsi les plonger cruellement dans une Crise à la fois Identitaire et Culturelle du Désoeuvrement-Étatisé qui, insidieusement, les incite machiavéliquement à dominer au concours du plus haut Taux de Suicides de la Colonie caïnadienne, mais qui, louchement, tombent mystérieusement en fragiles Victimes, puisque toujours sans aucun Agresseur apparent…

 

Que cela vous explique le Scénario judiciarisé pour le Crime-Parfait dans l'impunité hypocritement préméditée par ces fourbes Artisans-Entogés de la Colonie caïnadienne qui exigent toujours de nous la Vérité en échange d'une vraisemblance de Manipulateurs expérimentés en Criminels endurcis qui effacent toute trace de leurs Crimes contre L'Humanité, à la mode de la Tribu des Réducteurs de nos Têtes, «les Red-Necks avec leurs nouveaux Associés franchouillards en méprisables «Cooperators»; du Mépris dépréciateur généralisé pour une Population invitée fallacieusement à «l'Insensibilité fasciste» dans le dénigrement des Leurs, ces Laisser-pour-Compte en Souffrances, comme s'ils n'étaient que «des WOP», puisque «les MÉTIS» sont Tous «WITHOUT OFFICIAL PAPERS», soit des Animaux sans «Pedigree», puisqu'ils ne bénéficient pas du si prestigieux «STATUT D'INDIEN!» -sont projetés dans les Limbes de ces pauvres Enfants morts sans baptême...

 

Mais que dire de Ceux dont les Génitrices se sont faits troussées suite à mille Droits de Cuissage, et qui débarquent d'Europe en classifiant les Natifs, et qui ne bénéficient d'aucun Pacte-Fédératif? ne sont-ils pas tous «des WOP, Without Official Paper», ces Bâtards d'Arriérés Colonialistes, doublés d'exécrables Despotes-Ségrégationnistes? Tirée des «Causes célèbres du Québec», citons cet extrait du juge Dollard Dansereau, qui fait preuve d'une rarissime Probité dans sa critique envers le Gouvernement d'Ottawa, ce qui fait qu'il se démarque du Juge-Négrier Spence de l'arrêt Scheer dans son démentiel Éloge jurisprudentielle, en extase devant «l'Être-Parfait» du Parlement-Colonial d'Ottawa:

 

« Les Indiens et les Métis, en Saskatchewan, sont décimés par une irrémédiable misère. Requêtes et suppliques au gouvernement d'Ottawa restent sans réponse. Aucun député ne les représente nulle part: la Saskatchewan ne deviendra une province qu'en 1905. En faut-il davantage pour expliquer l'indifférence de l'État? Encore aujourd'hui, l'État n'a rien trouvé de mieux, pour compenser les Indiens de la perte de leurs territoires de chasse, que la création de réserves et le paiement d'allouances. Quant aux Métis, on les regarde ni comme des blancs ni comme des Indiens; par conséquent, le gouvernement n'a pas d'assistance à leur donner. »

[...]

« La nation métisse, comme elle existait au temps de Riel, a disparu. »

((Juge Dollard Dansereau, «Causes célèbres du Québec», 1974, Éditions Leméac, à la page 30, première citation, et 52, pour la deuxième))

 

«La nation métisse de Riel a disparu», sauf à l'alinéa 2 de l'article 35 de la Charte-Animalière caïnadienne, qui lui sert de Fausse Commune et d'Épitaphe. En pointe de l'Iceberg-Ségrégationniste d'un Glacier d'Intolérance «d'un océan à l'autre», «Coast to Cust!» -reconsidérons plus en détails cet arrêt CANADA contre Mme Sandra Lovelace en 1989 devant la Cour Internationale de Justice, soit quatre ans après la mise en vigueur en 1985 de la Charte-Animalière caïnadienne. Ce qui nous démontre clairement que ses Enfants bannis avec Elle de leur Milieu de Vie, étaient indéniablement des Laissés-pour-compte, absolument sans aucun «Droit à l'Égalité-Générale des Citoyen stipulée à l'article 15, d'être expulsés «sauvagement» avec Elle en-dehors de leur Réserve par un Bannissement exclusivement appliqué «d'un océan à l'autre» aux Indiennes encore en 1989, et non pas servi égalitairement aux Indiens-Mâles, comme l'a suggéré piètrement le Procureur Général du Canada devant la Cour Internationale de Justice, (ce qui aurait pour conséquence de doubler la complexité des Recherches Généalogiques, et vous témoigne de l'insensibilité judiciaire); par conséquent, un Bannissement discriminatoire annulant «son Droit à L'Égalité des Sexe de l'article 28, également Vide de l'Inconsistance «inconstitutionnelldepuis 4 Ans de sa prétendue garantie à son propre article 52, aussi Vide que les autres dispositions chimériques dont il est supposé assurer «la Consistance» depuis la mise en vigueur en 1985 de la Charte-Animalière caïnadienne. Un tel Scénario apocalyptique nous permettait clairement d'entrevoir la Descente infernale dans la Décadence-Phallocratique du Patrimoine-Misogyne des Indiennes par leur Racisme-Haineux, qui s'est implanté en gangraine de Désespoir et de Dépression dans leur Descendance, stigmatisée sciemment par la Déchéance-Asociale des Ségrégationnistes de l'Entreprise-Esclavagiste du Judiciaire-Dictatorial, où résident les plus ignobles et les plus abjectes Ségrégationnistes, d'être les plus Grands-Séparatistes de Familles «du plusse bo meilleur péï du monde, de Me Jean le Crétin-Chrétien»...

 

L'Amer-Indien ne pouvait pas être complètement dans l'erreur; en fait, il en était ainsi dans le Droit-Colonialiste Interne, en Contravention sur plus de 60 Ans au Droit International Public, parce que ses Juges-Négriers y sont allergiques, d'être bien trop moderne, et par conséquent trop avant-gardiste pour «ces arriérés Troglodytes du poussiéreux Droit International Coutumier»; et aussi, en considérant que le Canada engageait sa Responsabilité Criminelle et celle de ses Agents en incluant ses Juges-Négriers depuis la Convention pour la prévention et la répression du Crime de Génocide de 1951. Parce que nonobstant l'opinion contraire, les Juges-Négriers et les Procureurs-Fascistes étaient incontestablement tous tenus dès lors, de s'abstenir de pratiquer «les Séparations des Familles des Natifs», de même qu'ils étaient, et sont encore tenus de sévir et réunir les Familles séparées lors des Bannissements des Blanches et de leurs Enfants-Métis non-reconnus Autochtones, ce qui motiva leur expulsion de leur Réserve en 2009 par les Mohawks, de ne pas bénéficier du si précieux «Statut d'Indien». Et cette Infraction au Droit International Public commise par les Mohawks et les Procureurs-Complices leur est toujours imputable en vertu de l'article 2 de la Convention pour la Prévention et la Répression du Crime de Génocide de 1951, qui s'interprète conjointement avec la Convention sur l'Imprescriptibilité des Crimes de Guerre et des Crimes contre L'Humanité de 1970.

 

Et cette Responsabilité Criminelle perdure, quoi qu'en pensent Claude Millette-Zundel et Jacques Rouiller-Fasciste, son procureur de la Couillonne dans Reine contre Denis Dubé, #500-01-002223-045 du 30 septembre 2005, ainsi que la Responsabilité de tous les autres Juges-Négriers caïnadiens avec leurs procureurs Sectaristes, puisque «les Actes de Génocide» d'Injustice-Canada sont effectivement reconnus «Imprescriptibles», tant qu'il y aura Absence de Reconnaissance et de Réparation venant de ces sales Bâtards de Juges-Négriers en retenue-activiste flagrante d'ultra-misonéisme atavique de Partisanerie dans la Non-Reconnaissance de la Dignité-Humaine aux Autochtones, par leur impitoyable Pratique-Ségrégationniste qui stimule indiscutablement la Léthargie-Législative, et prive effrontément les Autochtones de la Réparation qui leur est dûe de la part de leur bâtard de Patron-Législateur qu'est «l'Être-Parfait» de l'exécrable Parlement-Colonial d'Ottawa qu'ils prennent tous débilement pour le Pharaon d'Égypte. En contrepartie, toute la Population coincée avec des Sciences Juridiques qui se sont volontairement exclues des Sciences-Humaines. Mais voyons parmi ceux qui les pratiquent encore véritablement, ce qu'en pense Rush W. Dozier en regard de la classification légitimée des Catégories Raciales, qui ont fort probablement inspiré le film «Gangs of New York»:

 

«Quel que soit notre héritage multiracial, on est Blanc ou Noir, pas les deux. Ou encore, de manière plus générale, Blanc ou non-Blanc. Même si on a une mère et un père à la peau blanche, on est classé dans la catégorie «non-Blanc». Lorsque les mélanges raciaux ont été reconnus, ils l'ont été dans le cadre d'une nouvelle catégorie limbique à connotation négative: «métis» ou «mulâtre» par exemple. Semblables catégories raciales ont pour but d'établir non seulement des distinctions nous/eux, mais des divisions supérieur/inférieur. Au XIXe siècle, des ethnologues européens ont même divisé les Blancs en plusieurs races. Selon une théorie populaire, il y avait trois races blanches: teutons blonds aux yeux bleux (la race des Seigneurs!); alpins aux cheveux châtains; méditerranéens sveltes aux cheveux foncés. Cette classification a été adoptée par les nazis. Les lois sur l'Immigration d'un grand nombre de pays, dont les États-Unis, reflètent une discrimination raciale se traduisant par des préférences marquées, discrimination qui touche même les «Blancs». Au début du XIXe siècle, en Amérique, les immigrants irlandais étaient classés comme Noirs.» (Rush W., Dozier, «La Haine: Comprendre et éliminer la haine», 2003, Les Éditions de l'Homme, page 164)

 

Et toujours sur les Séparations des Familles, cette fois concernant les aborigènes en Australie, en tant que Colonie du Royaume-Uni spécialisé dans le Déracinement, puisqu'il y causait les mêmes Dommages Culturels que Ceux subis par les Natifs du Canada sous la Loi sur les Indiens, complémentaire à son morbide instinct d’assimilation (comme en témoigne le film Les Enfants de la Liberté), et selon ce que nous rapporte Rush W. Dozier, sans rien cacher pour dorer et sucrer la pilule, comme se doit un intègre Pratiquant des Sciences-Humaines:

 

« La violence rationnelle peut aussi être le fait de fanatiques qui, dans leur ferveur mal orientée, perdent de vue les conséquences de leurs actes. Semblable violence a joué un rôle dans la politique d’assimilation des aborigènes menée autrefois par le gouvernement australien, qui a séparé de force des milliers d’enfants autochtones de leurs familles pour les placer dans des foyers blancs. Les architectes de cette politique justifiaient leurs actes de façon rationnelle et avaient le sentiment d’être motivés par la bienveillance, et non par la haine. Cependant, ils ne pouvaient éprouver une quelconque empathie à l’égard des familles qu’ils détruisaient, puisque les aborigènes étaient encore considérés comme des « eux. » (Dozier, Rush W., La Haine: Comprendre et éliminer la haine, 2003, Éditions de l’Homme, p. 297)

 

Une telle pratique ségrégationniste qui orchestre une telle cruauté envers des Enfants jusqu'à les arracher de leurs Familles, s’est également pratiquée depuis plus d’un siècle dans le Fief du Canada avec les Écoles résidentielles qu’on appelait aussi de façon populaire des Pensionnats, et qui sont pour moi des Pensionnats-Carcéraux, de m'en être tapé quatre ans. Présentement, il se trouve qu’un prêtre dénommé Kevin Annett, a courageusement intenté un recours collectif contre la Monarchie britannique, le gouvernement canadien ainsi que le Vatican impliqué dans son irreligieuse Loi du Silence et qui sait, ayant peut-être embarrassé jusqu’à motiver la démission effective de Benoît XVI, pour les innombrables atrocités qui furent commises dans ces Institutions de la brutalité sans Charité Chrétienne et sans Voeu de Chasteté en semant le Désoeuvrement et la Déshumanisation, pour finir avec autant d'Écervelés voulus «en Peuples plus arriérés» pour se justifier de dominer le Dominion; quand on pense à des milliers de corps d'Enfants Natifs non-rapportés à leurs Familles; comme en témoigne les Médias-Sociaux sur Youtube au site de Kevin Annett 15 September 2012 Announcement. Et de grâce, profitez utilement de cette vérification sur Internet pour visiter d’autres sites qui dénoncent la Rubitude des Autochtones; par exemple, Stolen Sisters Awareness, Canadian Aboriginal Women’s Rights, celui de Beverley K. Jacobs, de Kiera Ladner, avocate Autochtone de l’Université du Manitoba, et celui de Chantal Maillé, psychanalyste de l’Université Concordia; en soulignant que Mme Kiera Ladner et Mme Chantal Maillé étaient toutes les deux présentes à la Conférence d’Avril-2012 à l’UQAM, portant sur l’état de la Condition Féminine des Indiennes depuis le Rapatriement de la Constitution.

 

Selon Jean-Paul Sartre, en préface du «Portrait du Colonisé», par Albert Memmi, après «le Déni» des «Droits de l'Homme» aux Aborigènes, s'ensuit inmanquablement «la scélérate Tentative d'«Auto-Absolution» dans tout système Colonialiste. Que quelques Politicards isolés se prêtent à cet ignoble pratique ségrégationniste, c'est une chose dont on peut s'attendre, mais pas de toutes les Assemblées Législatives provinciales et du Parlement-Colonial d'Ottawa conjointement et unanimement, et encore moins supporté par sa Magistrature du Parti-Pris. Selon la citation suivante, nos Élus provinciaux, supposément composés de Partis différents du point de vue idéologique, nous démontrent présentement qu'ils tiennent tous «la même Ligne de Parti» d'Extrémistes de l'Extrême-Droite, et qu'ils auraient sans aucun doute une bonne leçon de Démocratie à prendre de leurs confrères australiens, pourtant de simples PM provincialistes du même Empire britannique:

 

«Comme aux États-Unis, l'Autralie possède un gouvernement fédéral et des gouvernements provinciaux. Plusieurs gouvernements provinciaux ont officiellement présenté des excuses aux aborigènes pour les préjudices subis après la colonisation européenne. Mais le gouvernement fédéral, lui, a refusé de faire des excuses, déclarant qu'il préférait faire amende honorable avec une politique de programmes appropriés.» (Dozier, Rush W., La Haine: Comprendre et éliminer la haine, 2003, Éditions de l’Homme, p. 301)

 

Pendant que la Magistrature caïnadienne sépare toujours sournoisement les Familles Autochtones, le Patrimoine multiculturel de l'Épuration Raciale dénaturé Matricide des Cultures Matriarcales, contient toute sa Jurisprudence dont elle fait la Promotion, incluant l'arrêt Guibord, dans lequel le Conseil Privé déclare en conclusion que la Séparation des Sépultures dans les Cimetières Catholiques flétri la Mémoire des Disparus et est infamante pour les Proches du Défunt. Cherchez l'erreur! -après avoir lu cette citation, que l'inverse, séparer des Familles de Vivants, ne soit pas respecté comme le stipule péremptoirement depuis 1951 le Droit International Public des Nations Unies:

 

«It cannot not be doubt on the evidence that this qualification of the general right of interment, this separation of the ordinary place of sepulture implies degradation not to say infamy.» (Lord Selborne, In Re Guibord, en résumé de Dame Henriette Brown contre Les Curé et Marguilliers de la Fabrique de la Paroisse de Montréal, Revue Légale, (1873-1875), vol. VI, 157-220, page 209)

 

Et pourtant à ma grande surprise, aux U.S.A., sans même la nécessité d'établir «un Lien-Sanguin», la Cour Suprême dans l'arrêt Freedmen, a reconnu «Autochtones» les Descendants d'Esclaves-Noirs» qui s'étaient réfugiés chez les Cheyennes qui ne les retournaient pas pour s'enrichir d'une Prime, et cela par «le Principe innovateur de «Relations HistoriquesPriver les Autochtones de vivre parmi les Leurs parce qu'ils ne sont pas Détenteurs du «Statut d'Indien», vu comme leur Paseport honorifique les attestant Autochtones, revient à les priver de toute «Relation Historique», Tribale et Familiale. Des Êtres jaugés inférieurs sont systématiquement présumés ne pouvoir s'épanouir dans leur Milieu, aussi, l'Exclusion assimilitrice sera donc priviligiée pour en faire des Zappés-Apatrides, en soubresauts de Survie par leur Excentricité drastiquement provoquée, ou qui s'abandonnent au Désoeuvrement souhaité pour se justifier d'une Autorité Décisionnelle sur leur Mauvais-Sort, voilà la Couvée des Pensionnats-Carcéraux. Le Sentiment intime jusqu'à la Certitude d'être «Autochtone», ne suffit pas pour les Ségrégationnistes dressés à la fanatique insensibilité patriotique en Territoire occupé après leurs cupides annexions. Pour ce qui est des stigmates du Colonialisme, voici ce qu’en dit Erik H. Erikson, psycho-historien:

 

«L'aspect le plus terrifiant de la pseudo-spéciation, c'est qu'une «espèce» tombée sous la dominance d'une autre est capable d'absorber, quand elle se juge elle-même, selon l'opinion dépréciatrice de l'espèce dominante. Alors, elle se laisse infantiliser et accumule, en elle-même et contre elle-même, une colère qu'elle n'ose pas laisser éclater contre l'oppresseur, que souvent elle n'ose même pas ressentir. Cela peut devenir une malédiction se transmettant d'une génération à l'autre, une malédiction qui conduit d'abord à la violence entre les opprimés mêmes, jusqu'à ce que toute cette colère latente éclate finalement en une manifestation séditieuse au moment où les circonstances historiques semblent provoquer et sanctionner une explosion. Il ne sera pas surprenant pour nous que ces désordres puissent être d'une gaieté enfantine, tout en étant inconsidérément destructeurs; car les opprimés n'ont pu supporter leur oppression qu'en cultivant, pour se défendre, un caractère enfantin et même un certain infantilisme dans la vie individuelle, ainsi qu'une primitivité fragmentaire dans leur héritage culturel. Il est évident que là où l'accent mis sur la pseudo-espèce est dominant -comme souvent dans l'histoire coloniale -le développement de chaque participant individuel est compromis par les différentes combinaisons de culpabilité et de colère qui empêchent tout véritable développement même quand il y a abondance de connaissances et d'aptitudes.» (ERIKSON, H. Erik, La Vérité de Gândhî, les origines de la non-violence, France, 1974, Flammarion, aux pages 412-413)

 

De John A. Macdonal à la Charte-Animalière à Trudeau, le langage est demeuré outrageusement le même, d'une Mentalité-Haineuse restée inchangée, sauf de s'être fait enchâsser en supra-constitutionnalité, pendant que la Jurisprudence s'enscence dans sa suffisante médiocrité dogmatique, afin de poursuivre la rectitude législative, exprimée inespérément ou sous-entendue « coutumièrement », selon ce qui ressort des propos insensés du Juge Riddel, à l'effet que :

 

« Le principe moderne est que le législateur est censé savoir ce sur quoi il veut légiférer et avoir de langue courante une connaissance qui lui permet d’exprimer son intention. »

(Re Dillon et al., [1937] O.R. 114 (Ont. C.A.), (op. cit.), juge Riddel, à la page 176 )

 

-de l'arrêt Pemsel du Conseil Privé en relais à l'arrêt Scheer de la Cour Suprême :

Judiciarisation du principe monarchique «the king (and) the queen can do no wrong

 

Ce qui veut dire que si la Vérité, la Mémoire et la Dignité-Humaine ne nous sont pas reconnus, c'est que «le législateur» s'est retenu de «cette «intention» trop généreuse pour son Bétail du Fief de «l'Être-Parfait» du juge Spence :

 

« Je ne crois pas qu'il appartienne au tribunal de supposer que le Parlement a commis une erreur. Qu'il y ait ou non erreur, je crois que le tribunal est tenu de supposer que le Parlement est un être parfait qui ne commet pas d'erreurs. »

(Commissioners’ of Income Tax c. Pemsel, [1891] A. C. 531, p. 549, par Lord Halsburry; déclaration saugrenue approuvée « ponce-pilatement » par le Juge Spence dans R. c. Scheer Ltd., 1974, R.C.S., 1046, à la page 1055)

 

Pour les Cerveaux-Lavés, trop facilement rassurés de vos Droits-Fictifs et de vos Libertés-Virtuelles, quelle était donc la teneur de la liberté de presse avant l’existence de vos Chartes-Bidons? Voici, pour nous situer convenablement de façon chronologique, les propos que tenait Henri Bourassa, le téméraire fondateur du Devoir, dont la courageuse devise était: «Fais ce que dois!» -avant que son Succésseur de québécitude n’en change pour répandre l'exécrable médiocrité avec: «Libre de penser», (mais, dans le Devoir de se taire):

 

« Qu’on se mette bien ceci en tête: les Anglo-Saxons, au Canada comme en Angleterre, aux États-Unis ou ailleurs, ne feront jamais à leurs esclaves blancs, jaunes, bruns ou noirs, à cheveux plats ou crépus, munis d’anneaux dans le nez ou décorés de rosettes, sirés ou lordifiés, Canadiens ou Maoris, Punjabis ou Hottentots, Boers ou Malais, que la part strictement nécessaire pour fortifier la domination anglo-saxonne sur les races dont les prétendus associées ne sont que des otages. Ceci est aussi vrai en affaires qu’en politique les deux domaines où l’Anglo-Saxon entend régner en maître dans le monde entier, à plus forte raison dans ses possessions propres. » (SCHWIMMER, Éric, avec la collaboration de Michel Chartier, Le Syndrome de Plaines d’Abraham, Les Éditions du Boréal, 1995, 205 p., p. 102)

 

Conclusion humanisante d'une Colère longuement mijotée

 

La Liberté de vivre dans la Dignité est pré-européenne. Cela vous résume ma Pensée,

mon Analyse sur la Mentalité-Haineuse des bouzeux Polémologistes me laissant fatalement

voir, par ma propre Victimisation d'une rude Rubitude lancinante partagée

par tant de Membres de ma Famille de la Branche Maternelle, que cette Malédiction

était proférée par les Toges-Ségrégationnistes condamnant «sourds-noisement»

à l'Anonymat avilissant tous les Bardots-Métis, frappés ignominieusement

de la Présomption de Bâtardise insinuée insidieusement

dans la Charte-Animalière caïnadienne, dans la Privation dégradante du «Statut d'Indien»;

ce qui m'indiquait clairement que les Femmes des Nations Subjuguées,

étaient définitivement les Boucs Émissaires préférées des Polémologistes,

de leur Paranoïa-Obsessionnelle qui prévaut sur tout Remords spontané et sincère

exprimé de Bonne Foi:

 

-parce qu'ils ne voient en Elles que la Matrice maudite d'une concevable Rébellion,

 ou d'une possible insurrection, sinon, d'un probable Coup d'État,

ou qui sait, venant d'Elles,

d'une éventuelle Guérilla, ou même d'une vraisemblable Jacquerie;

selon l'Idée-Fixe des belliqueux Polémologistes, (de polemikos, relatif à la guerre),

par conséquent, hyper-agressifs, de considérer absolument tout strictement

sur le plan militaire, et tout Contestataire onusien,

irrémédiablement un illuminé illucide qui a la berlue,

d'être enclin à la Quérulence malsaine du Plaignard imaginaire,

mais de Folie apparente, de tant s'évertuer à entacher leur imparable stratégie

d'Imperfectibilité régalienne et d'Infaillibilité pontificale de Roi-Pape et de Reine-Papesse

de la Théocratie protest-anglicane rétro-adventiste,

en Croisade de Lavage de Cerveaux à l'Ère de la Mémoire-Informatisée...

 

pendant que dans le Respect, Catherine Audard nous conjure de défendre

le Droit à la Mémoire contre le Révisionnisme,

en considérant la Mémoire, comme «l'ultime tombe des Victimes»...

et pendant que j'exulte de sa Féminité-Yinississime, j'entend Ici,

du fond de l'Antiquité contemporaine déphasée «bigbennique»,

la maxime latine «qui nescit dissimulare, nescit regnare, qui ne sait pas dissimuler,

ne sait pas régner», qui nous est traduite simili-modernisée,

mais dûment joualisée

à l'émission des «Francs-Tireurs», par la sinistre Ministre

Monique Jérôme-Forget «forget about it»,

nous proclamant qu'«il n'est pas bon que le Peuple sache tout», supportée bêtement

par Michelle Courchesne, cour-circuitée, la laidronne des Libéraux-Colonialistes,

soutenant que «mentir ce n'est pas commettre une Erreur»,

juste avant «faut le voir pour le croire»...mais sans me convertir

et encore moins me séduire...

 

Il reste en Réflexion finale, que le terme «Mulâtre» ne serait tolérable pour aucun Législateur de vouloir expressément se l'appliquer à lui-même comme aux Siens; aussi, «il» ne devrait donc jamais apparaître dans aucune Charte afin qu'Elle s'offre véritablement Démocratique, puisque «Mulâtre» origine du latin «mulus», signifiant «Mulet», ce qui inspira son dérivé péjoratif de «mulato», nous parvenant poussiéreusement de l'Espagnol des «Conquistadores». Sauf, que dans «le Fief du Canada», «la Présomption de Bâtardise des Bardots-Métis» est spécifiquement son synonyme, qui est néanmoins considéré «tolérable constitutionnellement», en ne garantissant outrageusement, à l'alinéa 2 de l'article 35, que la reconduction de la Rubitude des Autochtones par cette infamante Clause-Négrière, qui prend ses Assises à partir des Armoiries caïnadiennes arborés belliqueusement sur la Charte-Théocratique, Martiale et Animalière caïnadienne des Droits-Fictifs et des Libertés-Virtuelles, à la mode hyper-archaïque et ultra-arriérée protest-anglicane rétro-adventiste «dévaticanisée» Anti-Iréniste...

 

Et cette exécrable Iniquité pestilentielle d'Arbitraire, est sans contredit discriminatoire et vexatoire, humiliante, déshumanisante et autant Provocatrice onusiennement parlant, et il est par conséquent «Injustifiable» tant politiquement que juridiquement, qu'elle soit légitimée par l'Apposition des Armoiries caïnadiennes sur la Charte-Évidée par cette archaïque et anachronique Clause dérogatoire de «l'ancien Droit International Coutumier», supposé enterré peu après la défunte Société des Nations, mais qui, dans ce Fieffé-Fief caïnadien, supplante encore absurdement la modernité humanisante du Droit International Public de l'Assemblée Générale des Nations Unies: pour que la Folie multi-millénaire de la Guerre prime iniquement sur la Volonté-Populaire d'une Démocratie-Pacifiée.

 

 

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