Interprétation du Droit International Public
Selon Thierry
Sur, lorsque «l'ancien Droit International Coutumier» était légalement
en vigueur par l'entretien continuel de sa Coutume (à faire cesser!)
-tant au niveau de sa pratique politique que juridique:
« [...] les
conditions essentielles à remplir pour que les occupations nouvelles sur
les côtes du continent africain soient considérées comme effectives.
[...] Il
subordonnait la validité des conquêtes à leur effectivité et à la
notification adressée aux autres puissances. Le droit établissant en outre
différents statuts coloniaux; régime de l'annexion, du protectorat, de la
cession à bail, etc. Avec le pacte de la S.D.N. et la Charte, le droit tend à
assigner à la colonisation des fins civilisatrices et à soumettre celle-ci à un
contrôle international (régime de mandat, de la tutelle, des territoires
non-autonomes). Enfin, le droit dans ce domaine est devenu celui de
la décolonisation.
[...]
b) Le pas
décisif a été franchi en 1960 par l'adoption à l'unanimité (avec neuf
abstentions) de la résolution A/1514 (XV) du 14 décembre 1960, intitulée
«Déclaration sur l'octroi de l'indépendance aux pays et aux peuples coloniaux.
» (Sur, Thierry, Combacau et VALLÉE, Droit International Public, 1975
Éd. Montchrestien, pp. 491-500, p. 494-495)
Je soutiens haut
et fort dans les cours de Droit International Public que je
dispense bénévolement aux Autochtones, comme dans mes interviews avec
des journalistes lors des manifestations populaires, que «le Vice
de Consentement» de l'AANB de 1867 serait interprété à
l'encontre de la monarchie britannique du Royaume-Uni et du
Parlement-Colonial d'Ottawa», et cela, par la Règle d'interprétation
judiciaire connue par sa maxime latine qui nous indique que «ce genre
de Contrat à Sens Unique» s'interprète «contra proferentem,
contre celui ou celle qui rédige seul(e) la Loi», que nous
approfondirons ci-après; et dans un chapitre ultérieur, nous étudierons la
règle «Posteriora prioribus derogant, les Lois-Postérieures
dérogent aux Lois-Antérieures», parce que cette règle
d'interprétation se retrouve indissociable à
la compréhension de l'article 103 de la Charte des Nations Unies
afin d'en faire correctement
l'interprétation historique et juridique. De plus, vous vous devrez de
considérer ce qui supporte mon affirmation à l'effet que tôt ou tard par son
entêtement débile, «le Fief du Canada» finira sous «un
Régime de Tutelle» institué par l’Assemblée générale des Nations Unies.
Absolument! -n'en doutez pas!
***Notre
situation de sournoise Subjugation ressemble étrangement à celle du
Territoire de Goa revendiqué par les Indes alors que l’État Indien était sous
la Domination étrangère du Portugal, et qui en fut «libéré» par le Droit à
la Décolonisation, comme nous le verrons en amont. Mais avant, au Royaume de
«l'Être-Parfait»...il y a que sa
Sainteté lui est assurée aux yeux de nos Robes-Noires, comme
autant de Juges-Féciaux en reconnaissance de «son
Impeccabilité-Royale» qui se fait redorer d'Adoration par
jugement-préjugé pour pouvoir maintenant se targuer «d'Infaillibilité-Papale»,
et il suffisait «d'une Bulle-Jurisprudentielle de son
Droit-Canon» qui répandra «le Dogme-Doctrinaire» du
«Divin-Législateur» à qui il fallait bien obéir, même si le faire était
contraire au Droit International Public, alors que «le
Droit-Colonialiste Interne séparait toujours des Familles Autochtones avec
ses Juges-Nazis jusqu'en 1989, et en 2009 en le tolérant des
Mohawks, et cela avec l'aide attendue de ses Toges-Fourbes qui ont
vu par opportunisme intéressé, à l'utilité de favoriser leur
propre image du reflet de «cet Être-Parfait» crapuleusement importé de la
Jurisprudence-Monarchique du Conseil Privé, comme nous l'avons vu de
cette citation qui est désormais incrustée dans le
Patrimoine-Matricide caïnadien dénaturée théocratique, par un
arrêt de la Cour-Martiale Suprême qui Renvoi
l'Ascenseur à son Législateur-Adoré pendant qu'il écrivait
«sa Magna-Charia protest-anglicane rétro-adventiste» que
ces Faux-Prêtres lisaient déjà assidument depuis presque 20 ans, exactement
comme ils l'ont fait avec le nouveau Code Civil du
Québec qui allait être mis en vigueur en 1994, cela, afin de se
préparer à le juger. Revoyez cette monumentale Absurdité judiciarisée
dogmatique afin de la prendre en aversion plus que raisonnable:
« Je ne crois pas qu'il
appartienne au tribunal de supposer que le Parlement a commis une erreur. Qu'il
y ait ou non erreur, je crois que le tribunal est tenu de supposer que le
Parlement est un être parfait qui ne commet pas d'erreurs. »
(Commissioners’ of Income
Tax c. Pemsel, [1891] A. C.
531, p. 549, par Lord Halsburry; approuvé « ponce-pilatement » par
le Juge Spence dans R. c. Scheer Ltd., 1974, R.C.S., 1046,
à la page 1055)
Évidemment,
je n’avait pu m'empêcher d'observer cette louche importation de l'arrêt Pemsel
de 1891 rendu par les Juges-Lords du Conseil Privé, en regard de cette
création divine que «cet Être-Parfait» que serait prétendument
«le Parlement-Colonial d’Ottawa» dans son Imperfectibilité qui,
par ailleurs, n'est pas reconnue dans aucune Loi, mais qui est déclarée
comme tel par la Jurisprudence du Parti-Pris faisant que «le
Tribunal est tenu de supposer que le Parlement est un «Être-Parfait» qui ne
commet pas d'Erreurs». -Pas «cet Être-Parfait» qui
allait mettre très tardivement son Code Criminel en vigueur
l'année suivante en 1892». D'abord, je souligne ce dont je me rappelle de
mes Lectures m’ayant révélé cette Vérité-Historique, affirmant que ce Droit
de Criminels-Aventuriers de la Compagnie de la Baie d'Hudson dont a hérité
la Despotique victoria en tant que «l'Être-Parfaitement-Perfectible de
1867», avait dramatiquement sombré dans la décadence la plus crasse alors
qu'on m'avait relégué aux Oubliettes des Asiles d'élisabeth deux du
«Amistad» de 1982 avec son Zoo-Safari du Droit-Criminel qui s'interprète
strictement par la Jurisprudence de «leur merdique Common Law», à
qui il est impossible de dire: «He! -Come on» -Là!»
Illégalité
onusienne de l'AANB de 1867 et du Renvoi-Esclavagiste de 1981
Maintenant, nous
y allons de citations incontournables qui établissent le bien-fondé de
l’argumentation des Anticolonialistes avec cette citation de Charles Rousseau,
cet auteur de doctrine juridique du Droit International Public qui
nous explique clairement les 2 Principes de la Règle d'interprétation «contra
proferentem, contre celui ou celle qui rédige seul(e)» sa Loi-Unilatéraliste. Il
nous signale également sans détour quels sont les Obstacles à
l'Évolution du Droit International Public, parce que quelques
États rétrogrades n’y adhèrent encore que pour patauger dans la Mascarade et le
Simulacre de leur Démocratie de Toc, pour mieux Nous empêcher de bénéficier
des protections du Droit International Public dans leur
Droit-Colonialiste Interne d’invétérés Troglodytes de l’ancien Droit
International Coutumier:
(« Premier Principe »): de
l'interprétation de la Règle «Contra Proferentem»: a)- l'interprétation des
dispositions douteuses, dans le sens le plus favorable à l'État obligé.
(« Deuxième Principe »): b)- l'interprétation
des dispositions douteuses, à l'encontre de l'État qui les a rédigées.
» (Rousseau,
Charles, Droit international Public, 1971, vol. 1, « Les Sources », Éd.
Sirey, pp. 297-298)
Ces principes
d'interprétation, je les ai soulevé en vain lors de mon Jugement-Préjugé par
Claude Millette-Zundel, en Appel tordu tortueux de sa propre Cause dans
l'inversion de sa Condamnation-Antérieure en Quasi-Acquittement-Ultérieur
absolument Injustifiable, avec comme aboutissement saugrenu cette
Absolution inconditionnelle dérisoire, surtout que cette Sentence était
double suite à ma prétendue présomption d'innocence transmutée mafieusement
en présomption d'aliénation mentale. Et pourquoi donc? Mais parce que je
pense autrement que l'uniformité de la Pensée-Unique qui est souhaitée par
nivellement judiciarisé, en Conversion-Oecuménique pour l'Écume-Ethnique;
parce que 11 Charte-Bidons ne me garantissent qu'une Liberté
de Penser loufoque, puisque la Sentence-Fatwa élisabéthaine me
frappe de «son honni soit qui mal y pense!»
Pourtant,
du point de vue de la Preuve, j'avais bel et bien signé ma Déposition
expliquant mon saccage des Armoiries caïnadiennes du 1250 rue
University le 15 Février 2004, afin de démontrer explicitement qu’un
Acte Illicite peut être commis sans Intention Coupable lors du
Vandalisme d’un symbole discriminatoire comme les panneaux
indicateurs portant le nom de « la rue Amherst », du
général empoisonneur de couvertures infertées de varioles, comme les
bâtardes d’Armoiries caïnadiennes sur la Charte-Martiale caïnadienne.
Parce que je vous précise que j'avais alors répété de vive-voix au
Procès pratiquement les mêmes Arguments que j’avais écrit dans ma
Déposition pour me justifier de mon saccage, qui rencontre indiscutablement
l'élément de l'actus reus, de l’Acte Illicite, mais sans mens rea,
sans Intention Coupable, de m'être attaquer à un
symbole discriminatoire toléré et même valorisé par le Législateur de
l'Intolérance de son non-désaveu, de concert avec la Complicité de ses Juges
valorisant sa Supra-Constitutionnalité martiale; d'un Vandalisme que je
peux vous démontrer en tout temps en exhibant la Vidéo prise par deux
Amis Anticolonialistes venus expressément pour le filmer et qui vous est
accessible sur le site de Contramundum
Briser les chaînes de l'empire
Aucun doute
quant à mon affirmation, après mes 2 premières tentatives infructueuses devant «Injustice-Canada»
face à Yves Fournier-Carnavon dans Reine contre Denis
Dubé, #500-023-9880 du 17 mars 2004, et devant Claude
Millette-Zundel et Jacques Rouiller-Fasciste, son procureur de la Couillonne,
dans Reine contre Denis Dubé, #500-01-002223-045 du 30
septembre 2005, alors que je me représentais moi-même en vous
partageant très sincèrement que: toute Défense Anticolonialiste se
fera inexorablement avorter dans le Droit-Colonialiste Interne,
en esquive french-peasoupienne de Froussards de la Démocratie onusienne,
et cette Magouille judiciaire se généralise afin que ma
Défense Anticolonialiste qui se dresse en Signalement de Subjugation,
n'aboutisse pas devant la Cour Internationale de Justice; ce qui m’a
fait comprendre l'Obsession des Juges-Nazis caïnadiens, dans leur
Conspiration pour toujours censurer de la Preuve cette lecture qui leur
est indigeste des Débats de la Chambre des Communes de 1938,
volume 1, pages 350 à 355, et volume 3, pages 2234 à 2249.
Pourquoi cette
censure? Mais parce que ces fameux Débats de 1938 contiennent
les Déclarations du député Mr. Walter F. Kuhl qui y soutient l'Illégalité de
l'AANB de 1867, en tant que Loi-Coloniale
frauduleuse complètement «Illégale» à cause de «son Vice
de Consentement», et qui par conséquent, n'a rien d'un véritable Pacte Fédératif. Il me
faut croire que dorénavant, on me voit venir, puisque dans Reine
contre Denis Dubé, #500-01-059163-110 du 10 septembre 2012, le
juge Jean-Pierre Boyer-Sewell m’a refusé catégoriquement
de soulever toute Défense Constitutionnelle ainsi que toute Défense
Anticolonialiste, tel qu’il m’a été signifié clairement par Me
Nicolas Welt qui me sous-représentait alors
exceptionnellement (de n'avoir pas soulevé la privation arbitraire de
ma médication de cardiaque durant deux jours et demi de détention),
et qui s’est plié à cette procédure arbitraire d’un système prétendument
Contestataire, mais qu’il ne faut pas contester de sa prétendue
imperfectibilité monarchique. Et depuis, tous les
juges-magouilleurs auxquels j’ai fait face jusqu'à maintenant,
m’ont vivement recommandé de me faire représenter par un juriste Méo
Penché du Club-Med des anus au soleil britannique, bien plié en deux au Carcan
de l'Allégeance au Monarque britannique et à la Soumission aux lois
de grande-bretagne, tel que stipulé aux articles 5 et 8 de l'Acte de
Québec de 1774 de ce tyran de george III indigeste aux Républicains
américains, et toujours en vigueur, ce qui est absolument hors de question
que ces dispositions me soient applicables, et que je fasse pitoyablement
marcher «l’Usage et la Coutume» de «l’ancien Droit International
Coutumier» en renonçant stupidement à ma Dignité-Humaine, simultanément à mon
renoncement des protections onusiennes du Droit International Public
dont je me réclame pour moi-même et pour les Miens et tous les Natifs, les
N’Elles et les N’Ils qui se sont faits annulés par l’État-Forceps,
et qui de ce fait ne sont pas des «Nous» ni des «Eux» qui se
complaisent de la Bipolarité-Haineuse, à la mode Heurt-Hop!-et-Haine...comme
le rapporte Albert Memmi:
« La tentation fasciste »
[…] « Mais on peut faire un
pas de plus: toute nation coloniale porte ainsi, en son sein, les germes de
la tentation fasciste.
Qu’est-ce que le fascisme, sinon un régime d’oppression au profit de quelques-uns?
or toute la machine administrative et politique de la colonie n’a pas d’autres
fins. Les relations humaines y sont issues d’une exploitation aussi poussée que
possible, fondées sur l’inégalité et le mépris, garanties par
l’autoritarisme policier. Il ne fait aucun doute, pour qui l’a vécu, que le
colonialisme est une variété du fascisme. » (Memmi, Albert, Portrait
du Colonisé, 1972, Éditions L’Étincelle, p. 71; les italiques de
A. Memmi)
[…]
« C’est dans ce contexte que
doit être replacée la xénophobie, et même un certain racisme du
colonisé.
Considéré en bloc comme eux,
ils ou les autres, à tous les points de vue différent, homogénéisé
dans une radicale hétérogénéité, le colonisé réagit en refusant en bloc tous
les colonisateurs. Et même, quelques fois, tous ceux qui leur ressemblent,
tout ce qui n’est pas comme lui, opprimé. La distinction entre le fait et
l’intention n’a pas grande signification dans la situation coloniale. Pour
le colonisé, tous les Européens des colonies sont des colonisateurs de
fait. Et qu’ils le veuillent ou non, ils le sont par quelque côté : par
leur situation économique de privilégiés, par leur appartenance au système
politique de l’oppression, par leur participation à un complexe affectif
négateur du colonisé. D’autre part, à la limite, les Européens d’Europe sont
des colonisateurs en puissance : il leur suffirait de débarquer. Peut-être
même tirent-ils quelque profit de la colonisation. Ils sont solidaires,
ou pour le moins complices inconscients, de cette grande agression
collective de l’Europe. De tout leur poids, intentionnellement ou non, ils
contribuent à perpétuer l’oppression coloniale. Enfin, si la xénophobie
et le racisme consistent à charger globalement tout un groupe humain, à
condamner à priori n’importe quel individu de ce groupe, lui prêtant un être et
un comportement irrémédiablement fixe et nocif, le colonisé est, en
effet, xénophobe et raciste ; il l’est devenu. »
(id., pp. 118-119; les
italiques sont de A. Memmi)
***Les
Amérindiens seront Solidaires, pour maximiser l'impact de leur légitime
Signalement à l'Assemblée Générale des Nations Unies de la Subjugation
britannique qui prévaut encore, d’une
sournoise et insidieuse situation oppressive de Subjugation qui persiste
dans le Fief-Pontifical élisabéthain du Canada de «la plusse belle Colonie du
Monde», quoi qu’en dise Me Jean
le Crétin-Chrétien. Il va sans dire que «l'Opinio Juris» qui
représente «l'opinion Majoritaire des Juristes de l'Assemblée générale des
Nations Unies», accueille favorablement «le Droit à la Résistance Armée»
reconnu comme l'équivalent «du Droit à la Légitime Défense», ce qui
ressortira clairement des importantes citations suivantes concernant «le
Droit à la Décolonisation».
Mais d'abord, citons
quelques auteurs de doctrine du Droit International Public, afin
de mater illico les Convaincus trop crédules de Démocratie tangible,
et les insouciants trop Sceptiques quant à l'insidieuse
Ségrégation qui prévaut de façon occultée par une
exécrable hypocrisie judiciarisée d’un Simulacre de «société qui se doit
d’être libre et démocratique», selon ce qu’il nous faudrait croire de
l’affirmation mensongère du juge en chef Dickson dans l’arrêt Oakes,
page 136, après que sa Cour-Martiale Suprême se soit irrémédiablement
déshonorée à valider notre Déshumanisation, simultanément à sa reconnaissance
lors du Renvoi-Esclavagiste de 1981, de l’outrageant Titre dûment
notifié de Possession Coloniale accomplie sur le Fief du Canada», par
conséquent, ayant incontestablement validé très crapuleusement et
fort traîtreusement la Constitution-Martiale de la Proclamation Royale
de 1921. En regard «du Vice de Consentement» à un Pacte ou un
Traité, le Droit International Public applique les mêmes principes qui
se dégagent «en Droit Interne», en ce qui a trait «aux
contrats qui présentent des Abus de Droit». Ainsi, concernant la Convention
de Vienne sur le Droit des Traités, Paul Reuter nous précise que:
« Le
chapitre V de la Convention définit largement et multiplie les causes de
nullité des traités, notamment par l'extension des vices du consentement et des
règles impératives éventuellement nouvelles et auxquelles il n'est pas permis
d'y déroger. » ((op. cit.), REUTER, Paul, «Origine et élaboration de
la Convention», extrait de La Convention de Vienne sur le Droit des Traités,
Éd. Armand Colin, pp. 5-15, p. 10; les soulignés sont de P. Reuter)
Ainsi donc,
les deux Juges-Négriers que sont Yves Fournier-Carnavon et
Claude Millette-Zundel, sont absolument «Imputables» et
même, de façon «Imprescriptible» pour leur Relève, c’est-à-dire
sans aucun délai pour instituer une poursuite rendant ce Droit forclos,
cela, en vertu des Règles Impératives et Supra-Étatiques dites de «Jus
Cogens», soit de l'Opinion-Juridique qui est majoritaire et qui prévaut en Droit
International Public, pour avoir sciemment en toute Préméditation
reconduit le Colonialisme lors des deux Procès dans lesquels ils se sont
faits expliquer «poliment et pacifiquement» les Contraventions du Renvoi-Martial
de 1981 à l'encontre de «ces Règles Impératives» et «Supra-Étatiques»; et
je ne pouvais dès lors que constater qu'effectivement, «la Toge a cédé
aux Armes», contrairement à la maxime latine disant «Cedant arma Togae,
que les Armes cèdent à la Toge». En suivant les
Juges-Négriers du Renvoi-Martial
de 1981, ils se sont rendu Coupables des mêmes Infractions au Droit
International Public; alors que par le simple Principe du Bon
Samaritain de l'article 2 de la Charte des Droits et Libertés de la Personne
du Québec, sans même l'excuse de mettre leur vie en jeu en intervenant, il
leur était si simple de signaler la Contestation étoffée de ma Défense
Anticolonialiste à leur Législateur-PM du «Parlement-Colonial d'Ottawa».
Et dire qu'en 1971, le simple article 1053 du Code Civil du Bas-Canada,
suffisait à lui seul pour abattre le principe despotique voulant que «le
Monarque ne peut mal faire», (ferait-il exprès), et cela dans l'arrêt
Nord-Deutsche de la Cour Suprême. Mais, de nos jours de Chartes-Bidons
en Rogatons racis, on ne dérange pas «l'Être-Parfait» pour des
balivernes invoquées pour défendre la Faune Locale «des Natifs et des
Bardots-Métis».
Yves
Fournier-Carnavon et Claude Millette-Zundel sont Coupables de Ségrégation
raciale et sociale, tout comme leur
minable Juge en chef Michel Robert-Carnavon, qui nous assurait
publiquement en 2006 son abominable mensonge à l’effet que: «les
Juges canadiens sont de bons fédéralistes». C'est comprendre qu'ils
ont tous les trois «légitimé» le Signalement de la Situation de Subjugation
par la Résistance Armée en assurant l'impunité aux Partisans Anticolonialistes qui
seront éventuellement Accusés injustement d'avoir liquidé quelques
Juges-Nazis caïnadiens, procureur et avocats-judas; parce qu’il faut
comprendre, que même si les Anticolonialistes sont trouvés tortueusement
Coupables dans le Droit-Colonialiste Interne, ils
seront sûrement «Innocentés» ultérieurement par l'Assemblée générale des
Nations Unies et la Cour Internationale de Justice, puisque «la
Responsabilité Internationale» en regard «des Dommages Collatéraux» qui
surviendront éventuellement après plusieurs Ultimatums-Judiciarisés, incombera
très certainement «au Parlement-Colonial d'Ottawa ainsi qu’à
sa fourbe Magistrature-Ségrégationniste» en tant que
Judiciaire-Dictatorial de sa «Shit-Judge-Made-Law», ce qui fait
qu'ainsi, ils ont instigué et même justifié leur salutaire
Élimination, ce qui vaut pour toutes les Toges-Tordues qui les prendront
en piteux Parangons.
Pour supporter
cette Allégation de non-responsabilité paraissant à prime abord
pour le moins téméraire, Charles Rousseau nous explique en ces termes
quelle est «la Responsabilité des États du fait des
particuliers» qui réagissent bravement contre leur
Persécution-Historique en la signalant à l'ONU, et qui selon lui,
est imputable à l'État pour «les actes ou omissions de ses organes
de toute nature (même Judiciaires), ce qui
fait sans contredit, que le Judiciaire-Despotique est
«Responsable» et de façon absolument «Imprescriptible» pour toutes
ses décevantes Contraventions au Droit International Public
incluant des Actes de Génocide:
« #131-
Nature de cette responsabilité- L'État peut aussi être responsable à
l'occasion d'actes commis par des particuliers. Quoi qu'on puisse en
penser, il y a ici encore responsabilité directe, car l'État doit assurer le
maintien de l'ordre public sur son territoire. Le fait générateur de la
responsabilité, c'est le manquement de l'État à cette obligation
primordiale, non le fait de l'individu, lequel, n'en étant
pas le sujet direct, ne peut violer le droit international. »
(ROUSSEAU, Charles, Droit International Public, 1970, Dalloz, Chap.
II, 98-133p., pp. 123-124)
***Imputabilité
et Illicéité en vertu du Droit International Public:
les 2 Exigences de Preuve
relativement au manquement de l’État
« A-Première
condition: l’imputabilité- Il est tout d’abord nécessaire que le fait
allégué (acte positif ou omission) soit imputable à l’État
dont la responsabilité est en cause. Sont imputables à l’État les
actes ou omissions de ses organes de toute nature (même
judiciaires) et de tout rang (même subalternes).
B-Deuxième
condition: l’illicéité-
Il est
nécessaire en second lieu, que le fait
imputable à l’État soit internationalement illicite. Le caractère
illicite du fait doit, en effet, être apprécié selon le droit
international, non seulement le droit interne, un fait licite
d'après le droit interne pouvant être internationalement illicite (cas d'un
acte administratif faisant application d'une loi contraire à un traité.
»(Rousseau, Charles, Droit International Public, 1970, Dalloz, chap. II,
98-133 p., aux pages 108-109)
Nous vous
rappelons que toute la merdique Jurisprudence de Common Law se retrouve dans
la Voûte-Sacrée du Colonialisme dans le terme «Patrimoine», hérité
des Phallocrates Patriarches de la Baise-Kasher du drap percé au centre, ce
qui explique que cette Jurisprudence zoothérapique de
Bestiaire-Constitutionnel soit jumelée avec le Titre de
Sujétion-Coloniale de la Proclamation Royale de 1921 qui a
permis arbitrairement à élizabeth deux du «Amistad» de 1982, d'invoquer
sa Prétention d'Intitulation de Souveraine du Territoire dûment
arpenté en Terres de la Couronne. Et il faut savoir et se rappeler qu'en
plus de ces Protections, les Juristes de l'Opinion majoritaire du Droit
International Public ont également assuré «la Protection de «la
Famille» en tant qu'Élément naturel et fondamental de la Société»,
et de même, «la Protection de la Culture» aux articles 23 et 27 du
Pacte International relatif aux Droits Civils et Politiques. Dès
lors, -comment donc avait-elle été reconnue et formulée «la Protection
législative expresse» concernant la Prohibition absolue de ne pas
procéder aux «Séparations des Familles» que l'on trouve à l'article
2 de la Convention pour la Prévention et la Répression du Crime de
Génocide de 1951, qui fut ratifiée le 9 décembre 1948, soit deux
ans après le célèbre Procès de Nuremberg de 1946 d'où émane ce
Principe Humaniste mis en vigueur en 1951, qui n'était que Jurisprudentiel
au départ, mais qui «innovait», et par conséquent, qui
faisait indiscutablement «Autorité de Précédent», sauf dans le Fief du
Canada embourbé au statu quo des Misonéistes rétrogrades de l’ancien Droit
International Coutumier?» À s’en souvenir pour évoluer, c’est en ces termes
que se formule l’article 2 de la Convention sur la Prévention et la
Répression du Crime de Génocide de 1951:
«Dans la présente
Convention, le génocide s'entend de l'un quelconque des actes ci-après, commis
dans l'intention de détruire, ou tout ou en partie, un groupe national,
ethnique, racial ou religieux, comme tel;
a)-Meurtre de membres du groupe;
b)-Atteinte grave à l'intégrité physique ou mentale de
membres du groupe;
c)-Soumission intentionnelle du groupe à des conditions
d'existence devant entraîner sa destruction physique totale ou partielle;
d)-Mesures visant à entraver les naissances au sein du
groupe;
e)-Transfert forcé d'enfants du groupe à un autre groupe.»
<=><=><=><=><=>
-De l’Ère du Droit International Coutumier à L’Ère du
Droit International Public: Limite à l’archaîque principe de la
souveraineté de l’État devenu Membre de l’ONU!
« Une conclusion est imposée
par la Charte elle-même pour qui la lutte contre le colonialisme n’est plus une
question interne aux pays coloniaux. » (SAHOVIC, Milan, Influence des États
sur la conception du droit international – Inventaire des positions et des
problèmes, 1966, A.F.D.I., pp. 30-49, p. 34)
L'appréciation
d'une situation de Subjugation ne nécessite aucunement que la
Population soumise subisse la présence et les sévices par l'Armée du
Conquérant. Les critères qui sont retenus sont d'abord celui «du
caractère non-autonome d'un Territoire», tel que prescrit
par la Résolution Anticolonialiste A/742, et son effet
salutaire est d'inverser notre accablant Fardeau de la Preuve «en
présomption de Dépendance étrangère», selon l'interprétation
juridique prédominante qui est reconnue à la Résolution Anticolonialiste
A/1541.
À mémoriser, en salutaire Notions apprises, concernant
«l'Opinion-Juridique majoritaire» des Juristes de l'ONU, et par conséquent,
forcément en provenance des honorables auteurs de doctrine du Droit
International Public, en regard de leur perception des Résolutions
Anticolonialistes de l'Assemblée Générale des Nations Unies, voici à ce
propos, ce commentaire que j’ai trouvé fort intéressant concernant une
Jurisprudence corrigeant «une Persécution-Colonialiste», en
l'occurrence, celle du Territoire assujetti à la Domination par le
Portugal dans l'affaire Goa, parce que leur Subjugation
s'apparentait à la nôtre, d'être une insidieuse
Persécution-Historique dissimulée avec minutie, à la mode sournoise de
ces États-Colonialistes qui faussent notre Modernité-Médiévalisée parce
qu'ils font le Grand-Écart, «the Great-Gap», avec un Pied à
l'ONU pour paraître Démocratique, et l'autre Pied à l'OTAN pour
imposer par la Guerre leurs Valeurs Dominantes. Voyons ci-après ce
qu'en dit Thierry Sur, et qui s'applique indiscutablement à notre
piteuse situation d'assujettissement à la Couronne britannique:
« La
subjugation, domination ou exploitation peuvent être révélées, par
exemple, par l'existence au sein d'un État d'un régime juridique
discriminatoire applicable à une fraction déterminée de la population.
C'est là un des éléments qui ont été retenus par les Nations Unies afin de
déterminer le caractère non-autonome d'un territoire (A/Rés. 742 (VIII),
du 27 novembre 1953 et A/Rés. 1541 (XV) du 15 décembre 1960). Toutefois, cette
considération n'est pas, en soi, décisive. Les colonies portugaises par
exemple, ont été reconnues comme telles (c'est-à-dire des
territoires non-autonomes), bien qu'elles ne fussent pas en principe
soumises à un régime distinct de celui des provinces européennes du Portugal.
Le
caractère étranger de l'assujettissement
(résultant de) la «non-autonomie», l'Assemblée générale a
considéré «géographiquement séparé et ethniquement ou culturellement
distinct les territoires concernés (A/Rés. 1541 (XV). On peut admettre
aussi qu'il y a lieu de tenir compte de facteurs subjectifs tels que «la
conscience nationale» ou «la volonté de lutte des masses» (v. Ch.
Chaumont: «Cours général», R.C.A.D.I. 1970 (1), p. 395).
(SUR,
Thierry, COMBACAU & VALLÉE, Droit International Public, 1975, Éd.
Montchrestien, pp. 491-50, p. 497; de nous l'ajout : (résultant de))
[...]
Le
développement juridique du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes ayant été
étroitement tributaire de la décolonisation, il résulte des
résolutions des Nations Unies qu'une présomption de dépendance étrangère
concerne les peuples des territoires non-autonomes et des territoires
sous tutelle spécifiquement désignés en tant que «peuples dépendants.
» (Id., (op. cit.), p. 498)
Pour ce qui est
d'«un Régime Juridique Discriminatoire applicable à une fraction
déterminée de la Population», il se retrouve dans
l'application même de la Loi sur les Indiens orchestrant la
Ségrégation raciale par les Séparations des Familles résultant du
Bannissement exclusivement appliqué aux Indiennes et à leur Descendance, ce
qui en Droit minimalement Démocratique, correspond à «une
situation particulière et inhabituelle de détresse consécutivee à des
traitements différents visant des minorités discrètes et isolées»,
par conséquent, en lien direct avec la déprime déshumanisante
ainsi qu’avec le plus haut taux de suicides de la Colonie qui prévaut au
sein de la Population Autochtone. Quant à «la Présomption de
Dépendance Étrangère» susmentionnée, elle se retrouve
donc précisément à la Résolution Anticolonialiste A/1541, qui est
complémentaire à la Résolution Anticolonialiste A/742 «sur le Caractère dit «non-autonome»
d'un Territoire»; et ici, «ce Caractère «non-autonome
du Territoire» s'établit indiscutablement par
l'Unilatéralisme de l'Acte de l'Amérique du Nord Britannique de 1867 qui
est tout sauf «un authentique Pacte-Fédératif», comme le prouvent
incontestablement les Débats de la Chambre des Communes de 1938,
Volume 1, pages 350 à 355, et Volume 3, pages 2234 à 2249, et tout autant,
leur louche Censure dans le Jugement-Préjugé Reine c. Denis
Dubé, #500-01-002223-045 du 30 Septembre 2005. Un Pacte à sens-unique,
dont il fallait changer le titre avec empressement, en
enlevant le qualificatif de «Britannique», démontrant bien
trop éloquemment «le caractère «non-autonome» du
Territoire», ainsi que «la (trop apparente) Dépendance
étrangère britannique», donc, un changement de nom
simplement pour obvier aux Résolutions Anticolonialistes sus-mentionnées...
De plus,
rappelons que lors du Renvoi-Martial de 1981, «l'Être-Parfait» a
dû quémander à quatre pattes à sa pas trop souveraine impétration par trop
servile à sa Mère-Patrie pour procéder à son Rapatriement
frauduleux, de sa Supercherie démocratique par sa pestillentielle reconduction
judiciarisée du Colonialisme, ce qui prouve déjà par son
Comportement vassalique que nous sommes Assujettis à «une
Dépendance étrangère» qui est l'Empire britannique, le
Royaume-Uni, en Contradiction-Totale avec la Résolution Anticolonialiste
A/1541; et partant, autant le Fief du Canada se retrouve-t-il
autant en contravention de la Résolution Anticolonialiste
A/742 sur «le Caractère non-autonome du Territoire»
de l'Amérique du Nord Britannique du faux Pacte-Fédératif, dont la
nature est toujours Unilatérale-Coloniale, même et surtout, en dépit de
son changement d'appellation pour la Loi Constitutionnelle de 1982, faisant
disparaître la trop apparente appartenance à l'Empire Britannique
du nom de l'Acte de l'Amérique du Nord Britannique de 1867, tel
que préconisé par élisabeth II du «Amistad» de 1982, comme
mentionné, afin d'obvier fort hypocritement aux Résolutions
Anticolonialistes A/742 et A/1541. De même, par la même occasion, évite-t-on
sournoisement de se soumettre à la Résolution Anticolonialiste
A/1514, sur le Droit à la Décolonisation, ainsi qu'à la Résolution
Anticolonialiste A/2625, sur le Droit à la Résistance Armée dans
l'Objectif légitime de Signalement à l’ONU de la Subjugation élisabéthaine,
parce que la Magistrature-Despotique de la Colonie caïnadienne, tarie
de toute Sagesse-Juridique du Droit International Public,
entend résolument contrevenir à toutes les Règles sous-jacentes
à l'article 103 de la Charte des Nations Unies, en arriérés
Troglodytes demeurés d’incorrigibles Adeptes de l'ancien Droit International
Coutumier, en exécrables Païens de la Démocratie onusienne.
Et encore, quant
à «un Régime Juridique Discriminatoire applicable à une fraction
déterminée de la Population», il est flagrant du
Traitement Différent envers les Femmes Indiennes et leur Descendance, en
regard des Contraventions précitées commises par la
Magistrature-Ségrégationniste du Fief du Canada» à l'encontre
des Conventions de 1951 et de 1970 de l'Assemblée Générale des
Nations Unies sur «le Crime de Génocide» et son
Imprescriptibilité, autant d’Actes répréhensibles, d’être reconnus à l’ONU pour être «des
Crimes «Imprescriptibles» contre L'Humanité». Et de même, «la
Bipolarité-Haineuse» de «ce Régime Juridique Discriminatoire» est-elle
absolument éloquente, dans «le Blasonnement comme dans le Symbolisme
des «Armoiries caïnadiennes» de votre seule et unique «Constitution-Martiale»
de la Proclamation Royale de 1921.
-Concernant la Résolution Anticolonialiste A/2625,
sur « le Droit à la Résistance Armée » pour les
Gens d'Honneur de leur Dissidence,
«le Pas
décisif a été franchi : sans « Résolution trop Tranquille »,
donc, sans Nous, les Innés-Inexistants, comme
autant de Zappés-Apatrides
Il fallait
répandre ces heureuses Notions sur le Droit Légitime à la Résistance Armée
contre les Toges-Belliqueuses au garde-à-vous devant «la
Notification» qui sert à la clarification des Titres de Possessions
Coloniales, exactement comme les États-Colonialistes du Vieux-Continent
l'ont cristallisé lors de ce Sommet-Bismarckien de l'Europe précurseur
au Sommet des Amériques, puisqu'encore et toujours dans la même
sempiternelle règle juridique imaginée pour l'Afrique, mais qui prévaut
encore pour «la Possession Coloniale» de l'Amérique du Nord Britannique,
avec l'importation judiciaire de l'archaïque Principe de «la notification aux
autres Puissances Coloniales de la Possession Coloniale accomplie» du Fief du
Canada de la Proclamation Royale de 1921, telle que prévue à
l'article 35 de l'Acte Général de Berlin de 1885.
Mais,
nonobstant l'Omerta politico-judiciaire, l'Absence du merdeux
PM-Canadien Adolf Harper à la Conférence de l'ONU à New-York réunissant 130
Nations fin-octobre 2012, lui préférant une Visite dans une Synagogue
Colonialiste, en prétextant bouder l'ONU pour ne pas avoir obtenu son Siège
en 2010, plutôt que d'avouer ne pas s'être fait décerner ce Siège pour
avoir privé ses Autochtones durant plus de 60 ans des Protections du Droit
International Public, il y a que dorénavant, les Autochtones savent
également qu'avec la Résolution Anticolonialiste A/1514 sur «le Droit à
la Décolonisation», -il était permis légalement depuis les Années-60, de
procéder au Signalement de la Subjugation des Colonialistes en la combattant
par la Résistance Armée prévue à la Résolution Anticolonialiste A/2625.
Voici ce qu'en dit Lino Di Qual, un autre auteur, évidemment non-canadien, de
doctrine juridique du Droit International Public:
« Cette
Résolution représente donc la première forme de Droit International et prime
les principes qui gouvernaient auparavant la souveraineté des États sur les
Possessions Coloniales. Elle prime également l'interdiction de Recours à
la Force édictée par la Charte. Cette interdiction supporte maintenant une
exception: le Recours à la Force est permis contre les Puissances
Coloniales car il s'analyse alors en un cas de Légitime Défense. »
(DI QUAL,
Lino, extrait de «Résolutions des Nations Unies et formation du Droit
International Public. –Les effets des résolutions des Nations Unies», 1967
L.G.D.J., pp. 235-271, à la page 260)
Il ne restait
qu'à se décider résolument «de franchir le Pas décisif» vers la Démocratie
onusienne substantielle dont nous prive crapuleusement le
Judiciaire-Dictatorial caïnadien. À l'évidence, pour moi, après
le pitoyable Cirque-Judiciaire de mes deux premiers Procès en Menu à la carte
de leur Cuisine-Législative épicée «Colonial Office», (puisque les
Juges-Bateleurs se retrouvent tous en Quatrième Conflit d'intérêts, d’agir
sciemment en prolongement du Triple Conflit d'intérêts initié par Lord
Carnavon président du Colonial Office en 1866), il me paraissait
inévitablement plus que flagrant qu'un
Régime onusien de Tutelle Judiciaire s'impose à demeure sur
un aussi pitoyable Judiciaire-Dictatorial que celui des
Juges-Négriers caïnadiens». C'est d'ailleurs ce que j’ai soulevé
posément de vive-voix au procureur de la Couillonne, Jacques
Rouiller-Fasciste et à son magistral Magistrat-Nazie qu'est
Claude Millette-Zundel: «Heil Hitler!» -après leur avoir spécifié à l'un
comme à l'autre, qu'en suivant le Renvoi-Martial de
1981 avec sa crapuleuse validation de «la Constitution-Martiale»
des «Armoiries caïnadiennes» de la Proclamation Royale de 1921, ils
se prouvaient eux-mêmes comme deux invétérés Adeptes
des Principes-Colonialistes des articles 34 et 35 de l'Acte Général de
Berlin de 1885. Et évidemment, venant d'un juge et procureur
parfaits de «l'ÊtreParfait» du juge Spence précité, il ne peut
être question d'invoquer ultérieurement leur Turpitude crasseuse. Il
s'agit ici du Jugement-Préjugé de Reine contre Denis Dubé,
#500-01-002223-045 du 30 Septembre 2005, concernant mon Vandalisme
anti-discriminatoire.
Dans «le
Jargon-Juridique», ces Règles
Impératives et Supra-Étatiques du Droit International Public sont
dites de «Jus Cogens», pour signifier justement leur caractère
Supra-Étatique qui les dresse au-dessus de la Souveraineté de l'État
et de sa Magistrature, sinon, cette dernière outrepasse
allègrement ses Compétences pour s'ériger en
Judiciaire-Dictatorial, de pouvoir à loisir contrevenir aux
Engagements Internationaux pris par l'État sous «la présomption de
ne pas contrer ses Engagements internationaux», comme le
soutiennent Henri Brun et Guy Tremblay dans Droit
Constitutionnel, 1990, 2e éd., page 600. Les nouvelles Résolutions
Anticolonialistes précitées de l'Assemblée Générale des Nations
Unies, comptent parmi ces Règles qui obligent les États-Parties,
dont le Canada. La citation précédente de Lino Di Qual, concernait
précisément la Résolution Anticolonialiste A/1514 «sur le Droit à la
Décolonisation» et la Résolution Anticolonialiste A/2625, sur la
Résistance Armée en tant que «Légitime Défense», qu'il faut
considérer comme 2 Clauses dérogatoires, puisqu'elles s'érigent en
Exception Expresse de l'interdiction du recours à la Force Armée qui est
prévue au paragraphe 4 de l'article 2 de la Charte des Nations Unies.
Pour se
prévaloir d'une Vision Globale de la Haine qui nous entoure et
nous empoisonne, il suffit selon moi, de coucher la Bâtarde de
Législatrice-Léopardienne élizabéthaine sur le Divan-Freudien pour une
Entrevue-Onusienne, en l'analysant scrupuleusement et méthodiquement selon
«la Théorie du Cerveau Triunique» de Paul Mac Lean, un éminent Neurologue.
Et de là, le Passage en Revue en Règle: des Faits de L'Histoire, qui nous
fuit comme L’Avenir, du Droit International Public de la Charte des
Nations Unies et des Conventions précitées, qui nous
permettraient d’y remédier salutairement avec les Résolutions
Anticolonialistes sur lesquelles se fondent démocratiquement le
FRAK-AS, -versus tout ce qui nous accable de la Subjugation
britannique avec «l'ancien Droit International Coutumier» et
«son Droit des Capitulations», qui prévaut toujours,
puisqu'il fonde pitoyablement «le Droit-Colonialiste
Interne» sur «l'Acte de Capitulation de 1760» avec «sa
Constitution-Martiale» de «la Proclamation Royale» de 1921, qui
véhicule encore en 2013 pour «l'Amérique du Nord Britannique», les
mêmes Principes-Colonialistes qui prévalaient pour clarifier les
Titres de Possessions lors de la Colonisation de l'Afrique que
l'on retrouvent «aux articles 34 et 35 de l'Acte Général de Berlin
de 1885».
En conclusion de
cette Analyse, vous devriez vous inquiéter de «notre Droit des
Mentalités» encore figé à «l'Ère de la Chevalerie en
Croisade» avec «leur Message Héraldique» de «Notification de
Possession Coloniale dûment accomplie sur le Fief du Canada», nous
prouvant que «leur Constitution-Armoriale» repose inévitablement
sur «les mêmes principes» de Droit Héraldique que celle du
Royaume-Uni» dont fait allusion le Préambule de l'AANB
de 1867, et vous verrez que tout cela se greffe dans une cohérence
irréfutable.
Au FRAK-AS, les
Cellules de Commandos de «Snipers» de «Martial» comme celles de Sabotages et
d'Attentats-Spéciaux» de «Falaise» sont fin-prêtes à «FRAK-ASSER», advenant que
l'Invasion planifiée des Tribunaux surchargés de causes de Militants
Anticolonialaistes ne déboucherait pas en Réforme Constitutionnelle
onusienne enfin Démocratique, ce qui
confirmerait que «le Droit-Colonialiste Interne» s'entête
stupidement à ne pas vouloir prendre la sage Résolution de
se conformer à la Sagesse supérieure de la Loi postérieure du Droit
International Public. Dès lors, attendez-vous à ce qu’il
se fasse résolument réformer par les Résolutions Anticolonialistes».
La Résistance Armée du FRAK-AS contraindra tôt ou tard «le Fief du
Canada» et sa Magistrature rétrograde à se démocratiser en
s’humanisant en se conformant avec cohérence au Droit International
Public, car il vous est annoncé en grande primeur, bien qu’une
soixantaine d’années déplorablement en retard, que «ce Droit
onusien» de nature évolutionniste, l'oblige même à donner
«son Appui inconditionnel» à l’ensemble des Revendications
Anticolonialistes du FRAK-AS.
En regard de
cette Obligation du Canada, d'appuyer inconditionnellement les
Revendications Anticolonialistes d'éventuels Dissidents, les auteurs de
doctrine juridique du Droit International Public considèrent en effet
que:
« 1- Obligations des États
-Tous les États ont le devoir de favoriser la «réalisation» du droit des
peuples et d'aider l'ONU, à s'acquitter des responsabilités que la Charte lui a
conférées dans ce domaine. Ils doivent aussi donner aux peuples «qui
réagissent et résistent» à des mesures de coercitions «un appui conforme aux
buts et principes de la Charte». À plus forte raison, les États doivent
s'abstenir de recourir à toute mesure de coercition qui priverait les peuples
concernés «de leur droit à disposer d'eux-mêmes, de leur liberté et
de leur indépendance ». Cela concerne particulièrement les États à
l'égard desquels ces peuples sont en situation de dépendance.
2- Droits des peuples
dépendants -a) Le droit des peuples leur confère le droit, en premier lieu, « de
réagir et de résister » aux mesures de coercition dont l'objet est de les
priver de leur droit à l'autodétermination. Cette réaction et cette
résistance n'excluent pas l'emploi de la force. Il y a une exception au
principe de l'interdiction de l'emploi de la force dans les relations
internationales (v. Infra, chap. XII, sect. II).
b) En second lieu, les
peuples concernés ont le droit de « déterminer leur statut politique, en
toute liberté et sans ingérence extérieure et de poursuivre leur développement
économique, social et culturel. [Voir A/Rés. 2625 les options
pour que cesse la non-autonomie]. »
(SUR, Thierry, COMBACAU &
VALLÉE, Droit International Public, Éd. Monchrestien, 1975, pp. 491-500,
p. 498)
Tout comme
pour les Résolutions Anticolonialistes A/742, A/1541, et A/1514
précitées, la Résolution Anticolonialiste A/2625 adoptée en 1970,
s'inscrit parmi les Règles Impératives et Supra-Étatiques de l'Assemblée
Générale des Nations Unies. Selon Thierry Sur, voici les Options avec
lesquelles devra composer «le Fief du Canada» en l'absence de Volonté
d'acquiescer à une Réforme-Démocratique:
« [...] que les peuples qui
réagissent et résistent aux mesures de coercition destinées à les priver de leur
droit à disposer d'eux-mêmes «sont en droit de chercher et de recevoir un
appui conforme aux buts et principes de la Charte». Il y est ajouté que: « La
création d'un État souverain et indépendant, la libre association ou
l'intégration avec un État indépendant ou l'acquisition de tout autre
statut politique librement décidé par un peuple constituent pour ce peuple des
moyens d'exercer son droit à disposer de lui-même.» (SUR, Thierry, COMBACAU
& VALLÉE, Droit International Public, Éd. Monchrestien, 1975, pp.
491-500, p. 496)
Une seule
Contre-Attaque s'offrait pour sortir
logiquement de cet absurde Cycle ravageur, à l'effet qu'il nous
faut «harceler de dérision gênante l'Ennemi-Colonialiste pour
réussir à l'Encercler en Occupant sa Pensée jusqu'à l'Obséder, afin
d'attiser sa Paranoïa reptomammalienne du «Zèle fanatique» à
défendre «son Dieu et son Droit» et me honnir
subséquemment de façon exemplaire; -donc, si vous me suivez: en suivant
scrupuleusement ce Mode d'Emploi de la Devise Royale pour devenir
effectivement un Profanateur et un Provocateur, soit de la manière qui
m'est la plus naturelle, qui est «l'Excentricité» des Exclus du
Cercle des Dull-Men d'humaine-ire qui judiciarisent machiavéliquement
pour faire de nous des Évincés de la Mise en Boîte du Casino
élisabéthain. Amalgamés avec «les Damnés de la Terre», du titre de
Franz Fanon, dans la Loge infernale de la cacophonie aliénante de la
Mal-Gamme, pour être exécrer parmi les transmutés de la Mal-Donne de la
Croupière de son Sortilège changés-tous par cette Sorcière anglicane en Dés
intégrés systématiquement appelés à la Grande-Désintégration, qui consiste
à se retrouver complètement dispersés autour de Nous-Mêmes atomisés autour
d’un Corps-Évidé à rechercher notre Personnalité-Juridique, suite à l'Expropriation
de Celle-Ci par l'État-Forceps de la Déshumanisation autochtone
systématiquement nationalisée.
Et ainsi,
sommes-nous contraints à rechercher dans le Passé qui nous sommes
vraiment en Substance, en négligeant ainsi de vivre pleinement le
Présent, qui n’est plus un Cadeau d’ainsi tourner le dos à
l’Avenir de cette Condamnation à vivoter dans le Passé, littéralement
télé-déportés en dehors de notre Spatio-Temporalité. Pourquoi? Parce
que nous sommes hautainement jaugés en Bétail Franco-Canadiens et en
Faune-Locale quant aux Natifs, soit en dérisoires « Valeurs
Mobilières accessoires au Principal », que représentent « les
Valeurs Immobilières » des Terres de la britichiante Couronne britannique
dûment arpentées jadis par la Hudson Bay Company.
Élucubrations
abracadabrantes d’un Être atomisé Ex-en-Tricks hors du Cercle albionais
des Druides pervers en
Dull-Men d'Humaine-Ire…
D'avoir
lu d'un Dictionnaire de Philosophie (Larousse), que «la Dyslexie» se
manifeste en incommodant «le Gaucher-Inné qu'on a contrarié»,
je comprenais maintenant (Fiou!) -après plus d’un
demi-siècle, -le Décalage du Décollage me catapultant Hors-de-Moi,
à l’effet que l'on m'avait contraint forcément à être «un adroit
Droitier destiné à la Performance des Ambidextres du Prolétariat impérialiste»,
alors que «votre 10-Lexiques» était bien-né dans «le
Monde-Inversé des «AmbiSenestres», (très Habile des deux mains, mais
initialement, seulement de la Gauche, d’où originaient mes Réflexes innés d'une
prestesse de prestidigitateur), ce qui provoquait invariablement mes
Étourderies d'Excentrique me faisant apparaître trop souvent comme «une
Extrapolation furibonde» du Personnage ambigu qui semble Furieux et
très curieusement, en Harmonie de L'Être, (en vous spécifiant que cet
État-Paradoxal de Sérénité rageuse prévalait déjà avant la Prise de Conscience
pour le moins très tardive de ma Juste-Colère, m’expliquant enfin, du moins en
partie, mon énigmatique Dualité-Cosmogonique d’un Protée-Octet de mon
Unicité-Quaternaire de Caractère, du Sérieux-Ludique dans un
Pugnace-Pacifique), de L'Être-Divisé confronté en Moi-Même, et,
auparavant, complètement impuissant, dans une écrasante
incapacité totale à faire «L'Intime Unanimité» entre «le Gogo de
L'Ego» et «L'Alter-Ego», duquel en tant que «le Gogo de L'Ego» et
« Proprio Domini » de l'Homo Erectus, j’avais si longtemps craint
obsessionnellement que cet Énergumène de «L'Alter-Ego», ne
complote malicieusement pour finalement faire Dualité Seule, en
toute Duplicité, ce qui m’aurait contrarié au plus haut
point, et contraint logiquement à l'Éviction de ce Coloc envahisseur
devenu dès lors indésirable, de son accaparement de
mon Être perturbé de cette Occupation encombrante que
d’entendre inlassablement ses Échos revendicateurs dérangeants de ce
Mal-Appris qui me squatte en me tenant constamment à l'oeil comme une
Conscience zoomeuse...
Ce qui me
présente évidemment à vous en Scène-Burlesque à souhait, d’un Protée
volubile dont les différents Personnages s’interrompent bruyamment
m’illustrant sous les apparences pour le moins trompeuses d’un ignare Rustaud, naturellement enclin aux
Gaffes monumentales et aux Manifestations grossières de ma Gaucherie de
Mal-Luné de la Désamain. Du moins, en est-il toujours ainsi, aux yeux
bigles et louches du Monde si controversé de la
polémologique Droiture des Peuples Élus de leur abominable Dieu vengeur les
ayant fait à son image hideuse, de nous les avoir envoyés pour
notre Calamité insoutenable, d’être éminemment et invariablement toujours plus
belliqueux que leurs éternels Vaincus; cet état d’agressivité permanente,
découlant invariablement de leur inchangeable Mentalité primitive.
Mais, fort
heureusement, d’être propices à me rassurer de moi-même, je me suis souvenu de
ces Paroles réconfortantes de Madame la Juge Wilson dans l'arrêt Reine
contre Jones, qui m’avait laissé entrevoir la normalité de
mon Caractère atypique à l’effet que non seulement était-elle «Légale
mon Excentricité», mais qu'au surplus, seule «L'Excentricité» apparemment
puérile pour plusieurs, pouvait m'extirper et me propulser salutairement Hors
de L'Enfer du Cercle Vicieux de ce Cirque Judiciaire ultra-circassien de son
Bestiare-Constitutionnel.
Évincé de
Moi-Même par l'État-Forceps qui avait dispersé ma Personnalité-Juridique tout
autour de moi-même, expropriée avec ma
Dignité-Humaine par une odieuse Réquisition Militaire de
jadis qui se dresse radicalement en «vae Victis, malheur et
honte aux Vaincus», qui frappe encore héréditairement tous leurs Vaincus
globalement», elle me paraissait dès lors fort Légitime mon
Excentricité et tout autant naturelle que ma Juste-Colère d'avoir
été cruellement expulsé Hors-de-Moi; aussi, m’étais-je
conforté enfin en partie de mes tourments ravageurs suite aux
déclarations apaisantes de la Juge Wilson, qui me partage
particulièrement et vous déclare généralement:
« Je crois
que les rédacteurs de la Constitution en garantissant la liberté en tant que
valeur fondamentale d'une société libre et démocratique, avaient à
l'esprit la liberté pour l'individu de se développer et de réaliser son
potentiel au maximum, d'établir son propre plan de vie, en accord
avec sa personnalité, de faire ses propres choix, pour le meilleur et pour le
pire, d'être non-conformiste, original et même excentrique,
d'être en langage courant «lui-même» et d'être responsable en tant
que tel. John Stuart Mill décrit cela ainsi: «rechercher son propre bien,
à notre façon». Nous devrions, pensait-il, être libre de le faire «dans
la mesure où nous ne tentons pas de priver les autres du leur, ni d'entraver
leurs efforts pour y parvenir (...)» Chacun est le véritable gardien de sa
propre santé, tant physique que mentale et spirituelle.
L'humanité, a plus à gagner à laisser chacun vivre comme cela lui semble bon,
qu'à forcer chacun à vivre comme cela semble bon aux autres. » ((op.cit.),
juge Wilson, R. c. Jones, [1986] 2 R. C. S., 284,
pp. 318-319)
Pour être
«Excentrique», ça, comptez que l'indomptable Mi'kmak-Trickster y verrait
personnellement, de toujours me retrouver ponctuellement et naturellement en
Vision-Périphérique après avoir été pulvérisé de façon héréditaire pour être
vaporisé et éparpillé aux alentours de mon Corps creux, d'être né en
Orbite tout-autour de Moi-Même rendu dans un Corps-Évidé, et
ma Ré-Intégration salutaire d’être vitale, commandait mon
Investiture-Existentielle conditionnelle à l’obtention radicale du Désaveu des
Lois-Unilatéralistes par le Parlement-Colonial d’Ottawa, sinon de voir
à leur Désintégration définitive suite à leur déclaration
d’inconstitutionnalité de la part du Judiciaire-Despotique pour
cesser de l'être, contraint finalement après plus de 60 ans
d’entêtement antidémocratique, à renoncer définitivement au Droit
International Coutumier pour adopter enfin une pratique de
Démocratie onusienne, en se conformant en tout point au Droit
International Public.
Cette prévision
s'accomplira de bon gré et de Bonne Foi, croyez-moi, sinon, dans le bienfaisant
Fracas de la Désobéissance Civile avec «le FRAK-AS» des Revendications
démocratiques onusiennes sous l’Immunité des règles impératives et
supra-étatiques des Résolutions Anticolonialistes A/1514 et A/2625 de
l’Assemblée Générale des Nations Unies, avec lesquelles brillent enfin une
Lueur D'Espoir nous laissant entrevoir un Avenir épanouissant; en dépit
de l’obscurité présente de notre Dignité-Humaine éclipsée par l’aveuglant Soleil
britannique; dans l’insufflation d’un Encouragement-Intérieur
visionnaire de la possibilité réconfortante de pouvoir enfin se débarrasser de
tous ces Ténébrions en Toge: car Hector Bianchetti dit
vrai et fort bien d’avoir écrit «on ne guérit pas de l'espoir d'être
soi-même».
Captivé par le
Bien-Dit de cet énoncé philo-poétique humanisant, ébloui et attiré par la
justesse de cette admission curatrice de Désespoir ravageur et de Déprime
corrosive, de l’avoir perçue comme une Lumière au bout du tunnel de
la Rubitude, en Mal-Plumé affairé à la Recherche de
L’Espoir et de L’Histoire (qui seraient depuis la Nuit des
Temps en Danse Nuptiale ininterrompue, d’une éternelle prestation
chorégraphique de ce Couple-Maudit, banni autrefois pour s’être marié «pour
le Meilleur exclusivement»), je m’en étais naturellement inspiré
pour tenter d’approfondir sur ce même Thème s’avérant Existentiel, en
grifonnant que:
«le Vent arrondit la Voilure ventrue d'Espoir
du Voilier
qu'il aspire en Risées vers un
Bonheur assuré»...
Pour ce qui en
est du principe de la Liberté, tel qu’énoncé plus haut par Mme la
juge Wilson, il faut bien reconnaître logiquement l’évidence, comme nous
l’analyserons plus loin en profondeur, que si «la Liberté» de
«l’Un» s’arrête là où «la Liberté» de «l’Autre»
commence», ce critère d’interprétation judiciaire se
présente pour n’être bon qu’à solutionner des Litiges concernant
des chicanes de clôtures, et qu’il est absolument
inapplicable à l’Humain; comme cela apparaît clairement, (l’absurde se
prouvant uniquement par l’absurde), en affirmant le non-sens
suivant à l’effet que: «la Dignité-Humaine» de «l’Un»
s’arrête là où la Dignité-Humaine de «l’Autre»
commence»…nous inférant naturellement que «l’Autre»
en manque forcément d’énoncer un tel illogisme antiégalitaire
empreint de Bipolarité-Haineuse qui exclurait à jamais les
Sciences Juridiques des Sciences Humaines; puisqu’en
définitive: «les Dignités-Humaines sont sensées
s’inter-pénétrer dans l’Empathie des authentiques Humanistes qui ne sont jamais
des Intrus les Uns pour les Autres, d’être tous unis sereinement
dans la vénérable Fraternité-Sororale. «La Dignité-Humaine», se
présentant donc logiquement en tant que Vertu-Spirituelle inhérente à L’Âme,
dont il est impossible de se départir sans renoncer à son Humanité, contrairement
à la Liberté, à laquelle ont volontairement renoncé simplement
par vœux, tous les Ecclésiastiques de tout acabit, comme tout
Criminel d'habitude en fait mentalement son deuil, par anticipation
à sa probable détention…
ULTIMATUM
aux Membres du Barreau canadien et à la Magistrature « at large »,
donc : à tous les juges, procureurs et
avocats du Droit International Coutumier
Le Gars tôt levé est fort difficile à leurrer, du cumul
onéreux et harassant
à la Piquerie vaudoue des jours-noirs à se faire imprégner
de la corrosive Rubitude. Aussi, qu'il soit bien entendu qu'en tant que
Membre d'une Famille Victime de perfidie
judiciaire
dans la Commission
préméditée d'Actes de Génocide spécifiquement «Indigénophobes»,
je déclare solennellement,
que «Jamais, sous Peine de Mort»:
aucun Juge-Ségrégationniste, procureur ou avocat caïnadiens même et surtout Élu,
ne supervisera l'Éducation
des Enfants de ma Famille pour Laquelle mes Soeurs
et moi-même s'acharnont à
débroussailler nos Racines sauvagement éradiquées
par la judiciarisation de leur
Loi d'Indigénat, avec leur Omerta-Judiciaire qui cautionne
insidieusement la Léthargie législative de Réparation effective, tout en compliquant
sournoisement «nos
Recherches Généalogiques» ainsi rendues fastidieuses,
de nous empêcher de jouir intégralement de notre Personnalité-Juridique.
Et cela se fait dans l'Objectif outrageant d'éviter ce que
visent
les Juges-Négriers caïnadiens, soit leur
Imputabilité onusienne, esquivée
couardement
par crapuleuse Tentative d' «Auto-Absolution» de «leurs
Actes de Génocide»,
en souhaitant en sus notre infecte Complicité à leur félonne Perfidie,
ainsi que notre Assimilation «en French-Caïnadian Pea-Soup»...
Ce que je rejette au Nom des
Miens, avec «la même Répulsion et
la même Liberté
que «M'sieur-Dame Anglesberger» qui voit un Clitoris à la place de son
Pénis
et abracadabra! -s'auto-transgenre!
-Maître(sse) de sa Pesonnalité-Juridique,
de s'être fait reconnaître une
Discrimination pour une seule Expulsion
d'un restaurant de s'y être
présenté en Travelo; choyé(e)
par ces mêmes
Juges-Homophiles, devant leur Bible qui
condamne la Sodomie
dans leur Bordel-Gay, où ils
célèbrent les Mariages de l'Homo-Parentalité,
tout en persistant dans
leur sournoise pratique des Séparations
des Familles Autochtones, «en
Commission-Positive» comme «en Ommission-Négative»
de «leur Négligence Criminelle» de mauvais Samaritain depuis
plus de six décennies,
de ne pas s'avouer Ségrégationnistes,
de leurs flagrants Traitements différents...
visant notre indigeste
Assimilation à un Multiculturalisme abâtardissant,
au nom d'un imperfectible
Patrimoine-Matricide des Langues
et des Cultures
amériendiennes...qui payent un lourd Tribut
pour avoir dû choisir entre
le Français, l'Anglais, l'Espagnol et le Portugais,
faisant que «d'un Pôle à
l'Autre» comme «d'un
océan à l'autre» , Coast
to Cust!»
-les Natifs faisandés se
lèvent encore comme ils ont fait jadis
leur lit de camp!
-en Calamité expansive, que cette Mise en Boîte continentale se soit agrandie
en périmètre circumterrestre
de «la Quadrature du Cercle du Globe «enneworldé!»
Parce que la Contrainte
d'adopter la Langue du Lys ou la Langue de la Rose
n'efface pas L'Être, sa Prégnance
D'Ipséité, son Unicité qu'Il Lui faut reconquérir
au jour le jour à longueur de
siècles, après avoir été «injustement
Expropriée
par l'État-Forceps», ce
qui catapultent les Êtres dans le
Non-Être, Hors-Temps
et Hors-Lieu de «leur Spatio-Temporalité» en Décalage-Séculier
de deux siècles et demi, «à chercher constamment dans le
Passé ce qui devrait Être-Su
dès L'Enfance»: par conséquent,
en ne vivant pas vraiment le Temps-Présent
que Nous vivotons comme quiconque tourne le dos à L'Avenir»; pour
sombrer
dans la Crise Identitaire
et la Détresse psychologique qui en
découlent
jusqu'à dégénérer en Chaos-Asocial, et
inciter les Natifs au Record-National du Suicide,
qui est intimement liée à cette Vacuité dans L'En-Soi qu'il faut
combler
pour «S'Épanouir par la
ré-intégration dans L'En-Soi» sans aucune Interférence,
«otherwise
what is the Meaning of «Fulfilling Ourself?» -if not the contrary
of Fooling yourself!» Aussi,
Nul ne peut empêcher «cette Investiture-Légitime
de L'Être» sans sciemment
vouloir le tuer, puisque cette
Privation
d'une seule Notion-Vitale l'avorte, l'empêche délibérément
«de Naître»
du Fait-Inhumain d'être aussi «Infraternel jusqu'à nier» à
L'Être de «se Connaître».
Ceci entendu à la Source de la
Véracité qui tranche sur la Vraisemblance
du Faire-Semblant; ce
qui se perçoit dans la Vérité-Étymologique
du terme «Connaissance»...voulant
dire «naître-avec»...
Mu par ma Répulsion irréversible
et mon Indignation incontournable
envers la Mauvaise Foi, en
digne Fils de la Race des Irascibles, je me reconnais
le Droit Légitime de prouver
publiquement l'Inégalité perpétuelle qui prévaut
dans la Discrimination «indigénophobe». C'est l'État-Forceps qui m'avait exproprié
de naissance ma Personnalité
Juridique d'Autochtone déraciné,
et qui m'avait dramatiquement atomisé
et vaporisé en dispersion dépersonnalisante
tout autour bde mon Corps
évidé, en m'obligeant à me chercher
pour me connaître intimement, et
donc intégralement, ce qui m'expliquait enfin
ma phénoménale Excentricité
d'être soupoudré tout-autour de mon Contenant vacant.
Et cette Éviction draconienne
absolument stigmatisante opérée par l'État-Forceps
et ses Sbires entogés, de la réaliser de façon alarmante sur le tard,
m'illustrait
ma Sagesse tardive
d'Adulte-Infantilisé en Attardé, ce qui faisait en sorte
que j'étais éminemment Hors-de-Moi,
de me savoir vacant et croyez-moi,
dangereusement choqué, qu'affairé à chercher mon Identité propre, le
Coupable
m'invitait à me contenir après m'avoir vidé du sournois décorum judiciaire
de ses Médecins-Légistes comme autant de Sorciers de Noire-Goétie me dépossédant
de mon Âme, ce qui par le fait même établissait tant sa Turpitude
despotique
que mon indéniable Innocence à
l'égard de mon Excentricité proverbiale
comme de ma légendaire
Irascibilité d'invétéré Colérique, redevables l'une et l'autre
au Législateur-Tyran de
m'avoir arbitrairement mis Hors-de-Moi contre mon Gré,
(c'est comprendre sans mon
Consentement éclairé), faisant notoirement de moi
un pauvre Être dispersé parmi
les Siens en Zappés-Apatrides, connu sous le
sobriquet
pour le moins loufoque et
dérisoire de «Nihil-Onc Kazilà!», un Spectre fantomatique,
un Être disparu, mais non-rapporté comme tel, affecté au balayage
des Horizons néantisés, en
Aventurier en perdition catastrophique
de ma Mésaventure calamitesque, et ainsi pressé
par l'indispensable Récupération
de mon Essence Éthérique...
Tout-autour et nulle-part, en «Mis-Fit» du «Out-Fit»
en «Time-Out»
des Télé-Déportés «for Nobody's
no-where» des « Has Been » forbidden to be »
du britichiant Vide-Juridique,
empêché de me consolider fermement en
Être-Humain
de densité vitale à pouvoir
librement me remplir intégralement en Substance,
comme de vous parvenir
authentiquement. Mais, «néant-moins»,
de vous l'expliquer,
il est fort probable qu'il vous
soit plus facile d'«Or-et-N'Avant»,
de comprendre
que la Constatation choquante de
l'Expulsion de Moi-Même
par l'Expropriation étatique de ma Personnalité Juridique dispersée
tout-autour
de Moi-Même, justifiait soudainement à ma Conscience en Éveil alarmant,
de réagir
naturellement en Excentrique
contre cette Éviction annihilatrice
par mafieuse Manigance de
l'État-Forceps, en voyant sans tarder et
sans Délégation
à ma Légitime Investiture au
Monastère de l'En-Soi, afin de m'y recueillir pieusement
sans que je sois soupçonné d' «Entrée par Effraction» par aucun Intrus
dans «ma «Chacunerie»
spirituelle»...
Du pareil au même, ne reconnaître
aucune Nature à un Être, ni aucune raison
de craindre le Vide, surtout s'il s'agit d'un Vide-Juridique, après
s'être fait anesthésier
à se faire inculquer que «là où il y a
la Société il y a le Droit!»
-et que «la Société canadienne se doit d'être libre et
démocratique»,
mais dans un Fief inféodé pour
Ilotes animalisés. Il était donc tout à fait normal
que je me sois retrouvé très en
Colère contre l'État-Forceps de me
constater atomisé
tout autour de mon Corps de Bêta évidé, et par conséquent, totalement «Hors-de-Moi»
même contre Moi-Même, ce qui va
de Soi, avouez-le, charitablement, pour ne plus
que j'aille l'air débile du
Bèta qui s’affiche «Hors-de-Lui» sans même être en Colère.
Mais, par cette historique
Calamité-Étatisée, il y a entrave
sévère à m’en prendre
à l'État-Forceps qui m'entoure toujours physiquement, mais
sans être vraiment
en ma Présence, malgré qu’Elle soit ou parce qu’Elle
se révèle
divinement Omniprésente; et donc, m'ayant créé à son image, l’État-Forceps
n’est jamais là à ma Portée
d’être partout et nulle-part comme son Dieu-Yang.
Pour l'atteindre, c'est
qu'il me faudrait un Vatican bien bourré
de belliqueux Fanatiques pour voir à ma Croisade onusienne...
Aussi, vous comprendrez qu’ainsi
isolé d'éparpillement de par mon État particulier,
il fallait bien sans autre
remède, que je passe ma Colère sur Moi-Même,
comme d'une Auto-Fustigation par
cinglante Dérision personnalisée,
ne serait-ce que pour avoir mis
50 ans de Zombi-Annulé pour
m'expliquer
la Normalité de mon Excentricité
et la Légalité de ma Colère, d'avoir ainsi
été mis «Hors-de-Moi» sans mon Consentement
éclairé, plutôt que tacite,
de l'Étatisation de
l'Ignorantologie populaire. Furieux donc
contre Moi-Même,
et autant fort inquiet de ma trop flagrante Lenteur-Intellectuelle, m’apparaissant
trop contrastante à mon Invisibilité, (laquelle alors, je ne
pouvais ni me douter
ni m’expliquer qu’Elle soit
aussi notoire), ainsi tiraillé sans bon sens
dans une frustration de dépit
immense envers ma lamentable léthargie
mnémonique
de légume ambulant,
c'est avec tout mon cynisme et tout
mon sarcasme légendaires
que je me suis châtié moi-même
comme un grand garçon, tout en établissant
une certaine Présence de moi-même
de ma bastonnade lexicalisée, en établissant
ma Théorie des Équivalences de manière impitoyablement mémorable,
m’assurant ainsi de me rappeler à
jamais:
«qu'une Année manquée
revient à un An foiré»...
-De l'Interdit qui me prive de devenir mon meilleur Ami...
Danger: te tue deux fois, quiconque t'empêche de te
Connaître!
Conne naissance avortée, si
spoliée de Connaissance...
Sans s'en Défendre du Non-Être, à Qui est-ce? -ne
pas Naître!
S’ignorent tant d’Étoiles, à Elles-Mêmes inaccessibles...
Étourdissant Excentrique, je cherche «Nihil-Onc Kazilà!»
Me pénétrer pour me recueillir au Monastère de L’En-Soi:
Soupçonné d'«Entrée par Effraction» au Goulag de L’Hiver-Hiémal...
Souvent, j'ai l'aversion de
l'Inversion de mes Équivalences,
-genre l'Équi-Potence, qu'une Année manquée, revient à un An foiré...
Quel Putain de Crétin contre la Mutinerie de L'Horloge?...
-«l'Horloge du Gros-Ben, au Balancier tordu parti un
Jour-Noir,
du Tic antique du Tic fuyard
parti, sans Éthique ni Tact»...
L'Homme a perdu son
Temps, or donc: le Temps a perdu le Bonhomme...
du «Gnomon du Vésuve de
Pompéi»,
L'Esprit-Igné-Chansons»
la Langue survolée, Investi par la Parole d’Éole,
du Coeur noir d'Encarts, brûle l'Écart, tisonné «Nomade-Brandon»:
car, à tisonner l'Idole «L'Âtre» de L'En-Soi se rallume...
en Transe, se déverse en Lac qui se danse un Orage…
...de L'Outre-Outrée en tant qu'Humain-Clepsydre, pétrifié d'Effroi...
de l'Enlisement létal dans les Syrtes du Sablier de
Khronos...
du Guet-Apens s'en désembourbe L'Éristique-Hétérodoxe:
«L'Automédon du Char du Lys, Phée! -en Maintien du Temps devancé!»...
<=><=><=><=><=>
LE DRAME SOCIAL DES
SÉPARATIONS DE FAMILLES
Ce texte vous
propose entre autre, de passer en revue l'arrêt CANADA contre Mme
Sandra Lovelace rendu en 1989 par la Cour Internationale de Justice, (no.
24/1977), [1981-82] 2 H.C.D.H. 320, Doc. N.U. C.C.P.R./C/OP/1, p.83; [1983]
A.C.D.P. 306 (1989) 1 R.U.D.H. 89, 68 I.L.R. 17.
Nous mettons ici
en évidence que le Climat-Social s'est dangereusement contaminé par une
Jurisprudence raciste de la part du juge Loranger dans l'arrêt John Connolly
de 1869, et qui a dégénéré de 80% Humaniste sous victoria,
à 100% Ségrégationniste sous élisabeth II du «Amistad» de 1982, comme nous le démontre clairement l'arrêt Canada
contre Mme Sandra Lovelace de 1989 devant la Cour
Internationale de Justice, qui est incontestablement le plus Haut
Tribunal du Fief du Canada; mais dont on ne peut jouir qu'après
avoir fait face aux 13 Juges-Ségrégationnistes des 3 Instances
Judiciaires du Droit-Colonialiste Interne, et qui souffre
donc de façon invétérée en Débilité-Congénitale chronique chez
l'excrémentielle sous-espèce de Juges-Négriers anglo-franchouillards
caïnadiens, incomparablement merdeux parce qu’ils
naissent par défécation de leurs arriérées Troglodytes Génitrices, pour
s'adonner allègrement à «la Séparation des Familles» de Personnes en
Vie jusqu'en 1989, en dépit de la Prohibition onusienne, -mais qui,
un siècle plus tôt, a condamné «la Séparation des Morts» à
laquelle se prêtait les Ecclésiastiques catholiques romains, en enterrant
parfois les Morts du côté du Cimetière réservé aux Pendus
non-repentis, comme aux Bébés décédés sans Baptême et par
conséquent, errant dans les Limbes de ce fait, prétendait-on, comme nous
l'illustre la prochaine citation qui émane du Conseil Privé dans l'arrêt Guibord.
Quel choc que cette lecture, après avoir prouvé
l'Illégalité onusienne de l'AANB de 1867 au Juge-Croque-Mort Claude
Millette-Zundel, (et antérieurement, à Yves Fournier-Carnavon, sans
qu’il soit question de Fardeau de Preuve excessif et abusif avec
les Juges-Imperfectibles de l’Impeccable « Être-Parfait » du
Parlement-Colonial d’Ottawa d' »U-Town by the river » de la Loi
des Marchands), me confrontant à la Réalité bouleversante que par
ces Prédécesseurs despotiquement désaxés, cette vieille Putain de
Reine-Papesse victoria, morte en 1901, était plus vivante que moi avec
mon Pseudo-Droit à la Vie de la Charte-Bidon caïnadienne des
Droits-Fictifs et des Libertés-Vituelles, qui me paraît bien limité
à l'État-Végétatif du coma irréversible appelant au
Débranchement de la pauvre Bête, puisque qu'on n'avait même
pas besoin de déroger nommément à mon Droit de faire semblant de
Vivre. C'est là le mauvais Sort réservé aux
« Misfit » du « Outfit » en « Time-Out » pour les
« has Been before » forbidden to be hereafter », qui sont les
Télé-Déportés du Hors-Soi du Moi bien en-de-ça du ça, les Zappés-Apatrides
réduits et pulvérisés comme Moi autour de mes pas, Hors-de-Moi, mais interdit
de Colère, d'être parmi les Exclus du Happy-End for a Happy-Few
full of shit, au royaume frenchglishoiseux des N’Importés du qu’importe...
Bien sûr, on ne
peut contester la Sagesse Juridique de cet extrait de vouloir sauvegarder la
Mémoire des Défunts de toute Profanation, -sauf qu'elle
contraste paradoxalement au Racisme légiféré et judiciarisé de «Séparer les
Familles des Vivants parce qu'ils sont Autochtones», en les forçant
d'en faire son Deuil sans aucun Respect envers la Mémoire de leurs
Disparus(es)». Cherchez l'erreur! -de votre absurde Illogisme-Judiciaire de
Juges-Négriers à qui nous pouvons toujours reprocher votre
Complicité à «des Actes de Génocide» en l'occurrence, ceux
«des Séparations des Familles», tout comme vous est reproché
votre Omerta-Judiciaire sur «vos Actes Inhumains» (qui prouvent votre
Animalité en la promouvant sciemment, en la maintenant fermement et
en la valorisant débilement, conformément à votre
Bestiaire-Constitutionnel), qui fait en sorte que c'est à cause de
vous que les Politicards-Colonialistes qui vous ont mis en Poste à Vie,
se donnent de taxer les Gens de «Séparatistes», quand
ce sont eux qui ont écrit la Loi sur les Indiens
permettant «la judiciarisation des Séparations des Familles»; tout
comme c'est à cause de votre Loi du Silence si Mafieuse de Déni de
Justice, que tant de ces Familles sont contraintes à des
Recherches fastidieuses de leurs Racines-Généalogiques et ainsi, sont-Elles
insidieusement empêchées d'aboutir à des Retrouvailles qui
leur sont vitales.
La
Dévastation de la Crise Identitaire venait de l'Éradication-Généalogique de
votre Magistrature-Ségrégationniste, à cause de qui les Québécois se font traiter ouvertement «de
Sectaristes» par le Roi-Républicain, Judas-Louis XV de Sarkozy. Ceci dit,
revoyons ce que nous ont déclaré les Juges-Lords of the anglican's God du
Conseil Privé concernant «la Séparation des Morts dans nos Cimetières de
Chrétiens sans Charité chrétienne»:
«It cannot not be doubt on the evidence that this
qualification of the general right of interment, this separation of the
ordinary place of sepulture implies degradation not to say infamy.» (Lord Selborne, In Re Guibord, en résumé de
Dame Henriette Brown contre Les Curé et Marguilliers de la
Fabrique de la Paroisse de Montréal, Revue Légale, (1873-1875), vol. VI,
157-220, page 209)
Vous
voyez jusqu'où ces Juges Pro-Colonialistes s'offusquent bien
lorsque «l'Axe du Mal» est ailleurs tout au loin au Vatican
des Catholiques sans Charité Chrétienne, (mais quand même, «dans
les Territoires britanniques au-delà des mers», selon l'expression
des Lettres Patentes de 1947 de george VI le Bégayeux, «défenseur de
sa foi par la grâce divine»), lesquels juges s'offusquent
d'autant plus aisément lorsque c'est l'Église Catholique Romaine qui
persécute ses Fidèles au-delà de la Mort. Des Juges-Lords qui
s'indignent, mais qui, soudainement acquiesceraient à cette
Persécution-Historique au nom de leur Église anglicane qui a fait
disparaître «vos Libertés Gallicanes», qui consistaient à pouvoir se
plaindre au Roi Catholique de France des Abus des Ecclésiastiques devant
un Tribunal mixte, spécialement institué à cet effet. Des Libertés
Gallicanes abolies, justement parce qu'Elles auraient permis
de se plaindre de la Religion d'État que nous a dissimulé
le Chief Justice Dickson de la Quéquette du Fils dans l'arrêt Big
M Drug Mart précité. À l'évidence, en regard de ces
Morts dont on a voulu préserver la Dignité en leur
évitant l'Infamie, ils n'étaient motivé qu'en ajustant
pernicieusement la maxime latine pour décrire leur Intention réelle,
que parce qu'une fois Morts ils ne sont plus parmi «les Soumis rentables
qu'il leur fallait épargner pour s'enrichir et qui sont
maintenant enterrés avec «leurs Superbes» qu'il
leur a fallu dompter», mais que dorénavant ils protégeront, car
les Morts sont inoffensifs, contrairement aux Vivants, qui «Eux»
sont potentiellement dangereux puisqu'ils sont du Nombre des Descendants éminemment
indésirables des Nations Pré-Capitulatives».
Notez combien
mes fiévreux dérapages lexicaux témoignent des conséquences
dévastatrices découlant de ce penchant ségrégationniste à faire croire à
tout et à rien de prouvable logiquement, et qui affecte d’impotence
chronique autant les Chrétiens sans Charité chrétienne
que les Athées sans Principe Existentiel, l’un-l’autre autant
Païens de Paix-Sociale sans Démocratie onusienne…hi t’é mis
ça est-ce allez en Paix?
***Et il y a que la Réalité se faisait éloquente, qu'aucune de
ces Bêtes basses-caïnadiennes ne regimbaient (sauf l'Efferé
Mi'kmak-Trickster, ce Carcajou à l’Esprit maléfique, et bientôt une Légion de
ses Frakasseurs de la Phalange d'Orche -qui ont la Bougeotte, contrairement aux
pauvres Bêtes du Troupeau bas-canadien si bien domptées devant le Monde
Entier), de ne pas rechigner jamais jamais (ceci dit nonobstant l’avis
contraire de Me John-James la Charogne-Nazie Charest, qui en
1995 nous le vendait en tant que Document prestigieux), d’être
ridiculement obligés de voyager piteusement avec «le
Passeport de la Honte nationale» sur lequel elles sont désignées
dans l'objectif de les dénigrer héréditairement par cet outrageant Jugement
par Contumace anachronique de médiévalisme que résument les
Armoiries caïnadiennes qui y sont arborées de façon arrogante.
Ceci dit, malgré
le fait évident que l'Ignorance-Populaire soit systématiquement
cultivée et incontestablement redevable au Parlement-Colonial
d'Ottawa avec la crapuleuse Complicité insidieuse de ses
Juges-Ségrégationnistes, il restait que ce vil Comportement
bas-canadien de Losers-Subjugués, attestait l'État-Végétatif de
ces Cervelles de Bétail ne s'apercevant pas de la Froide-Logique
judiciaire qui l'interprète comme leur
Consentement-Tacite au britichiant Colonialisme britannique.
Un prétendu
Consentement-Tacite attribué par interprétation
judiciaire ultra-restrictive et hyper-arbitraire suite au Comportement débile de
tous ces voyageurs en Promotion de leur Auto-Séquestration de «WOP
Without Official Paper», avec leur loufoque Passeport de la Honte, parce
que ce Comportement d'Assujettis leur est prêté à Tous
selon le Nivellement de la Pensée-Annulée par leur Conformisme-Épiscopalien, comme
si nous étions Tous tout à coup des Enfants du Paradis en État de Béatitude,
sans plus de Présomption d'Animalité tout à coup, mais toujours
pour la Frime de paraître un Citoyen d'un État-Démocratique.
Comme nous le fait comprendre avec justesse Franz Fanon dans «les
Damnés de la Terre», la Souveraineté des Nations Conquises par les
Colonialistes et la Dignité-Humaine de ces Personnes qui leur est déniée
ultérieurement, sont véritablement inextricables comme deux
«Soeurs-Inséparables». Aucune différence entre le regard des Français
sous l'occupation allemande, et le regard désâmé de Géronimo; ne
sommes-nous Humains authentiquement que sous l'oppression?
Le Féminisme
était potentiellement Laïc lui, mais ses
Fûmelles brainwashées s'avéraient des Athées d'Humanisme
comme autant de Païennes de Démocratie onusienne; comme
si elles ignoraient le Principe Émancipateur à l'effet
que L'Égalité des Sexes ne sera Tangible qu'avec des
Créatures-Créatrices, résolument représentantes des 4 Races de
L'Humanité, que j'entrevois Victorieuses avec La Main-Gagnante de
La Suite-Impériale des 4 Dames de L'Humanité. (Les rois détrônés à
demeure, et sans plus d’As dans la manche)…
L'Égalité des
Sexes, que pouvait bien en dire un
foutu Mâle-Dominant né à L'Ère Macho-Machin-Chouette? -mais
quand même, un Poète qui s'avère un fervent admirateur de Christine de
Pisan, une vénérable Poétesse qui a vécu de 1363 à 1430, et qui vantait les
Hauts Faits d'Armes de Jeanne D'Arc, la Pucelle d'Orléans; Christine de
Pisan, qui se présente historiquement et honorablement en Précurseure de
toutes les Féministes, d'avoir courageusement répondu à Jean de
Meung, l'auteur du «Roman de la Rose», qui portait en ces
pages une lourde charge de Misogynie. C'est en son Honneur et
à sa Mémoire que j'ai écrit les OpuStrophes suivantes, pour avoir su sortir
bravement d'une Mer d'Hommes comme une splendide Exocet en
robe de paillettes, et cela, à l'époque où sévissait
l’Inquisition alors que l'Église ne reconnaissait pas
à la Femme de posséder une Âme. Et cette Vénération méritée faisait
en sorte que je la prend en exemple, d'avoir moi-même à sortir d'une
Mer-Humaine anachroniquement noyée cruellement dans une
Égalité des Sexes de l'Unisexisme Phallocratique nauséabond de
l'atavique héritage Biblique, faisant qu'une partie de la Population
soit cruellement Animalisée par une infamante Réquisition
Militaire du Passé qui sape le Présent, ce qui faisait
qu'encore aujourd'hui, il ne lui est pas humainement et démocratiquement
reconnu la Dignité-Humaine, de cet inexplicable entretien d’un
Déni ravageur qui revient au même que de posséder votre
Âme, pendant que L'Honneur de la Condition Féminine est mis au
rancart, parce que les Primitives-Féministes caïnadiennes préfèrent
se prélasser dans la suffisance de la médiocrité de leur pitoyable Égalité
d'Uni-Sexisme-Phallocratique patriarcal curateur de Matrice Matriarcale, en
signe cosmo-tellurique de Décadence et non d'Évolution, vers une
Égalité des Sexes glorieusement divine, d'adorer enfin une
Déité-Androgyne...en poétique «Salut
de la Comète aux Îles de la Nuit»
:
[...]
Afin de célébrer
«son Humanité-Yinississime»,
c'est une
Pomme-Enchanteresse que j'offre ici à Ève, sans le ver
pour la Bouc
Émissaire; en lui faisant
miroiter sa Divine-Dimension, qu'Elle
rabaisse
en «Féminitude»
du vulgaire Contentement insignifiant dans la Médiocrité, à ne viser
que l'égalité des salaires avec les Maîtres de
la Dépravation Théo-Phallocratique,
en les singeant à «la Tatcher, «la Gouine
des Malouines», la Baronne-Rouge
en Catimini du Plagiat simiesque de tout ce qui affiche détestablement la laideur
et la bassesse de l' Hommerie-Incorporée:
quand «L'Égalité
des Sexes», est conditionnelle
à «L'Égalité
authentique» de la Dignité des Femmes entre Elles,
de reposer sur
« leur Solidarité sans Faille
» :
Incorruptible! -et Intransigeante!
-«en Suite-Impériale des Quatre-Dames
de L'Humanité!»
«Poste-Script'Homme»
explicatif de mes précisions trickstèréennes:
pour m'éviter ultérieurement toute sotte et frivole
accusation de Plagiat,
m'apparaissant incompatible au
Savoir-Poétique, et qui serait
évidemment susceptible d'entacher ma
Crédibilité-Épiphanesque
de Lézard des Arts et Grand-Vizir des
Désirs pire en Fakir,
de cette Crédibilité-Gnostique étant si
indispensable à ma Loge-Hic,
comme au Succès de ma céleste Mission
jouvencielle
de l'Ado-Ration quotidienne du Soi adulé
des Tiens
s'aimant d'autant mieux en Nous-Nous
chouchoutés,
vaut mieux que d'Eux tu l'auras
pas,
ce que je devine
de ma Faculté au détail près, quasiment
Infaillible
de la vastitude de mon Savoir Tribal de
Mana ensorceleur:
d'être l'Hypophète de «La Déesse-Mère des Langues»
tenant à Coeur d'annoncer la Renaissance par «La Côte D'Ève»:
car je sais fort bien, en
dépit d'être né à «l'Ère Macho-Machin-Chouette»,
en concluant mon Raisonnement par Déduction intuitive de
nature Philo-Poétique,
l'Absurde se prouvant par l' Absurde exprimé logico-tautologiquement,
en vous spécifiant que lorsque le premier Coq honora le premier Jour éclairé,
il aurait fallu, à ce fier Crêté, se lever fichtrement
de bonne-heure:
pour qu'il se produise en plus qu' il
se ponde et se couve avant
d'éclore...
en se chantant « Cocorico! »
[…]
Cependant,
les Descendants de Pendus se confessant de tout faire pour se faire pendre,
s'entendent dire : «Repends-toi
mon fils! -honni soit qui mal y pense!» -ne regarde pas mes péchés mais la
foi de mon église de Reine-Papesse impeccable et infaillible...et blablabla :
Basta!
L'État-Membre
ne peut, sans Abstention Expresse manifestée
ouvertement à l'ONU, se dérober ultérieurement à son
Consentement-Onusien en Droit-Colonialiste Interne, pour
ensuite gouverner en sens contraire de façon à
priver despotiquement ses Citoyens des Protections du Droit
International Public. Rappelons que toute la merdique Jurisprudence
de leur pestilentielle Common Law se retrouve dans la Voûte-Sacrée du
Colonialisme dans le terme «Patrimoine», jumelée
avec le Titre de Sujétion-Coloniale de la Proclamation Royale de
1921, elle-même sur la Charte-Martiale d'y arborer ses Armoiries de Colonies, qui
a permis à élisabeth deux du «Amistad» de 1982, d'invoquer sa
Prétention d'Intitulation «de Pareatis» de Souveraine du
Territoire dûment arpenté en Terres de la Couronne. Et il faut
savoir et se rappeler que parmi ces Protections onusiennes, les Juristes
de l'Opinion majoritaire du Droit International Public ont assuré
«la Protection de «la Famille en tant qu'«Élément naturel et fondamental
de la Société», et de même, de manière complémentaire, «le Droit de
vivre dans son Milieu, dans sa Culture», tel que stipulé aux articles 23 et
27 du Pacte International relatif aux Droits Civils et Politiques.
Parce que dites-vous bien que ce
n'est certainement pas avec la règle d'interprétation «Posteriora prioribus
derogant, les Lois-Postérieures dérogent aux Lois-Antérieures», que
le Judiciaire-Dictatorial caïnadien interprète l'article 103 de
la Charte des Nations Unies, mais plutôt avec la minable règle
d'interprétation des Rétrogrades-Misonéistes qui est «generalia
specialibus non derogant, les dispositions générales ne dérogent pas aux
dispositions spéciales», de provenir du Patrimoine monarchique
des Monarques décédés physiquement, mais toujours vivant
législativement. Pas «des dispositions spéciales» comme
les Proclamations de Privilèges et de Prérogatives royales
monarchiques provenant d'autant de Lois-Unilatérales qui
n’ont jamais subi le processus parlementaire démocratique des 3 Lectures, pour
que le Passé vétuste se fasse reconduire avec «ses
Lois-Antérieures» qui prédominent de façon
injustifiable sur le Présent et sape L'Avenir ainsi
éclipsés avec tous les Bienfaits des Lois-Postérieures déplorablement
mises en veilleuses. Albert Mayrand, dans son «Dictionnaire de
maximes et de locutions latines utilisées en Droit», nous
apporte ici cette précision fort importante concernant l'anachronique
Principe d’interprétation de la maxime «generalia specialibus non
derogant», les dispositions générales ne dérogent pas aux dispositions
spéciales»:
«Cette maxime est citée
surtout en droit anglais comme règle d'interprétation des lois. Une loi
générale n'est pas censée abroger des lois particulières antérieures».
(MAYRAND, Albert, Dictionnaire de maximes et locutions latines utilisés
en droit, 1985, Les Éditions Yvon Blais Inc., 312 p., p. 97)
En résumé
concernant cette maxime latine, elle consacre «la Gloire-Polémologique du
Passé du Droit à la Guerre d'un Monarque favorisant son Peuple-Élu» et
qui dès lors, est reconnue prééminente à la
Gloire-Universelle de la Loi-Onusienne, en Négation absolument catégorique
de L'Évolution de L'Humanité et de la reconnaissance dans la Réciprocité de la
Dignité-Humaine à ses Nations Vaincues. À l'évidence, le
CAÏNADA signe les Engagements-Internationaux complètement
ivre, pour revenir avec les mains pleines de nos Droits et
Libertés du Droit International Public, et par la suite, sa
Magistrature-Ségrégationniste y contrevient allègrement en les
faisant fondre pour nous en priver avec «sa borgiaque
Cuisine-Législative» de «Judge-Made-Law» de Juges Hors-la-Loi de
l'ONU, par l'entremise du sceau royal des «trois Bâtards de Léopards of
the Lord of the Ring» des Hérauts d’ »Armes du Royal College of
Arms ».
Toutes les
formes de Discrimination Raciale se
fondent sur «la Bipolarité-Haineuse», trop souvent dans l'arrogance
suffisante d'une prétendue Supériorité de la Race Blancharde. Pourtant, ce
ne sont pas les mises en garde qui manquent concernant les conséquences
néfastes des prétentions racistes des Partisans de la Suprématie de la Race
Blanche qui se javellise aux dépens des Autres, tout en s'abâtardissant de son
enmeltingpotage encensé.
De Charles
Rousseau, un de mes préférés parmi les
auteurs de doctrine du Droit International Public, j’ai bien noté
ce qu'il exprime ici, concernant l'Opinion majoritaire émanant des juristes de
l'Organisme onusien qui se dresse indubitablement en tant que Législatrice-Universelle,
par conséquent, qui est à considérer comme « L’Être-Plus-Que-Parfaite »,
supérieure en Sagesse à « l'Être-Parfait » du Parlement-Colonial
d'Ottawa du juge Spence de l'arrêt Scheer de 19774 de la Cour-Martiale
Suprême, lorsqu'il nous partage que:
«L'expression
la plus récente du droit positif sur ce point se trouve dans la Convention
internationale du 21 décembre 1965, sur l'élimination de toutes formes de
discrimination raciale, dont le préambule rappelle que «toute doctrine de
supériorité fondée sur la différenciation entre les races est scientifiquement
fausse, moralement condamnable et socialement injuste et dangereuse.»
(ROUSSEAU, Charles, Droit International Public, vol. II, (extraits)
1974, Éd. Sirey, pp. 18-35, p. 25)
Le Racisme résultait d'un
Vide-Juridique institué militairement et judiciairement,
pour assurer ultérieurement de pérennité le Chaos-Asocial qui
s'entretenait dès sa mise en marche en Mouvement-Perpétuel au Bordel des
Souteneurs de leur abjecte Législation-Judiciarisée. Le Vide-Juridique
est donc redevable à «la crapuleuse «Judge-Made-Law» de Juges-qui-font-la-Loi»,
mais, en Hors-la-loi, se permettant de contourner sournoisement et
insidieusement DEPUIS PLUS DE 60 ANS le Droit International Public
auquel s'est prétendument lié «le Fief du Canada», et cela supporte
solidement ma Thèse de Militant-Anticolonialiste à l'effet que «la
Séparation des Pouvoirs» n'est qu'une vulgaire Passoire», car
la Cour-Martiale Suprême outrepasse toujours sa Compétence-Judiciaire lors
«de tous ses Avis-Intéressés et de tous ses Renvois d'Ascenseur
qui lui sont adressés» par un Exécutif abdicataire de son Pouvoir-Exécutif autant
que du Pouvoir--Législatif, auquel il renonce pour laisser manœuvrer à
Loisir son excrémentiel Judiciaire-Dictatorial avec sa Common Law à la ça va
comme ça venait, comme-ça vient et comme ça viendra…ce qui fait que tout
vénérable Irlandais et ses crédibles Supporteurs se disent: «qui a bu
boira!» DONC: «qui y est allé IRA!»
<=><=><=><=><=>
Au reel du
set-carré de la Tribu des Goddamites de l’Extrême-Droite,
le Câlleur oubli toujours
de câller: qu’«on s’est trompé, changez de côté
et même de Compagnie!»
Le DIP,
le DROIT INTERNATIONAL PUBLIC moderne
des Humains
authentiques, versus
le Droit
International Coutumier des Troglodytes Colonialistes,
en
pratique de Sciences Juridiques, totalement exclues des Sciences
Humaines :
Objection de Conscience
envers la persistance de «l'Usage et la
Coutume» du Droit International Coutumier,
afin que
moi-même et tous les Autochtones puissions jouir sans entrave étatique
des Droits et
Libertés du Droit International Public en tant que Créanciers
Privilégiés,
et par
conséquent, en tant que Bénéficiaires Légitimes de l'interprétation
Évolutionniste
de l'article
103 de la CHARTE DES NATIONS UNIES
Article 103
de la Charte des Nations Unies:
-«En cas de conflit
entre les obligations des Membres des Nations Unies en vertu de la
présente Charte et leurs obligations en vertu de tout autre accord
international, les premières prévaudront.»
«La Sagesse
Supérieure de la Loi Postérieure», ELLE ne nous est pas accessible, absolument
pas selon mon intime Conviction profonde, que je partage ouvertement en
incitant à la Désobéissance Civile jusqu’à ce que l’on ait remédié à notre
Situation de Subjugation par une Réforme démocratique onusienne, parce que le
Judiciaire-Dictatorial caïnadien traficote sournoisement, en traîtresse
Conspiration unanime, pour que cette garantie «Supra-Étatique» de l'article
103 de la Charte des Nations Unies nous soit déniée
héréditairement de façon catégorique par le Droit des Capitulations
qui ne reconnaît absolument pas aux Vaincus le Droit à la Vérité, le
Droit à la Mémoire ainsi que la reconnaissance innée de la Dignité-Humaine dans
le Respect de la Réciprocité, comme en témoigne de façon éloquente l’absence
déshumanisante de ces Principes de Justice Fondamentale de la Charte-Théocratique,
Martiale et Animalière caïnadienne du merdique Fif-Ségrégationniste,
l’exécrablissime Pierre Hell-he-hot le très Corruptible Trudeau, le Patriarche
du Bill-Omnibus de sa Bible anti-kashère de son Dieu-Yang à Trois Pénis en
sortie de garde-robe post-vaticane.
***Analyse
juridique d’un Résistant Anticolonialiste du Litige concernant la
Folie persistante de la Loi-Antérieure «du Droit International
Coutumier» de la défunte Société des Nations remplacée insidieusement par
l'OTAN, versus le principe reconnaissant la Sagesse Juridique Supérieure de
la Loi-Postérieure du Droit International Public de l'Assemblée Générale
des Nations Unies.
Comme il vous
a été signifié, ce chapitre vous propose un parcours de l'Institution de la
Folie-Guerrière qui a occasionné les deux Guerres Mondiales aussi
Coloniales que celle de 1812, de 1914-1918 et de 1939-1945, et par le fait
même ayant provoqué le Décès de la Société des Nations, d'un Danger
imminent qui perdure d'un Troisième Conflit Mondial qui ne manquerait
pas de menacer nos Fils et notre Nation naissante, et de tuer par le
fait même l'Organisation des Nations Unies, puisque déjà des Juristes
anglo-saxons s'appliquent à saborder l'ensemble des Règles Impératives et
Supra-Étatiques du Droit International Public, parce que les Adeptes
de Polémologie de «l'ancien Droit International Coutumier» le gardent
aussi vivace que le britichiant Bulbe de la Rose-Rouge. Et cette
Supercherie monarchique anti-démocratique a cours, pendant que le Juge
en chef Dickson dans l'arrêt Oakes, page 136, nous garanti
mensongèrement que «la Société canadienne se doit d'être
libre et démocratique», c'est iniquement son
Judiciaire-Dictatorial qui nous persécute insidieusement. Comme vous
pourrez le constater au fil des citations suivantes, ma Pensée concorde à la
lettre à ce qui ressort des Critiques des auteurs de doctrine juridique de
l'Organisme onusien.
Sur la
Piste empestée de l'Activisme-Judiciaire
Si le Droit
International Public est encore infesté des Traditions Juridiques
anglo-saxonnes, comme le déplorent les
auteurs de doctrine juridique du Droit International Public, il
faut bien admettre que de tels Juges-Jongleurs existent pour
en faire autant dans leur Droit-Colonialiste Interne, où ils
nagent comme des poissons dans l'eau-de-rose en nous y noyant
de Droits-Fictifs et de Libertés-Virtuelles. Sans détour, voici d'après Charles
Rousseau, quels sont les 2 principaux Obstacles majeurs à l'essor du Droit
International Public:
-« […] influence du
positivisme juridique sur plusieurs membres de la Cour Permanente de Justice
Internationale;
-persistance des
traditions judiciaires anglo-saxonnes au sein de la Cour. » (ROUSSEAU, Charles, Droit International
Public, vol. I, «Les Sources», Éd. Sirey, pp. 297-298)
Le Boulet
au pied de L'Humanité qui freine dramatiquement son Évolution, comme nous
allons l'approfondir jusqu'à l'apercevoir, c'est le Joug de la
Subjugation sur la Nuque des Colonisés par «la persistance des
traditions anglo-saxonnes au sein de la Cour», et il
faudrait croire que dans le Droit-Colonialiste Interne, le
Judiciaire-Dictatorial caïnadien ne se lâche pas lousse dans sa
sempiternelle Turpitude népotique sans aucune retenue, sauf celle
d’enfreindre sournoisement le nouveau Droit International Public,
dont il est chroniquement allergique autant qu’anachroniquement
inadapté par le fait même, puisqu'il continue d'observer
religieusement «leurs Traditions juridiques anglo-saxonnes»
d’arriérés Primitifs de l’ancien Droit International Coutumier. Et toute
cette bull-shit starbuckienne, alors que le Renvoi-Martial de
1981 cite lui-même la Retenue-Politique du PM Makenzie
King pour ne pas modifier la Constitution que la Cour-Martiale
Suprême «modifie» elle-même en accordant d’elle-même -un
certain degré de primauté au Parlement Colonial d’Ottawa déclaré
faussement Fédéral à deux reprises, donc en déclarant «faussement
«Légal» leur merdique Constitution unilatérale victorienne en
tant que «Pacte Fédératif», et par surcroît en
l'inter-changeant pour «la Constitution-Martiale de la Proclamation
Royale de 1921», ce qui revient à entériner un vulgaire Titre
de Sujétion Coloniale. Citons Makenzie King, un autre PM-Pantin
des géophages et démévores windsor:
« Nous avons évité tout ce
qui aurait pu passer pour une pression sur les provinces et nous avons évité,
en outre, une question d’ordre constitutionnel très grave, celle de savoir si en
modifiant l’Acte de l’Amérique du Nord, il était nécessaire d’obtenir
l’assentiment de toutes les provinces, ou si le consentement d’un certain
nombre d’entre elles aurait pu suffire. » (Makenzie King, extrait des Débats
de la Chambre des Communes de 1940, cité par la Cour-Martiale Suprême
dans Renvoi : résolution pour «MODIFIER» (JUDICIAIREMENT) la constitution
(VICIÉE), [1981], 1 R.C.S. 753, 901)
C’était là des
propos qui reflétait la Mentalité Colonialiste de 1940, alors que
la Retenue Politique et la Retenue Judiciaire s’appliquaient avec plus de
transparence avec un Pouvoir Exécutif qui ne s’abdiquait pas
ouvertement au Pouvoir Judiciaire par la pratique insidieuse des
Avis-Intéressés et des Renvois d’Ascenseur adressés à une Cour-Martiale Suprême
qui, de sa pratique ultra-partisane transmute tous les Tribunaux inférieurs
en autant de Cours-Martiales politisant nos Droits et Libertés de leurs Chartes-Bidons.
Parce que même si l'article 103 de la Charte des Nations Unies est
catégoriquement impératif en tant que règle Supra-Étatique, y
contrevenir sournoisement et fallacieusement ne répugne pas à ce
Judiciaire-Dictatorial de ses 60 ans d'Expertise à contrevenir
au Droit International Public, soit l'équivalent du règne
d'élisabeth II du «Amistad» de 1982, et autant l'équivalent d'une
douzaine de Mandats électoraux sous les Conservateurs et les
Libéraux alternativement, avec leur même
Judiciaire-Dictatorial en poursuite effrénée de ses Contraventions de plus
de 60 ans au Droit International Public. 60 ans, l'équivalent de mon âge
à me faire entuber du dogme disant que «the queen can do no
wrong», et, d'être envoyés-tous par le même Dieu-Yang cruel et
jaloux de sa divine Mysogynie, comme se dit à la fin de chaque messe
«Seigneur, ne regardez pas nos péchés mais la foi de votre Église», aussi
fervente que friande de vierges anus. Pourtant, cette Règle
Impérative intime aux États-Signataires de faire prévaloir l'évidente
«Sagesse-Juridique» qui ressort de «la Loi-Postérieure» que
représente la Charte des Nations Unies avec les autres Règles
Impératives et Supra-Étatiques du Droit International Public, de
préférence à «l'ancien Droit International Coutumier», forcément
«antérieur», primitif et révolu, qui tolérait la promotion de la Colonisation
et le maintien de la Ségrégation raciale et sociale qui l'accompagne
toujours en parallèle.
Ainsi donc, sans
«Véritable Consentement au Pseudo-Pacte Fédératif», dûment
vérifiable dans «une Constitution ratifiée», en l'occurrence l'AANB
de 1867, «ce Vice de Consentement bas-cadien» serait reconnu comme lui
étant fatal aux yeux de la Cour Internationale de Justice qui le
déclarerait incontestablement «Illégal» par la règle d'interprétation «Contra
Proferentem, contre celui, celle qui a rédigé seul(e) la loi», faisant
que le Renvoi-Marial de 1981 se montre totalement
contraire au chapitre 5 de la Convention de Vienne sur le Droit des
Traités; et autant en Contravention avec l'article 103 de la Charte
des Nations Unies en reconduisant le Colonialisme dans «le Droit
Interne», avec sa seule et unique Constitution-Martiale de la Proclamation
Royale de 1921 en tant que Titre de Possession Coloniale
élisabéthain, et par conséquent «une Constitution complètement
Illégale». À l'évidence, ils n'étaient définitivement pas Réglo
les Juges-Négriers du Renvoi-Esclavagiste de 1981 de
la Cour-Martiale Suprême, et l'épidémie de Mauvaise Foi a envahi
le reste des Cours-Martiales qui lui sont inférieures dans la hiérarchie
judiciaire. Et cette minable «Constitution» était
pour tout l'Empire britannique, rien d'autre que «ses
Armoiries-Mères», qui reposent de façon absolument irréfutable «en
Fait et en Droit Héraldique», sur «la
Tradition-Martiale» des Fanatiques-Adeptes des Principes-Polémologiques des
articles 34 et 35 de l'Acte Général de Berlin
de 1885 dont se disputaient le Monopole mondial george V, avec son
Allié et cousin Nicolas II le Tsar de Russie contre leur Ennemi
commun, leur autre cousin, Guillaume II, lors de la Guerre aryenne de 1914-1918
des Trois Cousins-Germains, du Monopoly-Mondial par la Guerre avec ces Trois
exécrables Fascistes «bismarkiens», étant indiscutablement des
Allemands, comme en témoigne leur Arbre Généalogique de géophage et
démovore Ostro-Wisigoths. Et que dire, après un tel constat
catastrophique qui sied sur mesure à tous ces Nazis-Caïnadiens en Toge
incontestablement fasciste pour leur exécrable Führer Adolf Harper?
sinon: «Heil Hitler!»
<=><=><=><=><=>
***Que
la Folie belliqueuse de la Toge-Polémologiste caïnadienne cède devant
la Sagesse Juridique
Onusienne!
-Interprétation
légale onusienne de l'article 103 de la Charte des Nations Unies
En Litige: le principe d’interprétation désuet privilégié par la
Magistrature misonéiste caïnadienne:
«Generalia specialibus
non derogant, versus lex posterior
derogat priori»,
(trop moderne pour ces
arriérés Troglodytes du Droit International Coutumier)
En tant que piteux
Subjugués du Troisième Millénaire, c’est là notre épine au pied, en
comprenant que le rétrograde principe de «la Souveraineté de l’État»
est judiciairement consacré quotidiennement par l’incontournable utilisation de
l’antique principe d'interprétation de la maxime latine «Generalia
specialibus non derogant, les dispositions générales ne dérogent pas aux
dispositions spéciales»; pour que s’explique salutairement que cette
pratique partisane représente encore aujourd’hui l’humiliante
reconduction de la Subjugation initiale britannique qui prévalait depuis
1760 par le Droit des Capitulations reconduit par des merdeux Capitulards-Entogés,
tout simplement à force de s’adonner allègrement à la
promotion asocialement insensée de l'absurde archaïsme juridique de l'ancien
Droit International Coutmier, qui nous déphase complètement de
notre Spatio-Temporalité en nous empêchant de nous Épanouir
de façon injustifiable.
Et cela se
produit insidieusement, en nous projetant dans le sordide
médiévalisme de l’infecte et avilissante inféodation des
Troglodytes-Colonialistes, qui pour notre perte, mettent en poste à vie leurs
Toges-Fascistes après les avoir scrupuleusement triées sur le volet pour
maintenir efficacement leur Conspiration à suivre de façon partisane la Ligne
de Parti, parce qu’ils ne veulent absolument pas se départir sagement
de leurs régaliennes Lois unilatérales, en dépit qu’elles n’aient
jamais évolué selon le principe parlementaire moderne des 3 Lectures; ce qui
nous explique que cette esquive consistant à promouvoir les Législations
obsolètes de Monarques décédés leur est vitale, pour perpétuer leur infamante
Supériorité inséparable de leur inclination à promouvoir la
Bipolarité-Haineuse, ainsi que la raison plus que douteuse pour laquelle
ces Lois déshumanisantes sont évidemment toujours en vigueur n'ayant
jamais été «désavouées» par le Parlement-Colonial d'Ottawa, ni
même non plus que «déclarées inconstitutionnelles» dans la
Jurisprudence partisane de ses Juges-Ségrégationnistes qui remplacent
despotiquement autant l'Exécutif que l'Opposition exécutrice, en
le déclarant pour être à jamais «l'Être-Parfait», absolument
imperfectible: «so don't you fucking touch this greatest Mother-Fucker of all
time!»
Parce qu’en
définitive, il faut voir clair et s’avouer franchement que tous ces
Juges-Fourbes, Procureurs-Vendus et Avocats-Achetés à grands-frais
perdants-losers de leur Capitulardise qui sciemment s'y prêtent bêtement à ce
merdique Simulacre de Démocratie de Toc, le font tout en s'y vendant à la
baisse avec leur Portée qu’ils animalisent, du négoce de vendre à rabais
l’ensemble de la Population trahie, d'être vendue à son insu à leur
commerce d’Esclaves-Subjugués en héritage héréditaire d’Ilotes invertébrés, parce
que ces Juges-Négriers reconnaissent délibérément et d'autant plus débilement,
que «les Lois Générales» du Droit International Coutumier
d'autrefois» n’ont jamais dérogé et ne dérogeront jamais «aux Lois Spéciales»
émanant de la Volonté régalienne des Rois-Morts; ce qui fait en
conclusion, qu’ils vivent à notre place qui ne vivotons que
par Procuration Royale de 1921 de george V le Boche,
parce que leurs pestillentielles Lois-Iniques prévalent toujours
sottement sur le Droit International Public, en
considérant inapplicables ses règles en tant que «Lois
générales» de moindre envergure.
Il suffit donc,
pour le Parlement-Colonial caïnadien, de ne jamais désavouer leurs Lois
archaïques unilatérales d'arriérés monarques rétrogrades, pour que le
Passé prime sur notre Modernité utopique, en nous frappant avec
l'argument du bâton du «Malheur et Honte aux Vaincus», reconduit par la
Sentence-Fatwa d'«honnir qui mal y pense!» -contredire mes Évêques ensoutanés
de Robes-Rouges à la Cour-Martiale Suprême liant les Cours-Martiales
inférieures avec le «Stare Decisis» leur commandant de suivre la Jurisprudence
dogmatique des Cours d'Appel, et puis, d'épicer le tout avec la règle
d'interprétation «dura lex sed lex, la Loi est dure mais c'est la Loi!»
de la Common Law protest-anglicane rétro-adventiste de la Magistrature
caïnadienne, qui ne déclarera jamais inconstitutionnelles «les
Lois Spéciales» de tous ces monarques despotes. De l'immunité ecclésiatique
de «ne pas regarder nos péchés mais la foi de notre Église», à l'immunité
royale «des monarques qui ne peuvent commettre de Torts, ni de péchés
(«im-peccable, de peccare, péché»), il reste que tous ces Envoyés du
même Dieu unique, suivront le même mode opératoire, qui consiste chez les
Ecclésiastiques en soutanes noires, de reconduire les dogmes des Encycliques
des Conciles et des Bulles papales qui sont promus par les Évêques «en Soutane
Rouge»; et chez les Juristes à proximité de leur Bible de Colonialistes,
de perpétuer les Lois-Iniques des Monarques décédés physiquement, mais
toujours vivants législativement, parce que ces Lois-Ségrtégationnistes
sont promues par la Jurisprudence dogmatique des Juges-Féciaux de la
Cour-Martiales Suprême, évidemment «en Toge-Rouge»; parce que le
rituel du symbolisme de «la couleur Rouge» est de perpétuer
traditionnellement le Passé, ce qui se soutient par cette citation d'un
livre d'Histoire de l'angleterre, avec fresque médiévale à l'appui, montrant
le cortège funèbre de Charles VI de France, escorté de Hauts
Dignitaires portant «la Robe-Rouge», comme il y est expliqué:
«Above Charles VI of France's funeral in 1422. His effigy lies on the
bier. The chief mourner (the duke of Bedford) and members of the parlement of
Paris wear red robes because 'the king never dies'.»
(«The Chronicles of The Wars of the Roses», de Elisabeth Hallam, 1997
Bramley Books, à la page 183; les italiques sont de E. Hallam)
LA
CORRUPTION COLONIALISTE NOUS TIENDRA
DANS LE ROUGE
PAR CE VIDE-JURIDIQUE
QUI NOUS ANNULE TOUS!
C'est ainsi que
le Passé bouffe l'Avenir des Éternels Vaincus de l'Empire Britannique,
qui sont obligatoirement Absents devant leur Volonté régalienne, plus
vivante « post mortem» que la Nôtre de Pseudo-Vivants; ce qui
résulte en atteinte grave à notre Liberté d'Expression de l'article 2,
muselée nécrologiquement, ainsi qu'à notre sécurité physique et
psychique et notre Droit à la Vie de l'article 7 de la Charte-Théocratique,
Martiale et Animalière caïnadienne, et sans même que cela
n'éclabousse la Justice déshonorée irrémédiablement
contrairement à son article 24, du fait de cette pratique
insidieuse faisant que nos Droits et Libertés nous soient rendus «Inconsistants»
contrairement à la gfarantie de l'article 52, puisque devant
cette Justice-Inique, nous ne sommes et ne seront jamais que
des Zombis de leur B.D. armoriale, des corps vides de toute Volonté dissoute,
des Êtres anéantis d'invisibilité dans l'État-Végétatif des
Citoyens-Ballayeurs de l'État d'On qui exclu la Personne qui parle...«Hello!
Is there anybody Home in a Nobody blown away from it's empty body?» Poser cette Question existentielle, «that Nobody under a
Toga can answer, this Ghost not being in Himself!» -de promouvoir son maintien au Carcan législatif des
articles 5 et 8 de l'Acte de Québec de 1774, au Club-Med des Anus
brûlés au Soleil de l'Empire britannique, et valorisant sur leur Passeport de la Honte
nationale, de voyager avec les symboles orangistes du Droit Héraldique
de la Proclamation Royale de 1921 de george V, en tant que
leur seule et unique Constitution-Martiale.
Mais pour moi, la
Rubitude est flagrante de s'être illustrée dans ma Famille, et au
fil des Rencontres d'une multitude de Gens en quête de leurs Racines
Généalogiques, chamboulées dans un Val-Jalbert pan-canadien par
cette Loi-Ethno-Linguicide qu'est la Loi sur les Indiens, qui
a provoqué les Séparations de Familles par le Bannissement
exclusivement appliqué aux Indiennes, d'où l’origine de leur Exclusion
de la Condition-Féminine des Blanchardes vachardes, en promotion d'une
Condition Féminine de l'Auto-Misogynie, comme Louise Arbour-Zundel.
Et cette Rubitude catastrophique est enchâssée à l'article 35
alinéa 2 de la Charte-Animalière caïnadienne,
minablement Misogyne, et indigestement Indigénophobe...
L'Égalité des
Sexes n'existe pas pour la Matrice-Maudite des Indiennes qui
n'accouchent que de Revendicateurs plein de Reproches, ce qui ne convient pas au Faire-Semblant
élisabéthain, en Jubilé diamantaire de la Persécution Historique
dont elle a héritée; sauf qu'il lui est rappelée qu'elle est
présentement poursuivie en Recours-Collectif pour Crimes contre
l'Humanité durant toute l'existence des Pensionnats-Carcéraux d'assimilation
forcée, avec en bonus la Charité très chrétienne des Agressions
physiques et sexuelles, et des milliers de corps d'Enfants non-rendus
aux Familles, (voir absolument le site, Kevin Annett 15 September
2012 Announcement), et que bientôt, il sera universellement notoire que l'absurde
s'est fait judiciariser par la Magistrature caïnadienne, de son
dogme aliénant à l'effet que «the queen can do no wrong», et
autant son Parlement-Colonial caïnadien que la
Cour-Martiale Suprême qui l'a reconnu complaisamment comme
«l'Être-Parfait», qui est Imperfectible, et cela
dans l'arrêt Scheer de 1974, par le juge Spence reprenant
comme nous l'avons vu les déclarations saugrenues du Juge-Lord Halsburry
de l'arrêt Pemsel de 1891. Il existe une Foule de Gens que je
connaîtrais mieux s'il leur était tout simplement permis -de se Connaître!
-comme dire de -naître avec, sa Vérité d'Être et avec des Notions
véridiques favorisant l'Épanouissement Humain, comme de se Savoir
Soi-Même dès l'Enfance.
Mais cela est Interdit
de se Connaître à ceux dont on a affublé de la présomption de Bâtardise des
Bardots-Métis de la Clause-Négrière de la corrosive Rubitude, à l'alinéa
2 de l'article 35 de la Charte-Théocratique, Martiale et Animalière
caïnadienne, qui classifie facistement de façon
cladistique les Autochtones qui s’y dégradent en Métis dès
la première génération d’hybridisme faunique, pour décliner ensuite
drastiquement dans la décadence des Quarterons et des Octavons javellisés en
Propagange-Ségrégationniste, coupés de tous leurs Droits Ancestraux,
irrémédiablement disqualifiés du vénérable «Statut d’Indien»
attestant de la Pureté Raciale qui leur est déniée, comme leur
Dignité-Humaine…autant de Zappés-Apatrides en indésirables
Intouchables de la route des épices, autant d'Abels exclus de la
Promotion du multiculturalisme caïnadien...
Tant de Gens qui
se baladent complètement incognito à Eux-Mêmes, et que je défends comme
mon Humanité. Et lorsque je le fais, pour Eux, Moi-Même et les Miens, je suis politiquement
judiciarisé Interdit de me pénétrer et de me recueillir, comme d'une
fallacieuse Accusation non-déclarée comme telle d'«Entrée par
effraction» au Monastère de L'En-Soi. Vous tous de la
Magistrature-Ségrégationniste, vous pratiquez allègrement la Promotion, le
Maintien et la Valorisation d'un Patrimoine-Matricide des Cultures
Autochtones qui ne m'inspirera jamais que répulsion. Nul ne peut me
contraindre à l'Usage et la Coutume de maudire les Indiennes et leur
Descendance incitée sournoisement au plus haut taux de Suicides par
Déni de Justice. Nul ne peut m'empêcher de le décrier, surtout en
Procès. J’ai 4 Vérités à dire là
où l’on exige de moi la Vérité pour me vendre une absurde
vraisemblance mensongère. Aussi, je répands partout cette Vérité:
-De l'Interdit qui me prive de devenir mon meilleur Ami...
Danger: te tue deux fois, quiconque t'empêche de te
Connaître!
Conne naissance avortée, si
spoliée de Connaissance...
Sans s'en Défendre du Non-Être, à Qui est-ce? -ne
pas Naître!
S’ignorent tant d’Étoiles, à
Elles-Mêmes inaccessibles...
[…]
Concernant
l'interprétation de la règle d'interprétation «Posteriora prioribus derogant,
les Lois Postérieures dérogent aux Lois antérieures», nous avons vu
sa logique maîtresse de reconnaître «la Sagesse-Supérieure des
Lois-Postérieures» qui viennent naturellement corriger l'insuffisance
des Lois-Antérieures», sinon à la satisfaction générale, elles
seraient restées inchangées. C'est ainsi qu'il faut comprendre que «le
nouveau Droit International Public» de l'Assemblée Générale des
Nations Unies, est venu remplacer «l'ancien Droit International
Coutumier», qui connaît encore des soubresauts
d’Attardés-Misonéistes à cause «du Positivisme-Judiciaire dans la
persistance des Traditions juridiques anglo-saxonnes», comme nous
l'a révélé Charles Rousseau dans la citation précédente. Mais il y a
qu'il nous faut être Solidaires pour procéder par nous-mêmes à la Mise à
Mort de «cet archaïque Droit International Coutumier» qui devrait
s'éteindre bientôt, tout comme la Société des Nations qui le
chapeautait, sinon nous pouvons nous attendre au pire à se contenter du statu
quo pour Zombis déshumanisés.
La prochaine
citation réfère aux deux sources «du Droit des Gens» qu'il faut garder
en Mémoire; d'abord «l'ancien» qui prévalait jusqu'à la disparition
de la Société des Nations, connu sous l'appellation du Droit
International Coutumier qui permettait «le Droit des
Capitulations», et puis «le moderne» de l'Assemblée
Générale des Nations Unies, connu pour être le Droit International
Public, celui dont «la Sagesse Juridique est considérée
« Supérieure » de sa ratification Postérieure venant
corriger les abus et dérappages du Passé par les
Comportements étatiques qui ont occasionné les Guerres Coloniales
jusqu'à leur Mondialisation, et auquel Droit International Public
le Canada a adhéré généralement, sans aucune Abstention déclarée ouvertement
équivalent à «une Dérogation Expresse» laissant entendre que sa
Justice ne s'y conformera pas. Pour mieux comprendre le
Principe de la Sagesse-Supérieure de la Loi-Postérieure, suivons à ce
propos, ce qu'en dit Charles Rousseau concernant l'interprétation
privilégiée de cette Règle:
« En
réalité le problème général de la valeur respective des deux sources du droit
des gens, doit être posé non comme un problème de hiérarchie dans la valeur
des sources, mais comme un problème d'antériorité dans leur application:
la règle incompatible n'est pas la règle subsidiaire ou subordonnée, c'est
la règle la plus ancienne: et si elle est abandonnée, ce n'est pas en
raison de son infériorité intrinsèque, c'est parce qu'elle a cessé de
refléter l'accord de volontés des sujets de droits, la plus grande
«positivité» internationale appartenant à la règle la plus récente. Le
phénomène s'explique par la règle lex posterior derogat priori, règle dont on a
parfois exagéré la portée pour résoudre le conflit survenant entre deux règles
conventionnelles concurrentes ([...]), mais qui, il faut le reconnaître, trouve
son exacte application dans l'hypothèse de la contrariété d'une règle
conventionnelle et d'une règle coutumière. »
(Rousseau,
Charles, Droit International Public, Vol., Éd. Sirey, 1974, pp. 342-363,
p. 343)
Dans notre
Réalité incontournable, «le problème entre les deux Sources
du Droit des Gens», à l'évidence, c'était de faire admettre par
ses Adeptes, que «l'ancien Droit International Coutumier» ne
peut se targuer d'une plus grande Sagesse-Juridique que le Droit
International Public qui l'a remplacé après la deuxième
Guerre Mondiale, parce que l'on c'était concerté à l'ONU pour en
tirer une Leçon de Sagesse qui sombre dans l'Irrésolution de la
Partisannerie-Complice qui s'avère Criminelle, et ce
point de vue qui est mien d’Objecteur de Conscience, représente l'Opinion
majoritaire à l’ONU, comme le soutiennent les extraits que je propose en
citant les Juristes de l'Assemblée générale des Nations Unies, qui me
sont généralement sympathiques, de ne pas y rencontrer de Troglodytes
caïnadiens du Droit International Coutumier.
Selon moi, c'est
par Héritage britannique Martial et Dogmatisme-Judiciaire en relais que
le Canada justifie la Préséance de sa Charte prétendue
«Supra-Constitutionnelle», c'est-à-dire qui supplante les Chartes
des Provinces, mais sans avouer franchement que «cette
Supra-Constitutionnalité» de la Charte Canadienne se
fonde sur sa nature Théocratique», pour que se perpétue le Jeu
des Poupées Russes sur les Chartes Provinciales affaiblies
drastiquement d'Infra-Constitutionnalité, ce qui fait en sorte de
consacrer l'injustifiable bouffonnerie de votre Cirque-Judiciaire. Dans
notre Réalité démentielle, «la Supra-Constitutionnalité de la Charte
canadienne», résulte du fait, que tout au long de son écriture
hypocrite sur presque vingt ans, le coefficient de difficulté pour
Pierre Eliott le Corruptible-Trudeau, était de prendre tout son
temps pour la livrer afin de nous faire croire qu'il s'y
appliquait en mettant le paquet comme on dit, mais, tout en évitant d'y
garantir «la Dignité-Humaine dans le Respect de la Réciprocité». Parce que
la Dignité n'est évidemment pas reconnue «aux Animaux», ces
vils Descendants des Vaincus qui signèrent l'Acte de
Capitulation de 1760, et qui sans rechigner dans leur docilité
débile, se font rabaissés «en Prise de Guerre» sur les
Armoiries caïnadiennes promulguées par la Proclamation Royale de
1921, en guise de Constitution-Martiale pour
le Fief du Canada, puisqu'il s'agit d'«une
Constitution-Armoriale» qui se retrouve machiavéliquement sur le
Document Officiel de la Codification des Lois Constitutionnelle de 1867 et
de 1982, en Réquisition-Militaire de notre Droit à la Vérité, de
notre Droit à la Mémoire, ainsi que de notre Droit à la reconnaissance
innée de la Dignité-Humaine, de façon authentique, dans le Respect
effectif de la Réciprocité des Personnes et des Peuples.
Mais, voilà
des principes de justice fondamentale qui nous sont déniés sournoisement
sans avoir même à les nommer, en préférant apposer les Armoiries caïnadiennes
sur leur Charte-Bidon de sa martialité sans que les Gens ne s'en
aperçoivent jamais, parce qu'ils en sont noyés sans jamais avoir été
Instruits de leur teneur Constitutionnelle. Et Hop-Là pour les Bernés
de l'acquiescement tacite sournoisement soutiré!
Depuis les
Années-60, l'Opinion Majoritaire des Juristes de l'Assemblée Générale des Nations Unies s'est exprimée par la ratification
des Résolutions Anticolonialistes, ce qui atteste qu'ils prônent le
Droit à la Décolonisation; c'est donc dire que «le
Colonialisme» est considéré Illicite de nos jours par le Droit
International Public. Pourtant, il est toujours bien vivace, parce
que certains des États qui s'engagent à ces Règles Impératives
et Supra-Étatiques ne le font que pour la Frime de se bâtir la
Présomption d'État Démocratique, en se dotant d'un Critère
de Sélection des Juges selon leur Capacité d'y contrevenir
fallacieusement dans la plus abjecte Hypocrisie, en ne déclarant pas de
façon Expresse en les nommant, les Règles du Droit International Public
dont ils nous prive, pour se justifier minimalement de la
privation de Droits ou de Libertés avec «des Clauses
dérogatoires», et qui dès lors ne sont plus ni des Règles
Impératives ni encore moins des Règles Supra-Étatiques rendues
devant notre Judiciaire-Dictatorial de ce fait évident, et
qui se confirme comme tel dans le Déni de Justice en regard de
l' « Auto-Absolution » de «vos Actes de Génocide».
En l'absence d'abstention
expresse, le Canada est présumé avoir acquiescé pleinement aux
règles impératives et supra-étatiques du Droit International
Public. C'est du moins ce qui ressort des propos suivants des
constitutionnalistes Henri Brun et Guy Tremblay qui, de par
leur Profession et nationalité canadienne-française, nous géopolitisent
que:
« Dans le cas
du droit international conventionnel, nous verrons ci-après qu’il ne fait pas
partie du droit interne s’il n’est pas confirmé législativement. Il existe tout
de même une présomption voulant que le parlement n’a pas l’intention
de contrer les engagements internationaux du pays. » […] « Une fois confirmé, le traité a évidemment force de loi
et prévaut en droit interne. Toutefois, il devra être interprété en fonction du
droit international. »
(BRUN, Henry,
et Guy TREMBLAY, Guy, Droit Constitutionnel, 1990, Les Éditions
Yvon Blais, 2 éd., aux
pages 600-601)
Il ressort clairement de cet extrait, que le principe de
« Souveraineté de l'État » est subordonné dans son Droit
Interne à l'interprétation onusienne des Conventions, Pactes ou Traités
internationaux. Toute privation de ces Droits est juridique, puisqu'une
campagne électorale n'a mentionné se faire élire pour y contrevenir :
le Juridique est donc Politique, de façon
« incorrecte », sans être « politiquement correct ».
Section 3
-INTERPRÉTATION DES TRAITÉS,
Convention
de Vienne sur le Droit des Traités,
article 31 (1):
« Un traité
doit être interprété de bonne foi suivant le sens ordinaire à attribuer aux
termes du traité dans leur contexte et à la lumière de son objet et de son but.
(2): Aux fins
de l’interprétation d’un traité, le contexte comprend, outre le texte, préambule
et annexes inclus:
a) tout
accord ayant rapport au traité et qui est intervenu entre toutes les parties à
l’occasion de la conclusion du traité;
b) tout
instrument établi par une ou plusieurs parties à l’occasion de la conclusion du
traité et accepté par les autres parties en tant qu’instrument ayant rapport au
traité.»
***Notion
juridique aliénante -«de l'Occupation de Guerre»
interprétée
insidieusement «en Territoire sans Maître», du Renoncement de
Louis XV
de son
prétendu Territoire et de ses Sujets concédés par le Traité de Paris de
1763,
«l'Accessoire Ilote
suivant le Principal»,
pour se
justifier ultérieurement de la britichiante Prétention élisabéthaine :
«de Pareatis! -que vous
Obéissiez!»
Mais comment
donc faire obéir une Chose,
sinon en
la manipulant en supposant sa Possession incluant son Consentement?...
Notre
Vérité-Historique, était celle de subir
le Joug d'une Subjugation déguisée frauduleusement «en
Fédération-Démocratique» après la Conquête Militaire qui
représente «de facto, le Fait» de la Dépossession du Territoire simultanément
à la Réquisition Militaire de notre Dignité Humaine, et
il s'ensuit comme on l'a vu cette double Dépossession à la fois
Territoriale et Spirituelle par l'implantation «de Jure,
de Droit» de «sa louche Légitimation judiciarisée» pour
pouvoir s'en justifier. «Le Droit International Coutumier» d'antan, s'étant
installé sur une longue période de temps «sans aucune Interruption, comme
l'exige toute Coutume pour être reconnue en Obligation Légale»,
il nous faut donc maîtriser ces Notions juridiques de «l'ancien
Droit International Coutumier» pour y mettre fin, car si nous
entretenons «cette Coutume» il nous est prêté tortueusement
«un Consentement Tacite» par interprétation fort restrictive
d'Arbitraire qui s'affirme par la Proclamation Royale de
1921 de george V promulguant «les Armoiries caïnadiennes» qui
se constituent en pitoyable Droit Constitutionnel du sournois
Jugement par Contumace rendu par le «Royal College of Arms», qui
est institué en Tribunal de Droit Héraldique se permettant
de Notifier pour le garantir, ce piteux
Titre de Possession Coloniale accomplie sur «le Fief du Canada», en
capricieuse et arrogante Prétention élizabéthaine d'Intronisation «de
Pareatis, que vous obéissiez!»
Pour ma part, je trouve absolument odieux que leur Volonté-Royale de
Rois-Morts soit reconnue Judiciairement en Préséance sur notre Volonté-Contemporaine
se voulant Évolutive en vain de nos supposés Décideurs, comme
de la Nôtre, prise individuellement, du général-anonyme au particulier-désaffecté.
Parce qu'un Mortel sait qu'il l'est et que la Mort l'absorbera tôt ou tard,
mais il ne peut s'expliquer l'absence de Justification concernant sa Vie
réduite à une intolérable Inexistence-Animalière de Brouteur qui végète
au Point d'Eau exproprié par le Prédateur britannique, après avoir prouvé
deux fois que la seule et unique Volonté de la reine victoria supplante non
seulement la Mienne en regard de l'Unilatéralité de l'AANB
de 1867, mais également notre Volonté-Collective, puisqu'il en
serait encore ainsi «en dépit» d'un Référendum-Démocratique qui
voterait en s'exprimant contre à 50%+1, et même s'il était gagné à 100%
Unanime, il demeurerait dérisoirement «Facultatif», et non pas «Décisionnel»,
à l'antithèse d'une véritable Démocratie. Et cela est naturellement
apeurant que ce Vide-Juridique aspirateur, de me savoir un
Mort-Vivant en état de panique que l'on ne procède à mon Autopsie sans
Anesthésie; -et il va sans dire qu'un Esprit-Sain cherche à comprendre par
Instinct de Survie avant de rendre son Âme, à l'évidence Possédée par des
Suppôts de Satan. Désireux de percer ce Mystère-Létal avant d'en
crever, mon Enquête se solda en apprenant la Notion de «Jugement «de
Pareatis», qui me fit piger notre Vente aux Enchères, en comprenant
que la Cour-Martiale Suprême du Renvoi-Esclavagiste de 1981
s'était soumise à un tel «Jugement par Contumace» provenant du
Tribunal de Droit Héraldique du «Royal College of Arms «directement
sous l'autorité de la Couronne», en rappel des propos précités de
Michel Pastoureau. Voyons comment se définit cette Notion d'une
capricieuse Prétention belliqueuse qui représente notre Boulet de
Forçat. Du Larousse de 1912, aux sections lexicale et de maximes latines,
et qui fut édité exceptionnellement à Montréal :
«Pareatis, que vous
Obéissiez!» -Formule qui rendait
exécutoire les jugements en dehors du tribunal qui les avait rendus ou qui
permettait de publier en France les bulles de Rome. Accorder le pareatis.»
«pareatis: (tice) n. m. (lat. qui signifie obéissez). Jurisp.
Formule impérative qui rend les jugements exécutoires en dehors du ressort du
tribunal qui les a rendus.»
Et encore,
non repu de précisions, j'ai consulté mon «Bélisle», vieux d'une cinquantaine
d'années, qui lui aussi «avait son Mot à dire» sur le Sens de ce terme:
«paréatis: (pa-ré-a-tis'. Lat. Pareatis, obéissez) n. m. Lettres de
chancellerie par lesquelles le roi ordonnait l'exécution d'un jugement, dans
un lieu qui n'était pas du ressort de la juridiction où ce jugement avait été
rendu.» + Requête qu'un huissier présentait à un juge pour obtenir son
ordonnance donnant pouvoir d'exécuter, dans l'étendue de sa juridiction, le
jugement ou sentence d'un autre juge.»
Il faut
reconnaître qu'il apparaît fort probable que cette sordide Notion Juridique
est susceptible d'avoir trouvé son application par la Cour-Martiale
Suprême du Renvoi-Esclavagiste de 1981, «d'obéir» en
s'y soumettant «au Jugement par Contumace» du Tribunal de Droit
Héraldique du «Royal College of Arms» d'élizabeth deux du «Amistad» de 1982,
dont c'est la Juridiction de faire reconnaître les Prétentions
aux Titres d'Intitulation de la Reine-Papesse en Conversion forcée sur ses
Fiefs-Pontificaux...
Entendons nous!
-en tant qu'Athée de votre Dieu-Yang de Phallocrates, je ne réclame
assurément pas les Libertés gallicanes mentionnées auparavant, mais plutôt
substantiellement, les Droits et les Libertés que me confère le Droit
International Public dont je suis Créancier avec les Miens tout
autant. J'irai s'il le faut jusqu'à me faire excommunier de la Théocratie
protest-anglicane caïnadienne par sa Reine-Papesse qui honnira qui mal y
Pense, comme ce Trickster de sa création, qui
profane son Dieu et son Droit, simplement en suivant ce
britichiant mode d'emploi de la Devise royale repris dans le
Préambule de la Charte-Charia caïnadienne des hérétiques Dogmes
protest-anglicans et arriérés arrangements biblico-rétro-adventistes,
pour que s'applique instinctivement sa Sentence-Fatwa presque
millénaire, et toute aussi extrémiste qu'une Fatwa
musulmane!
***la
Responsabilité de l'État
incluant
l'ensemble de ses Agents, Ministres, Députés et Juges
En regard de
la Responsabilité de l'État canadien en ce qui concerne l'Obligation
onusienne de conformité de son Droit-Interne avec le nouveau Droit
International Public, il en va comme pour tous les États-Signataires selon
l'extrait suivant de Charles Rousseau qui tranche on ne peut plus clairement
sur ce sujet d'éternelle discorde:
« 1- Elle
s'applique à l'État fédéral, pour les actes illicites commis par les États
particuliers. Des difficultés particulières se sont élevées à ce sujet
autrefois, l'État fédéral manifestant une tendance naturelle à se
soustraire à sa responsabilité internationale en alléguant
l'impossibilité où il se trouve d'agir sur les gouvernements locaux des États
membres. Mais la primauté nécessaire du droit international réduit à
néant les objections tirées en cette matière du droit constitutionnel.
L'État fédéral ne saurait, par la suite, arguer du
régime spécial de répartition des compétences constitutionnelles pour
échapper à ses obligations internationales, en l'espèce à l'obligation
de réparer les dommages résultant des actes imputables aux États membres ».
Re: sentence arbitrale rendue le 26 juillet 1875, États-Unis c. Colombie,
dans l'affaire Montijo, un État fédéral ne peut se soustraire à
l'application du droit international en invoquant l'insuffisance de son
droit interne; c'est le droit interne qui, dans ce cas, doit
être adapté au droit international, non le droit
international au droit interne. » (Rousseau, Charles, Droit
International Public, Dalloz, 1970; Chapitre II, sanction de l’exercice des
Compétences, par. 110. –Responsabilité directe et responsabilité indirecte, pp.
104-107, p. 106)
Ici, concernant ce
Litige, il faut préciser que l'État-Fédéral n'était pas contesté en
tant que «Fédération-Légitime de sa Ratification», et qu'un État
Fédéral même en 1885 sous le Bouclier-Belliqueux de «l'ancien Droit
International Coutumier», se voyait tout de même contraint à
l'Obligation de s'y conformer. Il faut donc en comprendre que non seulement
cette Obligation subsiste intégralement, mais aussi qu'elle ne peut
qu'avoir pris de l'ampleur sous l'Égide du «nouveau Droit
International Public.»
***Pour y mettre fin à ce Cirque-Judiciaire, il
fallait instruire la Population pour qu'Elle soit plus exigeante
quant à la Démocratie qui lui est servie. D'abord, lui faire entrevoir
par l'Abécédaire de l'Empathie élémentaire, que «le Fief du
Canada» devrait prendre ses Engagements Internationaux dans
la Bonne Foi, comme l'exige la Convention de Vienne sur le Droit des
Traités à son article 31; soit, de la première Notion
élémentaire de «L'Allégeance-Effective» au Droit International Public,
à l'effet que jamais l'Acceptation-Tacite ne saura constituer un
Consentement-Légal qui tienne «envers le Colonialisme et la
Ségrégation Raciale et Sociale qu'il incorpore infailliblement», ce que
vous explique autrement, mais très clairement, Milan Sahovic:
« Elle découle de la
nature du droit international qui ne reconnaît que les obligations prises
librement, sans contrainte. Le consentement des parties est, aujourd'hui
comme autrefois, la condition majeure de la validité des obligations
juridiques internationales.» (SAHOVIC, Milan, Influence des États sur la
conception du Droit International, -Inventaire des positions et des
problèmes, 1966, A.F.D.I., pp. 30-49, p. 34)
Pour ce qui
est du «Droit à la Résistance Armée», qui est interprété comme le Principe de
«la Légitime Défense», le même auteur, Milan Sahovic, nous affirme clairement
qu'un État-Membre à l'ONU, ne peut pas perpétuer le Colonialisme en Droit
Interne, et cela parce qu'en tant que Règles «supra-étatiques», les Résolutions
Anticolonialistes se dressent au-dessus «du Principe de la
Souveraineté des États», puisqu'Elles se fondent elles-mêmes sur la Charte
des Nations Unies:
« Une
conclusion est imposée par la Charte elle-même pour qui la lutte contre le
colonialisme n'est plus une question interne aux pays coloniaux. » (Sahovic,
Milan, Influence des États sur la conception du Droit International, -
Inventaire des positions et des problèmes, 1966, A.F.D.I., pp. 30-49, (op.
cit.) p. 43)
***Que l'on s'entende une fois pour toutes sur ce sujet, «la Légitime
Défense» s'interprète juridiquement de la même façon «Universelle»,
exactement comme elle s'applique dans leur Droit Interne pour
l'ensemble des États-Signataires du Droit International Public,
qu'elle concerne une Personne seule ou bien toute ou
en partie sa Nation d'Origine; parce que partout universellement et
depuis toujours, «la Légitime Défense» fut reconnue en réaction considérée «Légale»
par le Droit et la Jurisprudence.
La propension des
Juges-Négriers caïnadiens de se pâmer devant la Jurisprudence des Juges
à Moumouttes du Conseil Privé, m'avait incité à inclure cet extrait
dans «ma Lettre-Plaidoirie de Juillet-2003» adressée à ce merdeux
Juge-Ségrégationniste qu'est Yves Fournier-Carnavon, le fourbe, qui
a insidieusement fait disparaître 56 minutes de Bandes Sonores
de la séance du 12 février 2003, tout simplement parce que ma Défense était
de nature Anticolonialiste. Comment diable ce trou’d’cul de
Juge-Tordu expliquerait-il à Mr. Charkaoui, détenu sans Procès
pendant deux ans sous l'autorité des Mandats de Sécurité alors légaux, que
ma Lettre-Plaidoirie de Juillet-2003 envoyée par courrier recommandé,
contenait des Menaces de Mort très explicites envers les Juges-Négriers
caïnadiens à compter de 2010, en prévision des Parades Militaires
pour fêter britanniquement le 250e anniversaire du Droit des
Capitulations, et que suite à sa réception officielle, Yves
Fournier-Carnavon ne m'a jamais dénoncé publiquement? -(après 10 ans,
ce qui se constitue en acquiescement à se faire menacer et attaquer venant de
cet ivrogne invétéré et invertébré, selon l'arrêt Jobidon de
la Cour Suprême, en soulignant que depuis, ce dangereux
boit-sans-soif a soufflé l'Alcotest deux fois à plus de .16),
comme quoi il n'existait absolument aucune Égalité entre Mr.
Charkaoui profilé Arabe, et moi-même, redouté en tant qu'Autochtone
(dont la Sauvagerie est naturelle), lui châtié et moi impuni! Voici
cet extrait éloquent lu par Yves Fournier-Carnavon, provenant des
déclarations instructives des Juges-Lords du Conseil Privé dans l'arrêt Guibord:
« [...]it is to me clear that, according to English law, a man under
unlawful restraint of his personal liberty at sea, as well as on shore, has a
right to take life to free himself from such constraint on his personal
liberty; and further, on the authority before cited, to use his master's or
captor's property necessary to effect his object, that object being in
itself not only a lawful, but a laudable object: this would seem
to be the first law of nature, the right of self-preservation of liberty
equally with life, wich is fully sustained by text-books and cases. » (In Re Guibord, [1874] Law Reports Privy Council
(1873-1875), vol. VI, 157-220, 186)
Ainsi donc, même
avant l'existence des 11 Chartes-Bidons du «Fief du
Canada», la Loi anglaise et sa Jurisprudence-Intrusive reconnaissait
«l'Instinct d'Auto-Préservation» comme un Droit Naturel du Droit
Interne et du Droit des Gens (de l'ancien Droit International
Coutumier reconduit par les Résolutions Anticolonialistes
A/1514 et A/2625, sous l'égide de l'article 103 de la Charte
des Nations Unies). Bien sûr, cette sage Jurisprudence livrée
par Lord Selborne à la Postérité, fera en sorte que «la
Légitime Défense» sera toujours «Légitimée et fort Louable», mais,
strictement lorsque «le Bateau-Négrier» n'est pas
de la Flotte victorienne laissée en héritage esclavagiste à élisabeth
deux du «Amistad» de 1982, pour qui les Juges-Négriers reconnaîtront
toujours «la légalité de la Légitime Défense», mais en
autant que «l'Axe du Mal» qui est pointé soit d'ailleurs, comme
l'a fait pour Saddam Hussein le président du Royaume-Uni étasunien,
«george le Buisson aux deux yeux dans l'même Trou d'Cul en pleine face»,
et tout comme l'a fait Louise Arbour-Zundel, nous
pointant les Talibans en tant qu'«Axe du Mal», pour mieux
mettre «la Burka» sur la Vérité des Femmes Indiennes et de leur
Descendance méprisées, et pour faire en sorte de continuer de
profaner la Mémoire-Sacrée de Ceux et Celles qui sont disparues. Cette
Poule de Luxe de la Basse-Cour élisabéthaine, aurait grand intérêt à lire
«Le Respect» de Catherine Audard, dont voici un extrait
merveilleusement mémorable:
«Le droit à la mémoire»
« Lorsqu'un
régime d'oppression disparaît laissant derrière lui des crimes, la restauration
de l'état de droit inclut, s'agissant du respect des personnes, le droit à
la mémoire, c'est-à-dire savoir ce qui s'est passé et savoir en conserver
le souvenir.
Savoir ce
qui s'est passé, c'est connaître les
actes, leurs auteurs et leurs victimes. Les actes d'abord:
ils ont nom assassinats, tortures, génocide, déportations, emprisonnements,
internements et traitements psychiatriques à des fins politiques, avilissement
de la personne sous toutes les formes imaginées en notre siècle. Il faut nommer
ces actes. Puis leurs auteurs: [...]
Les
victimes: il existe un besoin social impérieux,
une obligation morale intense de les identifier et de les nommer. Pourquoi? Afin
d'éviter qu'elles ne sombrent dans la mer de l'anonymat et du nombre. [...]
Cela vaut de toutes les victimes de toutes les oppressions, partout. Nul
pays ne peut aujourd'hui être assuré d'avoir rempli intégralement cette
obligation. Il suffit de penser aux stèles à demi amnésiques, aux
commémorations inégales, aux «fichiers perdus et retrouvés, avoués avec
malaise...»
Si le
«révisionnisme» appelle ici une observation,
c'est qu'il constitue une intolérable agression contre les morts, les
survivants et la société toute entière. Son but est la profanation et la
destruction de la seule tombe des victimes, qui est notre mémoire,
et l'érosion de la conscience même du crime. Il doit donc être
combattu.
[...]
Savoir ce qui
s'est passé est une chose. S'en souvenir en est une autre, parfois plus
difficile et douloureuse, non moins nécessaire. La plupart des
tyrannies modernes ne se bornaient pas à régner par la terreur, la peur
et le mensonge, beaucoup se sont aussi efforcées d'abolir
systématiquement la mémoire collective, de réécrire le passé, en
supprimant ou falsifiant des pans entiers de l'histoire du pays et de la
conscience nationale.
C'est
pourquoi il est si important de restaurer la mémoire: sa réhabilitation est la seule riposte à ce qui fut
une tentative de mutilation de l'esprit de la société. À l'oeuvre des
historiens, s'ajoute ici la parole des responsables politiques, irremplaçables
à son niveau.
En
définitive, la mémoire est la forme ultime de la justice et du respect des
personnes. » (Audard, Catherine, France, 2002, Éditions Autrement, aux
pages 160-161)
***Pour moi, toute la Persécution-Historique des
Polémologistes est autant Raciste que Misogyne de «leurs Actes de
Génocide», d'avoir légitimé les Bannissements des Femmes Indiennes par la Loi
sur les Indiens, et qui ne furent pratiqués exclusivement
qu’envers Elles dans la Pratique-Ségrégationniste des Séparations des
Familles. L'Histoire parlait en Faits récurrents se
prêtant à l'Observation empirique en définitive, à l’effet que peu importe
le Tyran, tous «ses Actes de Génocide» et même le
Génocide-Accompli, c'est-à-dire l'Extermination des Nations
Autochtones ou dites Aborigènes, visait
indubitablement davantage «les Femmes» que les Hommes
de ces Nations. D'abord, en suivant ma Pensée, -«parce qu'il serait
particulièrement «cyniquo-sadique» à la manière d'un sanguinaire
Caligula, de prétendre qu'«autant les Femmes que les Hommes ont enfin
trouvé «l'Égalité de Traitement» dans «la Mort», ce dont ils ne
jouissaient pas de leur Vivant de Conquis» avant leur Extermination»,
et qu'on appelle communément «L'Égalité des Sexes»; -et parce que
«la Réalité-Implacable» est que pour toutes ces Femmes comme pour
toutes ces Personnes qui trouveraient ensemble la Mort par
l'Extermination autant accomplie de façon Subite qu'à
l'Usure de leur Peuple, il reste qu'ils doivent tous à une Mère
de les avoir porté et mis au Monde, et lorsque les Enfants de ces Femmes
sont tous tués, l'évidence parle d'elle-même, à l'effet qu'on visait
bien plus les Mères qui leur ont donné la Vie, en risquant la leur!
Mais, il y a que les Arriérés-Misonéistes,
irrémédiablement atteints de chronique Misogynie phalloctratique, et
qui ne seront jamais que des pitoyables Traditionnalistes invétérés, sont
évidemment exclus de ce genre de Réflexion de Port-Sélène,
parce que ces Réflexions humaines leur sont par trop empathiques, d’être
directement connectées à la Matrice des Mères de Clan qu’ils méprisent
systématiquement, avec ces Réflexions humaines qui ne seraient
donc appréciées vénérables qu'avec les Peuples Civilisés du
Calendrier Lunaire qui adoraient autant des Déesses que des
Dieux; par des Nations qui se dotaient intelligemment de Mères de
Clan qui détenaient un véritable Droit de Veto sur le Droit à
la Guerre des Chefs, dont le mandat était vitement écourté advenant que
ce Mal-Venu n’avait pas tenu compte de leur Sagesse-Yinississime.
En ce qui concerne l’ancien Pouvoir Étatique des Indiennes, bien que
non généralisé, il était tout de même très susceptible de se répandre, comme il
en est avec le principe de la Neutralité. Voici une citation qui atteste
de l' existence de ces Pouvoirs jamais reconnus aux Troglodytes
Européennes, toute Nation con-fondue, Filles du Roy-Soleil ou Plottes de la
Queen des ténèbres de Greenwich, comme les Génitrices Colonialistes de
la Commission Bouchard-Taylor des « Arrangements déraisonnables »:
« Clan mothers select the fifty
chiefs of the league. They can veto war decisions, initiate
legislation, keep a separate formal council, and are empowered to
remove chiefs from office by symbolically «knocking on the horns», a
sometimes dramatic event that can be accompanied by the beating of the chief. »
(National Geographic Society, Indian
Nations of North America, 2010, p. 32)
C’est admettre
finalement que ce genre de Réflexions humaines et de Comportements civilisés
prévalait chez les Autochtones avant l’arrivée des Blancs, et n’a sûrement pas
trouvé de Preneur Éclairé chez les Peuples ultra-machistes du
phallocratique Calendrier Solaire du Dieu à 3 Pénis, parce que ces
Attardés-Machistes ne verront jamais Ève qu’en sempiternelle Bouc
Émissaire biblique, et par conséquent, ils n’auraient jamais
acquiescé d’accorder de tels Pouvoirs Étatiques décisionnels à
leurs Fûmelles venant tout juste de se libérer de leur ceinture de chasteté...ce
qui a fait en sorte en conclusion, que l’exécrable Gynécocratie
élizabéthaine s’avère être une Gynécocratie-Phallocratique héritée de
ses Patriarches bibliques, comme en témoigne l'Exclusion des
Indiennes de la Condition Féminine de l'Auto-Misogynie des vachardes
Féministes javellisées Blanchardes, qui, éloquemment, n'ont aucunement
remédié depuis 62 Ans à cette piteuse persécution occultée, conformément
à ce qu’exige les prescriptions du Droit International Public, et
cela, parallèlement au cruel Déni de Justice dans la
Pratique-Ségrégationniste des Juges-Nazis caïnadiens qui contreviennent
traîtreusement et outrageusement à ses sages Préceptes...
***Furax au max votre Amer-Indien, transmuté en Poète qui leur
apparaîtra assurément comme un démentiel Mal-Plumé! Pour ma part, de mon
Acêtre de la Anse de la Ève, je ne peux oublier venir d'une Famille comptant
une bonne centaine de Petits-Enfants de la Descendance «d'une des
Femmes de la Tour de N'Elles», une des Indiennes bannies et condamnées
«sewellement» à l’intransmissibilité de leur Langue Maternelle et de
leur Culture Tribale, et dont je recherche la Nation d'Origine avec
mes Sœurs motivées d’autant d’acharnement, afin que notre Descendance
Autochtone puisse connaître entièrement leurs Racines-Généalogiques éradiquées
jadis par l'État-Forceps, -pour que nos Enfants puissent
bénéficier honorablement du «Statut D'Indien», et qu'ils connaissent
cette Reconnaissance prestigieuse par les Nations Autochtones de leur
Ascendance et les autres Nations cousines, ce qui les sortirait
définitivement de l'avilissant Anonymat-Métis, et ferait
cesser définitivement ce qui n'est écrit nulle-part, mais qui existe de façon
absolument Impitoyable et Outrageante, et qui est «leur
Présomption de Bâtardise» à l'article 35 alinéa 2 de la Charte-Animalière
caïnadienne, ce Sortilège ignominieux dont je les exorcise en
Inversant égalitairement le Fardeau avilissant de l'Ignominieuse
Présomption de Bâtardise, pour les en revêtir aussi longtemps avec leurs
Génitrices dégénérées, et cette démarche monumentalement
vindicative prévaudra en Invectives comminatoires égalitaires jusqu'à ce
que s'en lassent définitivement les Bâtards de Politicards-Colonialistes
et leurs Corniauds de Juges-Ségrégationnistes»...
En suivant ma
Pensée d’Avoué-Affidé du Complot pour obtenir la reconnaissance
tardive de ma Dignité-Humaine ainsi que Celle des Miens, et par
conséquent, obligé au Duel Judiciaire de l’Accusé qui accuse,
je me dis résolument qu'il fallait absolument «obliger ces
Merdeux-Colons à ne prendre leurs Décisions saugrenues qu'en ce qui concerne
leurs Fûmelles bâtardes et leur Portée de Rejetons débiles». Car je crains
pour ma Descendance, l'Encodage-Génétique dans leur Plasma de la
Tare-Génétique des Tarés anglo-saxons trop belliqueux de leur multitude de
Guerres sur un Millénaire, pour Coloniser de façon Universelle notre
Humanité, et partant, des Conséquences désastreuses sur ma Descendance de
la Proximité menaçante de cet Empire de Colons anglo-saxons secondés de leurs
très dociles Cooperators French-Canadians Pea-Soup of War as well as
UN's Democracy.
Parce qu'en
résumé de 6, 000 Ans de Décadence Biblique, après avoir subi
la Domination des Germains, des Romains et des Normands, la souveraine
et le PM des anglo-saxons se conduisent tout comme le PM
d'Israël, qui se complaît en tant que Pharaon des
véritables Peuples-Élus de Dieu, qui sont en fait les Palestiniens
et les Cijordaniens et les Autochtones du Monde entier, et
ils se rabaissent de cette pratique barbare après avoir été persécuté par
le Colonialisme sur plusieurs millénaires, avec les autres
Envahisseurs, sinon à leur tête, n'auront su par
la suite que le répandre pour en-cloisonner notre
Humanité dans la Débilité d'un Temple dont
les Murs sont autant «de Murs des Lamentations». Un Raisonnement
Creux, de la Lacune-Cérébrale dont l'espace est
entièrement occupé par «leur Raisin-Amygdalien», puisqu'en
primitive Réflexion du genre tout à fait «simiesque»: «j'ai subi
le Colonialisme et la Ségrégation qu'il incorpore, -donc, en toute ÉGALITÉ: -que
le Monde entier les subisse en Mondialisation de l'Inféodation
en-neworldée! -selon mes Vœux mégalomaniaques, –pour la Quadrature du Cercle
étant le Globe Terrestre.»
Au
Juge-Nazi Claude Millette-Zundel, j'ai même tenté de préciser en vain mon Objection à
l'encontre de l'«Auto-Absolution» du Judiciaire-Despotique quant
aux Séparations des Familles Autochtones à considérer en tant
qu’Actes de Génocide. C'était normal que je soulève mon
Objection de Conscience, en songeant que lors du Procès de Nuremberg
de 1946, la Cour Internationale de Justice avait établi «le
Précédent-Judiciaire» de la première Reconnaissance des Séparations de
Familles Juives» sur les Quais des Gares par la Gestapo jugées en
tant qu'«Actes de Génocide». Et pour ces Nazis,
l'Argument fort douteux du Devoir d'Obéissance de
tout Soldat envers un Supérieur de sa Hiérarchie Militaire fut
rejeté par la sage et savante Cour Internationale de Justice.
Et voilà que dans
«le Fief du Canada», pour les mêmes Actes de Génocide des
Séparations des Familles Autochtones, le port de la Toge plutôt
que l'Uniforme disculperait les Juges-Nazis caïnadiens, qui
eux seraient liés «par un Devoir d'Obéissance
à leur Hiérarchie de Cours-Martiales selon la stupide règle du «stare
decisis». Autrement dit dans le Droit-Colonialiste
Interne, «les mêmes Actes de Génocide» sont rendus louchement
justifiables, d'avoir été Judiciarisés par des Toges-Nazies qui
ne portaient absolument pas l'Uniforme, mais qui, tout
autant que les Nazis, sont des Adeptes-Accros de
la même Idéologie antipathique des Principes-Racistes des
articles 34 et 35 de l'Acte Général de Berlin
de 1885.
L'indomptable
Trickster que je suis s'était convaincu m'être «royalement trompé de Stratégie Judiciaire, en faisant Témoigner
ma vielle Mère octogénaire en 2005 devant le
Juge-Négrier Claude Millette-Zundel,
grâce à qui Elle devra sans doute mourir dans «la Présomption de Bâtardise «des Bardots-Métis», et
surtout en pensant à l'affaire de M'sieur-Dame
Anglesberger, me faisant comprendre ma grave erreur d'avoir exécuter : «ma Plaidoirie de façon Orale, -plutôt qu'en tournant le dos à la Justice comme elle le fait pour nous, en me
descendant le pantalon sur les chevilles tout en mettant mon Siège en Jeu comme Ti-Pète, bien penché
en m'écartant les Fesses des deux mains en les manipulant vigoureusement, pour
ainsi pouvoir maximiser toute l'éloquence de ma Plaidoirie-Anale afin de séduire cette Justice-Sodomite tout
de Go “Ye! Ye!” «more and more pour Ti-Pète» qui pète, brète, s'encroûte: et
Proutte!» De là, j'en avais conclu cyniquement de ce qui s’infère de
ma Saga-Judiciaire: qu'«afin de rencontrer le Critère-Hébraïque des
Juges-Négriers caïnadiens, pour faire reconnaître en tant qu'Actes
de Génocide «leurs Séparations des Familles Autochtones», et par
conséquent, en tant que «Crimes «Imprescriptibles» contre
L'Humanité», que j'aurais dû, pour attendrir Claude Millette-Zundel devant
«sa fucking Buy-Bulle» de Faux-Prophètes, de feindre ma
Conversion à leur Bible burlesque en me ridiculisant pour
satisfaire «le Critère hébraïque » du Droit-Colonialiste Interne»,
soit en m'habillant sur mesure «en rabbi Jacob» qui
soudainement, se dandine frénétiquement de la danse Saint-Guy,
tout en me faisant aller débilement les Couettes devant le
Mur de la Salle d'Injustice déterminé par le Juge-Nazi pour
être le Mur des Lamentations. Nazis et Juifs à la fois, un curieux
hybridisme chez nos Juristes anglo-saxons de l'anglo-franchouillardise...
Plus
sérieusement, de réalité vécue, en tant que Membre d'une Famille dont
la Branche-Maternelle n'illustre qu'un Clan décimé de ne
compter que «des Victimes d'Actes de Génocide», je n'ai pu
manquer de noter que la Loi du Silence judiciaire permet de
poursuivre la Persécution-Historique par «Omission-Négative»
plutôt que par «Commission-Positive», comme avant l’arrêt
CANADA contre Mme Sandra Lovelace devant la Cour
Internationale de Justice en 1989, mais qui engage toujours «votre
Responsabilité Criminelle par négligence», du fait de
cautionner la Léthargie-Législative hyper-chiche de Réparation à
la manière des Excuses-Bidons d'Adolf Harper en 2008, puisque
«cette Omission-Négative» persiste «à séparer encore des
Familles en empêchant sournoisement leurs Retrouvailles»; comme si
les termes de «Prévention» et de «Répression» du
titre de la Convention pour la Prévention et la Répression du Crime de
Génocide de 1951 ne voulaient absolument rien dire; comme si les
termes des articles 23 et 27 du Pacte relatif aux Droits
Civils et Politiques étaient également Vide de Sens, ce
que je dénonce afin que la Population en prenne Connaissance et
se sensibilise à la Rubitude, et afin de lui signaler que dans
la Colonie caïnadienne ces Règles ne veulent absolument rien dire,
puisqu'il s'agit de Droit International Public auquel ne se
sentent pas lier les Juges-Négriers caïnadiens au
point d'en être allergique depuis plus de 60 ans:
Pacte relatif aux Droits
Civils et Politiques,
article
23(1): «La Famille est l'élément naturel et fondamental de la Société et a
le droit à la protection de la Société et de l'État.»
Article 27: «Dans
les États où il existe des minorités ethniques, religieuses ou
linguistiques, les personnes appartenant à ces minorités ne peuvent être
privées du droit d'avoir, en commun avec les autres membres de leur
groupe, leur propre vie culturelle, de professer et de pratiquer
leur propre religion, ou d'employer leur propre langue».
Quant à moi,
j'ai bien noté que les 3 Instances-Judiciaires requises dans
le Droit-Colonialiste Interne avant d'accéder devant
la Cour Internationale de Justice en 1989 dans l'arrêt CANADA
contre Mme Sandra Lovelace précité, totalisaient
bien 13 Juges-Ségrégationnistes sur 13 en dépit des 11
Chartes qui, dès lors, «victimisent» plus de leur
inconsistance qu'elles ne protègent effectivement,
de n’offrir que des Droits-Fictifs et des Libertés-Virtuelles. Ça
me prouvait la persistance d’une Mentalité-Tarée, d’une Société en
Décadence puisque cette Mentalité-Haineuse pré-existait déjà lorsque
la Colonie caïnadienne n'avait que deux ans en 1869, cette Mentalité-Raciste se
retrouvant comme nous l'avons vu dans les propos Racistes du juge
Loranger à l'endroit des Coutumes Matrimoniales Indiennes et
de «Suzanne la Sauvagesse» et « Suzanne oas de nom », selon
qu'il l'appelle, et dont les Enfants étaient
irrémédiablement «des Bâtards», de ce fait de provenir «d'une
Sauvagesse», selon les déclarations du Juge-Négrier Loranger qui
s’est présenté comme le seul Dissident dans l'arrêt John
Connolly de la Cour du Banc de la Reine en 1869. Et, de «ce
Cliché jurisprudentiel de 1869 à l'autre de 1989»...
Du Constat
aberrant de « virage à l'extrême-droite » ressortant de ces
deux Clichés-Judiciaires, j'en conclu que la Justice
victorienne était néanmoins plus Humaniste que
l'Élisabéthaine, en considérant l'arrêt John Connolly de
1869, avec un seul dissident Raciste pour
une majorité de 4 sur 5, même sans Pacte-Fédératif ni
aucune Charte des Droits et Libertés à cette époque, et
évidemment, sans le Droit International Public ni la Charte
des Nations Unies, démontre qu'elle offrait tout de même une
Justice d'Équité composée à 80% de Juges Démocrates et Humanistes.
Par contre, de l'autre Cliché-Judiciaire de
l'arrêt Canada contre Mme Sandra Lovelace, rendu
en 1989 devant la Cour
Internationale de Justice, je perçois en contraste alarmant que cette
Mentalité-Raciste a dégénéré jusqu'à la Décadence la plus
crasse, puisqu'en 1989 avec leurs 11 Chartes-Bidons,
il s'est produit que 13 Juges-Nazis sur 13, pour 100% d'une
Magistrature-Ségrégationniste, se sont retrouvés gros Jean
comme devant devant la Cour Internationale de Justice dans l'arrêt
CANADA contre Mme Sandra Lovelace. La
Charte-Animalière caïnadienne ayant été mise en vigueur en
1985, les Juges-Nazis caïnadiens, du fait de contrevenir au
Droit International Public, contrevenaient donc également
depuis 4 ans à leur propre Charte-Bidon des Droits-Fictifs et des
Libertés-Virtuelles. D'abord, à l'article 28 pour «l'Égalité
des Sexes», en ne bannissant de leur Milieu de Vie que
les Indiennes exclusivement, ainsi qu’à l'article 15 pour
l'Égalité-Générale, par leur Traitement différent envers les
Métis qui sont leur Descendance; et encore doublement persécuté
dans le Traitement différent puisque seuls les Métis par
la Branche-Maternelle ignorent leurs Racines, en regard de
leur Nation d'Origine, et, par absence d’Immersion, ignorent
également leur véritable Langue Maternelle; et de même,
ces 13 Juges-Nazis sur 13 étaient-ils Tous en Contravention à
l'article 52 de la Charte-Animalière caïnadienne, en
jugeant de façon à ce que la Charte canadienne soit «Inconsistante»
à elle-même, puisque son
article 27 englobe toute votre Jurisprudence-Ségrégationniste. Et
toutes ces Privations, sans déroger nommément à nos Droits et Libertés,
comme l'exige l'article 33 de cette Charte-Chimérique caïnadienne.
-la
Victoire « post mortem » mégalomaniaque de victoria :
« la
Négritude » de l'Amérique africanisée en Rubitude
jusqu'à élizabeth deux
du «Amistad» de 1982
Combien de
pauvres Gens leurrés à leur Insu par le Droit Héraldique
qu’il leur est interdit d’apprendre semble-t-il, de me voir contraint
d’importer des livres d’Europe pour m’en instruire, pendant que ces
Ilotes élisabéthains dégringolaient par le fait même de cette
Censure de la Vérité dans l'Infantilisme dégradant de
l’avilissant Bestiaire-Constitutionnel «des Armoiries caïnadiennes» de
la Proclamation Royale de 1921, qui légalise outrageusement «le
Titre de Possession Coloniale élisabéthain en Méga-Clause privilégiée la
favorisant» pour notre Perte, par ce Refus injustifiable de nous
reconnaître la Dignité-Humaine ainsi que notre Libre-Arbitre concernant
notre Épanouissement-Optimal qui est conditionnel à la Mainmise sur
nos Potentialités, bien évaluées pour mieux les faire croître?
Jusqu'où cela
pouvait dégénérer un tel Scénario si macabre de la Complicité d'un
Judiciaire-Dictatorial, auto-programmé en Acteur-Compulsif débilement «mnémo-stockholmisé»
en Geoliers de leur Auto-Séquestration frenchpeasoupienne de Juristes-Losers,
de la Reconduction de la Persécution-Historique dans la
Ségrégation autant raciale que sociale
concernant les Natifs et leur Descendance autant
animalisée? Parce qu'en définitive, en appliquant la Loi
sur les Indiens, c'est la la Magistrature elle-même par
sa Jurisprudence, qui
a effectué «les Séparations des Familles Indiennes», et qui a
occasionné le Saccage des Arbres Généalogiques de la
Branche-Maternelle exclusivement, comme elle est
la Cause de la Dévastation dans les
Personnalités-Juridiques occasionnant une Crise Identitaire et
Culturelle qui ravage les Autochtones; ces semailles
de déprime et de désœuvrement d'un laisser-faire en Lien-Causal
avec la récolte macabre du plus haut taux de Suicide de la Colonie
caïnadienne. Et ce Déni de Justice revenait à une Abdication
du Judiciaire-Dictatorial de juger en toute Justice en conformité du
Droit International Public, surtout lorsque l'on se donne
de pratiquer «l'Omerta-Judiciaire» comme Louise Arbour-Zundel,
en Manigance comploteuse pour compléter l'«Auto-Absolution» des
«Crimes «Imprescriptibles» contre L'Humanité» commis
par Injustice-Canada. Une Persécution-Historique qui
est d'Origine Législative militaire du Droit des
Capitulations, judiciairement «récapitularisé» par
le Judiciaire-Dictatorial du Renvoi-Esclavagiste de 1981,
donc, par «les Véritables Séparatistes» que sont «le
Parlement-Colonial d'Ottawa» et sa Magistrature de Juges-Négriers
qui se sont appliqués depuis toujours à briser
«L'Âme-Métisse» depuis la Pendaison de Louis David Riel,
dont la Mémoire est profanée de sa nommination
« post mortem » de «Père de la Confédération»,
par les héritiers de ceux qui ont tout fait pour
le pendre.
Mais ce faisant,
en s'acharnant aveuglément sur «le Premier Melting Pot», il en a
résulté que c'est « le canadian-soul from Higher-Canada » qui se
contaminait avorté dans «L'Oeuf battu en omelette», de sa propre manie de
fonder son Pouvoir-Étatique sur «la Bipolarité-Haineuse», qui
semble bien un Mal-Incurable chez les Dirigeants anglo-saxons, si
britichiants de leur traditionnelle médiocrité «rétro-gardiste».
Parce que: «Diviser pour Régner», ne saura jamais être un
Principe Rassembleur», qui serait susceptible de faire naître
ce qui a été avorté dès la Capitulation, d’être
totalement incapables de Bonne Foi, s'empêchant eux-mêmes de
tisser «L'Âme de la Nation» qui nécessite d’apprécier les
Distinctions et donc, l’Originalité, plutôt que de valoriser
l’insignifiante Uniformité de la Pensée-Unique par le fait d’un
Judiciaire-Dictatorial de devenir lui-même «le rouleau compresseur du
Kolkhose» mentionné par le juge Jules Deschênes dans l’affaire
Quebec Association of Protestant School Board précitée, à
la page 11 de ce document. Voyez ce qu’en dit Rush W. Dozier:
« Toute
stratégie visant la création d’une entité nous/nous doit être gérée
par le système nerveux évolué, et non par le système
nerveux primitif. Le but est de reconnaître que l’humanité est composée de
nombreux groupes, mais que les membres de chaque groupe sont de nature humaine,
nature qui ne peut être ignorée ni réduite à un stéréotype. Bien qu’un
individu ou un groupe puisse avoir tort, et même commettre des actes de
barbarie, aucun être ne devrait jamais être déshumanisé. La
déshumanisation tend à anéantir le système nerveux évolué, qui permet la
réaction la plus efficace à un adversaire impitoyable. Quant à la haine
primitive, elle pousse celui qui en est infecté à commettre des actes barbares.
L’optique nous/nous vise l’élimination de la haine, mais non
celle d’un conflit ou d’un désaccord, qui peuvent servir un objectif utile tant
qu’ils proviennent du système nerveux évolué. En fait, toute opposition
de principe guidée par la raison constitue une stratégie indispensable pour
débattre de questions importantes et pour trouver des solutions astucieuses. »
((op.cit.), Dozier, Rush W., La Haine: Comprendre et
éliminer la haine, 2003, les Éditions de l’Homme, page 288)
« […] Tout
système de sens qui glorifie l’agression et le pouvoir est susceptible de
neutraliser les forces qui favorisent la création des liens nécessaires
pour arriver à une entité nous/nous. Lorsque le système nerveux
primitif domine des facteurs de motivation comme le patriotisme, le
nationalisme, la fidélité à un parti et l’esprit d’équipe, il en résulte un
sentiment du « nous » très vif mais associé à une grande intolérance,
car ce sentiment se développe au prix de l’élaboration d’un « eux »
stéréotypé. »
(id. supra, Rush W. Dozier, (op. cit.), p. 289)
Pour
l'Amer-Indien au Casino des Dés abusés, le Premier Melting
Pot, était à l'Origine composé de la Race Blanche avec la
Race Indienne, et il n'était pas exclusivement Francophone, il était
aussi Anglophone; et pourtant «L'Harmonie-Sociale» régnait sans
leur satanique Harpe-Biblique rendue une Harpe-Héraldique,
parce qu'il apparaît de «L'Histoire», que la Tolérance était
d'abord et avant tout une Vertu Familiale, puisque la
Réalité-Historique est à l'effet que fort peu de Vieilles Familles
canadiennes peuvent soutenir qu'après deux siècles et demi, elles ne
comptent aucun Métissage avec une Nation Indienne ou une autre
Nationalité. Alors, d'où venait le Mal? -il ne pouvait pas
venir simplement de ce qui démarquait les Personnes, comme par
exemple la Race, la Langue, les Coutumes et les Croyances, etc.
Non! L'Histoire est Claire! -les Races s'étaient unies naturellement et le
Respect des Différences prévalait dès l'arrivée des Français, et ainsi
subséquemment avec les Anglais de la Population qui s'étaient
également Métissés et qui formaient Tous-Ensemble «la Nation Métisse»
de Louis David Riel et de Gabriel Dumont. Il n'y avait donc pas
encore eu de Tensions Raciales ou Linguistiques s'avérant
propices à répandre le Racisme. D'où venait-il alors ce
Racisme corrosif? -sinon de la Cupidité de Posséder
le Territoire, « la Valeur Immobilière » dont
est si friand le Conquérant britannique en Ruée vers l'Ouest depuis
1760 jusqu’au règne de victoria, la Bâtarde de
Législatrice-Léopardienne saxonne de l'Unilatéralisme indiscutablement
Colonialiste de l'AANB de 1867, dont a
hérité sans aucunement s'en gêner élisabeth II du «Amistad» de 1982,
en primitive Troglodyte du Troisième Millénaire.
C'est à cause
des Juges-Négriers caïnadiens que
je restais dans les Ténèbres en regard de ma
Personnalité-Juridique, me heurtant à leur mafieuse Loi du Silence se
traduisant en insidieux Déni de Justice en regard de «leur
sournoise Pratique Ségrégationniste» qui m'empêchait, moi et
ma Famille, de nous Connaître en Substance, ainsi que toute notre
Parenté connue intégralement, sans aucune restriction de
la part des Politicards-Colonialistes et de cette
Magistrature immonde de sa Complicité unanime. Comment
s'expliquer que notre Quête n'aboutissait pas, de pouvoir dire à
notre vieille Mère nonagénaire, ainsi qu’à une centaine de
Petits-Enfants de Luce Ouellet, notre Grand-Mère de la
Branche-Maternelle: «voilà, nous sommes des Autochtones de
Telle-Nation du côté de la Branche Maternelle, vous pouvez dorénavant
changer «votre Statut Anonyme et d'autant plus dégradant de
«la Présomption de Bâtardise des Bardots-Métis», pour acquérir
enfin ultimement «le Statut d'Indien» sans
Interférence-Étatique incluant le Judiciaire, et ainsi,
pouvoir apprendre «notre véritable Langue-Maternelle» en renouant avec
notre Famille, tout en pouvant vivre enfin dans notre véritable Milieu
de Vie, ce qui n'aurait absolument jamais dû cesser d'être, que cette
Épuration Raciale s'implante «intra-tribale», au point d'être jaugé à
la baisse par beaucoup de Natifs d'être privé du «Statut
d'Indien»?
Quel outrageant Fardeau
de Preuve inique d'arbitraire, après que l'État-Forceps ait
chamboulé vos Racines Généalogiques, d'avoir à lui prouver que
vous êtes, comme il est exigé aux Descendants des Mi’kmaqs et des autres
Nations Indiennes au Royaume-Uni étasunien, d'établir au moins 25
% d'Ascendance Autochtone pour être reconnu comme tel, mais sans pour
autant jouir effectivement du Statut d'Indien et de vos Droits
ancestraux; et en double calamité, tout en
établissant par le fait même que vous êtes à 75 % un Quarteron
Bâtard sinon un Octavon dégénéré, un « Mix-Blood and
therefore Half-Breed », un Sang-Mêlé à Demi-Engendré comme
un Rejeton, une Fausse-Couche ambulante; ce qu'aucun Indien
Civilisé n'a jamais demandé à aucun Blanc, que
d'exhiber son Pedigree de Pure-Race, d'Européens nouvellement
débarqués, et qui s'autorisent de baptiser les Natifs en les
dégradant d'Épuration raciale, eux qui ont oublié trop facilement après
l’avoir tant fait subir aux Autres, avoir subi
eux-mêmes d'innombrables Droits de Cuissage du Grand FUCK,
de Fornication Under Consent of the King; pour faire perdurer
une Persécution insidieuse orchestrée par l'apposition des Armoiries
caïnadiennes de la Proclamation Royale de 1921 sur
la Charte-Animalière caïnadienne, dont le blasonnement
comprend le terme «Fief», qui signifie étymologiquement «Bétail»,
qui beugle, bêle, hennit et coasse à qui mieux mieux...
Vous comprenez
maintenant, n'étant pas un merdeux Juriste caïnadien-français,
que cela m'offusque que les britichiantes Armoiries caïnadiennes soient
apposées en Réquisition Militaire de notre Droit à notre Vérité,
à notre Droit à la Mémoire, indissociable de cette Vérité, elle-même liée
intimement à notre Dignité-Humaine d'Autochtone, subtilisée
pour mieux se faire dégrader de la présomption de Bâtardise des
Bardots-Métis, dans le cercueil de la Rubitude, à l'alinéa 2
de l'article 35 de la Charte-Animalière caïnadienne. C'est
ignorer stupidement ce que signifie le verbe blasonner, «caractériser
en bien ou en mal, quelqu'un ou quelque chose», selon
le Glossaire des Oeuvres complètes de Rabelais, 1976, Suisse,
Éditions Famot. Nul Juge ne peut contraindre un Accusé de réfuter
des Notions véridiques vérifiables, sans pratiquer insidieusement une
Lobotomie-Judiciaire, afin d'uniformiser la Pensée-Unique, en
Conversion-Œcuménique épiscopalienne pour l'Écume-Ethnique de la
prétendue Treizième Tribu des Peuples Élus de la fucking
Buy-Bulle des Colonialistes «hébraïco-sioniste», les
soit-disant Goddamites, en tant que primitive Tribu des
Réducteurs de nos Têtes...secondés par leurs
Collaborateurs frenchpeasoupiens, en Juristes-Réducteurs de leur propre tête de
Bétail, comme de celle de leur fûmelle et de leur
portée de p'tits moutons passerellistes qu'ils
animalisent passionnément...
Question
Juridique à esquiver, d'être trop embarrassante
Pourquoi (au
risque de me faire scalper), aucun Procureur n'a-t-il poursuivi les
Mohawks en 2009, pour avoir banni hors de leur Réserve les Blanches
mariées à un Indien, mais sans Statut d'Indien, pour Elle-même
et leurs Enfants, dénigrés par cette odieuse Épuration
raciale? -sinon que c'est leur propre Culpabilité qui engendra la
Retenue-Arbitraire du Judiciaire-Despotique en 2009, de ne pas accuser les
Mohawks d'«Actes de Génocide» pour l'Expulsion de
leur Réserve des Blanches mariées à un Indien, de peur de se
faire reprocher «les mêmes Actes de Génocide» pour le
Bannissement des Indiennes mariées à un Blanc ou à un Indien provenant
d'une autre Nation. Et toute cette funeste Démission de
Justice-Inique, commise par un Judiciaire-Ségrégationniste à demeure, qui croit
stupidement pouvoir nous forcer à participer lâchement en merdeux
pea-soup dans sa Profanation-Ignominieuse de la Vérité des Indiennes et
de leur Mémoire-Sacrée; justement parce que ces Juges-Nazis se
rappellent de leur Jurisprudence impitoyable de Discrimination arbitraire, qui
s'est acharnée exclusivement sur les Indiennes et leur Descendance
d'Enfants du Clan des Obrizés de «ces Femmes de la Tour de N'Elles», qui
furent cruellement contraintes à l'assimilation «sewellienne» de
l'Intransmissibilité de leur Culture en tant que Mères
de N'Elles et de N'Ils...
Vous,
Juristes-Réducteurs de nos Têtes et de nos Mémoires comprimées, vous ne pourrez jamais nier ces Actes de
Génocide, ni les Stigmates Sociaux que vous
reconduisez impitoyablement en toute Préméditation, ni encore
moins en éluder la Responsabilité Criminelle, en
osant prétendre à l'Impunité en pratiquant «l'Auto-Absolution», comme
autant de Ponce Pilate, de Barrabas et de Judas sous la même Toge
romaine, se souhaitant garder Vierge votre hideuse Image
d'Irréprochabilité de la Justice; car elle est entachée par votre
indéfectible adhésion au Droit International Coutumier de
Magistrature-Ségrégationniste abonnée à la Jurisprudence-Législative d'une
mafieuse «Common Law» de «votre Judge-Made-Law de
Juges-qui-font-la-Loi» louchement borgiaque du «Patrimoine-Matricide des
Cultures Autochtones», à promouvoir, maintenir et valoriser «en
Hors-la-Loi» du Droit International Public depuis plus de 60
ans, à poursuivre selon l’invitation à la Ligne de Parti de l'article
27 de «votre Magna-Charia protest-anglicane rétro-adventiste»,
dans votre antique Rituel-Polémologique lors des Avis-Favorables et des Renvois
d'Ascenseurs adressés à la Cour-Martiale Suprême, et qui selon
moi, sont l'équivalent d'autant d'Abdications du Pouvoir-Exécutif jeté à la
poubelle de l'Arbitraire d'un Judiciaire-Tyrannique, en contravention totale du
principe voulant qu'«un Pouvoir délégué ne peut être
redélégué», tel que déclaré dans In Re the
Initiative and Referendum Act, Appeal Court, page 935, de 1919, de la
Cour-Martiale Suprême, qu'il ne faut suivre que lorsqu'elle
contrevient au Droit International Public.
Il fallait
permettre «la Paix-Sociale», et j'ai bien noté que Rush W. Dozier dans
«La Haine: Comprendre et éliminer la haine», propose pour ce faire l'Excuse, la Demande Sincère
de Pardon, préalable à une Réparation efficace autant qu’il
soit possible d’être accomplie de Bonne Foi. N'est-ce pas ainsi qu'a
procédé le Pape Jean-Paul II, pour s'excuser des Torts de son
Église, aussi, c'est ce qu'il suggère:
« L'une des meilleures
stratégies pour désarmorcer les antipathies de longue date consiste à présenter
des excuses sincères. Il s'agit là d'une première étape dans le processus
de réconciliation et dans l'instauration d'une empathie réciproque. Présenter
des excuses favorise la disparition du sentiment de menace, met fin à la
fixation sur les Injustices passées et crée une atmosphère propice au pardon et
à la réconciliation. [...] Mais pour avoir un tel effet, les
excuses exprimées doivent être sincères.
Or, il n'est pas toujours facile de faire la preuve de sincérité dans un
climat de scepticisme et de suspicion. Le pardon, l'empathie et la
compréhension requièrent non seulement la réconciliation, mais
aussi la justice. » (Rush W. Dozier, La Haine: comprendre
et éliminer la haine, 2003, Éditions de l'Homme, page 300)
De ma collection
de citations humaniste, un véritable bijou littéraire dans ce long extrait d'un
très beau texte de Catherine Audard, qui est l'auteure de ce merveilleux
livre qui m'a emballé, «Le Respect», écrit par une
Femme-Humaniste, et qui nous propose une interprétation éclairée de cette
Résistance en Manifestation de la part d'un Citoyen, en l'occurrence de Julius
Tomin, un Philosophe de nationalité «Tchèque», et nous partage en
même temps la Réaction en Contre-Partie de la part de
l'État-Oppresseur qui se sentait menacé par la Dissidence de
Julius Tomin. Voyons ce qu'elle exprime sous ce sous-titre qui est
révélateur à mon avis de ce que «l'État-Forceps et ses
Juges-Négriers caïnadiens nous nient avec autant
d'acharnement que «la Dignité-Humaine» et le Droit à la
Mémoire, et qui s'avère être le Droit Légitime de:
«Vivre dans la Vérité»
« Ce que vous apprend ici la
dissidence, c'est la force de cette fragilité, de ce «pouvoir des
sans-pouvoir », pour reprendre à nouveau une expression de Havel.
Telle est la source de la peur du régime. Une telle initiative n'est pas
purement individuelle, elle ne peut être rejetée comme une revendication
subjective et arbitraire. Elle émane, au contraire, d'un
principe universel qui lui donne sa force. Elle énonce un droit,
droit de se réaliser selon ses normes et ses potentialités, ainsi
qu'un devoir vis-à vis de soi-même et de la communauté, le
devoir de respecter ses potentialités et de les développer dans la
mesure du possible. Alors que le régime voulait faire croire à la
marginalité du comportement des dissidents, en diffusant des rumeurs sur
leur santé mentale ou sur le caractère élitiste ou asocial de
leurs demandes, la lettre de Tomin était écrite par un individu,
certes, mais qui parlait au nom de tous, au nom de l'«humanité»,
pour reprendre le vocabulaire kantien, et qui demandait non des avantages ou
des privilèges, mais la possibilité pour cette humanité de se respecter
elle-même.
Cette lettre de Tomin nous
place au coeur même du projet démocratique et nous rappelle la place
centrale qu'y occupe le respect de soi, non seulement de soi comme être
unique et irremplaçable, mais de soi comme sujet de droits et de
devoirs. »
[…]
« La réponse des collègues
britanniques, français, canadiens, américains, hollandais, etc. de Julius Tomin
est, elle aussi révélatrice de la «politique sans politique» au sens de
Havel et d'une vision de la démocratie où le respect de la «vérité» de chacun
joue un rôle essentiel. » ((Audard, Catherine, France, 2002, Éditions
Autrement, pp. 180-181; les italiques sont de C. Audard)
Venant d’un
Natif de l’indigeste Rubitude et de l’outrancière
Subjugation britannique qui perdure, ma Vérité est néanmoins Celle
de Chacun, simplement de vous la partager; mais Elle ne vous concerne
vraiment que dans la mesure où vous sortirez de cette lecture plus
sensibilisé sur la Condition d’Autochtone, et dès lors, plus
préoccupé des ravages de la Rubitude, plus
apte et enclin à l’adoucir, et nécessairement Certain de votre propre Humanité
d’avoir pratiqué véritablement L’HUMANISME épanouissant des
authentiques Praticiens des Sciences-Humaines, en Manifestations
enrichissantes d’Évolutionnisme d’un Mieux-Être onusien qui
nous est indiscutablement dû depuis plus de soixante ans.
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Liste-Noire
des (16) principales contraventions au Droit International Public, commises
sournoisement, mais néanmoins commises de façon dictatoriale par la
Magistrature caïnadienne depuis plus de 60 ans, et qui reste indifférente
à leurs effets néfastes. «Sournoisement et de façon dictatoriale»,
parce que toujours en outrepassant despotiquement leur prétendue Compétence
Judiciaire, et sans jamais minimalement déroger nommément à chacune
de ces Règles contournées despotiquement pour se faire vider mafieusement de
leur teneur Supra-Étatique:
1- à la Convention de
Vienne sur le Droit des Traités de 1969, chap. 5, pour le Vice de
Consentement originel à l'AANB de 1867, et qui rend autant le Renvoi-Esclavagiste
de 1981 totalement Illégal.
2- à l'article 103 de la Charte
des Nations Unies, pour avoir fait prévaloir l'ancien Droit
International Coutumier, au détriment du principe de la Sagesse Supérieure
de la Loi-Postérieure qui est Celle du Droit International Public, et
en privant presque tous les Citoyens canadiens de toutes leurs protections
évolutionnistes.
3- à la Résolution
Anticolonialiste A/742, sur le caractère non-autonome du
Territoire, occulté en prétendant «dé-britanniquer» l’Acte de
l’Amérique du Nord Britannique de 1867 pour l’appeler hypocritement et
dérisoirement la Loi Constitutionnelle de 1982 pour la faire paraître
faussement indépendante, souveraine, moderne et démocratique; mais, d’une
Colonie canadienne en Courbette d’Impétration vassalique d’avoir
piteusement quémandé la Permission de son Rapatriement à sa Mère-Patrie,
l’angleterre.
4- à la Résolution
Anticolonialiste A/1541, sur la présomption de dépendance étrangère,
en l'occurrence de la monarchie de l'angleterre, qui est demeurée
ce qu'elle était, sempiternellement une Oligarchie Colonialiste
de son incorrigible Instinct de Prédateur «des Points d’Eau» des Nations
étrangères, et qui sont généralement appelés «des Oecoumènes» en
Géopolitique martiale, cette science sanguinaire, en tant que «sciencette»
des merdeux Polémologistes.
5- à la Résolution
Anticolonialiste A/1514, sur le Droit à la Décolonisation, nié
autant par l'État caïnadien que par sa Magistrature, en scélérate
«Auto-Absolution» de ses Actes de Génocide envers les Autochtones, ce qui
revient sans contredit à «se faire justice à elle-même», ce qu'elle
interdirait avec véhémence à tout Citoyen Canadien.
6- à la Résolution
Anticolonialiste A/2625, sur le Droit à la Résistance Armée qui nous est
nié d'être jugulé par l'État caïnadien avec sa Loi de contrôle sur les armes
à feu, et autant par sa couarde Magistrature, en Auto-Préservation
de Pea-Soup, les Juges-Négriers caïnadiens n'ayant, plutôt que de
cautionner des Fouilles Illégales dans leur Palais d'Injustice, qu'à se
conformer à la lettre au Droit International Public, et ainsi, de se
mériter tout naturellement le Droit de Vivre!
7- à l'article 2 de la Convention
pour la prévention et la répression du Crime de Génocide de 1951,
qui prohibe impérativement de pratiquer les Séparations de Familles, en
législation onusienne donnant effet au Précédent judiciaire du Procès de
Nuremberg de 1946, dans lequel fut rejeté l'argument des Nazis ayant séparé
les Familles juives sur le quai des gares, et qui se voulaient disculper en
vain par l'argument fallacieux de l’Obligation de suivre les ordres des
Supérieurs de leur hiérarchie militaire. Et pourtant, dans le
Droit-Colonialiste Interne, l'arrêt Canada contre Mme
Sandra Lovelace devant la Cour Internationale de Justice en 1989, nous
prouve indubitablement 38 ans de Contravention à la Convention de
1951, et cela par «Commission-Positive» de la part des Juges-Négriers
caïnadiens; en tenant compte que Mme Sandra Lovelace a dû gravir les
Trois Instances judiciaires du Droit-Colonialiste Interne pour obtenir
enfin Justice devant la Cour Internationale de Justice, ce qu'elle n'a jamais
eu des 13 Juges-Négriers caïnadiens auxquels elle a dû faire face
auparavant, parce qu'ils se sont débilement crus obligés de suivre les
ordres de leur hiérarchie judiciaire en suivant la Cour-Martiale Suprême.
Où était-il, son Droit
à l'Égalité des Sexes de l'article 28 de la Charte-Animalière
caïnadienne et celui de toutes les Indiennes bannies par la Loi sur les
Indiens s'appliquant d'«un océan à l'autre», Coast to Cust!?» À
l'évidence, à une trentaine de pouces du sol, soit quelques 76 centimètres, par
conséquent, à la même hauteur de la
dérisoire Liberté de Penser et du piteux Droit à la Vie des Méa Penchée
et des Méo Penché en tant qu'Habitants de la province du Québec au
Carcan des articles 5 et 8 de l'Acte de Québec de 1774 de george III, de
l'Obligation pour jouir parcimonieusement de leurs Droits Civils et de
leurs Libertés de Conscience et de Religion, «à l'allégeance au monarque
britannique et à la soumission aux lois de Grande-Bretagne.»
Et pour ses Enfants à Mme
Sandra Lovelace, où était-il leur Droit à l'Égalité générale de l'article 15? -tout autant sans consistance,
sans que cela ne vide de tout sens et substence l'article 52, non
plus que l'article 24 de cette Charte-Bidon, à l'effet que
sa Magistrature d'Adeptes du Droit International Coutumier ne se
déshonore aucunement en y contrevenant sans déroger nommément de
façon expresse à nos Droits et Libertés dont les Toges-Despotes nous
privent, comme le stipule en vain l'article 33. Et
les Séparations de Familles perdurent, sans qu'aucun procureur ne
s'en offusque, d'avoir vu les Blanches en 2009 se faire expulser avec
leurs Enfants hors de leur Réserve par les Mohawks. Des Crimes contre
l'Humanité qui resteront lamentablement impunis, parce que (au risque de
me faire scalper à froid), les Mohawks sont de «Bons-Indienss» de ce côté-ci
de la Frontière caïnadienne, d'avoir été jadis les Alliés du Conquérant
britannique (comme aux USA, les Mi'kmaqs sont reconnus «de bons Indiens»
jamais déportés comme tant d'autres Nations, en récompense d'avoir été
de «bons Alliés» durant la Guerre d'Indépendance étasunienne); et parce
que les Toges-Ségrégationnistes en ont fait tout autant avec les
Indiennes alors que maintenant, elles se souhaitent crapuleusement
blanchies, comme le requiert le Faire-Semblant protocolaire élisabéthain
voulant à tout prix que: the queen can do no wrong...cause Hell
is a Bet who Devil stinks! -et aussi, parce que si un Procureur canadien-français
osait dévisager un Mohawk en le regardant droit dans les yeux, «son
syndrome french-peasoupien de la trace de brake au cul» ferait que comme le
Soldat aux Barricades, il sombrerait peu après dans la cocaïne et
se suiciderait pour le plus grand bien de la Population, ceci dit,
nonobstant son dérisoire droit à la vie faunique de la Charte-Animalière
caïnadienne.
8- à la Convention sur
l'imprescriptibilité des Crimes de Guerre et des Crimes contre
l'Humanité de 1970, à laquelle les Toges-Tordues tentent
désespérément d'échapper par scélérate tentative d'«Auto-Absolution», cette
Convention servant à interpréter la Convention de 1951 précitée
au numéro 7...en gardant en Mémoire, qu'ils ont jugé Ernest Zundel pour
des Actes moins répréhensibles de les nier sans les avoir
commis, que de les commettre et de les nier par la suite...
9- à l'article 1 de la Déclaration
des Droits de l'Homme, pour l'atteinte à la Dignité-Humaine qui
résulte de tous ces Traitements discriminatoires examinés jusqu’ici; et
par le fait même, en renonçant débilement à la Sauvegarde de leur Dignité,
de leur Honneur et de leur Réputation prévus à l'article 4 de la Charte
des Droits et Libertés de la Personne du Québec, pour se plier en Méa
Penchée et en Méo Penché au Carcan législatif de george III, des
articles 5 et 8 de l'Acte de Québec de 1774, en Toges-Promotrices
du Club-Med des Anus caïnadiens-français au Soleil de l'Empire
britannique, comme autant d'Anus à préserver de l'Insolation
windsorienne.
10- à la Convention
internationale sur l'élimination de toutes formes de discrimination raciale
du 21 décembre 1965. Est-il besoin de se répéter ou prétendre ici prouver
davantage ma dénonciation? -sans être de Mauvaise Foi envers moi-même,
qui ne porte pas la Toge par Principe, pour ne pas renoncer à ma
Dignité-Humaine, (art. 4 Charte du Québec, et art. 1, Déclaration
Universelle des droits de l'Homme), et non par incapacité intellectuelle...
11- à la Déclaration sur
la race et les préjugés raciaux de 1978. Idem pour la remarque.
12- à la Convention sur
l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des
Femmes de 1981, qui est inaccessible aux Indiennes, comme les Conventions
de 1951 et de 1970 précitées. En rappel, l'arrêt Canada contre madame
Sandra Lovelace de 1989, précité.
13- à la Convention
relative aux Droits de l'Enfant, Rés. A/44/25, du 20 novembre 1989...en
pensant aux Enfants bannis en 2009 de la réserve Mohawk.
14- aux article 23 et 27 du Pacte
relatif aux Droits Civils et Politiques concernant la protection de la
Famille et le Droit de vivre dans son Milieu, refusé aux Métis.
15- à la Déclaration des
Droits des Personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques,
religieuses et linguistiques, Rés. A/47/135, du 18 décembre 1992.
16- à la Déclaration des
Nations Unies sur les Droits des Peuples Autochtones, Rés. A/61/295, du 13
septembre 2007; à l'article 2 interdisant toute forme de discrimination
raciale; à l'article 6, du Droit à
une Nationalité qui soit valorisante, contrairement au sort réservé aux
Bardots-Métis de l'article 35 alinéa 2 de la Charte-Animalière canadienne;
à l'article 7 (1), du Droit à la
Vie, à l'intégrité physique et mentale, et à la liberté et la sécurité de sa
Personne, sans être soumis à «des Traitements
différents présentant une
situation particulière et inhabituelle de Détresse, ciblant des Minorités discrètes et isolées»; à l'article 7 (2), prohibant les Actes de Génocide prévus
aux Conventions de 1951 et de 1970, précitées; à l'article 8 (1), sur le
Droit de ne pas subir d'assimilation forcée, contrairement aux
stigmates sociaux provoqués par la Loi sur les Indiens, de même que
par le Rapport-Sewell de 1810 du Juge en chef prônant ouvertement
l'assimilation des Canadiens-Français, ces deux calamités faisant
partie intégrante du Patrimoine discriminatoire caïnadien que les
Juges sont appelés à promouvoir, maintenir et valoriser à l'article 27 de la Charte
canadienne; à l'article 8 (2) a), sur le Droit à une Identité ethnique;
à l'article 8 (2) c), prohibant le transfert forcée de Population, en se
rappelant que c'était bien là l'Objectif-Ségrégationniste des Écoles
Résidentielles, ces Pensionnats-Carcéraux d'où ne sont sortis systématiquement
que des Enculés ou bien des Têtes-Brûlées dont je suis;
en infraction aussi à l'article 8 (2) d), prohibant toute forme
d'assimilation ou d'intégration forcée; et à l'article 8 (2)
e), interdisant toute propagande de discrimination raciale, contrairement
à ce que véhicule insidieusement les Armoiries caïnadiennes de la Proclamation
Royale de 1921 et l'article 35 alinéa 2 de la Charte-Animalière
caïnadienne; à l'article 9, sur le Droit d'appartenir, sans
contrainte étatique, à une Communauté ou Population Autochtone; à l'article
11 (2), au Droit à la Réparation lorsqu'il y a atteinte aux Droits culturels,
intellectuels, religieux et spirituels; à l'article 13 (1), relatif au Droit à
une Personnalité juridique qui ne soit pas avilissante; à l'article 13
(2), relatif aux Obligations de l'État, de respecter
ses engagements internationaux en administrant sa Justice; à l'article 15
(1) et (2), sur l'Obligation étatique accomplie de Bonne Foi de combattre
effectivement les préjugés raciaux.
Nous sommes donc accusés,
jugés, innocentés ou condamnés par la pire Organisation Criminelle qui
soit! -la Justice de la Monarchie britannique...chipeuse de Territoire,
chapardeuse de Dignité, voleuse de Vérité, tueuse de Mémoire...dans l'ordre du
désordre chahotique des Exterminations et des Déportations pour
Dépossession de Territoire, de désâmante Subjugation lucrative
spoliatrice et d'Assimilation déshumanisante d'infantilisation
populaire par Animalisation des Vaincus condamnés à perpète héréditairement,
Bétail bas-canadien et Faune Locale autochtone, pour finir avec le
Lavage de Cerveaux par massive scotomisation révisionniste d'Effaceurs de
Souvenirs équivalent à une Lobotomie étatisée de la
Mémoire-Collective...et cet apolalyptique scénario élisabéthain, nous
est imposé à L'Ère de la Mémoire informatisée, et vous résume les 5
sordides Libertés anglaises, taillées politico-judiciairement à froid par
les Orfèvres ringards de son jubilée diamantaire.
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Argumentation
d'un Objecteur de Conscience
s’indignant
légitimement de sa Dépersonnalisation déshumanisante
Bien sûr, les
Ultra-Soumis de la Docilité inconditionnelle condamnent toujours
automatiquement la Contestation et la Dissidence qui ne leur paraîtra jamais
justifiable ni méritoire. Pourtant, par le passé, ne serait-ce de la
courageuse Contestation à une contravention routière unilingue anglophone
par un certain Bilodeau, la Loi sur le Manitoba serait
toujours en vigueur telle qu’elle avait été écrite cent ans plus
tôt, parce qu’elle n’avait jamais été désavoué par les Législatures
canadienne et manitobaine, non plus que déclarée inconstitutionnelle par
les Tribunaux avant la salutaire Contestation de Bilodeau, ayant obligé la
Cour-Martiale Suprême à intervenir à deuxième occasion, de façon pour
le moins politico-juridico-législative dans le Renvoi sur les
Droits linguistiques du Manitoba, [1985] 1 R.C.S. 721. Sans la
Contestation de Bilodeau, les Droits linguistiques des Manitobains francophones
seraient toujours brimés, autant par indifférence que par ignorance,
de tant suinter la Mauvaise Foi de l’Intolérance instinctivement
routinière; de n’avoir rapatrié somme toute que l’Obsession britannique
de l’Assimilation systématique, avec des Valeurs Dominantes lestées du Joug du
Fascisme asocial et empestant l’«Apartheid» si cher à leur Mère-Patrie
l’angleterre.
Pourquoi
ma Répulsion profonde envers le système tout entier tout Pouvoir confondu?
-mais justement, parce que les 3 Pouvoirs de l’État
sont inextricablement liés et par conséquent sans étanchéité aucune,
présentant «une Passoire comme Séparation des Pouvoirs».
Parce que s’il est admis que «la Nature a normalement peur du Vide»,
qu’il soit aussi admis logiquement que l’Humain a «naturellement» extrêmement
peur de la Déshumanisation qui l’annihile; que si «la
Liberté» de «l’Un» s’arrête là où «la Liberté» de l’Autre» commence», ce
critère d’interprétation judiciaire se présente pour n’être bon
qu’à solutionner des Litiges concernant des
chicanes de clôtures, et que dès lors, il est absolument inapplicable
à l’Humain; comme cela apparaît clairement, l’absurde se prouvant
par l’absurde, en affirmant l’Ineptie à l’effet que: «la
Dignité-Humaine» de «l’Un» s’arrête là où la
Dignité-Humaine de «l’Autre» commence», (en
1760)…nous inférant naturellement que «l’Autre»
en manque forcément d’énoncer un tel illogisme,
puisque les Dignités-Humaines sont sensées s’inter-pénétrées
dans l’Empathie des authentiques Humanistes qui ne sont jamais des
Intrus indésirables; «la Dignité-Humaine» se
présentant donc en Vertu-Spirituelle inhérente à L’Âme, et qu’il
ne sera jamais question de rejet vital qu’envers l’Intrus de Mauvaise
Foi, l’exécrable Manipulateur mal-intentionné, et cela, parce
que la Dignité-Humaine est sans contredit une vertu Spirituelle
non-négociable, dont il est inutile d’en réclamer le Titre (comme
il en est pour une Valeur Immobilière), non plus qu’il soit
requis pour sa reconnaissance un Permis de Possession (comme pour
une Valeur Mobilière), d’en être incontestablement «Détenteur de
façon innée» de L'Âme incarnée à son Esprit incorporée.
Ma
Répulsion s’explique tout «naturellement» d’être devenu un
irréductible Objecteur de Conscience en tant qu’Humain trompé
par les Méfaits persécuteurs de l’État-Forceps, ayant
constaté de façon alarmante être dépossédé de ma Dignité-Humaine
par infamante négation législative d’abstention de garantie, complétée
insidieusement par un outrageant déni de justice. Un
psychanalyste clairvoyant pourrait fort bien y voir la Haine salutaire d’un
Théomache déicide atteint d’un sévère Complexe d’Œdipe parricide
envers le Père de l’État ainsi qu’envers tous les Popahs européens
présentant des Comportements de Colonialistes en
puissance, parce que l’État caïnadien a toujours été et est
encore incontestablement un Père abuseur de ses Enfants des
Nations Pré-Capitulatives qui regimbent évidemment contre ses
Traitements infamants, et qui s’affirment ensuite ouvertement en
clamant de saines Revendications. Finalement, pour comprendre l’Objecteur
de Conscience, il suffit d’imaginer que l’État lui est devenu
indigeste et qu’il le demeurera jusqu’à la Réforme onusienne qui
le rendra effectivement «aimable», pour reprendre a
contrario la vénérable Pensée de Pierre Teilhard de Chardin:
« Tant qu’il absorbe ou paraît absorber la personne, le Collectif
tue l’amour qui voudrait naître. En tant que tel, le Collectif est
essentiellement in-aimable. Et voilà où échouent les philanthropies. […]
Il est impossible de se donner au Nombre Anonyme. Que l’Univers, par
contre, prenne en avant pour nous un visage et un cœur, qu’il se personnifie si
on peut dire. Et aussitôt, dans l’atmosphère créée par ce foyer, les
attractions élémentaires trouveront à s’épanouir. Et alors, sans doute, sous la
pression forcée d’une Terre qui se referme, éclateront les formidables énergies
d’attractions encore dormantes entre molécules humaines. » (Teilhard de
Chardin, Pierre, Le Phénomène Humain, 1955, Éditions du Seuil, p. 268)
Le Canada, depuis sa fondation en 1760 sur le Droit
des Capitulations, est demeuré
invariablement «un Collectif in-aimable», ne s’étant
raffiné qu’en maîtrise de Simulacre démocratique en
contradiction de l'arrêt Oakes, pour dissimuler
sournoisement la Subjugation originelle qui perdure par
partisane judiciarisation. La Colonie canadienne ne s’est jamais
véritablement appliquée qu’à l’Assimilation radicale des Nations
Pré-Capitulatives en s’acharnant particulièrement sur les
Autochtones, parce que par Ancienneté d’Occupation, les Natifs
représentent toujours les véritables Propriétaires du Territoire conquis.
Privilégiant l’Uniformité de la Pensée-Unique, la Colonie
caïnadienne ne reconnaîtra jamais de façon évolutionniste un
visage distinct aux Nations Pré-Capitulatives, incapable de
concevoir cette:
« […] nécessité d’un Foyer personnel autonome et suprême
pour lier, sans les déformer, dans une atmosphère d’active sympathie, les
personnalités élémentaires. » ((op. cit.), Teilhard de Chardin, Pierre, Le
Phénomène Humain, 1955, Éditions du Seuil, p. 289)
[…]
« Capable de
contenir la personne humaine, il ne saurait y avoir qu’un Univers
irréversiblement personnalisant. » (Id., supra, p. 292)
Au lieu d’«un
Univers irréversiblement personnalisant», l’État canadien et sa
Magistrature Ségrégationniste se sont acharnés dans l’objectif
d’anéantissement de ma Personnalité Juridique et Celle des
Miens, les Natifs; de même que Celle de nos Ex-Alliés les
Canadiens-Français en tant que Nations Pré-Capitulatives, menacées
«francophobiquemernt» entre autres, par le Bill 17 de
l’Ontario francophobe, comme nous l’avons vu précédemment. Le
danger d’extinction nous guette dangereusement, à l’Usure de
l’Assimilation préconisée «sewellement» par incorrigible instinct
d’Anomie-Déculturation généralisée systémique depuis
l’Empire britannique.
Cependant,
n’étant pas tous d’impotents Britanniques dégénérés désaxés ou des
nullards-annulés Canadiens, des Esprits plus perspicaces de
leur Humanisme indiscutablement non-négociable, comme Pierre Teilhard de
Chardin, ont déjà noté les Stigmates incorporant la
Bipolarité-Haineuse répandue par cette pratique atavique importée
machiavéliquement de l'Ancien dans le Nouveau-Monde:
« En fait,
cette lutte d’influence s’est vite localisée. Celui-ci trop isolé dans le
Nouveau-Monde, -et celui-là trop dispersé sur la poussière monotone de ses îles
lointaines, le foyer Maya et le foyer polynésien n’ont pas tardé, l’un à
s’éteindre complètement, l’autre à rayonner dans le vide.» (op. cit.),
Teilhard de Chardin, Pierre, Le Phénomène Humain, 1955, Éditions du
Seuil, p. 289) p. 208)
4 Questions juridiques :
1- Confirmer mensongèrement
jour après jour la légalité de l’AANB de 1867 en reconduisant le
Renvoi-Esclavagiste de 1981, ne fait-il pas en sorte que tous les
Juges-Négriers canadiens se retrouvent automatiquement en
quadruple conflit d’intérêt, puisqu’ils reconduisent les
fourberies et la corruption de Lord Carnavon, le Président du Colonial
Office de 1866-67? et par surcroît, qui jugent les Accusés avec
un Code Criminel tout à fait Illégal tout comme sa source
carnavonesque à l'article 91(27) de l'AANB de 1867, et au nom
d'une reine qui est elle-même présentement Accusée de Crimes contre
l'Humanité? –et il y a que pour un neveu et fils de Héros de Guerre s’étant
portés Volontaires, il est autant Immoral qu’Illégal, de
légaliser rétroactivement 2 Conscriptions-Génocidaires avec une Constitution
Colonialiste de son Unilatéralisme victorien; et que nos Enfants méritent
mieux que d’hériter d’«une Extorsion Colonialiste» déguisée
frauduleusement «en Dette nationale n’ayant rien de Fédérale»;
en se rappelant démocratiquement que Juriste ou non :
«nul n'est écouté
invoquant sa propre Turpitude!»
-de juger un Accusé-Victime doublement, d’abord d’avoir subi les
conséquences des Séparations de Famille et la Déculturation,
et ensuite, de me rendre Complice de la Magistrature en Auto-Absolution de
ses Actes de Génocide ce qui fait qu'«elle se fait justice à
elle-même» de cette ignomieuse tentative d'«Auto-Absolution», ce qui
résulte en fait comme en Droit, que l'Imprescriptibilité des
Crimes contre l'Humanité de la Convention de 1970 est
automatiquement prescrite arbitrairement:
«because the queen can do no wrong, wich I do not believe at
all!»
2- Il ne peut
exister d’Indépendance ni d’Impartialité judiciaires, puisque
les Avis-Intéressés et les Renvois d’Ascenceur adressés à la
Cour-Martiale Suprême par l’Exécutif, ne garantissent que l’abdication de «son
Pouvoir-Exécutif» au bénéfice d’un Judiciaire-Dictatorial, contrairement à In
Re: the Initiative and Referendum Act de 1919 de la même Cour-Martiale
Suprême, qui déclarait dans cet arrêt le principe qu': «un
Pouvoir délégué ne peut être re-délégué!» en l'occurrence, provenant
(la 1ère fois:) «du Pouvoir-Exécutif britannique» délégué (en
deuxième main :) à «son Vassal le
Parlement-Colonial d'Ottawa» qui l'abandonne ensuite (en troisième main de la
Mainmise) «au Pouvoir-Judiciaire», à chaque Avis-Intéressé et à chaque Renvoi
d'Ascenseur, en lui reconnaissant par Abdication «le Pouvoir-Réel» par «la
règle du «stare decisis», puisque la Cour-Martiale Suprême est toujours
assurée de l’obligation préconçue des Tribunaux inférieurs de suivre
aveuglément sa jurisprudence pour en faire autant de Cours-Martiales, puisqu’elles
sont toutes sans Pacte Fédératif. «La règle du «stare decisis» ne
devrait-elle pas être déclarée inconstitutionnelle, dans la
mesure où elle sert à contrevenir au Droit International
Public? tout comme la pratique du «Judge-Made-Law» de la Common
Law, de «Juge-qui-font-la-Loi», mais, despotiquement et
traîtreusement en Hors-la-Loi du Droit International Public, puisque
ces deux pratiques arbitraires évident les Droits et les Libertés en
Droit Interne, ce qui les rend outrageusement Inconsistants, contrairement
à la garantie de l’article 52 de la Charte canadienne, tout comme
à l’article 33, qui exige de déroger nommément aux Droits et aux
Libertés; et cette pratique judiciarisée systématiquement déshonore la
Justice, contrairement à l’article 24 de la même Charte-Bidon,
puisque chimérique?
3- Selon les
archéologues, les Autochtones habitent ce Territoire depuis 12, 000 à 20, 000
ans, et jamais n'ont-ils été racistes au point d'exiger des Blancs la
même ignominie que d’avoir à prouver leur Pureté Raciale pour jouir
pleinement du «Statut d’Être-Humain», comme il en est du «Statut d’Indien» permettant
de vivre parmi les Natifs sans discrimination des Natifs, et de jouir
pleinement de ses Droits Ancestraux, ce qui revient pour un Bardot-Métis à
«son Statut d’Être-Humain» que de posséder «le Statut d’Indien». Il
s'agit ici de Prégnance d'Ipséité, de ce qui fait qu'un Être est unique, et que
lui seul sait vraiment pour pouvoir correctement et justement se révéler aux
Gens de se Savoir en Substance du fait de se ressentir intimement, sans se
faire affubler d'une quiddité baptismnale avilissante par des
Européens qui viennent à peine de débarquer avec leur cladisme invétéré.
Ce stigmate asocial provient de la Subjugation outrageusement
véhiculée par la Proclamation Royale de 1921 et qui est enchâssé
en présomption de Bâtardise à l'alinéa 2 de l'article 35 de la Charte-Martiale
et Animalière caïnadienne, dégradée de sa Martialité flagrante
par l'apposition des Armoiries caïnadiennes sur le Document Officiel de la Codification
des Lois constitutionnelles de 1867 et de 1982, ce qui est à
l'antithèse d'«la Société canadienne» qui «se doit d'être libre et
démocratique», selon l'affirmation dogmatico-politico-juridique du juge
en chef Dickson dans l'arrêt Oakes, page 136, et ne saurait donc pas
être justifié non plus que reconnu raisonnable de ce fait?
Il est
fortement recommandé que ces Lois iniques soient toutes déclarées
désavouées et inconstitutionnelles, pour que «l'Être-Parfait» du Parlement
accède à cette perfection émérite qui lui est reconnue de façon partisane;
par exemple, législativement, en changeant le terme «Métis» pour celui
en lien avec l'Ascendance Autochtone de la Personne, même si cette dernière
n'établit qu'une Branche-Familiale sur deux; ou poétiquement, celui
d'«Obrizé(s)es)», du nom de cette Or Fine d'avoir été fondue et refondue par
les Orfèvres d’autrefois pour en éliminer toutes les impuretés, ici (raciales)…ce
qui se pratique encore présentement depuis l'assimilation «sewellienne» de
son ciblage linguistique. Le principe d'être reconnu «Autochtone», ne
serait-ce que par «Relations Historiques», tel que dégagé de l'arrêt Freedmen
de la Cour Suprême des États-Unis, ne sera jamais reconnu en Canada qui
empêche systématiquement les Retrouvailles des Familles qu'il a
séparées.
Cette Refonte
Humaine en Réforme aurifère, s’avére indispensable à la Paix-Sociale et à
l’Épanouissement des Êtres, rendue nécessaire pour enrayer le Racisme
implanté depuis l’origine et redevable à une Volonté
assimilatrice cruelle d'arbitraire, répandue par la Loi sur les
Indiens, supposément non-discréminés par le nom de «la rue Amherst»,
de l'infra-constitutionnalité de l'article 11 de la Charte du Québec,
inférieure à la Supra-Constitutionnalité de la Charte-Martiale canadienne;
«martiale» des Armoiries apposées en page couverture comme une
couverture «amherstienne» empoisonneuse; et de même, pour leurs
Ex-Alliés les Francophones, par les articles 5 et 8 de l’Acte de
Québec de 1774, qui conditionnent despotiquement la jouissance des
Libertés de Conscience et de Religion ainsi que la jouissance parcimonieuse
des Droits Civils «des Habitants de la province de Québec», obligés
à «l’allégeance au monarque britannique et à la soumission
aux lois de Grande-Bretagne»; et encore, par le Rapport-Sewell
de 1810 du juge en chef Sewell de la Cour-Martiale Suprême éloquent de
Volonté-Assimilatrice, tout autant que l’exécrable Bill 17 de l’Ontario francophobe des
«Higher Canadians, much Higher then thoseones known as the Pea-Soup from
Lower-Canada»; d’une Volonté dominatrice anachronique
de la part d’un État-Membre à l’ONU, resté pitoyablement accroché à
la primitivité de «l’ancien Droit International Coutumier», et par
conséquent, dont la pratique juridique est totalement contraire à ce
qu’exige la modernité effective du Droit International Public.
Car, que l’on
s’entende au moins sur ce point: nul ne peut «promouvoir, maintenir et
valoriser» l’Inégalité en vrac, d’un Patrimoine-Matricide des
Cultures Autochtones, ravagées par l’intransmissibilité préconisée
depuis la Conquête de 1760 pour viser l’Assimilation accomplie des Natifs,
toujours motivé par l’Instinct atavique de la Bipolarité-Haineuse qui menace
inexorablement de disparition l’ensemble des Cultures Autochtones, et même,
n’en doutez pas naïvement, de vous sentir trop facilement rassuré en rejetant
d’emblée cette amicale mise en garde: qui menace également la
Francophonie canadienne, dans et hors le Québec…
En effet,
Claude Hagège, linguiste de renom, rapporte dans «Halte à la Mort des
Langues», qu’il se trouve présentement plusieurs linguistes très alarmés
par les politiques économiques qui menacent belliqueusement une grande
quantité de Langues, et dont ils prédisent la disparition prochaine
d’ici un siècle. Et puisque le langage courant véhicule que nous parlons tous
«une Langue Maternelle», la menace appréhendée annonce donc une
catastrophe qui vise «le Matrimoine» Culturel de L’Humanité»,
l’Édifice de la Pensée Humaine, la Langue s’avérant être «la
maison de l’Être», selon les paroles ressenties et sensées de Heidegger.
Ainsi, je serais donc le Défenseur des Cultures Autochtones que je sais menacées,
ainsi que le Défenseur du Français (que j’ai rebaptisé la Langue du Lys), et
cela, après avoir été dûment assimilé doublement par les
Missionnaires des Colonisateurs Français d'abord, qui se cherchaient
alors des Alliés auxquels ils tournent désormais le dos en
négligeant de façon irresponsable de défendre leur Culture, pour finir par
mettre L’Amer-Indien dans une situation d’impasse, dans un micmac
calamitesque, digne d’«un Mi’kmaq «algonquinisé», dont la Peronnalité
Juridique est fragmenté du Québec aux Maritimes et du Maine jusqu'aux
Îles Saint-Pierre et Miquelon, et par surcroît sur la «Sûre-Proie»,
sans le «Statut d'Indien», en «Nobody» au «Nowhere» en «Time-Out» pour les
«Misfit» du «Outfit» des « Has Been before forbidden to be » de la
Pourvoirie caïnadienne. Quant à la
menace qui pèse sur le Français, voyez de façon alarmiste ce qu’en dit
Claude Hagège:
« Or le français, qui ne figure
pas même, avec les quelque 100 millions de locuteurs qu’il compte sans doute à
travers le monde, parmi les 9 langues les plus parlées, continue
néanmoins, aujourd’hui comme hier, de tenir la seconde position derrière
l’anglais, en termes, non pas en volume démographique, mais de diffusion
universelle, ainsi que de présence dans les institutions internationales
et dans l’activité mondiale de traduction. Dès lors, le français,
même si cette seconde place est plus théorique que réelle, même si, dans
bien des organismes, son statut d’égalité avec l’anglais est souvent violé,
ne peut pas apparaître comme un rival encombrant, dont on souhaite,
consciemment ou non, l’éviction. C’est pourquoi sa promotion face à l’anglais
revêt une valeur symbolique. Sa défense et son illustration sont depuis
longtemps liées à celles de la place qu’occupent la culture française et la
francophonie dans le monde.
Le français est une affaire
éminemment politique. Chacun sait, y compris ceux qui s’en gaussent ou
s’évertuent à la vilipender, que la défense de l’exception culturelle
par plusieurs acteurs de la politique française n’est pas une petite guerre
d’opérette. En défendant la culture, c’est-à-dire la vie, le
français défend sa vie. Il défend aussi, et par là même, celle de
l’allemand, de l’italien et d’autres langues d’Europe, pour ne parler que
d’elles. »
(Hagège, Claude, Halte
à la Mort des Langues, France, 2000, Éditions Odile Jacob, pp. 402, (op.
cit.), p. 366)
Si «le
Français défend sa vie» en défendant sa Langue, l’Égalité réelle exige
qu’il en soit ainsi pour quiconque, quelle que soit le nombre de Locuteurs de
sa Langue Maternelle, démographiquement parlant, qu’Elle lui soit inculquée de
façon naturelle (matriarcale), ou qu’Elle lui soit acquise par immersion
colonisatrice. Il est question ici d’«Auto-Préservation» qui est impossible
à réfréner chez le Défenseur de sa Langue, puisqu’aucun Pouvoir Étatique
ne peut instituer une restriction à la Liberté d’Expression, et cela,
tout simplement parce que cette restriction serait universellement reconnue
pour être arbitraire, et ne saurait non plus être reconnue «raisonnable» et
«justifiable» dans «une société libre et démocratique»; et cela, en même
temps que les juges se retrouvent appelés «à promouvoir, à maintenir et
à valoriser le patrimoine multiculturel canadien». À trop se retenir
de parler du Passé, on ne s’applique finalement qu’à le reconduire pour
sous-vivre déphasé de notre Spatio-Temporalité d'un Espace-Temps qui est
loin d'être «relatif», de sa néantisation systématique du Système du
Point-Zéro de l'annulation des Êtres. Et que peut-on en conclure, sinon
qu'après le Français et l'Anglais, les Autochtones devront apprendre le
Chinois, les Politicards-Capitulards caïnadiens-français se révélant
ouvertement arabophobe pour ne pas s'avouer Colonialistes), et
que cela aura certainement pour effet d’accomplir cette prédiction alarmiste
des linguistes, telle que relatée de ses confrères par Claude Hagège:
« […] Ce qu’une communauté
linguistique juge digne de recevoir un nom, une autre l’ignore
et ne lui donne aucun accès direct au dicible.
La science du langage et des langues ne peut se
contenter d’être une axiomatique sur fondement unilingue. Elle doit, de
toute nécessité, exploiter tout son matériau, qui est considérable. Et c’est
précisément parce que les langues meurent, ou se trouvent en péril de
mort, que la linguistique est menacée par des dérives rhétoriques, qu’encourage
l’indigence de la base factuelle concrète. Ainsi, l’étiolement de
la diversité des langues est, à long terme, celui de la linguistique
elle-même. Ce pourrait même être une perte sévère pour d’autres sciences
humaines. Car comment se faire une idée fidèle et complète des capacités
créatrices de l’esprit, si des témoins de réalisations qui ne sont attestées
nulle part ailleurs s’engouffrent dans l’oubli?
LE DOMMAGE ÉCOLOGIQUE
ET GÉNÉTIQUE
Les prévisions les plus pessimistes,
fondées sur le nombre de langues en état d’obsolescence ou d’agonie, évaluent
à 90% les pertes probables à l’horizon de l’année 2100. Cela fait 4 500
langues sur 5 000 !
Une comparaison avec les espèces
zoologiques et botaniques peut être faite ici. Selon une étude de spécialistes
à laquelle la presse a récemment fait écho (cf. journal Le Monde, 10
mars 2000), le rythme de disparition des espèces vivantes est aujourd’hui 1 000
à 10 000 fois supérieur à ce qu’il a été lors des grandes périodes géologiques
d’extinction. Contribuent à cette performance remarquable l’agriculture
intensive ( moins de 30% des espèces végétales procurent plus de 90% des
aliments de la population mondiale), la déforestation massive et méthodique
(bien qu’anarchique), l’urbanisation et l’industrialisation. Le résultat est
que sont en danger d’extinction immédiate une proportion considérable des
quelque 1 650 000 espèces actuelles, lesquelles se répartissent en 45 000
vertébrés, 990 000 invertébrés et 360 000 plantes. (…)
[…] Si la progression continue au
rythme actuel, 25 % des espèces animales risquent d’être effacées du globe
avant 2025, et 50 % avant 2100, soit des proportions sensiblement égales à
celles des langues.
[…]
La disparition des langues est à
regarder comme un grave dommage subi par ce qui a été appelé le «génome
linguistique» de l’espèce humaine (cf. Matisoff 1991, 220), ou patrimoine
de gènes linguistiques que représente l’ensemble des langues vivantes ou
mortes depuis l’origine des temps. N’y a-t-il rien qu’il soit possible de faire
pour réagir contre ce dommage ? Les langues qui sont encore vivantes sont-elles
moins dignes d’être protégées que les espèces animales ou végétales ? » (
Hagège, Claude, Halte à la Mort des Langues, France, 2000,
Éditions Odile Jacob, 402 pages, (op. cit.), pp. 228-230 )
«Pour réagir contre ce dommage» pour ne pas
qu'il se perpétue, il faut l’appréhender comme un Danger Réel à la Survie même
des Utilisateurs du Français, et la Réaction de notre part doit être telle,
qu’il soit impossible de lui faire la sourde oreille en filant à l’anglaise
par la banalisation de ce Fléau-Asocial, redevable à la survivance absurde des
Lois-Ethno-Linguicides dénaturées francophobes. Qu’attendre de toutes
ces Toges-Tordues qui préconisent «le Nivellement de la Pensée-Unique par la
Conversion Oecuménique pour l’Écume-Ethnique de la prétendue Treizième Tribu
des Peuples Élus», les soit disant Goddamites, de la Tribu des
Réducteurs de nos Têtes?
Que faire, sinon les alerter par une Dissidence
Anticolonialiste tapageuse, appelée inévitablement à se manifester lors d’une
mémorable Jacquerie littéraire et judiciaire: -ce qui nécessitera sans
contredit de ma part, de monter hardiment à la barre comme on monte aux
Barricades! –parce que l’Empathie n’est assurément pas la qualité humaniste qui
prime à posséder effectivement chez ces invétérés Promoteurs de la
Pensée-Unique. Parce que finalement, je me suis posé la question,
inévitablement: comment mettre ces Toges-Tordues dans mes Mocassins,
alors que par Assimilation fanatique, elles ont fait en sorte que je
sois Absent de Moi-Même, le Nullard-Annulé qui s’ignore, d’être appelé
sur le tard à apprendre le Mi’kmaq, ma véritable Langue Maternelle à
m’inculquer en même temps que de voir à m’impliquer véritablement à la
défendre, et cela, simultanément en défendant autant mon autre Langue
Maternelle d’utilisation quotidienne, le Français, afin de ne pas me retrouver doublement
dépossédé?
Afin d’ébranler et ultimement confondre les
irréductibles Sceptiques de la menace réelle qui pèse sur le Français, la
citation suivante de Claude Hagège, est susceptible de les convaincre
finalement, la Vérité se frayant un Chemin parmi toutes les inepties qui
nous ont été inculquées pour mieux nous faire dormir au gaz somnifère
de «la Révolution «trop» Tranquille» et «des Arrangements
ultra-déraisonnables», tout juste bons pour des Rampants invertébrés, que
sont toutes les piteuses Méa Penchée et tous les pitoyables Méo
Penché bien domptés à échapper leur barre de savon au britichiant Carcan des
Subjugués en Ilotes héréditaires des Démovores windor, en héritiers
bas-canadiens peu enviables des articles 5 et 8 de l’Acte de Québec de
1774, ces Tardenoiseuses et ces Tardenoiseux du Royaume de Tardenoise, que
j’entends aimer bien en les châtiant aussi bien, jusqu’à leur
Transmutation salvatrice de Défenseurs de leur Humanité, c’est-à-dire,
en vénérables Primenoiseuses et en superbes Primenoiseux du Royaume de
Primenoise, au même Endroit, le Québec dans un Canada démocratiquement onusien,
par conséquent, en tant qu’Êtres-Là qui firent tout pour que cela advienne d’en
devenir d’honorables Citoyens, qui ont su confectionner le Présent en Cadeau à
tendre à la Postérité pour qu’Elle puisse jouir pleinement de L’Avenir et de
son Humanité. En me demandant combien de Langues un Autochtone doit-il assimiler
avant d'être autorisé à apprendre sa Langue Maternelle, l'utiliser et la
promouvoir effectivement, voici cette citation de Claude Hagège:
« Sur le sort des francophonies de Terre-Neuve
et d’Ontario »
« Deux exemples frappants concernent le
français, en des lieux dont la puissance d’absorption est élevée, et qui
sont évidemment situés dans l’Amérique du Nord en majorité anglophone. L’un
est la péninsule de Port-au-Port, dans la province canadienne de Terre-Neuve,
où des Acadiens vinrent s’installer entre le milieu du XIXe siècle
et les premières années du XXe. À cette époque, la population
francophone était de 2 000 âmes, alors qu’elle n’est plus que d’un
millier à peine, surtout dans les villages de Cap-Saint-Georges et
la Grand-Terre ; les deux autres, L’Anse-à-canards et Stephenville,
n’avaient plus en 1980, que des sous-usagers de plus de 50 ans. L’avenir
du français de Terre-Neuve, langue d’une infime minorité environnée
d’anglophones que les nouvelles générations ne rêvent que d’imiter, paraît
bien sombre, à moins de quelque prodige. Le second lieu de francophonie
en danger est la ville de Welland, dans l’Ontario, à proximité des
chutes du Niagara. Là vinrent s’installer après la Première Guerre Mondiale,
attirées par le développement des industries du fer, de l’acier, du caoutchouc,
des textiles, une quarantaine de familles franco-canadiennes du Québec, qui
constituaient, lors du recensement de 1981, 15,5 % des 45 000 habitants
de la ville. Cependant, le poids de la majorité anglophone et sa présence
sur tous les lieux de travail, l’augmentation constante des mariages mixtes,
ainsi que l’énorme pression des médias, ont pour effet une désaffection des
plus jeunes à l’égard du français, en dépit des mesures nombreuses qui
le soutiennent. » ( Hagège, Claude, Halte à la Mort des Langues,
France, 2000, Éditions Odile Jacob, (op. cit.), pp. 213-214 )
<=><=><=><=><=>
Avis
à quiconque prétends superviser dogmatiquement
l’Éducation de nos Enfants, qu’il soit bien entendu que,
votre Contrat
Social à sens-unique est rompu:
-si aucun Juge Canadien-Français, utilisateur et
bénéficiaire d'une des 6 Langues officielles qui traduisent le Droit
International Public moderne, ne s'objecte du maintien en vigueur d'une
telle Loi-Ethno-Linguicide comme le Bill 17 de l'Ontario, qui
a fait en sorte qu'en 1900 la Population francophone de l'Ontario était de 15%,
et que cette Loi-Ethno-Linguicide ultra-francophobe a fait que 100
ans plus tard en l'an 2000, la Population francophone de l'Ontario avait
chuté à moins de 3%, (en arrondissant à 12% de perdus en 100 ans,
les 3% restants = x ans), ce qui laisse clairement entrevoir mathématiquement
l'équation apocalyptique qu'en 2025, la Population francophone de
l’Ontario sera complètement sinon pratiquement assimilée, sauf pour
les noms de Famille, s’ils ne sont pas anglicisés par les N’Importés du
qu’Importe, en débile jubilation de docile Conformité à l’Uniformité de la
Pensée-Unique encadrée protest-anglicane rétro-adventiste par «l’Être-Parfait»
du Parlement-Colonial d’Ottawa, ce qui se présente pourtant totalement
contraire au principe «du multiculturalisme canadien», quotidiennement
promu, maintenu et valorisé judiciairement, selon l’article 27 de la Charte-Théocratique,
Martiale et Animalière caïnadienne.
Par
conséquent, comment pourrez-vous prétendre à la crédibilité minimale
ainsi qu’à la volonté démocratique nécessaires à la protection des Cultures
Autochtones, combien plus fragiles que le Français? -et même, à être envisagé
encore pire comme menace, après le cruel Saccage judiciarisé de
nos Arbres Généalogiques visant notre Dépersonnalisation et notre
Déshumanisation par le fait même, de promouvoir la Crise
identitaire et culturelle et la Détresse psychologique qui incite
sournoisement au Suicide dans la Population où le Taux de Suicides
est le plus haut au Canada. Aussi, comment après un
tel Despotisme criminel, osez-vous prétendre détenir la crédibilité
nécessaire pour superviser professionnellement l'Éducation de nos Enfants,
alors que vous menacez dangereusement leur développement intellectuel
autant que leur Épanouissement-Humain, ce qui me démontre encore très clairement
que vous en êtes absolument disqualifiés suite à votre exécrable
tentative d’ « Auto-Absolution » à vos Actes de Génocide, d’être
toujours en pratique partisane et arbitraire de ce fait, selon
votre exécrable impéritie chronique motivée de votre incorrigible
Turpitude-Népotique!
4- En Rappel
de Sensibilisation-Mnésique: ma Culture n'est pas un objet de «douanes»,
un Son mécanisé radio-télévisualisé ne laissant entendre que le cri d'une Bête:
puisque c'est
un Son-Humain qui vibre en passant vos
Frontières urinées
d'une pestillentielle Pisse régalienne qui empeste le Sang
calciné par la Poudre d'escampette
d'une Désertion à
L'Humanisation à faire oublier coûte que coûte à des Valeurs-Mobilières
à qui il est nié tout Titre de
Propriété-Immobilière, ce qui leur semble impensable,
que de
décerner un Titre de Propriété à un
Animal domestiqué;
pas à de «sales Mulâtres impures»
de Race, à l'évidence, comme les Métis
de
Louis-David Riel, de l'absence de cette
incomparable Blancheur des Blancs-Blanchons,
ayant oublié
depuis plus de mille ans leurs Racines
fuligineuses, mais qui se précisent
autant
Tribales que «Quarteronnes octavonniennes»,
suite à mille Envahissements
suivis
systématiquement du Droit de Cuissage
royalement autorisé du «FUCK»
of: Fornication Under Consent of the King»...et du Troussage
foncier des Terres
de la Couillonne avec l'Imposition de la Taxe de l'Usurier qui est «le Shy-Lock»
et le Persécuteur nous faisant subir la Subjugation britannique;
exigeant de Nous par un insidieux
Harcèlement ponctuel
d'une invitation radiophonique bilingue, à trahir la Démocratie en
invitant sournoisement
le Bon-Peuple à s'avilir pour le Convertir
par Recensement-Baptismal
protest-anglican rétro-adventiste, à
revêtir
la fucking filthy Caïnadian Colonialist Citizen-Shit!
<=><=><=><=><=>
Yerk! -rien ne va plus! -ni de la
Tête ni du Cul! -c'est sans Couronnement que je procède
à mon Investiture, et de vos
gardes-robes, un bon Conseil: sortez-en
car j'y entre! -aussi, sachez que jamais
je ne transgenrerais mon Genre de Peau-Rouge remodernisé
en Mi'kmaq-Trickster au rutilant
Pénis, interchangé pour le
clitoris tout rabougri
et vermoulu d'écarlate tout empoussiéré de victoria la
Holstein sans Pedigree,
dont le Gynécologue-Barjo s'ignorait
être le Vétérinaire d'une Basse-Cour gynécocratique
d'où elle chante
encore le chant du Coq au Soleil-Levant chapardé universellement,
parce qu'elle fausse notre Itinéraire vers notre Destinée, comme un Chant de Sirène
nous attirant aux Récifs...-d'un Droit à la Vie tué par une Reine-Morte en 1901,
toujours collée à «son Droit
International Coutumier» d'arriérée Troglodyte refilé
à fiston george V le Ségrégationniste, puis à george VI le
Bégayeux, faisant que sa portée
se répète avec sa génisse en «gêne-aise» élisabeth deux du «Amistad» de 1982, et Pok! -Pok!
-Pok! -et Toc! -Toc! -Toc! -qui nous fait voir
se parader son prétendu sceptre d'ébène
du chevalier à la verge noireau funeste service macaque de
son gangraineux
«pénis clitoridien», dérisoire, comparativement «au Vagin-Phallique» de sa monarque,
en parodie de l'Iniquité à son comble motivant ma Jacquerie-Littéraire qui la dénonce,
de prévaloir
injustement et cyniquement sur notre
Volonté-Populaire contemporaine
avec la Volonté-Débile d'un Spectre satanique de s'être
voulue autant couronnée
que mitrée en immortelle Reine-Papesse, et qui n'est en rien Signataire
du Pacte-Onusien étant décédée avant l'avènement du Droit
International Public
des Êtres-Civilisés. »
Ce qui résulte en Droit à la sous-existence dans une
cacophonie assourdissante
de «Bêhêhêh!» -de la
part des vaticanes Brebis, entre les
pattes desquelles se coassent
un glorieux concert de «Reurritte!» -de clovissiennes Grenouilles;
ainsi proposé
par la Charte-Animalière Ti-Pètienne de ses flatulences
«Post-Mortem» de nous restreindre
à un Droit à la Vie-Faunique, limité dérisoirement à quelques 80
pulsations-cardiaques
par minute, dans un Bestiau chauffé à plus ou moins 33° Celsius, mais dont L'Esprit,
par ailleurs Prometteur, est
tristement consigné dans un lamentable
État-Végétatif
de Mort-Cérébrale victorienne; parce que les
Juges-Négriers caïnadiens
font prévaloir la Volonté-Étatique de victoria, la
Reine-Morte, préférée à tout Zombi
héraldiquement animalisé; car à l'usure du
Bon-Peuple, son ignorance cultivée
s'interprète systématiquement en Consentement Tacite à son
Animalisation, du préjugé
d'être éligible héréditairement à la méprisable Docilité
des Vaincus, d'un Reproche souhaité
en sus de sa Couardise à
se faire respecter; d'avoir renoncé à toute Dignité simultanément
à toute Verticalité
Humaine à l'Enclos «des Arpents-Verts» des
Réducteurs de nos Têtes
au marquage du Rodéo,
dans les Échos déchirants, mais hilarants,
des «Bé-Bé-Bé-Bêh-Bêh-Bêh! -des Bébés des moutons roses»,
d'être constamment
rasés» dans toute la Colonie caïnadienne...
Mais il y a que le Fait de ne
plus s'accepter en Zombis nous rend
Consistants
de notre Résistance-Vitale du Spectre en Investiture s'incarnant, du Non-Être à L'Être-Là!
-cependant, pour la Descendance des Pendus rependables,
pathétiquement,
qui sont maintenus en acharnement thérapeutique misant sur l'Effet Placebo
avec leur
Justice-Bipolaire de «docteurs
Jekill&Hyde the « natural born killers »
de leur crasseuse Toge enchiennée, parce qu'ils opèrent
en salle non-aseptisée
dans l'objectif britichiant de nous infecter «amherstiennement» pour nous occire,
sinon nous plonger dans l'État-Végétatif
qui inspirerait tout Tribunal-Démocratique
en tout autre lieu, d'octroyer
d'emblée l'Euthanasie sur Demande,
par jugement compatissant
accordant assurément le Débranchement sans hésiter,
parce que nous y serions
appréciés en tant qu'Être-Humain...
Je le sais, d'être Mi'kmaq, du
Peuple des Gentils déchu drastiquement dans
l'Imbroglio
de L'Amer-Indien longtemps
enmêlé de son Impasse à démolir en solutionnant
mon Énigme; qui vous précise être
Mort-Né le 8 Décembre 1950, d'avoir pratiquement
passé l'arme à gauche le 8
Septembre 1760, à demi-avorté, à
moitié-euthanasié
d'un antique Jugement par Contumace qui frappe
héréditairement, reconnu
crapuleusement valide par les Juges-Négriers de
l'État-Forceps qui m'a exproprié
de ma Personnalité-Juridique en se prétendant «Humain» après m'avoir animalisé,
pour qu'il illustre sa Lâcheté d'être incapable d'achever la pauv'Bête qui
le lui réclame!
-J'ai oublié la Messe en Latin
que tout jeune je servais régulièrement,
de même que le Credo, le Pater
Noster, l'Ave Maria, mais surtout, la prière à l'Esprit-Saint,
cet Intrus dans mes
Méditations Introspectives, qui s'accaparait de ma Gloire
en me dépossédant,
d'autant d'imprécations maléfiques que
j'ai troquées savamment
dans mon Espièglerie qui
s'amplifie sagacement en renouant avec la Coutume
du Scalp immérité. À brides abattues, L'Esprit propulsé par L'Âme d'y
siéger,
j'énonce avec Ferveur ma Prière
du Matin dans le Cri de Guerre des Apaches:
«quel Beau Jour pour mourir!»
Ils haïssent nos Cultures avec leurs putrides Lois Ethno-Linguicides
pour l'Usage
des Politicards-Capitulards de leur
Délégation vassalique. Nos Cultures qui se
font saper
par l'Anomie-Déculturation qui objective l'Assimilation du
Bas-Canada souhaitée clairement
par le Haut-Canada dans le Rapport-Sewell de 1810;
et le même Droit
Saxon dénaturé-décadent prévaut au Royaume-Uni étasunien;
notre Déshumanisation légalisée par le
Passeport de la Honte
à la mode médiévale du Droit Héraldique
de «l'Import-Export»
pour les N'Importés du qu'importe»; puisqu'à «la Bourse du Point-Zéro»
nous sommes cotés «ISO» de L'Être-Annulé «en Valeur-Mobilière»,
si méprisée de
son Dépérissement si coûteux
justifiant de souhaiter sa Mortalité
d'ailleurs inexorable; qui,
si ce Vaurien était estimé en
«valeureuse Valeur-Immobilière» aurait obtenu «Compensation»selon l'arrêt Manitoba
Fisheries de la Cour-Martiale Suprême;
sauf pour ces Carpes
de bas-fonds, le ventre dessus la
gueule ouverte;
de l'attitude des Possédés dépossédés de leur Âme.
Comme la Femme de la
Chrétienté du «Calendrier-Solaire» d'il y a cinq siècles,
la Bouc Émissaire du
Dieu-Yang de sa Trinité dénaturée Tri-Phallocratique,
qui a cureté la Matrice de nos Mères
pour mieux chambouler nos Racines-Généalogiques
dans son Val-Jalbert pan-caïnadien,
pour nous faire oublier nos Langues-Maternelles qui vont
mourir
dans «le
Patrimoine-Matricide du Fieffé-Fief du Caïnada».
En Rumeur inédite, cet extrait en
finale de Défense Anticolonialiste
devant être plaidé au Pro Domo
par votre Mal-Plumé, et jugé devant Juge et Jury
les 31 mars et premier avril 2014
au Palais d'Injustice de Montréal:
Il y a atteinte à la Personnalité juridique des Autochtones, expropriés de Celle-Ci
sans Compensation, d'être jaugés en Faune Locale, en
vulgaires Valeurs Mobilières, qui, si elles avaient été de lucratives Valeurs Immobilières,
auraient reçues Compensation fort avantageuse, selon l'affirmation
catégorique:
«No expropriation without
Compensation!» -de la Cour-Martiale Suprême
dans l'arrêt Manitoba Fisheries. Selon ce que cela m’infère
d’avoir vu se judiciariser
l’absurdité ainsi rendue dérisoirement brevetée, c'est dire franchement
qu'il eût mieux valu que je plaide la Cause des Natifs, avec un Titre de Propriété
sur la tête, avec pot de terre
et une canne de sardines,
afin d'être perçus avantageusement en tant qu'inestimables « Valeurs Immobilières »,
et ainsi, rendus éligibles à l'inespérée Compensation de Sincère
Excuse piaculaire
et aide effective à débroussailler nos Arbres Généalogiques
après l'outrageante expropriation de nos Personnalités juridiques. Tant qu'à moi,
à choisir ma Sentence à la manière de Socrate, j'opte sans hésitation
pour l’Excommunication de
votre bâtarde de Théocratie élisabéthaine,
et même encore plus, j’opte pour l'Euthanasie libératrice, plutôt que le statu quo
d'une piètre sous-existence de
Zombi soumis législativement à la
Volonté débile
des Rois-Morts! -ou bien, minimalement, en ultime Espoir d’Émancipation évolutive,
que l'on me reconnaisse ouvertement et sans aucunement lésiner,
l’inestimable Liberté céleste d’une Outarde, qui, la Chanceuse privilégiée,
voyage glorieusement sans le merdique
Passeport de la Honte pour Vaincus rabaissés
en «POW, Prisoniers
Of War», et qui s'acceptent ainsi de tolérer
être pitoyablement dégradés en
«WOP, Without Official Paper», alors qu’en Outarde,
je n’encourerais bravement somme toute annuellement
qu’une courte saison de chasse…«IDLE NO MORE!»
–«to be consider very seriously, from the Mikmaq-Trickster Kwi'kwa'ju!»
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