Translate

vendredi 28 novembre 2008

Manifeste autochtone

Avertissement aux Lecteurs


D’emblée, attendez-vous à un langage dur et direct envers les Politicards –Colonialistes canadiens et les Bâtards de Juges –Ségrégationnistes qu’ils nomment à vie, et que j’accusent, les uns comme les autres, de crimes contre l’humanité considérés « imprescriptibles envertu de la Convention sur l’Imprescriptibilité des Crimes de Guerre et de Crimes contre l’Humanité de 1970. Je me reconnais le Droit à la haine tant envers les Législatures que leur Magistrature. Aussi, tous les propos que je tiens dans ce blog, y compris les Menaces et Ultimatums, le sont en vertu des Résolutions Anticolonialistes A/742, A/1541, A/1514, A/2625 de l’Assemblée Générale des Nations Unies. Toute poursuite judiciaire envers moi, devra s’énoncer en dérogeant nommément aux Règles impérialistes du Droit International Public sur lequel je me fonde en tant que sujet exclusif de ce Droit.

D’abord, qu’il soit entendu que les « Véritables Séparatistes » sont les Ministres qui accusent les autres de cette appellation péjorative quand elle est mensongère. Au procès de Nuremberg, il fut jugé que « la Séparation des Familles « était un Acte de Génocide. En 1951, cette prohibition impérative fut insérée à l’article 2 de la Convention pour la Prévention et la Répression du Crime de Génocide. Trente-huit ans après la Ratification les Juges –Ségrégationnistes canadiens contrevenaient toujours à cette Règle impérative. En preuve, l’arrêt Canada contre Madame Sandra Lovelace, rendu par la Cour Internationale de Justice en 1989, après les trois instances judiciaires du Droit Colonialiste interne, dans lequel la Cour Internationale de Justice a déclaré que la « Loi sur les Indiens est contraire aux règles impératives du Droit International Public dans ses dispositions prévoyant « la Séparation des Familles ».

Comment les Législatures et leurs Juristes saxons, ou ayant hérité de leur Droit, efface-t-il leurs Génocides et les Actes qui y tendent? Par leur sempiternel tactique de bateleur de foire de nous pointer un Axe du Mal pour nous distraire à la mode de Louise Arbour qui, en pratiquant l’Omerta Judiciaire et l’Auto-Absolution sur les Crimes d’Injustice-Canada, nous a pointé les méchants Talibans qui, à tout le moins, sont moins hypocrites que les Juges canadiens. Commettez des Crimes contre l’Humanité, blanchissez-les comme la Mafia blanchit son argent sale et vous serez décoré de l’Ordre du canada par Adolf harper. La Cour Suprême a jugé par le passé un certain Ernest Zundel qui niait les Actes de Génocide des Allemands contre les Juifs. Désormais dans mes Textes, pour sa Loi du Silence qui nie « le Bannissement des Indiennes et la Séparation des Familles », qui ont chamboulé nos Arbres Généalogiques dans un Val-Jalbert pan-canadien, elle portera le nom de Louise Arbour-Zundel.

Naguère, le Législateur Ti-Pet (Pierre-Eliott Trudeau), le Père du Bill Omnibus qui ne mettait son siège en jeu que dans sa chambre à coucher, nous avait assuré que « l’État n’a pas sa place dans la chambre à coucher du citoyen ». En servant aux canadiennes-françaises le « Top-Modèle Bréhaigne » de Louise Arbour-Zundel, force est de conclure qu’Adolf Harper a légalisé la Zoophilie en nous contraignant à fourrer des Arriérées Troglodytes blanches qui n’ont jamais inclus les Femmes Indiennes dans leur perception de la Condition Féminine, qui avec Louise Arbour-Zundel est devenue « la Condition Fée Minoune ». Gaston Miron a écrit qu’il fallait « décoloniser la Langue ». Moi, Denis Dubé alias le Trickstère, je déclare solennellement qu’il faut plutôt « décoloniser sa Matrice-Colonialiste, la Blanche Troglodyte canadienne-française, la chieuse de Juges Ségrégationnistes.

J’y vais fort j’en conviens, mais d’une part vous en étiez averti; et d’autre part, je le dis en Vérité, c’est l’État-Forceps qui a engendré Le Trickstère. Par notre père Lucien Dubé, MicMac, mes sœurs et mois sommes éligibles au Statut d’Indien. Il nous a fallu pour retrouver nos Racines, une vie de Recherches puisque nous sommes dans la cinquantaine; et notre Quête est loin d’être terminée. Du côté de notre mère Lucia Dallaire, âgée maintenant de quatre-vingt-cinq ans, nous sommes toujours dans le « Tabou canadien qui fait persister et le mystère et la Persécution ». Pourtant, sa mère notre grand-mère maternelle était à cent pourcent une Autochtone. C’était une page d’Histoire. Notre grand-mère maternelle était une raconteuse hors-pair; elle nous a appris la guerre des Boers, l’histoire triste de Louis David Riel, le Père du Manitoba et Chef des Métis, le naufrage du Titanic et l’hécatombe suite à la pandémie de la Grippe Espagnole, et bien sûr, ses souvenirs des Deux Grandes Guerres Mondiales, etc. Tout ce qu’elle pouvait nous raconter pour nous instruire sur la vie, elle nous le refilait. Sauf le nom de sa Nation d’Origine, qu’elle taisait en baissant la tête, honteuse de son silence imposée. Nous l’avons interrogé à plusieurs reprises. Jamais elle n’a rompu ce silence si frustrant pur nous ses petits-enfants. J’entrevois que ma mère ne connaîtra jamais ses Racines : pourtant, elle est aussi Autochtone que nous ses enfants éligibles au Statut d’Indien par notre père d’Ascendance Micmac. Dans ma Poésie, les Femmes Indiennes bannies de leur Nation, je les ai appelé « les Femmes de la Tour de N’Elles », parce qu’elles furent expropriées de leur Personnalité Juridique. L’État-Forceps ne veut pas se souvenir ni Réparer ni réprimer ses tendances à la Ségrégation Raciale et Sociale qui fait que les « Autochtones du canada » ont été parqué dans la Clause Négrière où l’on a « encharté » notre Rubitude à l’article 35(2) de la Tipètienne, la Charte des Droits-Martiaux du canada, où nous ne partageons même pas la même Personnalité Juridique, puisque ceux qui bénéficient du Statut d’Indien connaissent leur Origine et leur Langue Maternelle, alors que les Métis sont privés de ces Notions si capitales pour l’Être Humain.

Pourtant, nos Immigrants reçus canadiens bénéficient d’une « Double Personnalité Juridique avec le traitement de faveur du Double-Passeport ». Tout ça parce qu’ils n’étaient pas nos Alliés en 1760. Sinon, s’ils l’avaient été, ils seraient également des Descendants des Signataires de l’Acte de la Capitulation de 1760 et, dès lors, leur privilège serait inexistant. Ils seraient contraints alors de voyager avec le Passeport canadien, sur lequel des Armoiries constitutionnelles de leur « Ex-Mère-Patrie » seraient désignées en Prise de Guerre sur les Armoiries Canadiennes, comme le sont celles de Louis XV, qui renonça à nous en ratifiant le Traité de Paris de 1763.

Selon les savants Juges-Négriers et leur interprétation de la Tipétienne, la Charte des Droits-Martiaux du Fil Ségrégationniste à Trudeau, comme a prouvé l’affaire Anglesberger, il y aura reconnaissance de Discrimination pour l’expulsion d’une Travestie d’un restaurant, même si cette dernière affiche un rapport médical qui l’identifie du genre masculin, et lui sera reconnu le Droit intime de déterminer elle-même cet aspect de sa Personnalité Juridique. L’expulsion d’un restaurant d’une Travestie Juridique. L’expulsion d’un restaurant d’une Travestie est une Discrimination.

Aucun commentaire: