PÉTITION ADRESSÉE À L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE
DES NATIONS UNIES.
SOLIDARITÉ HUMANITAIRE ENVERS LES
AUTOCHTONES DU CANADA
1980-2013 : 1, 200 Amérindiennes tuées
ou disparues au Canada
Auteurs, Lorraine et Denis Dubé, Membre
de Idle no more, en exercice de fraternité-sororale pour
réclamer du régime canadien le droit à la
Vérité , le droit à la
Mémoire , ainsi que la reconnaissance de la
Dignité Humaine dans le respect de la
réciprocité à inclure dans la
Charte canadienne pour
l’humaniser; en invitant la
Cour Suprême du Canada à exhiber à la
Population (son pseudo-contrat social
dogmatisé judiciairement lors du Renvoi de 1981), soit
« L’ORIGINAL » de l’Acte de l’Amérique du Nord Britannique de
1867 (AANB) unilatéral de la
Reine Victoire , qui serait un acte
frauduleux, selon le Chef Wapanatak R. Rodgers Smith dans son livre Ho Canada
en 1937, et comme l’établissent irréfutablement les Débats de la Chambre
des Communes de 1938, Volume 1, pages 350 à 355; et Volume 3, pages 2234 à
2249, en Documents on ne peut plus officiels de l’Imprimeur de la
Reine.
Injustice-Canada se fait justice à
elle-même, de perpétuer
les Actes de Génocide commis depuis 64 ans, dans la pratique de la séparation des
Familles Autochtones, pratique prohibée en vain au Canada, en crapuleuse
contravention de la
Convention
pour la prévention et la répression du Crime de Génocide de 1951, qui
s’interprète conjointement avec la Convention
sur l’imprescriptibilité des crimes de guerre et des crimes contre l’Humanité
de 1970.
Le bateau-social coule et nous
entendons : les Femmes et les Enfants à l’eau, les Hommes aux canots de
sauvetage! -du
patrimoine patriarcale phallocratique canadien en héritage empoisonné de la
Culture exogène européenne, éminemment
imprégnée de bipolarité haineuse par ses monarchies inégalitaires dans ses propres
frontières ne pouvaient importer aux Colonies que cette bipolarité haineuse
Chic-Noblesse/Vile-Populace qui se pratique toujours par le mépris
infériorisant en inculquant la honte du sous-être à tuer pour qu’un Homme
accompli en naisse. Avant cette importation létale, les Mères de clan nommaient
les Chefs, les destituaient sur-le-champ pour incompétence en les remplaçant,
et possédaient un droit de veto sur la guerre, c’est-à-dire, qu’Elles avaient
leur mot à dire en regard de la survie du Fruit de leurs entrailles était béni,
mais qui ne l’est plus. Si cette pratique égalitaire évolutive n’était pas
appliquée chez toutes les Premières Nations unanimement, on comprend qu’aucune Blanche
européenne du temps de Cartier ni leurs descendantes n’ont jamais bénéficié
de tels pouvoirs énumérés dans cette citation :
«Mères de clan sélectionner la cinquante
chefs de la ligue. Ils peuvent veto sur les décisions de guerre , l'initiative
des lois , garder un conseil formel distincts , et sont habilités
à retirer les chefs de ses fonctions par symboliquement «frapper sur les
cornes», un événement parfois dramatique qui peut être accompagné par le
battement du chef. »(National Geographic Society, nations indiennes
d'Amérique du Nord , États-Unis, 2010, p. 32)
Preuve chronologique d’une persécution
historique
-1873 : Joseph Guibord était secrétaire pour
l'Institut Canadien. À son décès, Mgr Bourget tient mordicus à l’excommunier
post mortem et lui refuser les services religieux et l'inhumation, sauf du côté
des Enfants décédés sans baptême, des suicidés et des pendus morts sans s'être
repentis. En rappel, après sept années passées dans le charnier protestant, il
fallu une escorte armée pour procéder à son inhumation régulière, et que sa
tombe soit coulée dans du ciment Portland à prise rapide. Voici la décision
unanime du Conseil Privé sous la plume de Lord Selborne :
«Il ne peut pas
ne pas être un doute sur la preuve que cette qualification du droit général de
l'inhumation, cette séparation du lieu ordinaire de sépulture implique la
dégradation pour ne pas dire l'infamie.» (Lord Selborne, In Re Guibord ,
en résumé de Dame Henriette Brown contre Les
Curé et marguilliers de la Fabrique
de la Paroisse
de Montréal , Revue Légale, (1873-1875), vol. VI, 157-220, à la page 209)
-1946 : Procès de Nuremberg. Après avoir
argumenté sur tous les Crimes et Atrocités du régime Nazi, il fut soulevé que «les
séparations des Familles» sur les quais de gare, constituaient «des
Actes de Génocide», même en l'absence de tuerie. L'argument fut rejeté
du côté des Nazis soulevant l'obligation d'obéissance aux ordres dans la
hiérarchie militaire. C'est ainsi que fut établit ce Précédent judiciaire
reconnaissant la
Famille comme «l'élément naturel et
fondamental de la Société ,
et les séparations de Familles reconnues comme des Actes de Génocide».
Un pas positif, évolutif, l'arrêt Guibord condamnant la séparation
des sépultures» qui entache la
Mémoire du Défunt et qui s'avère dégradante
pour ses Proches.
-1951 : L'Assemblée générale des Nations Unies
légifère en regard du Précédent précité, et interdit «les séparations de
Famille» à l'article 2 de la
Convention pour la prévention et
la répression du Crime de Génocide de 1951. Et de plus à prendre en
considération, c'est bel et bien en 1951, que se produit, pour du pareil au
même, l'introduction des Femmes dans les Facultés de Droit. On peut
avancer qu'au milieu des années-60, la magistrature canadienne comptait déjà
plusieurs procureurs et juges féminines.
-1970 : L'Assemblée générale des Nations Unies
légifère la
Convention sur
l'imprescriptibilité des Crimes de guerre et des Crimes contre l'Humanité
de 1970, qui servira à l'interprétation de la
Convention de 1951 précitée.
-1989 : Canada contre Mme Sandra Lovelace,
devant la
Cour Internationale de Justice, soit LE PLUS
HAUT TRIBUNAL DU PAYS lorsqu'il y a contravention au Droit International
Public. Il y fut décidé que les articles de la
Loi sur les Indiens permettant
«les séparations de Familles» par «le bannissement exclusivement administré aux
Femmes», étaient totalement contraires au Droit International Public. L'argument
fut rejeté du Procureur Général du Canada, soulevant que la
Loi sur les Indiens serait
égalitaire en bannissant autant les Indiens que les Indiennes. Par chance,
l'argument fut rejeté; à ce train là, Guy Ouellet, un Cousin de ma Mère, qui
s'est fait interroger toute sa vie sur ses origines à cause de son faciès
typiquement autochtone, et à qui l'on a appris qu'il était Abénaki à 76 ans
après de longues recherches généalogiques, l'aurait appris à 152 ans, suivant la
logique écervelée du Procureur Général du Canada.
Ici,
vous pouvez observer
38 ans de CONTRAVENTION à la
Convention de 1951 précitée, soit de
1951 à 1989. De l'arrêt John Connolly de 1869, un seul juge
Dissident sur 5, nous amène à constater une justice Démocrate et Humaniste à 80%. Par contre, 120 ans plus tard avec l'arrêt Canada contre Mme
Sandra Lovelace de 1989, en tenant compte des 3 instances judiciaires
à gravir avant d'obtenir justice devant la
Cour Internationale de Justice, c'est un alarmant 100% du total des 13 juges sur 13 qui se constatent totalement en
contravention du Droit International Public. De plus, rendu en 1989,
soit 4 ans après la mise en vigueur de la
Charte canadienne en 1985, les
Enfants de Mme Sandra Lovelace ne bénéficiaient pas du droit à l'Égalité de
l'article 15 depuis au moins un an, en tenant compte que l'article 15 ne fut
opérationnel qu'en 1988. De plus, les Enfants de Mme Sandra Lovelace ne
bénéficiaient pas de la
Convention relative aux Droits de
l'Enfant, Rés. A/44/25, du 20 novembre 1989...en vous invitant à repenser à
cette Convention de 1989 lorsqu'il sera question des Enfants bannis en
2009 de la réserve Mohawk. De son côté, Mme Sandra Lovelace ne bénéficiait pas
de «l'Égalité des sexes» de l'article 28, la
Loi sur les Indiens «ne
bannissant exclusivement que les Femmes». Et encore, Mme Sandra Lovelace était
privée de la protection de la
Convention sur l'élimination de
toutes les formes de discrimination à l'égard des Femmes de 1981, qui est
inaccessible aux Indiennes, comme les Conventions de 1951 et de 1970
précitées.
-1830-1990 : «Historique des Pensionnats autochtones» :
«Les
150 ans de politique des pensionnats (1830-1990), mal enseignés, peu connus de
la population canadienne, peuvent resurgir là où on ne les attend pas.» Walter,
Emmanuelle, Soeurs Volées, 2014, Québec, Lux Éditeur, p. 173.
1989-1991 : arrêt Ernest Zundel. Auteur de «Did
really six million die?», Ernest Zundel est poursuivi pour avoir déclaré
dans son livre que le Génocide des Juifs était une fabulation.
-2009 : Les Mohawks procèdent au bannissement des
Blanches mariées à un Indien, qui sont expulsées de la
Réserve avec «leurs Bardots-Métis». Toutes ces
Blanches ont subi le même Traitement discriminatoire que les Indiennes,
et furent privées en 2009 avec leurs Enfants, des mêmes protections en Droit
interne comme en vertu du Droit International Public, que celles de
Mme Sandra Lovelace et ses Enfants en 1989, comme nous l'avons vu. De
plus, si «les séparations de Familles» sont interdites aux Uniformes Nazis lors
du Procès de Nuremberg de 1946, et que l'argument du devoir d'obéissance
dans la hiérarchie militaire fut rejeté, comment se fait-il que ces mêmes
séparations de Familles soient permises aux Toges canadiennes, comme son
devoir d'obéissance envers les Cours d'Appel et la
Cour Suprême en se pliant à la règle
du stare decisis, qui oblige les Tribunaux inférieurs à suivre les
jugement des Cours d’Appel? De plus, sans banaliser la conduite d'Ernest Zundel qui méritait
sûrement d'être jugé d'avoir mis en doute le Génocide des Juifs, comment se
fait-il, si les Crimes contre l'Humanité sont imprescriptibles, selon la
Convention de 1970, que lorsqu’ils
sont commis par la magistrature canadienne, ces mêmes Crimes contre l'Humanité
se retrouvent prescrits et interdits de rappels plaintifs?
Selon la hiérarchisation des offenses, nous considérons Ernest Zundel moins coupable que la magistrature
canadienne, de n'avoir fait que douter d'une réalité macabre, mais sans l'avoir
commise, pour tenter ensuite de tout faire oublier?
Moi,
Denis Dubé, j’ose le dire au risque de mon scalp, si aucun Procureur n'a accusé
les Mohawks de Crimes de Génocide depuis 2009, pour l’expulsion
des Blanches et de leurs enfants Métis, sans « Statut d’Indien »,
c'est parce que de ce coté-ci de la frontière, ils sont de «Bons Indiens»,
d'avoir été jadis les Alliés du Conquérant britannique; et aussi parce que les
Procureurs se seraient vus obligés de se poursuivre eux-mêmes avec leurs
juges pour avoir commis les mêmes Crimes imprescriptibles. Les Iroquois,
tout comme les Mikmaqs sont encore perçus en « Bons Indiens » et en « Mauvais Indiens », selon le côté qu’ils se trouvent de la
frontière canado-américaine, encore marqués les uns et les autres par leur
ancienne option d’allégeance militaire. C’est ce qui ressort de la prochaine
citation, qui laisse voir un traitement de faveur envers les Mikmaqs, jamais
déportés de leur Territoire ancestral pour services (militaires) rendus
jadis :
«Depuis 1779, ils ont été pacifiques, occupants épars
de leur ancien domaine, jamais expulsés, comme beaucoup de tribus, au sud.
Mais une longue association avec les Blancs, en particulier les Français, a
connu une perte progressive de la culture et des traditions, et l'inévitable
mélange des races. » (Johnson, Michael, G., et Richard Hook, versez les
illustrations, Encyclopédie des tribus autochtones d'Amérique du Nord,
Éditeurs, Firefly Books NY, Etats-Unis, et Firefly Ltd, Ont. Can., 2007, p .
23)
et encore:
«Le Penobscot rejoint le Passamaquoddy, les Malécites et des
Micmacs dans la sécurisation de la ville de Machias contre attaque britannique
en 1777. »(National
Geographic Society, nations indiennes d'Amérique du Nord, 2010, Washington,
DCUSA, p. 54)
Persécution Historique: Les Autochtones du Canada subissent une
situation particulière et inhabituelle de détresse causée par des traitements
différents qui ne visent que les Autochtones du Canada en tant que minorité
discrète et isolée
Il reste qu’Injustice-Canada se
déshonore irrémédiablement dans sa scélérate tentative d’Auto-Absolution de
crimes imprescriptibles contre l’Humanité, qui nous est niée, d’être encore en
2015 lorgnée en sous-espèce :
« En 2004, toujours en
Colombie-Britannique, le juge David Ramsay a été condamné pour avoir battu et
contraint à des relations sexuelles non protégées quatre prostituées
autochtones âgées de 12 à 16 ans – il suivait les dossiers de trois d'entre
elles. » Emmanuelle Walter, Soeurs Volées, 2014, Québec, Lux Éditeur, p.
103.
Il va sans dire
qu’une Enquête pan-canadienne, pour être crédible de façon indépendante et
logiquement efficace, doit se faire sous la supervision des juristes de l’ONU,
la magistrature canadienne étant aussi déshonorée que sa Police Coloniale,
la Gendarmerie Royale
du Canada, car la GRC en Colombie
Britannique sur « l’Autoroute
des Larmes », est elle-même
pointée pour des
agressions physiques et sexuels sur des Indiennes. Emmanuelle Walter
dénonce un
Féminicide, un mépris létal pour les Femmes Indiennes, comme l’Histoire
laisse toujours voir que les Femmes des
Vaincus furent toujours dénigrées irrémédiablement, d’un antique Droit de
cuissage qui suit accessoirement l’Envahissement. En complète trahison sociale
antidémocratique, les 3 Pouvoirs de L’État Canada essaient exécrablement de
bénéficier de l’immunité royale, du principe à l’effet que les Rois et les
Reines ne peuvent mal faire, ce que laisse entendre cette longue citation qui
pour cette raison s’avère indispensable, en soutien du #MMIW, MISSING and MURDERED
INDIAN WOMEN :
« Momentum,
disait-elle. L’année 2013
a été ponctuée d’alerte, de
rapports et de rappels à l’ordre du gouvernement Harper sur la tragédie
des #MMIW. L’organisation non gouvernementale Human Rights Watch ( HRW ) a
rendu public un rapport accablant sur la manière dont la
GRC traite les femmes autochtones dans le
nord de la
Colombie-Britannique - il était question de
défaillances, de graves négligences et même de violences commises par la police
contre les femmes. La commission Oppal sur les femmes disparues du Downtown
Eastside à Vancouver a publié son rapport, Forsaken (Abandonnées), jugeant
sévèrement les ratés de l’investigation policière attribuée notamment au
racisme, conscient ou inconscient des enquêteurs. Les premiers ministres de
toutes les provinces et de tous les territoires du Canada ont réclamé une
enquête publique et nationale. La commission interaméricaine des droits de
l’homme a envoyé une équipe pour enquêter sur le même sujet, au cœur de cet été
2013. Le conseil des droits de l’homme de l’ONU a exhorté le Canada un
« examen national»
Le rapporteur
spéciale de l’ONU pour le droit des peuples autochtones, James Anaya, en voyage
au Canada, s’est armé « du phénomène perturbant des femmes autochtones
disparues et assassinées sous les coups de meurtriers autochtones et non
autochtones, dont les cas ont tendance à être moins résolus que ceux concernant
des victimes non autochtones ». Tout cela au cours d’une même année.
Comment a réagi le gouvernement fédéral ? En citadelle assiégée, mais sûre
de son bon droit, rejetant l’appel du conseil des droits de l’homme de l’ONU au
motif que certains des pays signataires –Cuba, l’Iran, la
Russie –n’étaient pas des modèles en
matières de droits de la personne. » (Walter, Emmanuelle, Sœurs Volées,
2014, Lux Éditeur, pp. 72-74)
Il ne peut y
avoir de véritable réconciliation méritée sans admission
des torts et le devoir de mémoire. Qu’attend la
communauté internationale pour dénoncer le révisionnisme et l’ethnocide des
Nations Autochtones sous le régime colonial canadien, et soutenir sincèrement
l’ensemble de la
Population canadienne empêchée à l’Harmonie
sociale dans le Bon Voisinage ? Par exemple, la
Loi sur les Indiens, tout
comme le Bill
17 de l’Ontario sont des Lois-Linguicides,
qui sapent et
à la longue, tuent
les Cultures autochtones et la
Culture française. L’article 35 alinéa 2 de la
Charte canadienne est porteur d’inégalité et de dénigrement de
déclarer que : « Sont des Autochtones
du Canada, les Indiens, les Inuits et les Métis. » Les Indiens et les
Inuits sont bénéficiaires du « Statut d’Indien », érigé en pureté
raciale dont sont privés les Métis, comme de baigner dans leur Langue
Maternelle, de jouir de leurs droits ancestraux, comme de jouir sans
discrimination de liens respectueux entre Autochtones, sans voir la Dignité Humaine
se dégrader simultanément à la Personnalité Juridique
des « Métis », appelés au blanchiment progressif en
« Quarterons » et en « Octavons », rendus humainement
Blancs en 3 générations. Voyons ce qu’en dit Rush W. Dozier :
«Quel que soit notre héritage
multiracial, on est Blanc ou Noir, pas les deux. Ou
encore, de manière plus générale, Blanc ou non-Blanc. Même si on a une mère et
un père à la peau blanche, on est classé dans la catégorie «non-Blanc». Lorsque
les mélanges raciaux ont été reconnus, ils l'ont été dans le cadre d'une
nouvelle catégorie limbique à connotation négative: «métis» ou «mulâtre»
par exemple. Semblables
catégories raciales ont pour but d'établir non seulement des
distinctions nous/eux, mais des divisions supérieur/inférieur. [...]
[...] Au début du XIXe siècle, en
Amérique, les immigrants irlandais étaient classés comme Noirs. »
(Rush W., Dozier, «
Les Éditions de l'Homme, page 164)
Une inscription murale aperçue
dernièrement disait que « la
Solidarité est la
Tendresse des Peuples », cette Pétition
prendra le pouls de notre Humanité. Nous vous remercions pour votre soutien
fortement apprécié.
Lorraine et Denis Dubé,
Autochtones
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