Défense Anticolonialiste
Les emphases,
italiques et soulignés sont généralement de nous; ne sont signalés que les
ajouts provenant des auteurs. Quant aux trois astérix ***, ils n’indiquent en
repérage personnel que le début des collages provenant de plusieurs de mes
textes, qui s'offrent en agrégat traitant de Rubitude et de causes
en justice qui ont eu lieu ou qui sont appelées à se faire juger en
2014, et dont les détails vous sont précisés de façon éparpillée
obligatoirement, comme se doit être absolument tout ce qui provient d’un
Excentrique malencontreusement mis Hors-de-Lui, de ma Personnalité-Juridique pulvérisée
et atomisée tout autour de ma carcasse d'Annulé avec tous les
Miens «zombifiés» en Zappés-Apatrides…
Ce texte
casse-tête se tient néanmoins, et n’en constitue pas moins une incontournable
Défense Anticolonialiste dénonçant une insidieuse situation de Subjugation
britannique qui perdure hypocritement et qui persécute insidieusement
tous les Autochtones. Je vous signale que cette Défense Anticolonialiste
fut déjà soulevée très explicitement à deux reprises par le passé, d’abord,
dans l’affaire pré-arrangée de Reine contre Denis
Dubé, #500-008023-9880 du 17 mars 2004, rendue par Yves Fournier
avec Isabelle Roy pour procureure de la Couillonne, alors
que j’étais poursuivi d’une Accusation pour Harcèlement Criminel
téléphonique; et par la suite, je fus accusé de Vandalisme des
Armoiries canadiennes dans le jugement-préjugé de Reine contre
Denis Dubé, #500-01-002223-045 du 30 septembre 2005, rendu par un
vendu à rabais abonné à «l’Usage et la Coutume» des Rétrogrades Misonéistes à
la Piquerie des «Junkies» de l’ancien Droit International Coutumier, Claude
Millette avec son loufoque poodle sans Pedigree, Jacques
Rouiller pour procureur de la Couillonne.
En tant
qu’Adepte indéfectible de la Vérité obligatoire sur tout partout et en tout
temps, je vous précise d’emblée ma détermination intime et absolument
inébranlable de poursuivre mes attaques jusqu’à l’instauration d’une Réforme
démocratique du Droit-Colonialiste Interne, avec cette
Défense Anticolonialiste qui est appelée à être re-représentée en 2014 dans
deux autres Procès bien réels qui vous sont précisés plus en détails en amont.
Cette Défense Anticolonialiste, je l’offre donc publiquement sur Internet, tout
à fait librement et on ne peut plus légalement, puisqu’il paraît théoriquement «by
the book» (except that Rigths and Freedom are not granted in front of
«the crook» wearing a canadian Toga»), que tout Accusé a droit à un
Procès Public, et il se trouve que ce Public pour toute cause en justice
qui me concerne, inclut bien sûr les honorables Juristes de l’Assemblée
générale des Nations Unies dont les règles sont Supra-Étatiques, les États
s'étant liés à la Volonté majoritaire, sauf Abstention déclarée
ouvertement d'avance en signe de Dérogation expresse.
J’avoue
franchement que je leur fait parvenir toutes les bandes sonores et toutes
les copies sténographiques de mes jugements antérieurs, afin
d’établir l’irréductible encrassement nocif de l’ancien Droit International
Coutumier au détriment du Droit International Public dont on nous prive
effrontément, et c’est la raison pour laquelle je leur fait parvenir
exactement cette même critique personnalisée qu’il vous est proposée de lire
ci-après, venant d’un irréductible Libre-Penseur exerçant humainement, sans restriction
étatique, donc avec: mon Libre-Arbitre en Conscience de mon Âme incorporée
pour m’accomplir à force d’agir et de m’assumer, comme se doit convenablement
s’entendre: «Age quod agis ab imo Pectore, fais ce que tu fais du fond du
Cœur!» Ma raison à la fois personnelle et stratégique, parce que je me prétends
être Créancier des Droits et Libertés du Droit International Public,
et que je prétends très sérieusement comme il vous sera démontré, être privé
insidieusement par la Magistrature canadienne de toutes ces
protections évolutionnistes, et cela, depuis ma naissance, parce qu’elle
est restée pitoyablement accrochée à l’ancien Droit International
Coutumier, suite aux prétentions d’intitulation d’élisabeth II du «Amistad» de
1982 qui lui furent crapuleusement reconnues lors du Renvoi-Esclavagiste
de 1981.
La jubilation
du jubilé diamantaire élisabéthain se
cisèle, mais n’est absolument pas
partagée par l’Accusé qui, en 2014, en me représentant moi-même cette
fois-ci, accusera l’Âcre-Accusatrice d’Actes de Génocide et de Crimes
contre l’Humanité, et j’entends me représenter moi-même afin
d’éviter de faire face à mon absence de défense, d’avoir été sous-représenté
le 10 septembre 2012 par Me Nicolas Welt qui, sachant
que les Gardiens de Prison du Centre de Rivière des Prairies m’avaient
privé durant deux jours de ma médication de cardiaque, se retint de soulever
ces traitements cruels et inusités. Il s’agissait de la première de mes
deux bagarres qui eurent lieu en Juillet-2011 contre la Milice
Patriotique du Québec, celle du 12 Juillet 2011, dont le premier
épisode fut préjugé le 10 septembre 2012 par Jean-Pierre
Boyer-Sewell, d'être aussi « Assimilateur » que le juge
en chef Sewell de la Cour-Martiale Suprême de 1810,
#500-01-059-163-110, dans un jugement où je fus acquitté de voies de
fait graves, mais trouvé coupable fort injustement de voies de fait
simples, puisque j’étais indiscutablement la Victime d'une agression
sauvage, d’avoir, Témoins à l’appui, reçu deux coups de marteau au visage par
le major Serge Provost, alors que Benjamin Dusseault
que j’accompagnais, prenait un coup de marteau à la tête de ce même
trouillard de Serge Provost en plus d’un coup de couteau de
combat à l’épaule gauche par l’autant froussard milicien Michaël
Guay-Lachapelle. Je vous précise que Benjamin Dusseault est un
épileptique dans la trentaine, et moi-même, sexagénaire cardiaque, et que nous
étions complètement désarmés lors de cette altercation à sens-unique,
absolument à mains nues contre ces deux traces de brake frenchpeasoupiennes.
En résumé des
Hauts Faits d’Armes du major Serge Provost de la MPQ, en 2003 Serge
Provost profanait la tombe d’un
Juif et vandalisait l’Hôtel de Ville de Baie d’Urfé sur lequel avec ses
comparses, il avait inscrit des propos anglophobes, en plus à cette même
occasion de se faire prendre stupidement avec des matières explosives;
et le 12 juillet 2011, cette agression à coups de marteau et de
couteau par le major Serge Provost et son milicien Michaël
Guay-Lachapelle contre moi-même, un cardiaque sexagénaire au cœur
nécrosé, diagnostiqué le 13 juin 2011 comme porteur d’un caillot sanguin
dans le ventricule gauche, qui pèse à peine une soixantaine de kilos et qui
souffre en plus d’une grave scoliose; et ce pauvre Benjamin Dusseault
terrorisé par l’agression, et se retrouvant en état de choc d’être un
épileptique terrassé régulièrement par des crises sévères.
Pour ce qui
est de ma deuxième bagarre du 17 juillet 2011 contre la MPQ, qui s’avère assurément de plus en plus comme un
pitoyable Mouvement Pro-Colonialiste bas-canadien de tant faire
fonctionner un système judiciaire qu’ils savent ségrégationniste, je
me suis encore retrouvé accusé d’agression, cette fois par Patrick
Leclerc qui me pourchassait sur la rue Ste-Catherine, le major
Serge Provost qui me cherchait et Michaël Guay-Lachapelle qui
me recherchait autant. Cette affaire boueusement douteuse
d’Agresseurs-Provocateurs qui accusent, est appelée à être jugée
le 17 janvier 2014 et porte le #500-01-64410-118. Sous réserve de
mes imminentes récidives, dont les dates de jugement me sont inconnues
présentement, mais qui se précisent de jouissive tentation grandissante, elles
vous seront communiquées dès qu'elles seront appelées à se faire juger dans le
Futur pour que L’Avenir soit un Présent sans Passé dépassé...se
reconduisant dramatiquement par des Toges-Tordues demeurées Accros de leur
Junk-Food de l'ancien Droit International Coutumier élisabéthain, et qui
plus est, en signe alarmant de décadence, n'arrive même pas à la
cheville de celui du règne de victoria, qui elle ne pouvait pas
contrevenir au Droit International Public, de ne l'avoir jamais signé
d'être décédée en 1901. Entretemps, s’ajoute à mon épopée
judiciaire, l’accusation grave de port d’arme dans un dessein dangereux
au Palais de Justice de Montréal le 10 septembre 2012, avec celle de
port d’arme dissimulée, ainsi que celle de menaces de mort
envers le Juge-Négrier Claude Millette-Zundel et Jacques
Rouiller-Fasciste, son procureur-activiste de la Couille-On de la
Couillonne élisabéthaine; cette cause, #500-01-080125-120, est
appelée exceptionnellement à se faire médiatiser en dépit de toute manigance
de Censure éventuelle, puisque le 30 janvier 2012, elle fut
déterminée pour se faire juger devant juge et jury le 31 mars et
premier avril 2014.
Assez
curieusement, comme pour toute méthode de provocation pea-soupienne,
Jacques Rouiller-Fasciste était bien présent dans la salle
d’audience 4 :06 le 30 janvier 2013, et sans avoir aucune cause à plaider,
et sans aucune protection particulière venant des Constables Spéciaux, ce qui
prouve déjà la futilité et la superficialité des Accusations
portées contre moi, et l'arbitraire des conditions imposées le 17
octobre 2012, de ne pas me retrouver à moins de cent cinquante pieds de
cette ambulante Trace de Brake, de s’être pitoyablement montré devant
moi comme tous les Juristes qui renoncent à leur Dignité-Humaine,
en se montrant bas-canadiennement un
invétéré Capitulard-Froussard de Démocratie onusienne…
Les Faits de
la cause, #500-01-080125-120: le 10 septembre 2012, soit la journée du jugement pour ma première bagarre du 12
Juillet-2011 contre la MPQ, ce Mi’kmak-Trickster que je suis est entré au
Palais d’Injustice de Montréal avec un couteau de boucherie d’une douzaine
de pouces, bien coincé sous des dossiers contenus dans un sac à rabat dont les
deux sangles étaient fixées à leur boucle respective. Un couteau
méticuleusement choisi, je l’avoue, avec la lame visiblement très émoussée et
qui en plus se plie facilement à la rencontre de la moindre résistance. Moins
dangereux qu’un bon vieux rasoir de barbier, mais suffisant pour faire paniquer
les Pea-Soup of War as well as Democracy que sont les Juristes
canadiens, en scélérate tentative d’Auto-Absolution de leurs Actes de Génocide
contre les Autochtones. L’accès pour prendre ce couteau était
volontairement difficile, d’être sous une pile de dossiers, en plus que j’étais
absolument certain que la Sécurité s’en accaparerait en procédant sans
tarder à ma fouille dès mon apparition, puisque lors de mon introduction au
Palais d’Injustice élisabéthaine, je portais une pancarte très apparente de
4 pieds par 8, pour 32 pieds-carrés par façade, avec des inscriptions non
équivoques des deux côtés avec des lettres colorées de six pouces de hauteur,
affirmant ces Vérités :
SENTENCE AUTOCHTONE: LA
DÉMOCRATIE :
AVEC LES RÉSOLUTIONS
ANTICOLONIALISTES A/1514 ET A/2625
DES NATIONS UNIES, PERMETTANT
L’EXTERMINATION
DES JUGES-NÉGRIERS CANADIENS!
1951-2012: 61 ANS D’ACTES DE GÉNOCIDES CONTRE
LES AUTOCHTONES PAR VOS
POLITICARDS-COLONIALISTES
ET LEURS JUGES-NÉGRIERS. 61
ANS:
L’ÉQUIVALENT DU RÈGNE
D’ÉLISABETH II DU «AMISTAD» DE 1982,
LA VACHE BÂTARDE SANS
PEDIGREE!
«CAUSE HELL IS A BET WHO DEVIL STINKS!»
Malgré le
contenu non équivoque de ma pancarte d’Anticolonialiste avoué, qui a fait venir
tout de suite vers moi les Constables Spéciaux, ces derniers ont négligé
de procéder à ma fouille, ils ne se sont qu’offusqués du contenu de ma pancarte
en s’objectant sans succès à ce que je l’introduise dans la salle d’audience,
alors que je leur affirmais que ma pancarte allait être déposée dans la
Preuve au Procès. (Parce qu’il y a que suite à ma deuxième altercation avec
Serge Provost, Patrick Leclerc et Michaël Guay-Lachapelle, de
la Milice Anti-Patriotique du Québec, le Policier qui a procédé à mon
arrestation le 17 juillet 2011, était venu vers moi en me reconnaissant
puisqu’il m’avait déclaré: «Tiens! –si c’est pas le Gars de la
Pancarte!» et il y a, que c'était tombé tout comme tombe une
Sentence! –puisque les Policiers qui m’ont conduit au Centre
Opérationnel de l’Est, (dont une Policière prénommée Roxanne), m’ont
laissé cuire sur la banquette arrière durant 45 minutes, en me refusant
à deux reprises ma bouteille de nitro de cardiaque, qui ne me fut rendue qu’en
soirée. Le lendemain matin lors de la Fouille avant d'être transporté en
fourgon au Palais d'Injustice, un Gardien de Prison du Centre de Détention
de Rivière des Prairies, RDP, a failli briser ma bouteille de nitro en
mille miettes en la lançant sur une tablette tout en se moquant de ma
condition de cardiaque ; comme tous les autres Gardiens d’ailleurs,
puisque durant deux jours et demi je fus privé de toutes mes pilules,
quand mon cardiologue me recommande de les prendre aux heures fixes et de les
prendre toutes pour que mon sang soit constamment liquéfié, ce qui a fait en
sorte quà ma sortie, je craignais sérieusement de subir un ACV tellement
j’avais mal à la tête, même en amortissant mes pas. Cette Sentence-Carcérale
me confirme de Chartes-Bidons de Droits-Fictifs et de
Libertés-Virtuelles! Ceci précisé pour souligner leur
incompétence manifeste, en revenant sur l’affaire «du Jour du
Long-Couteau mou et émoussé», le 10 septembre 2012, ce n’est qu’en
l'avouant franchement à un Constable-Spécial (en quoi?), que
la Sécurité en a pris connaissance de la présence de ce couteau, seulement
une fois rendu dans un cubicule au quatrième étage.
Que cela vous
illustre la vulnérabilité des Avocats caïnadiens qui persisteront à se gaver
du Junk-Food de l'ancien Droit International Coutumier...rendus
susceptibles de finir comme autant de Frank Schoofy et de Sidney
Leitman, et dès lors, en Invétérés-Capitulards autant
Renégats que Lapsis, se convertissant de Païens à Fidèles du Droit
International Public. Parce qu'il est complètement faux de croire que seuls
les Juges et Procureurs nous privent depuis plus de 60 ans des
protections onusiennes; de l'affirmation dicksonnienne de
«Société qui se doit être libre et démocratique», comme d'«un
Tribunal indépendant et impartial», ou d'«une Défense pleine et
entière», autant de foutaises juridiques de toutes ces Méa
Penchée et Méo Penché en Toges promotrices d'Auto-Séquestration au Carcan des
articles 5 et 8 de l'Acte de Québec de 1774 de george III,
comme autant de Promoteurs du Club-Med des Anus au
Soleil de l'empire britannique, dont il faut
préserver de l'insolation rectale...tout en les faisant cesser de
renoncer à la Sauvegarde de «leur Dignité, de leur Honneur et de leur
Réputation», stipulée en vain à l'article 4 de la Charte de
Droits et Libertés de la Personne du Québec, autant utopico-chimériques
que leur Libertés de Conscience et d'Expression de l'article 3, escamotées
d'outre-tombe par george III...le Despote jugé salutairement indésirable
aux yeux des Républicains américains...
L’accusation
de menace de mort ne visait d’abord uniquement que le juge Claude
Millette, quand on sait bien qu'il est évidemment plus qu’improbable de
croiser un Juge comme monsieur tout-le-monde dans les aires publiques
du Palais, sauf s'il s'agissait d'un Juge-Accusé, comme le
juge Jacques Delisle, trouvé Coupable de l'assassinat de son
épouse. Le 17 octobre 2012, une deuxième accusation de menace de
mort m’a été signifiée, visant cette fois-ci le procureur Jacques
Rouiller, ceci dans le but évident de rendre la première
accusation plus susceptible «de culpabilité vraisemblable», et non
pas «hors de tout doute raisonnable», d’autant plus que seul le couteau a été
reçu dans la Preuve manipulée, c’est-à-dire que ma Pancarte de
Militant-Anticolonialiste en est exclue après l’avoir gardé trois semaines
au Palais d’Injustice, ce qui laisse présager que l’on entend encore me
servir l’ancien Droit International Coutumier, en parfaits Toglodytes
du Troisième Millénaire. Quant à ces deux Toges-Tordues que sont
Claude Millette et Jacques Rouiller, je m’attends à ce
que mon prochain Juge entendra les protéger en fidèle Comparse-Activiste,
tout en se prétendant libre, indépendant et impartial, «as usual with
the usage and as the custum of Make-Believe», pour ces deux Accros en
manque de l’ancien Droit International Coutumier qui agissaient dans le
jugement-préjugé Reine contre Denis Dubé,
#500-01-002223-045, du 30 septembre 2005, dans lequel j’étais accusé
d’avoir saccagé les Armoiries canadiennes sur le Bureau de Postes-Canada du
1251 rue University le 15 février 2004 un peu après midi, à 12
heures 15 minutes précisément. En témoigne depuis quelques années, une
éloquente vidéo de mon saccage prise par deux amis et qui circule toujours sur
Internet. Ces deux Escobars de Claude Millette et Jacques
Rouiller m’avaient alors littéralement envoyé aux Oubliettes des
Aliénés pour que ma Liberté de Penser se nivelle lamentablement à la
leur, puisque je fus détenu une première semaine en Santé-Mentale à RDP,
du dimanche 15 février 2004 au 24 février 2004 sans qu’aucun psychiatre
ne procède à l’entrevue déterminant mon aptitude à subir mon procès.
Ensuite, malgré une entrevue psychiatrique qui m'était favorable le mercredi 25
février 2004, je fus séquestré au Goulag de l'Institut Louis-Philippe
Pinel durant une autre semaine jusqu'au lundi premier mars 2004, et
cela, avec prise de sang non-consentie. Croyez-vous vraiment que deux
semaines en Santé-Mentale, équivalent à un mois de Détention dans une
aile de non-psychiatrisés, dont l'approche et la communication vous est
nettement plus naturelle? -donc: dans une aile où vous serez encore
considéré en Humain et plus susceptible de faire valoir vos Droits en cas d'abus
d'un Judiciaire-Arbitraire?
Historique
d'une Séquestration arbitraire
Le 24 février
2004, une juge apparemment Humaniste (Wow!
-la Magistrature canadienne en compte au moins Une!), s’offusquait de ma
détention arbitraire et ordonnait que mon évaluation se fasse dans les plus
brefs délais, et qu’elle soit présentée à un juge pour le vendredi 27
février 2004. Cette juge avait en outre acquiescé à ma requête, d’être
envoyé dans une aile de détenus qui ne souffrent pas de quelque trouble
mental. Le lendemain mercredi 25 février 2004, plutôt que de me
transférer dans une aile normale, comme l’avait accepté la juge de
l’audience du mardi 24 février 2004, je fus amené arbitrairement à l’Institut
Louis-Philippe Pinel. La psychiatre, Mme Kim Bédard-Charrette, procéda
avec diligence à mon entrevue après le dîner. Son professionnalisme s’est avéré
impeccable, d’avoir, après lecture de ma déposition au poste de police, eu
l’humilité de m’avouer de ne s’y connaître aucunement en Droit
International Public, et pour cette raison, de m’avoir proposé la
présence d’une Juriste afin de s’assurer de la validité juridique de ma
Défense Anticolonialiste que je présentais moi-même pour tenter de jouir d’«une
Défense pleine et entière». Suite à l’entrevue, les deux, psychiatre et
juriste, me déclarèrent apte à subir mon procès concernant le saccage des
Armoiries canadiennes. Croyez-le ou non, malgré la conclusion positive de
l’entrevue juridico-psychiatrique de Mme Kim Bédard-Charette, je ne suis
sorti de l’Institut Louis-Philippe Pinel que le lundi premier mars
2004, pour totaliser une détention en Santé-Mentale de deux
semaines, et par surcroît, en me faisant subir une prise de sang
non-consentie et ultérieure à mon évaluation psychiatrique. Sans
oublier que le juge Claude Millette a eu le culot de se
considérer magnanime de me compter ces deux semaines en Santé-Mentale
comme un mois de détention, quand deux semaines en Santé-Mentale
valent bien minimalement un an de détention normale, en considérant l’atteinte
injustifiable à la Dignité-Humaine. Une sournoise
Dictature-Judiciaire que ce vicieux système de goulag-nazi! Voilà ce
que j’en pense, d’avoir indiscutablement vu «ma loufoque présomption
d’innocence» se faire transmuter arbitrairement et cruellement
«en présomption d’aliénation mentale». Donc, si je comprends bien leur
Parabole biblo-juridique: «Bienheureux les Innocents, car le royaume des cieux
est à eux». C'est dire que je me
préfèrerais une Présomption de Culpabilité à 99%, avec 1% de non-dangerosité à
prouver de mon passé pour en répondre, sans me faire présumer Coupable à
100%, comme la statistique des Sciences-Humaines le présente, à l'effet que
«99% des Crimes contre la Personne sont commis par des hommes.»
Quelle est la
Logique qui m'interpelle? Mais parce que ce sont les Hommes-Juges qui
ont précédé les Femmes-Juges dans leur Magistrature
Patriarcale-Phallocrate, et, de leur herpétique Méat-Urinaire, ces
Coqs-Proxénètes ont accouché de Poules de Luxe bien mises à leurs
mains dans la Basse-Cour élisabéthaine, afin de perpétuer l'exclusion des
Indiennes en pitoyables Promotrices d'une Condition Féminine de
l'Auto-Misogynie, dans une pratique calquée sur le modèle plus que
dérisoire de Louise Arbour-Zundel, la Poule de Luxe et
Gerda-Nazi du Führer Adolf Harper: -Aïe! i't'leurre! d'avoir ainsi,
en la donnant pour Modèle, sournoisement légalisé la Zoophilie...11 Chartes-Bidons
de leurs 11 Libertés de Penser pour un pauvre Végétal, ma Volonté d’homme
moderne parasitée du Bug de l'An-1000 en l’An-2000, supplantée
fallacieusement par la Volonté-Législative des Rois-Morts, sauf
législativement, de leur presque millénaire Sentence-Fatwa:
«Dieu et mon droit
(protest-anglican rétro-adventiste, ou) honni soit qui mal y pense»
Objection
de Conscience contre la Ségrégation judiciarisée
Définition du
terme «Conscience»:
« n. f. (du
lat. conscientia). 1- Perception, connaissance plus ou moins claire que chacun
peut avoir de son existence et de celle du monde extérieure et de soi-même. Prendre
conscience, avoir conscience de qqch. Perdre ou reprendre conscience :
s’évanouir ou revenir à soi. 2- Sentiment intérieur qui pousse à porter un
jugement de valeur sur ses propres actes; sens du bien et du mal. Avoir
bonne, mauvaise conscience, n’avoir rien, avoir qqch. à se reprocher, ne
pas se sentir, se sentir coupable de qqch. Avoir qqch sur la conscience : avoir
qqch. de grave à se reprocher. Cas de conscience : situation
délicate, problème moral très difficile à résoudre. Conscience
professionnelle : soin avec lequel on exerce son métier. En
conscience : honnêtement,
franchement. En mon âme et conscience : très sincèrement. Conscience
de classe : chez les marxistes, ensemble des représentations idéologiques
et des comportements sociaux par lesquels on sait qu’on appartient à une
classe sociale déterminée.» (Petit Larousse Illustré, 2006.
(À noter, que la version 1995 du Petit Larousse Illustré concernant la
Conscience de classe ne mentionnait pas les marxistes, et de plus,
qu’elle incluait cette précision: «–Liberté de conscience : droit que chacun
a de pratiquer la religion de son choix. »)
En regard de
cette dernière précision, il importe de spécifier qu’il existe simultanément une
certaine complémentarité et une certaine particularité entre la
Liberté de Religion et la Liberté de Conscience. Il faut comprendre
que c’est du point de vue de l’interprétation judiciaire que se
détermine cette complémentarité ou cette particularité de ces
Libertés de Religion et de Conscience de l’article 3 de la Charte des Droits
et Libertés de la Personne du Québec et de l’article 2(a) de la Charte
canadienne des Droits et Libertés. Évidemment, l’Athée voit sa
Conviction recevoir sa protection en vertu de la Liberté de Conscience,
plutôt que sous le couvert de la Liberté de Religion à laquelle il
ne croît pas, quelle qu’elle soit. S’ajoute à cette différenciation
importante d’interprétation judiciaire, celle de la Supra-Constitutionnalité
de la Charte canadienne par rapport à l’Infra-Constitutionnalité qui
mine les feluettes Chartes Provinciales, et qui se présente pour le
moins incompréhensible et inexplicable de ne pouvoir se justifier logiquement
ni même judiciairement, que de favoriser dogmatiquement un arriéré
Principe Théocratique inférant de cette Supra-Constitutionnalité la Suprématie
du protestantisme et de l’anglicanisme sur le Christianisme des
Catholiques de Rome sans protection du Traité de Paris de 1763
contre la Loi sur le Divorce d'henri III), comme nous le
démontreront en amont, cette différenciation d’interprétation affecte
les Convictions profondes de l’Athée qui ne croît à aucune de ces hérésies
de Païens de Démocratie onusienne. La Liberté de Conscience est un Principe
de Justice Fondamentale relativement nouveau qui n’a pas encore reçu
l’interprétation judiciaire appropriée pour le consolider en Substance. Voyons
ce qu’en disait Pierre Elliott Trudeau en 1968, alors que la Liberté
de Conscience recevait sa reconnaissance constitutionnelle, soit 17
ans avant que la Charte canadienne ne soit mise en vigueur en
1985:
« On pourra
toutefois soutenir qu’une garantie de religions ne protège pas la liberté des
personnes qui ont choisi de n’avoir aucune religion. Pour protéger les droits
de ces dernières, on pourrait envisager la possibilité d’élargir la garantie
afin qu’elle s’étende, par exemple, à la liberté de conscience. » (Trudeau,
P.E., Charte canadienne des droits de l’homme, 1968, Ottawa,
Imprimeur de la Reine, p. 20)
Avant la mise
en vigueur de la Charte canadienne, cette recommandation
d’octroyer une interprétation judiciaire large à la Liberté de Conscience était
partagée par M. Manning:
« The separation of freedom of conscience is a clear guarantie of the
secular nature of the state and of a recognition that the Charter was designed
to guarantee to those who act out of conscience the same level of freedom as to
those who act out of religious belief.
[…]
The insertion of freedom of conscience to protect the atheist and the
agnostic is a clear indication that the drafters intented a very wide range of
activities to be protected. » ((op. cit.), Manning, M., Rights,
Freedoms and the Courts, 1983, Toronto, Edmond-Montgomery, p. 199)
Pour une
interprétation surprenante de ce à quoi réfère le concept de Conscience, d’être
à la fois scientifique, philosophique et spirituelle, il nous faut considérer
avec pénétration l’implacable Sagesse de Pierre Teilhard de Chardin,
d’envisager la Pensée et la Conscience en tant que Facultés illimitées, et par
conséquent absolument impossibles à contenir, sans nous faire pressentir la
répression de la Censure jusqu’à l’appréhender, d’une Mise
en Boîte conçue par la Turpitude d’un vil Manipulateur de Mauvaise Foi,
un odieux Intrus envahissant votre Pensée :
« […]
L’animal peut se lancer à corps perdu dans une impasse, ou vers un précipice.
L’Homme ne fera jamais un pas dans une direction qu’il sait être bouchée. Et
voilà exactement le mal qui nous trouble.
Ceci posé,
que faut-il, au minimum, pour que, en avant de nous la voie puisse être dite ouverte?
–Une seule chose mais qui est tout. C’est que nous soit assurés l’espace
et les chances de nous réaliser, c’est-à-dire d’arriver en progressant,
(directement ou indirectement, individuellement ou collectivement) jusqu’au
bout de nous-mêmes. Requête élémentaire, salaire de base : et qui
recouvrent cependant une exigence énorme. Le bout de la Pensée, de
quelque façon que ce soit : mais n’est-ce pas la limite supérieure encore
inimaginable, d’une suite convergente se propageant interminablement plus haut?
Le bout de la Pensée, mais n’est-ce pas justement de n’en point avoir?
–Unique en cela parmi toutes les énergies de l’Univers, la Conscience
est une grandeur dont il est inconcevable, contradictoire même de
supposer qu’elle puisse plafonner ni se recourber sur elle-même.
Des points critiques en chemin, tant qu’on voudra. Mais l’arrêt ou la
réversion, impossible : et ceci pour la simple raison que tout
accroissement de vision interne est essentiellement le germe
d’une nouvelle vision incluant toutes les autres et portant
encore plus loin. » (Teilhard de Chardin, Pierre, Le Phénomène Humain,
France, 1955, Éditions du Seuil, p. 231)
Vous commencez à
percevoir maintenant l’Antithèse illogique de confronter la Conscience avec
Elle-Même, et par conséquent en Elle-Même avec ce concept loufoque autant
que pernicieux de la Supra-Constitutionnalité de la Liberté de Conscience plaidée
en vertu de la Charte canadienne des Droits et Libertés, appelée
par interprétation judiciaire népotique à supplanter la Liberté de
Conscience dépréciée en Conscience Infra-Constitutionnelle parce
qu’Elle serait plaidée en vertu de la Charte des Droits et Libertés de la
Personne du Québec. Une telle interprétation à l’évidence Partisane,
suinte la Théocratie protest-anglicane rétro-adventiste comme nous le
verrons, et se fait promotrice de la Bipolarité-Haine qui parasite le
système judiciaire canadien depuis son implantation par le Droit des
Capitulations.
Cela présente une
incohérence absurde et une insulte choquante de se fonder sur une
Humiliation historique déshumanisante. S’il est vrai que la Conscience
Humaine est exponentielle, son interprétation commande l’application d’un
Critère Mondial Optimal de nature onusienne, afin de promouvoir la sérénité
sociale par une Fraternité Sororale effective, plutôt que de sombrer dans l’oisiveté
de l’irrésolution quant aux Leçons du Passé et par le fait même dans l’ignorance
suscitée par le Parti-Pris qui sape l’Indépendance et l’Impartialité
judiciaires. La Réforme s’impose, sinon, après les Guerres de Religions,
l’Humanité sera ravagée par les Guerres de Consciences, ce qui revient à
en manquer totalement d'implanter une supra-constitutionnalité de
Méga-Poupée russe de Goulag.
Mon intérêt pour
agir en Objecteur de Conscience est conforme à la trilogie des arrêts
Thorson, Mac Neil et Borrowsky de la Cour Suprême, et ne saurait
être rejeté banalement pour futilité ou frivolité, ni comme
présentant des élucubrations imaginaires pouvant inférer à de la
prétendue quérulence, en éternel argument insignifiant d’arriéré
Misonéiste se vautrant dans la fange de sa pestillentielle médiocrité
intellectuelle, qui reconduit sempiternellement et sciemment
l’atavique Bipolarité-Haineuse du régalien Droit des Capitulations que
véhiculent fallacieusement les Armoiries canadiennes de la Proclamation
Royale de 1921. Après cette lecture d’agrégat de textes, il se peut
que vous en soyez amèrement persuadé, de ne pas jouir aucunement du principe de
justice fondamentale «de la société canadienne qui se doit d'être libre et
démocratique», selon les déclarations mensongères du juge en
chef Dickson dans l'arrêt Oakes, page 136, ce que déni
catégoriquement la Proclamation Royale de 1921 de george V, reconduisant
l’anachronique Droit de Conquête de 1760 de george II, à george
III, à george IV et puis à victoria jusqu’à george V, complice de l'assassinat
de la famille de Nicolas II, son cousin, jusqu’au tour du règne de george VI le
Bégayeux, en héritage hyper-géophage et ultra-démovore légué à la bâtarde de
lignée dino-windsorienne, n’assurant que notre déshumanisation par
la ségrégation légalisée d’avoir été judiciairement validé lors du Renvoi-Esclavagiste
de 1981 pour satisfaire le caprice d’intitulation d’élisabeth II du
«Amistad» de 1982…souverainement minable de son jubilé diamantaire, en
parfaite Troglodyte du Troisième Millénaire!
Réflexions
de l’Objecteur sur l’Objection de Conscience
On ne peut pas
conclure superficiellement à la panique paranoïaque imaginaire de
l’Objecteur de Conscience parce qu’il revendique en temps de Paix, si dans sa
Réalité basse-canadienne virtualisée utopie-démocratique, une
Guerre-Froide couve et infecte la Fibre-Sociale d’une pernicieuse
Bipolarité-Haineuse dûment judiciarisée, comme il vous sera démontré en
amont. Selon certains constitutionnalistes de renom, dont Henri Brun et Guy
Tremblay, il y a une certaine sagesse stratégique à s’objecter en temps de
Paix:
« De plus,
comme «chacun» a la liberté de conscience en vertu de l’article 2(a) de la
Charte canadienne, toute personne naturalisée conserve le droit de soulever une
objection de conscience. En ce sens, il peut paraître étrange de soulever
l’objection de conscience au moment de prêter le serment de citoyenneté dans la
mesure où la personne naturalisée a la possibilité de le faire au moment
opportun. Toutefois, il y a un «
avantage stratégique » à le faire au moment de prêter le serment de citoyenneté
: il est plus facile d’obtenir gain de cause en soulevant l’objection de
conscience en temps de paix. Il y a fort à parier qu’en temps de guerre, les
juges se montreraient plus stricts à l’égard de l’objecteur. » (Brun, Henri et
Guy Tremblay, Droit Constitutionnel, 1990, Les Éditions Yvon Blais, 2e
édition, (op. cit.), p. 159)
À ma connaissance, jamais la Paix ne fut-Elle signée, et
s’il est «notoire» que les Canadiens-Français ont capitulé
jusqu’à perdre la Tête et la Face en Vaincus ayant
piteusement signé l’Acte de Capitulation de 1760, et que
la Notification héraldique de leur Soumission par les Armoiries caïnadiennes de
la Proclamation Royale de 1921 en Subjugation qui s’éternise,
se justifie et se rend effrontément légitime de la «notoire»
longévité de cette Persécution avilissante, à la satisfaction insignifiante
d’absurdité chronique du juge-ilote Yves Fournier-Carnavon dans Reine
contre Denis Dubé, #500-023-9880 du 17 mars 2004; n'en
déplaise aux Révisionnistes, il est également «notoire» qu’en
1777, les braves Mi’kmaqs se battaient encore honorablement contre les
Britanniques lors de la Guerre d’Indépendance américaine:
« The Penobscot joined the
Passamaquoddy, Maliseet and Micmac in securing the town of Machias against
British attack in 1777. This victory represented America’s first naval success
and secured the northern boundary of colonies for the rest of the Revolutionary
War. » (National Geographic Society, Indian Nations of North America,
2010, (op. cit.), p. 54)
En revenant sur la pertinence de soulever l’Objection de
Conscience comme à présent, en temps de trêve bien plus qu’en temps de Paix
véritable, avec cette Guerre-Froide qui s’éternise entre Canadiens-Français
et Canadiens-Anglais, et entre Bons et Mauvais Indiens, il peut s’agir là
d’une précaution pouvant s’avérer salutaire en se rappelant que lors du
Référendum sur la Conscription, les Canadiens-Français étaient clairement contre
à 71,3%, (d'une seule Province francophone contre Huit Provinces
anglaises, le battant avec un frauduleux 80%, de moins de 9%, de leur
Référendum-Décisionnel de Peuple-Élu de leurs Valeurs Dominantes),
en tenant compte facilement, que de cette éloquente Volonté-Collective de
71,3% réunissant des dizaines de milliers d’Hommes, seulement 28
Québécois purent soulever avec succès l’Objection de Conscience,
comme nous le rapporte de façon alarmante l’éminent constitutionnaliste et
professeur émérite, Pierre Patenaude:
«
Enfin, on rapporte qu’il n’y aurait eu que 28 québécois francophones objecteurs
alors que le Québec s’était opposé à la conscription. » (Patenaude, Pierre, (loc.cit.),
«L’objection éthique et de conscience : Impact de la charte canadienne des
droits et libertés», (1983) 13 R.D.U.S., pp. 315-351, p. 324)
Ainsi vu, l’Esprit peut raisonnablement devenir dubitatif quant à l’éloquente
rhétorique jurisprudentielle du juge Jules Deschênes qui s’écroule comme
un château de carte lorsque la Loi-Martiale est décrétée, comme
ce fut le cas lors des Événements d’Octobre-1970 avec l’arbitraire
des arrestations massives sans mandats préalables et dégénérant en détention
injustifiable, et plus récemment, encore la brutalité policière en
manque de Victimes, même collatérales, nous démontrant par surcroît, des
Victimes, se faire en-fourgoner arbitrairement parqués dans des Paniers à
salade César suite aux arrestations massives lors du
Printemps-Érable en 2012, plutôt que de recevoir les Premiers-Soins. Après en
avoir été Témoin de ces deux Événements historiques, je suis fort sceptique et
même, sérieusement alarmé, plutôt que confiant et rassuré par les
déclarations suivantes, pour le moins fortement exagérées, de l’Axe
du Mal toujours Ailleurs que chez le Peuple-Élu, et surtout si le
Plaignant en est, ne lui faudra-t-il pas un jugement favorable, précurseur par
sa nature aux Arrangements déraisonnables de la Commission Bouchard-Taylor,
comme ce fut le cas dans cette cause à saveur partisane de courbette
judiciarisée, et ainsi, les déclarations suivantes s’avèrent
toute aussi frivoles que des
Promesses Électorales venant de Jules Deschênes, qui était à
cette époque le juge en chef de la
Cour Supérieure:
« La personne humaine est la plus grande valeur que nous
connaissions et rien ne doit concourir à diminuer le respect qui lui est dû. D’autres
sociétés placent la société au-dessus de l’individu. Elles emploient le
rouleau-compresseur du Kolkhose et ne voient de mérite que dans le
résultat collectif, même si des individus doivent être laissés pour compte
au terme de l’exercice. Cette conception de la société n’a pas encore prit
place chez nous –même si certaines initiatives politiques paraissent
parfois la courtiser dangereusement –et cette Cour ne l’honorera pas de
son approbation. Chaque individu au Canada, au Québec, doit jouir de la
plénitude de ses droits, soit-il seul, soit-il membre d’un groupe, et si ce
groupe compte 100 membres, le centième a autant le droit de bénéficier de tous
les privilèges de citoyen que les quatre-vingt-dix-neuf autres.» ((op. cit.)
Jules Deschênes, juge en chef de la Cour Supérieure du Québec, dans Quebec
Association of Protestant School Board contre Procureur Général du
Québec, (1982) C.S. 673, pp. 692-693)
Pour ma part, je me souviens très bien que mon tout premier décrochage
scolaire était purement hormonal, et le chamboulement virilisant qui me
tiraillait s’est empiré en séisme interne redevable à n’en pas douter à
l’austérité écrasante des Pensionnats-Carcéraux, ces Écoles Résidentielles
où je fus interné durant quatre ans, contraint à servir mille messes en
Latin pour ma facilité à lire à voix haute l’Épître et l’Évangile, et contraint
par surcroît à coucher dans un grand dortoir pour environ deux cents gars; et
je me rappelle qu’à ma Libération de ces cloîtres en puissance, je m’étais inscrit
à l’école secondaire Joseph-François Perrault qui était mixte, elle, mais une
Institution Académique où je n’avais rien à apprendre, d’être complètement
dépourvue de dortoir, ce qui me motiva à m’inscrire pour de bon à l’École
Buissonnière pour enfin assouvir librement ma sexualité débordante qui
affectait grandement ma concentration. Mais, pour ce qui en est de mon deuxième
décrochage scolaire, après deux années de droit durant lesquelles je m’étais
affirmé comme un étudiant performant, ce deuxième décrochage scolaire est
redevable à la constatation fort décevante d’un Judiciaire-Dictatorial
rétrograde qui persiste à pratiquer l’ancien Droit International Coutumier avec
sa pitoyable expertise au Simulacre démocratique, et redevable aussi à une
répulsion irréversible en tant qu’Autochtone, à devenir Membre du Barreau
canadien et à côtoyer quotidiennement une Magistrature-Ségrégationniste
en scélérate tentative d’Auto-Absolution de ses Actes de Génocide envers
les Natifs dont je suis avec ma Famille, comptant parmi les Victimes de ce
sournois Judiciaire-Pervers d’être aussi insidieusement Raciste. Il se
trouve que si je n’ai pas complété mon Bac durant la session de l'Hiver
1997-98, c’est afin de ne pas renoncer bêtement à ma
Dignité-Humaine, mais je n’en ai pas moins continué à étudier le Droit
International Public et tout ce qui l’affecte, comme par exemple le Droit-Héraldique
de la Couronne britannique qui véhicule le Droit des Capitulations par
la Notification de notre Subjugation avilissante dûment signifiée dans les
Armoiries caïnadiennes de la Proclamation Royale de 1921, qui
nous résument éloquemment l’ancien Droit International Coutumier auquel
adhère toujours fanatiquement le Judiciaire-Dictatorial caïnadien. Et
j’avoue franchement que si j’ai continué à étudier en forçat en autodidacte,
c’est pour mieux me munir afin d’affronter ce système despote jusqu’à ce
qu’il se réforme salutairement pour le plus grand bénéfice de l’ensemble
de la Population.
Pour la plupart des Objecteurs de Conscience, l’insinuation de
quérulence soulevée instinctivement contre Eux sous la Loi du moindre
effort, est un argument fallacieux et suffisant, tout juste bon pour
satisfaire le Faire-Semblant si cher à la médiocrité monarchique et
sa loufoque bourgeoisie décadente. Lorsqu’ils se font de plus en plus
nombreux, les Objecteurs de Conscience signalent un Mécontentement Populaire au
Législateur et à sa Magistrature, qui, dès lors, peut fort bien présager
l’imminente Désobéissance Civile généralisée se dressant unanimement en
Revendication Démocratique. Après tout, l’Objection de Conscience devant les
Tribunaux est le fait même d’une Revendication ouverte qui se rend légitime
de sa Libre-Expression, et l’empêcher est malsain socialement et signe
révélateur d’une Justice qui renonce traîttreusement à sa charge de se montrer
en déni d’intention de rendre Justice en écoutant la Vérité du Citoyen, au
lieu de l’exiger à sens unique en échange d’une vraisemblance de Toc. L’Objection
de Conscience n’est somme toute, qu’une forme de Résistance Pacifique d’un
Objecteur déterminé qui réclame de bon droit son dû, «le suum cuique tribuere»:
« Ceux qui
soutenaient le devoir absolu d’obéissance à l’état disaient que, le pouvoir de
l’état était imposé par la loi de la nature, la violation d’une loi de l’état
était par conséquent une violation de la loi naturelle sur laquelle l’état
était basé ; ceux qui affirmaient le droit de résistance disaient que la loi
naturelle qui justifiait l’état ne supprimait pas les Droits naturels
individuels, et que, par conséquent, il était naturel de désobéir à
la loi de l’état qui ne respectait pas les droits individuels. »
(co-auteurs, B. de Jouvenel, Kelsen, H., Ch. Perelman, A. P. D’Entrêves, N.
Bibbio, M. Prélot, Ch. Esenman, «Anales de philosophie politique. Le
Droit naturel», 1959, Presses universitaires de France, Paris, Institut
international de philosophie politique, (op. cit.), pp. 229, p. 181)
Une fois que vous m’aurez lu jusqu’à L’Âme et compris combien et
jusqu’où le britichiant Fardeau de la Rubitude qui désâme les
Autochtones peut être accablant, peut-être comprendrez-vous la normalité de ma
répulsion profonde pour le statu quo ravageur, et cela qui sait, jusqu’à
cautionner ma Haine irréversible envers la Monarchie, ainsi que son
vassalique Gouvernement-Fantoche et leur Magistrature-Ségrégationniste. Je
ne suis ni un Agitateur, non plus un Anarchiste, et encore moins un Terroriste,
(ni même un Souverainiste, car si le Législateur me donnait par exemple,
les Titres de Propriété du Labrador, j’anticipe que fort peu de Natifs de la
Confédération Wabanaki viendraient m’y rejoindre, en délaissant pour de bon
leur Milieu de vie ancestrale, leurs lieux de Culte et de travail, et à bien y
regarder, je ne ferais qu’appliquer la règle de Jules César de diviser pour
régner, ce dont je ne tiens absolument pas de jouer le rôle des
Conquérants); je suis tout simplement un Défenseur des Droits des
Autochtones qui se retrouve vraiment contraint à devenir ouvertement un
Militant Anticolonialiste pour la Démocratie onusienne, et évidemment par trop
dérangeant pour les rétrogrades Misonéistes. Oui! -je m’alarme, parce
qu’encore en 2013, nous végétons toujours lamentablement dans une
exécrable Colonie britannique qui se refuse puérilement à devenir
effectivement «une Société libre et démocratique», contrairement à ce
qui m’a été promis judiciairement par le juge en chef Dickson dans
l’arrêt Oakes; et donc par la faute du Judiciaire-Despote de
sa létale mainmise monopolistique sur la Vérité. Va-t-on me re-brandir en
rafale le spectre arbitraire de l’argument du bâton de l’Outrage au
Tribunal, dernier vestige archaïque et anachronique d’arbitraire du crime de
lèse-majesté, de cette importation britannique d’une despotique Common Law,
spécialisée à l’écriture improvisée des Jugements-Politisés, inspirés bêtement
des précédents judiciaires concernant un Droit anglais faussement prétendu
non-écrit par ceux-là même qui écrivent ces jugements, dans lesquels les
Juges-Féciaux canadiens suivent invariablementt la Ligne de Parti de la Filiale
de la Compagnie de la Baie d’Hudson qui les a mis en poste à vie?
Cela prouverait sans contredit la véracité de mes arguments que mes
prévisions d’incarcération arbitraire en Santé-Mentale se concrétisent. Je
ne suis pas dingue! J’exerce sérieusement mon Droit d’Objecteur de Conscience,
en tant qu’Homme mature de nature Humaniste de même qu’en tant que Bon Père de
Famille fort préoccupé que sa Descendance, tous les Siens, la Population
entière et la Postérité n’héritent que d’un vorace Vide-Juridique qui
engouffre les Êtres et les annihile débilement de Déshumanisation
par sa Démocratie aussi fictive que sa Reine du Canada de la Convention
Constitutionnelle de 1926, qui n’a accouché pour notre plus grand
malheur, que d’une hideuse laideronne avec la Dulcinée Death-Trèsbozos du
Donkey-Shot du Parlement-Caïnadien de sa rachétique Fée des Rations. Fuck la
fucking Bitch de Greenwich et son jugement par Contumace de merdique de
pareatis, que vous obéissiez! Il est Grand-Temps que descende sur sa nuque
chétive, le couperet de mon Indignation exprimée en toute Bonne Foi (de n’être
ni chrétienne, ni protestante, non plus qu’anglicane), de
provenir simplement d’un Objecteur de Conscience fanatique de Vérité, qui ne
réclame tout bonnement que l’Égalité de Traitement ne me soit appliquée, que
lorsqu’elle me convient, et surtout, de pouvoir en jouir sans me départir de
mon Humanité. Voyons maintenant ce qu’en disent les distingués auteurs de la
citation précédente, dans cette longue citation concernant globalement
l’Objection de Conscience, le refus catégorique au Traitement différent,
sauf lorsqu’il est requis d’être nécessaire au Bien-Être de l’Humain, ainsi que
des réflexions socio-philosophiques sur la justification de la Désobéissance
Civile:
« Personne ne peut nier que, tout comme le sentiment du
droit des uns exige un traitement égal pour tous sans condition de race, le
sentiment du droit des autres exige un traitement différent selon la race. » (op.
cit.), Kelsen, Hans, co-auteur avec Ch. Perelman, A. P. D’Entrêves, B. de
Jouvenel, N. Bibbio, M. Prélot, Ch. Esenman, «Anales de philosophie
politique. Le Droit naturel», 1959, Presses universitaires de France,
Paris, Institut international de philosophie politique, pp. 229, p. 100)
[…] « il y a
péril d’intolérance inhérent à tout système qui se donne pour nécessaire. »
(Id.,
(op. cit.) de Jouvenel, Bertrand,
p. 169)
[…] À la
vérité dans la pluralité de ses significations, «naturel» s’oppose à
«artificielle», cette opposition présentant un parallélisme avec celle
d’«endogène» et «exogène », de sorte qu’artificielle et exogène seraient par
exemple l’introduction par des conquérants ou colonisateurs d’un corps
d’institutions différent de celui qui s’est développé de façon naturelle et
endogène dans la vie d’un peuple. Et de même une telle introduction par un
monarque conquis à des idées qui ne sont pas les sentiments immanent à un
peuple (par exemple Pierre le Grand et Catherine II en Russie).
(Id.,
(op. cit.) de Jouvenel, B., p.
162)
[…] « Quod
libi non vis alleri non feceris. L’homme est capable de se mettre en pensée à
la place de l’autre, d’endurer par l’imagination ce que l’autre endure en fait,
et par conséquent de vouloir éloigner de l’autre ce mal qu’il fait sien. […] Il
n’est pas étranger à mon sujet de souligner que la grande explosion d’écrits
regardant le Droit naturel s’est produite en Espagne dans les ordres
particulièrement informés des souffrances infligées aux Indiens d’Amérique. Il
suffira de rappeler l’encyclique de Paul III: « Dans notre zèle à les
secourir, nous déclarons…que quoi que l’on puisse dire ou avoir dit en sens
contraire, les dits Indiens, comme tous les autres peuples que les
chrétiens pourront découvrir par la suite, ne doivent se voir frustrés
en rien ni de leur liberté ni de leurs biens (quoiqu’ils se trouvent hors
de la religion de Jésus-Christ) et qu’ils peuvent, qu’ils doivent en
jouir librement et légitimement. On ne doit les asservir d’aucune façon.
Tout ce qui contreviendrait à ces instructions sera nul et non avenu. »
« À la
vérité, c’est en frappante manifestation de solidarité humaine que la
ré-activation du Droit naturel en Europe ait eu son principe dans la douleur
morale ressentie par les théologiens espagnols des ravages causés en Amérique.
» (Id., (op. cit.) de Jouvenel, B., p. 172)
Il est pour le moins paradoxal et absurdement contradictoire, qu’un
système judiciaire qui se dit Contestataire s’affiche aussi
allergique à toute Contestation Populaire, et il faut bien admettre que
cette antithèse aberrante entre la Théorie et la Pratique suinte
l’Imperfectibilité narcissique de la Monarchie britannique et son
absurde principe de Common Law, à l’effet que: «queens and kings can do
no wrong». Bien sûr, j’anticipe que la Liberté de Conscience que j’invoque
et revendique en Objecteur irréductible, est de nature à provoquer un séisme
dans le Droit Constitutionnel canadien dont la Conscience est
inébranlable de britichiant flegmatisme et condamnée à l’Insensibilité
chronique d’être ainsi affectée maladivement par son narcissisme
systématique d’Imperfectibilité. J’entrevois que le contexte des
Méga-Procès contre les Motards et les Gangs de rues criminalisés se prête mal à
la réception de ma Défense Anticolonialiste paraissant celle d’un Anarchiste
irréductible, ce que je ne suis pas et ne serai jamais; de craindre moi-même à
ce que ma Défense Anticolonialiste ne serve à des fins illégitimes ou
déloyales, ce qui serait propre à la discréditer et à la faire rejeter
arbitrairement de façon définitive. Et il vous faut savoir que mon
appréhension s’est renforcie grandement au fil de mes lectures sur l’Objection
de Conscience, comme de cette citation du constitutionnaliste Pierre
Patenaude:
« Nous
espérons que les tribunaux continueront à préférer la primauté du droit
individuel plutôt que celle du droit collectif lorsque se présentera devant eux
un objecteur marginal qui exigera le respect de sa conscience. Nous sommes
cependant sceptique, car tout le poids
politique et économique ne sera plus du côté de celui qui exige la protection
de son droit individuel mais au contraire, l’objecteur devra faire face à
tout le système. » (Patenaude, Pierre, (loc. cit.), «L’objection
éthique et de conscience : Impact de la charte canadienne des droits et
libertés», 1983, R.D.U.S., vol. 3, no 2, pp. 315-351, p. 351)
«L’Objecteur devra faire face à tout le système», cela s’entend de la trinité des Pouvoirs de
l’État-Forceps, et, comme la Séparation des Pouvoirs n’est qu’une
vulgaire Passoire, ce dernier membre de phrase n’est pas sans me rappeler le
vieil adage machiavélique exprimant que: «si l’on ne dirige pas les
Tribunaux, on ne dirige pas le pays.» Bien sûr qu’une telle devise
implique indiscutablement la Dissimulation imperceptible, comme la Manigance
de demeurer au Pouvoir même en perdant ses Élections, tout simplement en
ayant au préalable procédé à des centaines de nominations de Juges âgés
entre 35 et 45 ans, scrupuleusement choisis pour leur Indubitable allégeance
envers la Ligne de Parti politique du Parti qui les a mis amicalement en poste
à vie jusqu’à l’âge de 75 ans, pour ainsi se doter insidieusement
pour les 40 prochaines années, d’un Gouvernement-Parallèle de
Toges-Tordues qui sauvegarderont ses Lois de toute déclaration
d’inconstitutionnalité, ceci précisé nonobstant l’Omerta-Judiciaire
de Michel Bastarache et sa Commission-Bidon; tout comme il
s’est magouillé sournoisement durant les 3 Mandats de cette vulgaire Filiale de
la Compagnie de la Baie d’Hudson que sont incontestablement les
Troglodytes-Libéraux de la Médiocrité Colonialiste de Me John-James la
Charogne-Nazie Charest. Et s’il a au moins une couille, qu’il s’amène contre
moi en dérisoire poursuite diffamatoire de Pea-Soup, en exécrable Païen de
Démocratie onusienne, comme un piteux
Avocat sans cause…
Lorsqu’un tel principe antidémocratique prévaut de
Dissimulation-Étatisée, il faut s’attendre
à ce que la Vérité se confine dans l’Enceinte de la Conscience, là même où
furent conçus les inestimables Principes de Justice Fondamentale appelant les
authentiques Allégeances envers le Genre-Humain. Parce que c’est dans ces
Principes de Justice Fondamentale que l’Humanité a résumé la somme de ses
souffrances traduites en Leçons de Sagesse pour que cette glorieuse expérience
soit mise à profit et s’incruste à demeure dans la Conscience-Collective de
l’Humanité. C’est dans la Conscience que la Vérité mûrit, jusqu’à ce qu’un
Objecteur de Conscience se donne résolument pour Mission-Existentielle de la
reformuler sainement pour la remettre à l’ordre du jour.
Les Droits et Libertés réunis en Principe de Justice Fondamentale, sont
à prime abord de la nature d’un Droit désarmé, souffrant d’incoercibilité nous
dit-on, mais je n’en crois pas moins qu’ils s’imposent à la
Conscience-Étatique, ne serait-ce qu’en rencontrant le Fardeau de Preuve
qui m’incombe de la prépondérance des probabilités. Armé de ma seule Vérité, je
n’en suis pas moins Confiant. Je me tiens résolu et ferme même si, suivant
l’expression précitée du professeur Pierre Patenaude, j’ai à «faire
face à tout le système». Indispensable à l’Évolution humaine, la
Vérité ne se veut-elle pas rassurante de Mieux-Être pour Chacun-Chacune,
puisque c’est la Vérité qui cimente l’Amour, les Relations familiales et
l’Amitié, et qui permet de gérer sereinement l’ensemble des Relations Humaines:
«
Psychologiquement, que se cache-t-il sous cette initiation ? Si l’Histoire
n’était pas là toute entière pour nous garantir qu’une vérité, dès lors qu’elle
a été vue une fois fut-ce par un seul esprit, finit toujours par s’imposer à la
totalité de la conscience humaine, il y aurait de quoi perdre cœur et patience en
constatant combien d’intelligences, même non médiocres, demeurent
encore aujourd’hui fermées à l’idée d’évolution. » (Teilhard de Chardin,
Pierre, (op. cit.), «Le Phénomène Humain», France, 1955,
Éditions du Seuil, pp. 318, p. 218)
Il y a en effet «de quoi perdre cœur et patience», de
constater que les Juges caïnadiens qui exigent de nous la Vérité la fuit
comme la peste. Parce que ces Toges-Tordues de la Cour-Martiale Suprême,
s’ils n’ont pas déblatéré jusqu’à s’égosiller à vociférer contre la Vérité,
ne se sont pas retenu de la traficoter, et n’en ont pas moins erré en
Droit et en Faits-Historiques en politisant la scène judiciaire de leur
règle du stare decisis, de l’obligation de suivre aveuglément tout
jugement provenant de la Cour-Martiale Suprême et des Cours d’Appel
provinciales, de même qu’en délaissant arbitrairement la
proportionnalité impérieuse entre la Règle de Droit et la Règle de Morale; et
cela m’incitera témérairement à soulever la Récusation Générale, si les
Tribunaux caïnadiens ne renoncent pas à la pratique anachronique de
l’ancien Droit International Coutumier, pour adhérer inconditionnellement
et pour de bon au Droit International
Public. L’Objecteur de Conscience n’exige somme toute que l’équilibre
épanouissant de la proportionnalité entre la Règle de Droit et la
Règle de Morale, comme le propose Bertrand de Jouvenel:
« […] il me paraît au contraire certain que la Morale agit
sans cesse sur le droit, comme un affluent évidemment plus efficace qu’il a
plus de force et de pureté. Toute métaphore est un expédiant non sans
inconvénients. Mais celle-ci me paraît expliquer le caractère cyclique de
l’idée de Droit naturel : on ne parlera guère de celui-ci au cas où l’évolution
du droit s’ajuste habituellement aux exigences du sentiment moral. Au
contraire, on parlera du Droit naturel, au cas où une insensibilisation
du droit se trouvera intervenir, ce qui peut arriver aussi bien par
dynamisme politique extrême que par conservatisme juridique exagéré.
[…]
Il existe vigoureusement comme impératif qui déploie ses
manifestations selon que l’on prend conscience d’autrui ; car l’esprit
du Droit naturel veut que l’on pense à partir de «l’autre». C’est
par erreur que l’on rapproche le Droit naturel de l’individualisme : il a son
principe dans «l’altérisme» : or rien n’est moins «instinctif. » (op.
cit.), de Jouvenel, Bertrand, co-auteur avec Kelsen, Hans, Ch. Perelman, A.
P. D’Entrêves, N. Bibbio, M. Prélot, Ch. Esenman, «Anales de philosophie
politique. Le Droit naturel», 1959, Presses universitaires de France,
Paris, Institut international de philosophie politique, 229 pages, p. 174)
Dans l’arrêt Edwards de 1930 de la Cour-Martiale
Suprême, il est affirmé mensongèrement
que «l’AANB a planté un arbre capable de croître dans les limites
naturelles de ses paramètres», alors qu’en réalité, l’AANB
de 1867 n’est qu’une pitoyable Loi-Coloniale unilatéraliste
de victoria; ce qui me fait conclure que l’AANB de 1867 a
plutôt été planté dans les limites naturelles des Cerveaux-Lavés de nos
Grands-Parents et retransplanté débilement dans les nôtres par les
Juges-Négriers du Renvoi-Esclavagiste de 1981. Ainsi donc, mine
de rien, dans la Colonie caïnadienne du Séquoia géant, aucun Gardien
de la Constitution ne peut vous l’exhiber honnêtement après
l’avoir faussement déclaré Légal, pas même un mini Bonsaï à nous
montrer pour nous servir d’Arbre à Palabres. Et cette odieuse Cachotterie n’a rien de banal, de s’ériger en
crapuleuse Trahison Antidémocratique, tout simplement pour ne pas
établir son absence totale de caractère fédératif, pour qu’un
odieux Mensonge en couvre un autre, comme un vieux tatou ridicule
devenu de plus en plus gênant, que l’on fait fondre dans un autre qui le
recouvre. Que leur dire qui soit sensé et pertinent à tous ces
Politicards-Colonialistes et leurs Juges-Ségrégationnistes, concernant l’Égocentrisme
arbitraire et suffisant qu’ils affichent systématiquement, sinon de
reprendre à mon compte pour les sensibiliser, les sages paroles de
Pierre Teilhard de Chardin:
« Mais, si
c’est là vraiment ce qui se passe, que nous faut-il de plus pour reconnaître
l’erreur vitale cachée au fond de toute doctrine d’isolement ?
Faux et
contre nature, l’idéal égocentrique d’un avenir réservé à ceux qui auront su
égoïstement arriver à l’extrême du « chacun pour soi. »
Faux et
contre nature, l’idéal raciste d’une branche captant pour elle seule toute la
sève de l’Arbre, et s’élevant sur la mort des autres rameaux. Pour percer
jusqu’au soleil, il ne faut rien moins que la croissance combinée de la ramure
entière.
L’Issue du
Monde, les portes de l’Avenir, l’entrée dans le Super-humain, elles ne
s’ouvrent en avant ni à quelques privilégiés, ni à un seul peuple élu entre
tous les peuples! Elles ne cèderont qu’à une poussée de tous ensemble, dans
une direction où tous ensemble (fut-ce sous l’influence et la conduite de
quelques-uns («d’une élite») seulement) peuvent se rejoindre et s’achever dans
une rénovation spirituelle de la Terre, -rénovation dont il s’agit maintenant
de préciser les allures, et de méditer le degré physique de réalité. »
(Teilhard de Chardin, Pierre, (op.cit.), Le Phénomène Humain, France,
1955, Éditions du Seuil, 318 p., aux pages 244-245)
MESSAGE IMPORTANT:
Il vous est
proposé au préalable de procéder attentivement à la lecture des Débats de
la Chambre des Communes de 1938, volume 1, pages 350 à 355, et volume 3,
pages 2234 à 2249, vous prouvant hors de tout doute raisonnable
l'unilatéralité de l'AANB 1867, jamais ratifié par les prétendus
«Pères de la Confédération», qui
clamaient mensongèrement et frauduleusement à nos Ancêtres leur
assourdissant slogan: «No taxation without Representation!» -promu par
des PM-Pantins, sans aucun doute, parce que dans la Colonie du Séquoia,
aucun des pseudo-gardiens de la Constitution ne peut vous l’exhiber,
c’est-à-dire, que les Juges-Négriers caïnadiens sont des Traîtres crapuleux
de «la prétendue société libre et démocratique», puisque comme mentionné en
aval, ils n’ont même pas un Mini-Bonsaï à nous montrer après 146
ans pour nous servir démocratiquement d’Arbre à Palabres dans la Colonie
de la Fée des Rations, présentement en loufoque jubilation
diamantaire de son Enrichissement sans cause…chanté mafieusement en glorieuse
épopée…
Il n’y aurait donc
plus rien à dire contre l’arrêt Edwards de la Cour-Martiale
Suprême, qui a sciemment et catastrophiquement planté l’AANB
de 1867 «dans les limites naturelles» des cerveaux lavés de nos
Grands-Parents, non plus qu'il soit permis de s'offusquer contre le Renvoi-Esclavagiste
de 1981 qui le transplantait dans les cerveaux lavés des
Révolutionnaires de la Tranquillité létale, en Fable sordide de la Fée des
Rations pour nos Enfants, parce que la Cour-Martiale Suprême a
encore récidivé avec sa sempiternelle turpitude népotique, comme elle le
fait selon «l'usage et la coutume» des abdications au Judiciaire-Dictatorial de
la part du Pouvoir-Exécutif, comme il se pratique fallacieusement à chaque Avis-Intéressé
de même qu'à chaque Renvoi d’Ascenseur adressés à la Cour-Martiale
Suprême, qui reconnaissait d’elle-même à cette occasion «un
certain degré de primauté» au Parlement-Colonial des Marchands de Bétail
d’Ottawa, qui nous marchandaient ainsi à la baisse de façon
fort britichiante…
Analyse
concrète de ce qui se constitue en Traitement différent
Pour chacun
de nous de la Population, si nous étions
poursuivi en justice par des prétendus Associés pour séparer les profits
d’une compagnie dont nous serions prétendument le Propriétaire unique, le
juge du Procès ne se contenterait sûrement pas de notre affirmation à
l’effet que nous sommes l’unique Propriétaire de la compagnie qui n’a donc pas
à séparer ses profits avec des associés imaginaires. Le juge exigerait
de nous que nous exhibions la Charte de la compagnie qui le prouve sans
aucun doute, n’affichant uniquement que notre nom. Alors, pourquoi nous cacher
l’original de l’AANB de 1867 ainsi que le photostat commandé
en 1939 de Londres par le juge en chef Duff, l'instigateur du Premier
Rapatriement? Pourquoi? mais tout simplement parce que l’AANB
de 1867 n’est qu’un «manuscrit» griffonné en vitesse en 1866 par Lord
Thrin sous les ordres de Lord Carnavon, en triple conflit d’intérêt; premièrement
en tant que Lord de la Chambre des Lords, dévoué à sa souveraine et à la
Chambre des Lords; deuxièmement, il était également
président du Colonial Office chargé d’écrire les Lois Coloniales; et
troisièmement, il était tout autant le Président du groupe des
délégués canadiens chargé d’aller porter l’AANB de 1867 à la Chambre des Lord. Voilà
ce que nous apprennent les Débats de 1938, selon les déclarations du
député Walter F. Kuhl, s'appuyant sur quatre Constitutionnalistes de son
époque, dont W. P. Kennedy, qui était Doyen de la Faculté de Droit de
l'Université de Toronto. Pourquoi ces Débats sont-ils exceptionnellement
censurés de la Preuve de mes Procès? -sinon parce qu'ils contredisent les
mensonges «apartheidiste» du Renvoi-Esclavagiste de 1981.
Donc, en résumé
dramatique, nos Juges-Troglodytes seraient les arriérés «Gardiens»
d’une Constitution écrite à la main en 1866, exactement quatre siècles
après la mort de Gutenberg en 1466, qui perfectionna les procédés de
l’imprimerie hérités des Chinois qui étampaient leurs caractères un à un…en se
posant la question en tant que bons Parents responsables : nos Enfants
hériteront-ils d’une vulgaire Extorsion-Colonialiste déguisée
frauduleusement en prétendue «dette nationale», puisque leur
Constitution unilatéraliste Coloniale n’est aucunement fédérative», ce qui
fait que l’acquittement de cet Endettement par Extorsion-Colonialiste
revient plutôt de Plein-Droit à cette Mafia-Judiciaire qui tolère que
le Vice de Consentement de l’AANB de 1867 et le Renvoi-Esclavagiste
de 1981 soient totalement contraires au Droit International Public,
en l’occurrence au chapitre 5 de la Convention de Vienne sur le Droit des Traités
qui prohibe tout Vice de Consentement même à un Traité commercial,
de même qu'à l’article 103 de la Charte des Nations Unies qui oblige les
États-Membres à reconnaître la primauté du Droit International Public
sur l'ancien Droit International Coutumier? Par ce que tel
est le cas, puisque la Cour-Martiale Suprême lors du Renvoi-Esclavagiste
de 1981, a également légalisé rétroactivement deux Conscriptions
Génocidaires qui ont coûté la vie à 100, 000 Canadiens, mine de rien…???
–dont la Mémoire est crapuleusement profanée depuis; et cela sans
oublier qu’absolument tous les Accusés au Canada se font accuser
illégalement, puisque la source constitutionnelle du Code Criminel,
à l’article 91 paragraphe 27 de l’AANB de 1867 est illégale, l’AANB
de 1867 l’étant dans son entièreté: «l’accessoire suivant le principal»…et
pour tous ces pauvres Accusés dont je suis: adieu à «leur Défense pleine
et entière» dans un Tribunal «indépendant et impartial!»
 vous de vous
délaver le cerveau en prenant connaissance d’une page importante de
l’Histoire…qui, comme toujours, ne concerne que les Êtres-Là qui s'habitent
personnellement, et par le fait même, qui sont authentiques, s'étant mis à
l'abri d'une pitoyable vivotance par procuration qui n'est bonne que
pour les Parasités qui se complaisent à se faire annuler par des Intrus!
-si de nouveau censuré en photocopies, voir absolument sur la clef USB dans le
fichier Défense Anticolonialiste, -les Débats de la Chambre des Communes
de 1938, volume 1, pages 350 à 355, et volume 3, pages 2234 à 2249.
Historiquement,
toutes les monarchies ont illustré une aristocratie lorgnant sa Populace
en tant que «vulgum pecus, troupeau vulgaire», même si cette Populace était
composée de Gens partageant la même citoyenneté. Combien plus vulgaire
une Populace étrangère leur apparaîtra-t-elle méprisable, après l’avoir conquise
par les armes et lui avoir fait signer un Acte de Capitulation
afin d’éterniser héréditairement son Humiliation et de s’assurer de sa
déshumanisation? Jean-Paul Sartre, en préface à Albert Memmi dans
«Portrait du Colonisé», nous résume le Colonialisme tel qu’il
s’est révélé universellement, quel que soit l’État qui l’a propagé:
« Le
colonialisme refuse les droits de l’homme à des hommes qu’il a soumis par la
violence, qu’il maintient de force dans la misère et l’ignorance,
donc comme dirait Marx, en état de «sous-humanité». Dans les faits
eux-mêmes, dans les institutions, dans la nature même des échanges et de la
production, le racisme est inscrit; les statuts politique et social se
renforcent mutuellement puisque l’indigène est sous-homme, la
Déclaration des Droits de l’Homme ne le concerne pas; inversement,
puisqu’il n’a pas de droits, il est abandonné sans protection aux forces
inhumaines de la nature, aux «Lois d’airain» de l’économie. » (SARTRE,
Jean-Paul, en préface pour Albert MEMMI, Portrait du Colonisé, 1972,
Édition L’Étincelle, p. 23)
[…]
Memmi a
remarquablement décrit la suite des démarches qui les conduit à l’«auto-absolution».
Le conservatisme engendre la sélection des médiocres. Comment peut-elle fonder
ses privilèges, cette élite d’usurpateurs conscients de leur médiocrité
? Un seul moyen: abaisser le colonisé pour se grandir, refuser la qualité
d’homme aux indigènes, les définir comme de simples privations. Cela ne sera
pas difficile puisque, justement, le système les prive de tout; la pratique
colonialiste a gravé l’idée coloniale dans les choses mêmes; c’est le mouvement
des choses qui désigne à la fois le colon et le colonisé. » (Id., (op. cit.),
p. 24)
Éric
Schwimmer nous résume comment dès les
bancs d'école, l’Europe a méticuleusement préparé pédagogiquement la relève
du Colonialisme pour qu’éventuellement il se perpétue et s’étende universellement
jusqu’en Afrique et en Amérique du Nord:
« Le jeu n'est pas nouveau.
Il y a plus de 2000 ans, Jules César nous en a livré le secret. Ses
Commentaires sur la guerre des Gaules ont été lus par les écoliers de tous les
pays impériaux. César y explique comment se faire des alliés de certains
vaincus et comment ceux-ci peuvent ensuite servir à liquider ses ennemis dans
le reste du pays. Divide et impera. Il se trouve toujours des vaincus prêts à
collaborer avec les vainqueurs. Ensuite, quand les vainqueurs disparaissent,
défaits à leur tour par les aléas de l'histoire, les divisions dans le pays
conquis ne disparaissent pas. Les Indiens et les Pakistanais, les Fijiens et
les Indiens, les Juifs et les Arabes, les Turcs et les Crétois, les Irlandais
du nord et du sud, les Birmans des plaines et ceux des montagnes, tous
continuent à se battre entre eux, même si les Britanniques ne sont plus là
depuis longtemps. » (SCHWIMMER, Éric, Le Syndrome des Plaines d’Abraham,
1995, Les Éditions du Boréal, (op. cit.), pp. 101-102)
***En résumé, auparavant, lorsque le Droit des
Capitulations était légal et le supportait, le
Colonialisme sévissait partout dans le Monde en allant prendre «de
Facto, de Fait» naturellement Militaire, avant de tenter
de se faire reconnaître «de Jure, de Droit», étant toujours celui
des Conquérants, comme nous le démontre Simone Dreyfus, qui est
une auteure de doctrine du Droit International Public:
« La nouvelle colonisation-
La première vague de colonisation date, on l'a vu, des grandes découvertes et
de la fin du XVe (s.) Et elle a abouti à l'implantation des
Européens en Amérique, en Extrême-Orient et sur certains points des côtes
Africaines.
[...]
Cette nouvelle
colonisation donne lieu à d'âpres luttes entre les grandes puissances de
l'époque. Les rivalités européennes se
transportent outre-mer. Et ces rivalités en Europe et outre-mer s'alimentent
réciproquement: la France et l'Angleterre s'oppose en Asie (en Indochine et
en Inde), l'Angleterre et la Russie en Chine. Les luttes sont d'autant plus
âpres que l'importance de l'expansion coloniale est grande. Ses mobiles
sont économiques et aussi stratégiques (bases navales, protection
de la route vers l'Inde, possibilité de ravitaillements des navires etc.) et
liés au sentiment du prestige national, car un empire colonial est
considéré comme la marque de la grandeur et du rayonnement d'un État,
ou parfois traduisant sa mission humanitaire auprès de peuples plus
arriérés. » (Dreyfus, Simonne, Droit des Relations Internationales
(extraits), Éd. CUJAS, 1978, pp. 7-47, pp. 22-23)
***Comment trancher, entre une Probabilité de Parti-Pris
et une Certitude véridique, en regard d'une Complicité évidente inspirée
par Turpitude-Népotique de la part de la Cour-Martiale Suprême? Évidemment,
cela implique de scruter scrupuleusement sa Jurisprudence, afin de
percevoir si elle pratique effectivement «la Retenue
Judiciaire» qui nous assurerait de «son Indépendance et de son
Impartialité», ou si au contraire, ses Arrêts nous illustreraient
plutôt des Faux-Prêtres au Sermon-Dogmatique, en adoration débile devant
leur Divin-Législateur les incitant d'autant de Ferveur au Positivisme.
Voyons quels
sont les Arrêts du Conseil Privé de Londres qui furent «rapatriés
judiciairement» par la Magistrature-Ségrégationniste de cette vulgaire Colonie
britannique, pour se faire automatiquement incruster en vrac dans le
terme fourre-tout de «Patrimoine» de l'article 27 de la Charte-Théocratique,
Martiale et Animalière caïnadienne.
En rappel,
d'abord, dans l'arrêt British Coal Corp de 1935, les
Juges-Lords déclarèrent que: «le Roi est la source de toute
justice». Ici, il vaut de rappeler cette maxime latine qui
proclamait «rex non potest peccare, le roi ne peut mal faire», il
serait sans Péché selon le terme «peccare», ce qui suppose
«son Impeccabilité». C'est pourquoi je décrie l'absence flagrante
de Séparation entre «le Pouvoir-Séculier» et «le Pouvoir-Temporel»
qui s'infère de notre Jurisprudence ecclésiastique reconnaissant
ouvertement (jadis), que le Monarque britannique est aussi «le
Chef de l'Église anglicane», ce qui est tout à fait le cas depuis
le schisme d'henri VIII millimètres en 1534, pour ce qui supporte ma
prétention à l'effet que depuis 1534, l'angleterre s'était instituée en
Théocratie protest-anglicane, et que depuis elle
est gouvernée par «une lignée de Roi-Pape et de Reine-Papesse». Comme
il est relaté dans le tome 2 du «Complot pour la Dignité, Théocratie
protest-anglicane caïnadienne du Fief-Pontifical élisabéthain»,
(texte inédité), c'est le Juge Berthelot de la Cour de Révision dans
l'arrêt Dame Henriette Brown contre Le Curé et les marguilliers de
l’oeuvre de la Fabrique de la Paroisse de Montréal, ci-après
l’arrêt Guibord, qui reconnaissait le monarque
britannique en tant que «Chef de son Église». Et il
faut bien admettre qu'indiscutablement, pour la majorité des Gens sensés
et minimalement cultivés, le synonyme le plus approprié de «Chef» est
«Pape», sans aucun doute, pour le Fondateur et le Chef d’une Église.
Mais faites-vous plutôt votre Opinion, en prenant connaissance de sa
Déclaration prononcée comme un Sermon sur les Plaines
d'Abraham:
« Le souverain anglais
ne pouvait en effet promettre plus. Il savait qu'il ne pouvait comme souverain
protestant, lui-même chef de l'église anglicane, se soumettre ou
promettre à ses nouveaux sujets l'observance de ce qui était exigé par certains
des articles des libertés gallicanes, telles qu'elles sont rapportées par
Pithou dans Durand de Maillane. »
[...]
« Je le demande, comment le
gouvernement britannique, ou le souverain anglais pouvait-il exercer ces moyens
d'action pour nous conserver les libertés gallicanes de l'église gallicane?
Comment pouvait-il se faire fort de se plier à ce qu'elles exigeaient ou
imposaient au Roi de France, qui prenait en outre vis-à-vis du Pape le titre
d'évêque de l'intérieur. » (In Re Guibord, [1869] Cour de Révision,
(op. cit.), juge Berthelot, p. 302)
Vous comprendrez
qu’en tant qu’Athée de votre Dieu-Yang de rétrogrades Phallocrates, que
je ne réclame absolument pas les Libertés gallicanes susmentionnées par
le juge Berthelot. Je me revendique plutôt comme étant un
Créancier-Privilégié pour moi-même et les Miens en tant qu'Héritiers-Bénéficiaires
des protections substantielles du Droit International Public, et par
conséquent, avec le Droit Interne qui lui soit cohérent de
fonctionner en tandem, parce que le Droit International Public ne
peut absolument pas être jugé «Infra-Constitutionnelle» à la Charte-Théocratique,
Martiale et Animalière caïnadienne, avec la Charte des Nations Unies
lorgnée de haut comme une feluette et anémique Charte
provinciale de Capitulards: puisque le terme «Pro-vince»,
signifie clairement d’être «Pour la Victoire» du Conquérant
britannique, en minables Promoteurs du Droit des Capitulations
de la britichiante monarchie britannique…ceci dit, nonobstant l’Omerta-Judiciaire
de Michel Bastarache qui, à grands coûts de nos deniers publics
nous cachait hypocritement que
depuis 1867 et subséquemment, vous avez toujours voté et ne voterez jamais
que pour des vulgaires Filiales de la Compagnie de la Baie d’Hudson.
Pour établir
cette Certitude dans votre Conscience, votre Objecteur conscientisé se
permet de reprendre avec quelques ajustements, les quelques paragraphes
suivants tirés du tome 2 du Complot pour la Dignité, puisque notre
Situation de Fait revient ni plus ni moins qu'à «une
Subjugation-Théocratique» de la nature du «cujus regio
ejus religio, la religion du prince est celle du Peuple»,
ceci résultant de l'Absence totale de Séparation entre le
Pouvoir-Temporel et le Pouvoir-Séculier dans tout le Royaume-Uni. Que
penser d'autre, quand le Preacher in Chief Dickson nous affirme
dans l'arrêt Big M Drug Mart:
« Quant à la
liberté de conscience et de religion, le contexte historique est clair. Pour
autant que cela puisse concerner la Charte, la revendication de cette
liberté a son origine dans les conflits religieux qui ont sévi en Europe après
la Réforme. »
(arrêt R.
c. Big M Drug Mart, [1985] 1
R.C.S., 1 R.C.S. 295, (op. cit.)
juge en chef Dickson, p. 344)
Après avoir lu
de tels propos, à quelle autre conclusion aboutir, concernant l'article 4
du Traité de Paris de 1763 entre Louis XV le Bien-Aimé (des siens) et
george III, ainsi que l'article 5 de l'Acte de Québec de
1774 et la Proclamation Royale de 1921 de george V, entres
autres? -Il s'agissait bien là «de Législations Théocratiques et
Martiales», à n'en pas douter, qui établissaient le
Principe-Patriarcal de source Biblique, comme l'énoncent les vieilles
maximes latines à l'effet que «la Religion du Roi est celle du Peuple»,
et cela, tout simplement parce que depuis toujours, «le Roi est le
Ministre de Dieu sur Terre». Voici le texte avilissant et
humiliant de l’article 8 de l’Acte de Québec de 1774,
concernant nos Droits Civils de Vaincus, rendus
parcimonieusement et sous condition d'allégeance et de soumission,
toujours en vigueur comme l’article 5, concernant
les Libertés de Conscience et de Religion, et qui vous fait renoncer
bêtement à votre Dignité-Humaine à les tolérer comme tels, et ainsi,
cautionner votre Décalage médiéval, de vous faire télé-déporter en dehors de
votre Spatio-Temporalité:
« That all His Majesty’s subjects within the province of Quebec, the
religious orders and communities only excepted, may also hold and enjoy their
property and possessions, together whit all customs and usages, relative
therto, and all other their civils rights, in as large, ample, and beneficial
manner, as if the said Proclamation, Commissions, Ordinances, and other Acts
and Instruments had not been made, and as may consist with their allegiance
to His Majesty, and subjection to the Crown and Parliament of
Great-Britain. »
Critique-Juridique
des Élucubrations dicksoniennes
L'arrêt Big
M Drug Mart expose une étude
législative de treize siècles qui invite à cette conclusion d'une Théocratie
caïnadienne, et cela se perçoit
clairement dans les propos du Juge en Chef Dickson qui dresse la
liste non-exhaustive des principales Lois-Ecclésiastiques anglo-saxonnes concernant
la Loi sur le Dimanche, en omettant sciemment de souligner
ce qui s'infère naturellement de sa liste, pour ne pas
mettre en évidence «l'hérésie démocratique anachronique de l’anglicanisme
en tant que Religion d'État de la Colonie caïnadienne», le
Fief-Pontifical élisabéthain:
« Selon la
tradition anglo-canadienne, cet entrecroisement remonte au début de l'ère
saxonne et se retrouve dans des lois comme celle promulguée par Ine, roi de
Wessex de 688 à 725. » (R c. Big M Drug Mart, [1985] 1
R.C.S. 295, (op. cit.), juge en chef Dickson, p. 316)
[...]
« Les lois
canadiennes antérieures à la Confédération s'inspirent de la Sunday
Observance Act de 1677. C'est notamment le cas de an Act to prevent the
Profanation of the Lord's Day, commonly called Sunday, in Upper
Canada, 1845 (Can.) chap. 45, qui
abstraction faite de certaines modifications mineures apportées pour qu'elle
puisse répondre aux conditions et aux activités particulières du Haut-Canada,
reprenait essentiellement les dispositions de la loi anglaise. » (arrêt
Big M Drug Mart, (op. cit.),
juge en chef Dickson, p. 319)
[...] «
l'arrêt Hamilton Street Raylway Co, [1903] A.C. 524, lequel arrêt a été
suivi de l'adoption, par le Parlement fédéral en 1906, de l'Acte concernant
l'observance du dimanche. À l'instar de la loi ontarienne, la loi
reproduisait les éléments de base et, dans une grande mesure,
la formulation de la loi anglaise de 1677, savoir la Sunday
Observance Act. C'est encore le cas aujourd'hui, même après
quatre refontes. »
(Big M
Drug Mart, (op. cit.), juge en chef
Dickson, p. 319)
Et encore, de
l'arrêt Big M Drug Mart, venant toujours du Prédicateur en Chef
Dickson-Wycliffe de l'Enfer protest-anglican, citant cette fois
le juge Fitzpatrick, assurément un Irlandais-Orangiste rendu
un Fanatique Renégat de sa Foi Catholique, alors que cet Incitateur
à vous faire Cooperator déclare que: « (...) le
christianisme fait partie de la common law du royaume. » Et encore,
le Prédicateur en Chef Dickson-Wycliffe, en Chaire à la Cathédrale du Styx
de Wessex, de cet extrait tiré encore de l'arrêt Ouimet v.
Bazin, (1912) 46 R.C.S. 502, p. 525, mais cette fois-ci, citant
le Juge-Négrier en Chef Duff, qui commanda en 1939, le
Premier Rapatriement de l'AANB de 1867, ce dernier ayant
constaté sa Forme Manuscrite et «son Vice de Consentement»,
n’en devint pas moins le Complice d'une des Hontes-Nationales qui
ternissent l'épopée du Fief du Canada», en l'occurrence, la
Conscription-Génocidaire de Mackenzie King. Pour ce qui est de la
Religion d'État, elle apparaît encore en lisant le
Comparse de Mackenzie King, le Juge en Chef Duff:
« En réalité, il me semble
que la Loi considère les actes interdits comme une profanation de
l'institution chrétienne du dimanche et les déclare passibles de sanction à ce
titre. À mon avis, l'arrêt Hamilton Street Raylway Co. nous
oblige à conclure qu'il s'agit d'une loi traitant de droit criminel. » (R.
c. Big M Drug Mart, (op. cit.), du juge en chef Duff, de l'arrêt Ouimet
v. Bazin, (1912) 46 R.C.S. 502, p. 507, repris par le juge en chef Dickson, p. 321)
D'après moi,
«la Théocratie protest-anglicane de la Colonie caïnadienne» n'est
toujours actuellement, encore en 2013, qu'«un arriéré
Fief-Pontifical élisabéthain» de leur Diablesse de Reine-Papesse
protest-anglicane, qu'une minable «Inféodation anachronique à
notre Modernité suintant le médiévalisme par la pratique
persistante de l’ancien Droit International Coutumier, en
totale contraventions avec les règles impératives et supra-étatiques du Droit
International Public», par conséquent, les 9 Corniauds-Nazxis de
la Cour-Martiale Suprême ne sauraient prétendre avoir rapatrié en
1982 le Pseudo-Pacte Fédératif de l'AANB de 1867, puisque
c'est le Juge-Négrier en Chef Duff qui en ordonna
«le Premier Rapatriement en 1939» qui lui fut remis de
Londres sous la forme d'un «photostat»; et je ne
peux dès lors que me convaincre de «son
Vice de Consentement», avec l'absence de Ratification par «les Pères
Noël de la Confédération» que ces Salopards de
Politicards-Ségrégationnistes en Toge ont remplacé en nous vendant
frauduleusement en se substituant à eux, et cela, en
cautionnant «son Illégalité onusienne». Et il fallait bien conclure
selon moi, que le Juge-Négrier en Chef Duff de la Cour-Martiale
Suprême de 1939, s'est fait le Complice du PM de l'époque,
Mackenzie King, dans «la Conscription-Génocidaire» qui fut
décrétée sans Source-Constitutionnelle dûment «légale
de son Consentement vérifiable de sa Ratification», en plus d'avoir été
décrétée durant son Mandat, contrairement à sa Promesse
Électorale pour laquelle il s'était fait élire, de
ne pas engager le canada en Guerre, et: «Bingo pour la
Chair à Canons!»
Il ne faut pas
oublier les omissions volontaires du juge en chef Dickson dans l’arrêt Big
M Drug Mart, concernant «les guerres qui ont sévi en
Europe après la Réforme», sont bel et bien signifiées sur
le Passeport caïnadien de la Proclamation Royale de 1921, en
l’occurrence dans le deuxième quartier en senestre, exhibant les Armoiries
de Marie Stuart, reine catholique d’Écosse, décapitée par sa
charmante cousine, et ultérieurement méprisée haineusement
et de façon obsessionnelle puisque Marie
Stuart est rabaissée «post mortem» sur les Armoiries caïnadiennes pour
honorer élisabeth I, la première Reine-Papesse protest-anglicane en
tant que fille d’henri VIII millimètres, et en tant que
Législatrice de l’Acte de Suprématie de 1559, et du Bill
des 39 Articles de 1563 qui firent de l’anglicanisme
la Religion d’État en angleterre. Cela vu, tout en faisant
le lien logique qui s’impose avec les expressions de la
suprématie de Dieu et la primauté du Droit évoquées
dans le préambule de la Charte-Théocratique caïnadienne,
s’agissant de la même Suprématie que celle de l’Acte
de Suprématie de 1559; et en faisant encore l'autre lien logique
avec la Devise royale: mon Dieu et mon Droit, qui
est toujours suivie de son éternelle Sentence-Fatwa: honni soit qui
mal y pense! et qui, cette fois-ci, de façon exceptionnelle,
s’exprime par les Armoiries caïnadiennes qui rabaissent héraldiquement
les Canadiens-Français en Prisonniers de Guerre, en POW, de cette
sournoise et scélérate Réquisition-Militaire généralisée en Déni de notre
Droit à la Vérité, de notre Droit à la Mémoire, ainsi que de notre Droit
à la reconnaissance innée de la Dignité-Humaine dans le Respect de la
Réciprocité, en tant que principes de justice fondamentale qui nous
sont fallacieusement niés de leur absence, autant que par
l’injustifiable apposition desdites Armoiries caïnadiennes, directement
apposées dans cet objectif antidémocratique sur la page couverture du document
officiel de la Codification des Lois constitutionnelles de 1867 et de
1982. Autant de Cachotteries toutes ces demi-vérités
en litanie dogmatique «from the Evil's Preacher Chief Justice
Dickson, naturellement tenté dans la propension effrénée des
Juges-Ségrégationnistes caïnadiens au Révisionnisme-Historique pour nous
dissimuler la Vérité, «en optant sciemment pour la vraisemblance «de
la Société libre et démocratique» dans leur Scénarisation-Obreptice d'une
Uchronie-Judiciarisée favorisant sournoisement «l'Inféodation du Fief du
Canada». Tout ce Cirque-Judiciaire de Juges-Féciaux, comme autant de
Robes-Noires venus physiquement (et sexuellement) en Missionnaires chargés
de nous convaincre par Conversion-Judiciarisée à la Laïcité de leur
loufoque Théocratie, mais à l’évidence, dans «une
Jurisprudence-Oecuménique pour l'Écume-Ethnique anglo-saxonne de la Tribu des
Réducteurs de nos Têtes», jamais en Banc de
Juges-Démocratiques siégeant dans des véritables Tribunaux-Laïcs, -mais plutôt en
Chaire-Promotionnelle selon la teneur de leur Sermon-Jurisprudentiel, inspiré
de leur constante Ferveur autant Ostentatoire qu'Apologétique».
Ça devait venir
de la déformation professionnelle des Hérauts d'Armes, d'avoir été jadis
des Saltimbanques de foire médiévale, pour que Dickson le
Chief-Preacher nous en remette comme un Clown-Jongleur sur son Banc
de Sénéchaussée, au centre de la piste, comme «un Bèta-Misonéiste du Droit
Héraldique «des géophages et démovores Ogres de la lignée
dino-windsorienne» qui débarque dans la Modernité par une
porte du Passé qu'il nous faut condamner à tout prix, parce qu'encore
et toujours dans sa Suffisance insignifiante du Jongleur de
l'Absurde, ce Juge-Négrier en Chef Dickson qui aime se rechanter
dans l'arrêt Morgentaler, reprend sa Rengaine en Bis de
son Vice, d'une autre de ses citations tirées encore de l'arrêt
Big M Drug Mart, en véritable Prêtre-Marron du même sempiternel
Sermon des Suppôts de Satans, «en Haute Surveillance sur «les Damnés de
la Terre» que Nous sommes avec Ceux de Franz Fanon, qui se doivent
de réagir pour s'exorciser des Imprécations de la Goétie-Satanique de la
putain de Diablesse élizabéthaine, pour Nous et Notre Descendance, surtout
que sa JETTATURA-MALÉFIQUE retombera sur ELLE de la
Tare-Héréditaire des Subjugués; alors que son Sinistre-Successeur leur
rechantera sa Messe-Noire en ces termes du genre que «les Axes
du Mal» sont toujours Ailleurs, du terme impeccable «pour
l'Alibi-Parfait»; et de même, laisse-t-il entendre sournoisement,
en manque de franchise pour le dire clairement, que «toutes les
Théocraties protest-anglicanes rétro-adventistes sont autant
Extrémistes que tous les États-Islamistes», et «Ite
Missa Est», pendant que ce même Preacher hérétique in
Chief-Justice Dickson, nous proclame encore la prétendue Laïcité
de la Théocratie protest-anglicane caïnadienne dans son
Sermon-Ultramontain, en britichiants Échos assurément trans-océaniques,
que voici:
« Une loi du Parlement ou
d'une législature qui par exemple prétendrait imposer les
croyances d'une religion d'état entrerait en conflit avec l'al. 2 a) de la Charte
qui garantit la liberté de conscience et de religion, et devrait être
déclarée inopérante sans qu'il y ait même lieu de se demander si une telle loi
est susceptible d'être légitimée par l'art. 1. » (Big M Drug Mart, 1985, 1 R.C.S., (op.
cit.), juge en chef Dickson, p. 333)
Rien de banal,
car il y avait que sa
Jurisprudence-Théocratique dicksonnienne, elle s'engouffre
entièrement dans «le Patrimoine-Biblique» de l'article 27.
Et cela nous démontre clairement que tant son Sermon-Judiciarisé que
l'article 27 sont en conflits avec son alinéa a) de l'article 2 de la Charte-Théocratique
canadienne, et autant en contradiction de son article 33
l’obligeant d’y déroger nommément à l’alinéa a) de l’article 2 en nous vendant
la fausse laïcité de la Théocratie protest-anglicane rétro-adventiste
canadienne, ainsi qu’à l’article 52, qui impose d'y exclure
absolument tout ce qui «la rendrait «Inconsistante à elle-même», contrairement
à ce qu'il fait lui-même en relatant l'historique des Lois-Théocratiques
britanniques protest-anglicanes dont nous avons pitoyablement héritées.
Mais il y a que L'Éristique-Hétérodoxe que je suis en était rendu à croire que
«la Souveraineté des Québécois», toute Ethnie confondue, étaient conditionnelle
à leur Excommunication par leur Diablesse de Reine-Papesse de
l'Hérésie-Biblique «des Tribunaux de l'Inquisition protest-anglicane»,
en Refus d'Office d'un Droit-Personnel de Veto sur notre
Épanouissement-Intellectuel d'Autochtones Civilisés de même que sur ce qui
menace notre Équilibre-Mental, en Objecteur de Conscience du Bon
Père de Famille interdisant à tous les Juges-Négriers caïnadiens
de continuer de faire croire débilement à ma Descendance et à tous les
Autochtones, ce dont ces Juges-Féciaux les ont déjà embobinés traîtreusement,
à savoir, leur stupide Dogme-Doctrinaire de fausse laïcité sur un
merdique fondement protest-anglican...
Malheureusement,
pour le Scénario de la Garse des Vues, il y a que je complote depuis
belle lurette sous un sombre Scorpio-Nimbus, depuis que je me suis transmuté en
L'Amer-Indien né de la première Pluie provoquée par une Danse s'apparentant à
une Pyrrhique; tout simplement parce qu'un Gars finit par se dire: «Wo!
-there is a fucking Limit!» -rendu à mon âge de s'acharner à vouloir
m'apprendre à vivre comme un Zombi qui s'accepte comme tel, en
Mort-Vivant, alors que je n'espère plus de vous que l'Euthanasie suite à un
honorable Duel-Judiciaire se voulant de ma part un Combat à Mort, mais qui sera
sûrement esquivé lâchement pour se faire sournoisement re-politiser à
« la mode Libérale-Conservatrice SurPéquiste ADQuatiste », donc dans un mafieux Jugement-Législatif.
De l'ère
victorien à l'air élizabéthain, d'une Putain de Mère-Colonialiste à une Bâtarde
de Mère-Ségrégationniste autant
fanatique des articles 34 et 35 de l’Acte Général de Berlin de 1885: parce que je sais
fort bien que Sewell, le Juge-Fécial en Chef de 1810, ce Chargé
d'Assimilation-Étatisée, n'était somme toute qu'un pitoyable
Fonctionnaire de la Médiocrité à la solde du Colonial Office; et
qu'encore aujourd'hui en ce qui concerne nos Toges-Tordues, le piètre
Critère d'embauche de tout bon Fonctionnaire, réside dans leur
légendaire aptitude d'oisiveté débile à faire un clin d'oeil en s'ouvrant
un oeil...comme nous le démontre cette citation venant de Maurice Séguin,
un honnête Historien émérite, comme il ne s'en fait plus:
« LE PLAN
SEWELL:
PEUPLER ET UNIR LES CANADAS »
Le juge en chef Sewell, que Craig considère à juste titre comme le haut
fonctionnaire le mieux renseigné sur l'état de la colonie, rédige en 1810 un
long mémoire sur le problème politique et national du Bas-Canada.
« Les difficultés politiques proviennent
de deux causes: de la prédilection pour tout ce qui est “français” chez
la très grande partie des habitants et du manque d'influence et de
pouvoir du gouvernement exécutif. S'il n'y a pas de changement, prédit
Sewell, et si ce penchant n'est pas entravé, il continuera de se
développer jusqu'à ce qu'une crise rende nécessaire d'intervenir par la
force et, en ce cas, l'avenir du Canada se décidera par un recours aux
armes. » Dès 1810, Sewell peut donc prévoir 1837 et
la double révolte armée.
Selon Sewell, quand il existe
entre conquérants et conquis des différences de langues, de lois,
de religions, la fusion véritable et complète en un seul corps ne peut se
produire tant que persistent ces divergences culturelles. «Les
conquis peuvent faire leur soumission dans de telles circonstances,
mais c'est alors la soumission d'un étranger à un gouvernement qu'il ne
considère pas comme le sien.»
Les Canadiens sont aussi français qu'ils
l'étaient à l'époque de la conquête. L'antipathie entre Canadiens et Britanniques
est aussi intense que jamais. Tant que le nombre des colons anglais sera
aussi restreint, on ne peut espérer aucun changement dans la langue, les
lois et la religion du pays. « Cependant, affirme Sewell, cette
province doit être convertie en une colonie anglaise, sinon elle
sera définitivement perdue pour l'Angleterre. »
Sewell croit
absolument nécessaire de submerger la population canadienne au moyen de colons
parlant anglais. Cette immigration ne viendrait pas obligatoirement
d'Angleterre. Elle peut être obtenue des États-Unis. Certains craignent la
désaffection de ces colons américains. Sewell riposte: ces colons
seraient des descendants d'Anglais; ils s'assimileraient plus facilement.
« Si pour peupler le pays au moyen d'Américains, il faut courir un risque, le
danger sera alors moins grand qu'en laissant la province dans la situation où
elle se trouve actuellement. »
Les terres incultes de la Couronne
suffisent pour établir une minorité. Cependant, il est désirable que les
colons de langue anglaise soient disséminés au milieu même des Canadiens.
Mais la tenure seigneuriale inspire une telle aversion aux anglophones que les
seigneuries sont entièrement colonisés de Canadiens. L'absence de contact
entre Canadiens et Anglais rend impossible l'assimilation. Seule
une intervention impériale pourrait permettre de changer de tenure, car on ne
peut rien attendre d'une Chambre d'assemblée dominée par les Canadiens.
Sewell en arrive à la réforme
essentielle. La situation critique de la colonie exige des mesures qui
opéreront dans la législature un changement beaucoup plus rapide que celui qui
résulterait de la colonisation par des anglophones. «Rien ne serait plus
efficace, pour changer le caractère de la Chambre d'assemblée du Bas-Canada,
que “l'union législative” des provinces du Haut-Canada et du Bas-Canada, sous
un seul gouverneur général et avec une seule législature.» L'influence des
anglophones dans l'unique Chambre d'assemblée deviendrait plus considérable.
Cette influence serait prépondérante si le nombre de représentants du
Bas-Canada est diminué et si le nombre de représentants du Haut-Canada
est augmenté.
Sewell,
après tant d'autres, revient à la formule d'une Chambre d'assemblée dominée
par une majorité de députés anglophones, même si la population
britannique est en minorité dans les deux Canadas. L'intérêt du conquérant
britannique l'exige. » (Séguin,
Maurice, UNE HISTOIRE DU QUÉBEC, VISION D'UN PROPHÈTE, 1995,
Éditions Guérin, pp. 98-99)
Lorsqu'une
Minorité domine une Majorité, une telle Subjugation s'apparente
indiscutablement à une situation d'«Apartheid!» Voilà ce
dont nous avons hérité du juge en chef Sewell de la Cour-Martiale Suprême, et
qui fut déplorablement confirmé par le Renvoi-Esclavagiste
de 1981. L'Histoire nous a fait faux-bond de n’en avoir aucune, par
manque d’Espoir de résignés à la docilité avilissante, d'une multitude de
Figurants sans aucun Acteur de Premier Rôle. Je constate amèrement
qu'il nous fallait un Nelson Mandela, et non pas cette sous-espèce
d’Escobars-Colonialistes comme l'exécrablissime tandem de Pierre
Hell-he-hot le Corruptible-Trudeau avec son inséparable gueule-croche, Jean
le Crétin-Chrétien au Parlement-Colonial d'Ottawa! -que
l’inclinaison à la médiocrité a fait déclarer débilement en tant que
«l'Être-Parfait» par partisannerie judiciaire, comme nous
le verrons en amont.
-la
Prophétie Sewell de la Grande
Répression de 1837
Maurice
Séguin nous rapportait plus haut que «Dès
1810, Sewell peut donc prévoir» la Grande
Répression de 1837 par l'Oligarchie anglophone qui excite «l'Antipathie
envers les Canadiens-Français» qui était pré-existante «depuis la
Conquête» et même avant, héritée des Guerres franco-anglaises d’Europe, et
qui va finir par déterminer «le Gang-Select des Nous» et «le Clan des
Eux» à s'affronter dans la double révolte armée»
de la Grande Répression de 1837. Sewell était sans contredit le
Juge en Chef d'une Cour-Martiale Suprême pour faire une telle
prédiction: -car à cela, il faut bien craindre que OUI.
Par exemple,
prenez-le de J.R.M. Sauvé, un Général à la retraite que j'ai eu
l'Honneur de rencontrer chez-lui, et qui est l'auteur de «Géopolitique et
Avenir du Québec». Une Lecture qui vous apprendra que la maxime «si
tu veux la Paix prépare la Guerre» s'applique toujours, puisque si
les Guerres surviennent, c'est qu'elles sont préparées longuement
à l'avance, avec bien plus de soins qu'on en met pour les
éviter, parce que ce qui importe pour les Polémologistes, c'est de
prendre «de FACTO, de FAIT», par Campagne Militaire, avant de penser
instaurer un prétendu «Ordre Juridique», pour la Paix, l'Ordre
et le Bon Gouvernement» si cher au despote Richard III pour se justifier de
ses crimes crapuleux, comme l'énonce la propagande du paragraphe
introductif de l'article 91 de l'AANB de 1867, avant
d'énumérer les Compétences exclusives au Parlement-Colonial d'Ottawa.
Donc, dans l'objectif pour l'Harmonie-Sociale souhaitée par
«le Roi promis» du Psaume 72 de la Proclamation Royale de 1921
avec dans le troisième quartier de l’écartelure, «sa Harpe Mystérieuse à 10
Cordes» pour représenter l'indispensable Décalogue Divin, comme
l’affirme Saint Augustin dans ses «Confessions»; ce qui m’amène à
conclure à «une Harpe autant Biblique qu'Héraldique»,
et qui se présente piteusement dénaturée franc-maçonnique
rosicrucienne, ceci en tenant compte du mouvement pythagorique
à 90 degrés de ce Dieu annoncé qui vient vers nous, pour ensuite
bifurquer carrément afin de nous emporter idéalement vers son ciel satanique, dont
il faut tant se préoccuper jusqu’à l’obsession morbide qui nous télé-déporte,
déphasés du Décalage en dehors de notre Spatio-Temporalité et de notre
Existence-Réelle:
« C’est ainsi
mon Dieu, qui vous approchez autant de nous par votre souveraine bonté,
que vous êtes élevé au-dessus de nous par votre souveraine puissance,
que tous les désordres de la vie humaine violent votre Décalogue divin (qui
est cette harpe à dix cordes), les dix Commandements que vous avez
gravés sur les tables de la loi, dont les trois premiers regardent les
fautes que l’on peut commettre contre vous, et les sept autres celles que l’on
commet contre le prochain. »
(Saint
Augustin, Confessions, traduction du Latin sur 22 ans d’Arnaud
d’Andilly, France, 1993, Folio Classique Éditions Gallimard, p. 106)
Que faut-il
s’attendre de la part des Conquis déjà présumés Coupables des 7 Péchés
Capitaux par les 7 autres fautes «que l’on commet contre le prochain
?» Car il est rapporté que le climat social était tendu depuis
la Conquête, et que l'animosité préexistante s'est
naturellement perpétuée jusqu’à nous, en se rappelant l’attentat récent au
Métropolis en 2012 par Richard Henry Bain. Parce qu'en l'Absence
de «Reconnaissance de la Dignité-Humaine dans le Respect de la Réciprocité»,
il y a que «cette Répulsion réciproque» subsiste, elle ne s'est
pas dissipée, mais s’est plutôt affirmée autrement pendant plus de deux
siècles, s'il faut en croire Éric Schwimmer, qui est Anthropologue et
l'auteur du «Syndrome des Plaines d'Abraham», dans lequel il nous
partage que:
« L'aigreur
des relations entre les Canadiens anglais et Canadiens français a sans
doute été motivée aussi par l'antagonisme religieux. Les relations
entre protestants et catholiques n'ont jamais été bonnes avant la Deuxième
Guerre mondiale; par ailleurs, sur le plan politique, la
subordination de l'Église anglicane à la royauté britannique est en
contradiction fondamentale avec la subordination de l'État laïque catholique
à l'élection du pape. Du point de vue catholique, des slogans du type « Onward,
Christian Soldier » ne sont guère chrétiens; ils ne sont certainement pas
catholiques. Même du point de vue anglican, comment ose-t-on qualifier de
chrétien un soldat qui réalise un idéal sur terre? Mais s'il est prêt à
sacrifier sa vie à sa patrie, cette loyauté ne lui confère-t-elle pas une vertu
religieuse? Encore peut-on condamner un tel amour de la patrie comme idolâtre
»...
[...]
L'«antimilitarisme»
des Canadiens français, en particulier, était perçu comme une faiblesse
et un manque flagrant de patriotisme. L'idéologie canadienne-française
était « dénuée du sens de la responsabilité. Les impérialistes Canadiens anglais imputaient ce
défaut à l'absence de toute conscience historique chez ce peuple »
qui ne peut pas «se forger un jugement valable de relations qui
doivent lier entre elles les diverses parties de l'empire. »
(Schwimmer, Éric,
Le Syndrome des Plaines d’Abraham, Québec, 1995, Éditions Boréal, p. 106)
D'après moi,
quant à la citation précédente d'Éric Schwimmer, il faut préciser que
«l'antagonisme religieux» entre protestants et catholiques»
remonte indiscutablement «aux Guerres de Religions qui ont sévi en
Europe après la Réforme», en complétant les dires d'Éric
Schwimmer avec les déclarations du Juge-Négrier en Chef
Dickson tirées de l'arrêt Big M Drug Mart de la Cour-Martiale
Suprême, toujours « en retenue judiciaire de la
Pure-Vérité ». De plus, rappelons que l'expression «Onward,
Christian Soldier» fut récemment utilisée par Richard Henry
Bain en 2012, par le francophobe assassin du soir des Élections
gagnées par le PQ, et qui s'en tirera assurément à bon compte, tout comme l'assassin
du caporal Lemay de la SQ, (comme deux Victimes francophones jaugées en
Bestiaux dont le Sort importe peu). Du point de vue de «leurs
Effets juridiques», ces Guerres de Religions sont exécrablement
symbolisées dans le Deuxième Quartier de l'Écartelure «des Armoiries
caïnadiennes» de la Proclamation Royale de 1921, par la présence
des Armoiries de Marie Stuart, la Reine Catholique d'Écosse, décapitée
par sa chère cousine, élisabeth la Première Reine-Papesse de l'anglicanisme,
érigé législativement en tant que «Religion d'État» par ses
Lois-Théocratiques de l'Acte de Suprématie de 1559 et le Bill
des 39 Articles de 1563». La louche Dissimulation
«dicksonnienne», consistait tout simplement de dissimuler sa
reconduction épiscopalienne de sa Religion d'État, puisque
ces 3 Lois-Théocratiques» font partie intégrante du «Patrimoine
canadien» de l'article 27 de «leur diabolique Magna-Charia protest-anglicane»,
et sans effet social provocateur non plus que discriminatoire avec
l'article 11 de la Charte du Québec.
***Maintenant, reconsidérons les propos de Paul Martin
père de l’Ex-PM, tirés des Débats de la Chambre des Communes
de 1938, volume 3, page 2248, en se demandant sérieusement quels seraient
«les organismes qui battent la marche lorsqu’il s’agit d’interpréter le
droit coutumier»? Parce que Michel Pastoureau, un
éminent Héraldiste, nous apprend par ricochet certains détails procéduraux
que l’on nous cache effrontément pour tirer profit de notre ignorance
souhaitée, à l’effet que «la notification de Possession coloniale
accomplie aux autres Puissances coloniales», pourrait fort bien
être l’œuvre du «Royal College of Arms»; et la validation lors du Renvoi-Esclavagiste
de 1981, d’un Titre de Possession Coloniale émanant de ce Tribunal Héraldique
en Jugement par Contumace à portée héréditaire, nous laisse
entrevoir de façon alarmante que la Cour-Martiale Suprême n’est
assurément pas le plus Haut Tribunal du pays, de s’y
être soumise si pitoyablement lors du Renvoi-Esclavagiste de 1981:
« Dans le Royaume-Uni,
en particulier, le Royal College of Arms, qui dépend directement de
la Couronne, a charge, compétence et juridiction, comme
les collèges des hérauts au Moyen Âge, pour traiter et résoudre tous les
problèmes héraldiques. » (PASTOUREAU, Michel, Figures de l’Héraldique,
1996, Découvertes Gallimard, p. 39)
Les
Armoiries caïnadiennes nous désignent
incontestablement en Prisonniers de Guerre, en POW, Prisoniers Of
War, et leur présence sur le Passeport de la Honte fait de vous des WOP,
Without Official Paper, comme des pauvres Bêtes bâtardes sans
Pedigree. Cela ne fait aucun doute, en constatant la présence de l’ancien
emblème constitutionnel de la France avant l'adoption post-révolutionnaire
du Tricolore, la bannière constitutionnelle de la France, autrefois aux
Trois Fleurs de Lys, qui se retrouvent rabaissée dans le
quatrième quartier en senestre, par conséquent, située côté Vaincus,
sous le deuxième quartier qui présente les Armoiries de
Marie Stuart, reine catholique d’Écosse, comme mentionné, décapitée
par sa cousine élisabeth première Reine-Papesse anglicane. Il faut
donc prendre très au sérieux les propos qui suivent de Michel Pastoureau:
« 2.
L'HÉRALDIQUE AU SERVICE DE L'HISTOIRE POLITIQUE, SOCIALE, FAMILIALE ET
GÉNÉALOGIQUE
L'aide que la
connaissance des armoiries modernes peut apporter à l'historien de la société,
à celui du droit, à celui des structures familiales et au généalogiste est
manifeste et relativement bien connue. Nous ne nous y attarderons pas. Tout le
monde sait comment l'héraldique constitue une science auxiliaire précieuse des
études généalogiques et, par là même, des études démographiques, sociologiques,
voire ethnographiques ou biologiques.
L'examen des
armoiries aide à situer un personnage au sein de sa famille, à établir son arbre
généalogique, à démêler le réseau de ses alliances matrimoniales ou parentales,
à connaître éventuellement ses possessions de terres ou de fiefs;
il peut aider à retrouver d'anciens patronymes (cas des armes parlantes qui en
raison d'un changement de nom ne sont plus perçues comme telles), à distinguer
deux étrangers qu'une homonymie faisait croire parent; il peut fournir des
pistes pour identifier les ancêtres d'un individu, pour redécouvrir l'origine
géographique d'une famille, pour rattacher un prieuré à son ordre, etc.
L'histoire
politique se lit particulièrement bien dans les armes des états, des souverains, des princes et des dynasties
en général. Par la variété de ses possibilités, le système des
écartelures au sein d'un écu permet d'y lire l'histoire d'un royaume
ou d'un fief, les héritages et les possessions d'un prince,
ses prétentions, ses alliances, ses acquisitions et ses
renoncements. En ce domaine, l'héraldique des XVIIe et XVIIIe siècles est particulièrement riche de
raccourcis instructifs.
Enfin l'historien du droit
trouvera dans l'histoire de la capacité héraldique et du port véritable des
armoiries de quoi méditer sur l'inanité de la législation et de la
jurisprudence et sur l'impuissance des arrêts, édits et
ordonnances, face à des mœurs emblématiques qui, au-delà de
la seule héraldique, sont de toutes les époques et de toutes les
sociétés. »
(PASTOUREAU, Michel, Traité
d’Héraldique, Picard éditeur, 2003, 4e éd., 407 pages, p. 281)
Maintenant, vous savez que « le Renoncement » de Louis XV
par sa ratification du Traité de Paris de 1763, est bel et
bien « notifié » sur la Charte-Martiale canadienne ainsi
que sur votre Passeport de la Honte Nationale; « ce Renoncement » de Louis
XV à george III incluant « le Territoire » en tant que « Valeur
Immobilière » ainsi que nos Ancêtres jusqu'à nous, en tant que
« Valeur Mobilière », vulgaire, périssable, mortelle autant qu'exécrable,
appelée à suivre « le Principal » de « la
Valeur Immobilière » d'un Royal « Jeu de Monopoly »
incontestablement apocalyptique.
***les
2 Critères déterminant la Clarté des Titres de Possession Coloniale
a) -l'Occupation physique
et effective du Territoire
b) -la Notification de
la Possession Coloniale accomplie,
conformément aux articles
34 et 35 de l’Acte Général de Berlin de 1885
de l’ancien Droit
International Coutumier
Ma répulsion est
logique et légitime envers tout symbole discriminatoire totalement
contraire à l'article 11 de la Charte des Droits et Libertés de la
Personne du Québec; ainsi, elle est on ne peut plus rationnelle, depuis
que j’ai appris l’origine des «Armoiries caïnadiennes» par
législation unilatéraliste de la seule Volonté de george V, lors de la
promulgation de la Proclamation Royale de 1921 en tant qu'unique
«Constitution-Martiale» du «Fief du Canada», et qu'elle équivalait
«pour l'Amérique du Nord Britannique», exactement aux mêmes
Principes-Colonialistes cristallisés «en critères essentiels»
pour déterminer «la Clarté des Titres de Possession Coloniale» pour
la Colonisation de l'Afrique», ce qui s'est fait aux
articles 34 et 35 de l'Acte Général de Berlin de 1885,
dans lesquels s'énonçaient enfin exceptionnellement en
toute limpidité, les règles habituellement nébuleuses «du Droit
International Coutumier» qui reconnaissait «la légalité «du Droit des
Capitulations», maintenant rendu Illégal», mais qui fonde encore en 2013 le
Fieffé-Fief du Canada. Ces critères, concernant la détermination
de la clarté des Titres de Possession Coloniale nous sont
expliqués en ces termes par Charles Rousseau:
« Dans le Droit International
moderne, la réglementation de l’occupation a été fixée par l’Acte général de
Berlin du 26 février 1885, dont les articles 34 et 35 établissent «les
conditions essentielles à remplir pour que les occupations nouvelles sur
les côtes du continent africain soient considérées comme effectuées».
[…]
a) condition de fond: l’effectivité
ou exigence d’une occupation matérielle (installation sur place par l’État
occupant d’une autorité suffisante pour assurer l’ordre et la liberté commerciale);
b) une condition de forme, la notification ou mesure de publicité
(notification officielle par la voie diplomatique aux autres Puissances,
du territoire exacte ainsi occupé). Rendue nécessaire par les affaires
du Congo (rivalité de Stanley et de Savorgnan de Brazza en 1878, incident de
1884 entre la Belgique et le Portugal), en réaction contre les pratiques
d’occupation fictive par lesquelles un État déclarait prendre sous son autorité
un territoire immense et inexploré dont ses agents avaient simplement reconnus
l’existence, sauf à matérialiser cette occupation théorique par l’élévation
d’un monument commémoratif ou la signature d’un traité avec les chefs
indigènes. » (ROUSSEAU, Charles, Droit International Public, Dalloz,
1970, pp. 147-157, p. 150 et 151)
Ainsi donc, en
réflexion salutaire concernant la Géophage et Démovore lignée des
windsor, la Première Guerre mondiale de 1914-1918 pourrait très bien
s’appeler «la Guerre aryenne des Trois Cousins germains» en
conflit pour le monopole des Titres de Possession coloniale en préliminaire du
« New-World » selon les critères précités pour
la clarté des Titres de Possessions Coloniales. Le fait que la
famille royale britannique ait changé de nom pour
« Windsor » visait à l’angliciser pour inciter la
population mâle à l’enrôlement, comme cela s’était produit également
pour l’épouse du Tsar Nicolas II, qui s’appelait Alice
Hesse-Darmstadt, et qui russifia son nom en Alexandra Féodorovna, ce
qui n’empêcha pas le Peuple de l’appeler « l’Allemande »,
comme Marie-Antoinette se faisait appeler « l’Autrichienne »
par les Français. Devrions-nous faire confiance aux
monarques britanniques, si avides de Guerres coloniales, et laisser nos
Fils entre leurs mains cupides, nous qui bien souvent n’en avons plus
qu’un seul? Prenez note que pour ma part, il n’en est même pas question!
Parce que l’extrait qui suit nous démontre clairement le piètre
esprit de famille de george V qui s’est rendu complice
de l’assassinat de la famille du Tsar à laquelle il
était apparenté, et cela en leur refusant froidement l’asile
politique lors de la Révolution bolchévique. Voici les propos du marquis
Michel de Saint-Pierre, nous parlant du ministre Kerenski:
« Quels
efforts, quel luxe de précautions, de la part de celui qui reste, après tout,
un « ministre révolutionnaire » ! On n’en est que plus amèrement surpris
lorsqu’on examine l’inconcevable réponse du cabinet britannique : vers la fin
du mois de juin, l’ambassadeur d’Angleterre, Sir George Buchanan, vient voir le
ministre russe des Affaires Étrangères, Teretchenko, pour lui apprendre
que le gouvernement anglais refuse définitivement d’accorder asile à
l’ancien empereur. Ce refus, «exclusivement dû à des
considérations de politique intérieure», est même assortie d’une lourde
note ironique – le Premier Ministre d’Angleterre exprimant l’impossibilité dans
laquelle il se trouve d’offrir l’hospitalité à des gens dont les sympathies
pro-allemande sont bien connues : tel est le point final. C’est donc
ainsi que les Anglais ont décidé d’abandonner à la mort le tsar et la
tsarine c’est-à-dire, pour être plus précis, le cousin du roi d’Angleterre
et la petite-fille préférée de la reine Victoria. » (de SAINT-PIERRE, Le
Drame des ROMANOV, tome 3, La Chute, aux pages 98-99)
La critique
suivante de Me José Woehrling concernant le Renvoi de 1981,
nous laisse entrevoir, outre l'infraction à l'article 103 de la Charte
des Nations Unies, les trois autres contraventions sous-jacentes de la
magistrature caïnadienne qui découlent naturellement de la contravention à
l'article 103 de la Charte des Nations Unies; d’abord à la Résolution
Anticolonialiste A/742, sur le caractère non-autonome d’un
Territoire, ainsi qu’à la Résolution Anticolonialiste A/1541, sur
la présomption de dépendance étrangère, tout comme à la Résolution
Anticolonialiste A/1514 sur le Droit à la Décolonisation:
« C'est oublier que la
constitution canadienne demeure, après le 17 avril 1982 comme avant, une
loi anglaise à l'égard de laquelle le Parlement anglais possède, autant
qu'à l'égard de l'AANB de 1867 aux dires de la Cour Suprême du Canada, un
pouvoir juridique discrétionnaire. »
[...]
« La Cour suprême, en
refusant de tenir compte des conventions et de la pratique, [plus que
cinquantenaire] opère une rupture radicale entre l'ordre juridique canadien
et la réalité politique là où, précisément, le passage (la
communication) entre la validité et l'effectivité est impératif.
De cette façon, la Cour
suprême maintient également le caractère «colonial» de la
constitution canadienne, puisque la validité de celle-ci repose non pas sur
le fait qu'elle résulte désormais d'une entente entre le fédéral et les
provinces, mais uniquement sur le fait qu'elle a été votée à Londres.
Au contraire, en donnant un effet juridique, même indirect, aux
conventions, la Cour aurait assuré le caractère « autochtone
» (en partie du moins) de la Constitution. » (WOEHRLING, José, (loc.
cit.), «La cour suprême et les conventions constitutionnelles : les
renvois relatifs au «rapatriement» de la Constitution canadienne», 1984, R.D.U.S.
volume 14, no. 2, p. 432- 433)
Pourquoi donc,
élisabeth deux du «Amistad» de 1982 est-elle venue ratifier
le changement de nom de l’Acte de l’Amérique du Nord Britannique
de 1867 pour celui de Loi Constitutionnelle de 1982, sinon
pour enlever de l’ancien titre la trop apparente Subordination à
l’Empire britannique prouvant -le caractère non-autonome
du Fief du Canada de la Proclamation Royale de 1921, et ainsi obvier
également à -la présomption de dépendance étrangère; donc
afin de contrevenir à la Résolution Anticolonialiste A/742 sur
le caractère non-Autonome d’un Territoire, ainsi qu’à la Résolution
Anticolonialiste A/1541 sur -la présomption de dépendance
étrangère, celle-ci étant historiquement britannique,
la Supercherie démocratique s’étant hypocritement pré-arrangée
judiciairement par le Renvoi-Esclavagiste de 1981 pour se reconduire
ultérieurement de façon législative, pour ainsi nous priver
également du Droit à la
Décolonisation de la Résolution Anticolonialiste A/1514 de
l’Assemblée Générale des Nations Unies.
Il faut bien
reconnaître que les Armoiries caïnadiennes sont divinement omniprésentes, sur la monnaie royale,
sur tous les Bureaux de Postes-Canada, et universellement sur toutes les
Ambassades caïnadiennes; et encore,
sur le mur derrière le Banc où siège la Cour-Martiale Suprême, en plus d'être
arborées sur la limousine royale lors de chaque visite officielle de la
démévore lignée des windsor, de préférence à l'Union Jack britannique ainsi
qu'à l'unifolié caïnadien de leur Colonie vassaliquement Hôtesse. Les
Armoiries caïnadiennes inondent le globe, pour nous illustrer la plus
grande commandite qui soit, de nous notifier en Possession coloniale, et
les propos qui suivent du général J.R.M. Sauvé soutiennent cette affirmation concernant
l'Obsession du Conquérant d'éterniser sa Victoire, en parallèle au
Harcèlement historique de rappeler éternellement aux Vaincus leur
infamante Humiliation:
« On pourrait
discuter longuement de l’importance d’un tel manquement chez un vainqueur,
car le principe de poursuite de la victoire initiale est reconnu comme un
principe universel de guerre, qui a fait ses preuves. » (SAUVÉ,
J.R.M., Géopolitique et Avenir du Québec, 1994, Éditeur Guérin, p.172)
Que faire de cet
archaïque principe polémologique de «la poursuite de la
victoire initiale reconnu comme un principe universel de guerre, qui a
fait ses preuves», -sinon de lui
donner préséance, comme à Québec en 2008 et en 2010...qui
s'éternise jusqu'à la vantardise vengeresse de l'angleterre et du canada d'avoir
perdu le Territoire américain, du rappel tout l'été 2012, que nous
aurions planté la plus grande Puissance Mondiale en 1812? -parce que sont
dupes ceux qui croient que ce Principe de Conquérant ne
leur est pas appliqué depuis deux siècles et demi...sans qu'il
soit discriminatoire, selon l'Usage exportée de la Coutume
polémologique internationalisée, pour se garantir d'une
supra-constitutionnalité martiale...
-Clichés
du Pissage de Frontières des Bornés-Misonéistes
Quel est mon
interprétation de ce Rituel Polémologique si cher à la famille royale
britannique? D'après moi, c'est ce que cachent chacune de leurs
visites officielles lors des Événements Historiques?
Traduit en
termes juridiques, «ce Rituel de Horde de Loups est celui d'un infecte
Pissage de Frontières» du Territoire Conquis, et qui est
intimement lié au Critère-Colonialiste que nous avons
étudié de «la Notification aux autres Puissances-Coloniales de la
Possession Coloniale accomplie sur le Fief du Canada», qui se doit
d'exhiber «ses Prises de Guerre» contre lesquelles ils se
réclament le Vainqueur; cette opération s'accomplissant principalement
par «les Armoiries caïnadiennes», où les Adeptes de Polémologie, en
pitoyables Accros du Droit des Capitulations, se donnent de
suivre religieusement «le Principe universel de Guerre de la Poursuite
initiale de la Victoire, qui a fait ses Preuves», comme le souligne
en connaissance de cause le Général J.R.M. Sauvé; et je m’en offusque de
façon légitime, parce qu'elles portent la Haine, puisque la
Reconduction de la Victoire s'éternise en contrepartie en
Harcèlement du Rappel constant de la Défaite aux Vaincus.
Maintenant, une
Notion-Capitale à retenir: le Territoire dont «le Fief du Canada» se
réclame vassaliquement le Souverain, doit se comprendre en s'imaginant
comme il en est pour tous les États qui sont Propriétaires d'une
Souveraineté-Trinitaire, c'est-à-dire dans l'ordre de
l'anti-évolution du déplacement des Armées darwiniennes, à pied, en bateaux puis
en avions, qui convoitaient jadis la Possession des
Territoires des autres Nations, afin de s’accaparer #1- «de la
Souveraineté Territoriale», #2- pour ensuite, par extension, étant
adjacente aux Côtes de ce Territoire,
établir ultérieurement «la Souveraineté Maritime»; pour finir
avec #3- «la Souveraineté Aérienne» au-dessus de ce Territoire. De
plus, pour ce qui est de «la Souveraineté Territoriale», re-soulignons
que la limousine de la Souveraine arbore «les Armoiries
canadiennes» de son Fief-Pontifical du Haut-Canada», sans aucune exception
à «cette Coutume», et non pas l'Union Jack britannique,
ni encore moins la Guenille rouge «des Fous-à-lier de l'unifolier
caïnadien».
Rétrospective: En 2008, au 400e Anniversaire de
la ville de Québec, nous avons eu droit à
«l'Occupation physique et effective de la Souveraineté Aérienne du
Territoire» par les avions de Guerre de l'OTAN. En 2010, si
élizabeth II n'est pas venue au Québec pour y mettre le Pied sur sa
prétendue Souveraineté Territoriale du Québec, c'est pour
éviter toute Contestation de sa Souveraine-Présence, parce
qu'il faut compter qu'en 2009, cet affreux prince charlot-les-Oreilles
lui avait servi d'Éclaireur, et il faut croire que les
heureuses Turbulences lors de son Accueil leur auront servi de
mauvais présages.
Encore en 2010, la ville de Québec a reçu les navires de
Guerre de l'Otan, et parce que le
Canada en fait partie, cet Acte Officiel doit être
interprété en Message clair d'Occupation physique et effective de la
Souveraineté Maritime du Québec; et il faut bien admettre que
les Événements annulés pour célébrer la Bataille des Plaines d'Abraham
déguisaient la Célébration du 250e Anniversaire de l'Acte
de Capitulation de 1760, par conséquent, de «la Prise
de Possession Coloniale physique et effective de la Souveraineté Territoriale
du Canada-Français; la Territoriale, la première Souveraineté
dont dépend les deux autres, Maritime et Aérienne; qui
sait, peut-être simplement parce que les Hommes-Cupides depuis
l’Antiquité, ont d'abord convoité à pied le Territoire des
autres Peuples avant de savoir Naviguer et d'apprendre à
Voler pour mieux le Voler avec prestesse.
Quant à l'Accueil froid et turbulent qu'à reçu le prince
charlot-les-Oreilles, on se souviendra qu'il lui a fallu rentrer par
derrière la Caserne du Régiment de la Black Watch, soit du Régiment
de la Noire-Surveillance; mais il reste qu'il a effectivement
foulé le Sol du Québec dans ce qui se doit être interprété comme
une Prétention de Possession Coloniale par Anticipation, parce qu'elle
est appelée à lui être remise par héritage, à moins que sa
popularité chancelante ne l'inspire à abdiquer son titre à son fils william.
Ainsi vu, absolument toutes ces Visites Officielles
dissimulent des Célébrations-Militaires de la Conquête Coloniale de 1760, puisqu'elles
visent toutes à reconduire la Bipolarité-Haineuse de «la Poursuite de
la Victoire initiale» autant qu'à entretenir
vigoureusement le Schisme-Asocial de «la Bipolarité-Haineuse du Nous/Eux», qui
s’est toujours avéré si dévastatrice de la Ségrégation qu’elle incorpore
et de l’insensibilité qu’elle propage.
Quant à moi, je
pige fort bien qu'il me faut expliquer ce que cache ce genre
d'Esquive-Protocolaire qui se fait éloquente de Trouillardise de
la part des Intrus qui se savent l'être et qui s'en culpabilisent;
car je trouve alarmant que le Protocole élisabéthain serve de
synonyme au Décorum-Judiciaire des Toges-Tordues essayant
désespérément de jouir des mêmes Prérogatives royales, mais en
vain sans Titre de Noblesse. Je m'entête en Messager en Continu,
affairé à un URGENT-SOS lancé jusqu'à l'Arrivée des Secours Onusiens,
à répéter inlassablement que pour «notre Sécurité-Nationale», il
nous faut savoir lire «les Événements-Officiels», parce
qu'avec des Toges-Belliqueuses qui nous éternisent «en
Guerre-Froide», nous avons à faire à des Obsédés-Rétrogrades du
misonéisme atavique du Droit des Capitulations, lequel
procède toujours en deux temps: d'abord, «de Facto, de Fait, (pour
prendre par Conquête Militaire), et ensuite, de Jure, de
Droit» (pour se Légitimer de conserver sa Prise de Possession-Coloniale à tout
prix); et cela s'explique: parce qu’invariablement, «le
Fait précède toujours la Forme Juridique» nous précise le
Général J.R.M. Sauvé à la page 102 de « Géopolitique et Avenir du
Québec », 1994, Éditeur Guérin.
Et les exemples
ne manquent pas de ces Faits-Officiels relatifs à la Guerre, et
pourtant, qui sont dépourvus de toute Bravoure et de tout Honneur à l'image
de leurs Promoteurs, comme «la Parade-Orangiste» qui
se tramait sournoisement en vue de célébrer en 2010 le
250e anniversaire de l'Acte de Capitulation de 1760 menant
à «la Victorieuse-Défaite» des Plaines d'Abraham, heureusement empêchée par
le Réseau Résistance du Québec, -quant à moi, parce qu'elle se
tramait dans l'Objectif belliqueux de signifier «la longue
Occupation physique et effective de «la Souveraineté Territoriale sur
«le Fief du Canada» ainsi que la Soumission docile de son
Sous-Fief du Bas-Canada». Quant à «l'Occupation physique
et effective de la Souveraineté Aérienne du Territoire», rappelons
le 400e Anniversaire de Québec en 2008, avec son Maire-Conquis
débilement de recevoir «les Avions de Guerre des Armées de l'OTAN»; et
pour ce qui est «de l'Occupation physique et effective de la
Souveraineté Maritime du Québec, le même Maire-Nullard doublement
Conquis, recevait en 2010 «la Flotte de Guerre des Armées de l'OTAN».
Autant de
Cérémonies et d'Événements à Caractère Militaire qui visaient à procéder à la
Célébration de «la Poursuite de la Victoire initiale en tant que Principe
universel de Guerre, qui a fait ces preuves», aux dires du Général
J.R.M. Sauvé, d'une Coutume Multi-Millénaire qui se répète encore et
toujours en Harcèlement-Continu des Victorieux aux Dépens des Vaincus,
de tous ces outrageants Rappels qu'il nous faudrait oublier malgré leur
Obsession-Maniaque de la Récapitulation de la Capitulation de 1760, pour
s'éterniser dans le Carcan-Judiciaire depuis le Renvoi-Esclavagiste de
1981.
Pensez donc: «une
Chose Réquisitionnée» par traîtresse judiciarisation outrancière lorgnée en
Chose tenue pour la Vérité des Autres Ultra-Rationnels, de juges-négriers
pour qui son Prochain est obligatoirement le Suivant de la prochaine cause à
juger, avec mon Moi animalisé en de-ça du ça, que du vulgaire
«Bétail de Fief» en Errance avec le reste de la Faune Locale dont
je serais», et en plus, qui ose s'enquérir de sa propre Vente aux Enchères à
leur Marché d'Esclaves, et même par surcroît, «de la Destination du
voyage à fond de cale de leur Bateau-Négrier». Je vois bien à la scruter en
Tous-Sens, que «L'Histoire», à force de Falsifications-Révisionnistes,
était odieusement truffée de Trous comme cette Passoire de la
Séparation des Pouvoirs étatiques.
Et le pire,
pour que s'accomplisse cette Lobotomie de la Mémoire-Collective,
-cela nécessitait «une Opération Chirurgicale», voulant en
toute Préméditation à ce que la Vérité soit
occultée outrageusement par «la Censure «alzheimerienne» d'un
Judiciaire-Dictatorial de ses Docteurs Jekill», -alors que de
l'École de l'Ignorantologie aux Médias de la Désinformation, ces Laveurs
de Cerveaux nous vendent mensongèrement que nous sommes désormais de
L'Histoire de L'Humanité, les Humains les plus choyés de Modernité-Scientifique
d'être rendus à «L'Ère de la Mémoire informatisée»; ce qui, sans
contredit, soutient mon Argument quant à «la Réalité-Fatidique de «notre
Pseudo-Modernité de TOC», qui ne serait qu'une lamentable «Illusion»
des Adeptes du «Faire-Semblant», -jusqu'à même «Faire-Semblant» d'être
«une Société libre et démocratique», -alors que notre
Réalité platonicienne est celle du «Bétail» du Fief du Canada» de
sa Frontière-Aquatique «d'un océan à l'autre» de sa platonique Terre-Plate»,
qui est aussi «la Frontière de «la Bipolarité-Haineuse
d'Importation-Européenne», pour qu'«un Pseudo-Nouveau-Monde»
soit parasité par le Misonéisme «des Découvertes Tardives» de
«l'Ancien-Monde», qui se croit «Seul-Peuplé par des Humains», en
Nous jaugeant comme du Bétail de la Sous-Espèce franchouillarde ou
de la Faune Locale pour les Natifs.
Et tout «ce
Chaos-Asocial», -était indéniablement «redevable» à «un
Judiciaire-Dictatorial» parce qu'il détient «le Pouvoir-Absolu» d'exiger
de nous la Vérité en échange de ce qui n'est pitoyablement que
vraisemblable: ce qui m'amène à conclure
que «la Séparation des Pouvoirs» n'est en elle-même qu'une
minable Passoire, dans un sens comme dans l'autre, de façon «palindromique»
pour ainsi dire, -en considérant ce Cirque: «des Trois Pouvoirs
Étatiques du «Parlement-Colonial d'Ottawa», selon «la
Sagesse-Yinississime» de ma vielle Mère presque nonagénaire, qui se
présente naturellement teintée «d'un Sarcasme laconique» typique de «l'Humour
Autochtone», et qui nous apprend concernant les Trois Pouvoirs de
l'État-Canadien, -qu'ils sont on ne peut plus Familiers, comme «Trois
Parties Intimes dans le même Pantalon»...
Nos Enfants
feront-ils mieux que nous en falsifiant L'Histoire? J'en doute fort quant à moi, car si la Vérité n'est
pas répandue pour nous épanouir et nous humaniser, je suis certain de la
poursuite insensée des ravages de l’ordre du Chaos-Asocial par
l'insensibilisation semée par des Ministères de l'Éducation de l'Ignorantologie
et des Monopoles des Médias de la Désinformation, qui, comme Injustice-Canada
fonctionnent sur l'absurde principe dogmatique à l'effet que «the
queen or the king can do no wrong»...en oubliant trop facilement qu'en
Amérique du Nord britannique et étasunien, les anglo-saxons ne
se sont pas retenus pour appliquer la Coutume sanguinaire des primes de
scalp, en récompenses données aux Chasseurs d'Indiens...que
tout comme la Gendarmerie Royale du Canada, les Rangers ont
été institué pour les exterminer ou les déporter et
les clôturer dans des Réserves grugées par la Loi sur les Lotissements
aux particuliers faciles à endetter pour les exproprier...tel que
relaté par National Geographic en 2010 dans «Indian Nations of
North America» à la page 63; et que Louis XV le
Bien-Aimé, l’était, sauf des Fox-Mesquakie de la région des Grands-Lacs,
contre lesquels ce roi si bienfaisant édictait en 1728, un Édit
ordonnant au Gouverneur de la Nouvelle-France «de les éradiquer
de la surface de la Terre»...à la mode des bons rois si impeccables
d'Indigénophobie, ce qui fait en sorte que nos Enfants sont
appelés à honorer d'une minute de silence la Mémoire de n’importe lequel
Humain mort jusqu’au Soldat Inconnu, pour rester
amnésiquement insensibles face à la Persécution faite aux Indiens
de l'Amérique du Nord, où ne sont plus les Chatot, les
Apalache, les Mobile, les Calusa, les Cusabo, les
Timucua, les Eyeish, les Natsitoches, les Manahoc, les
Tutclo, les Nahyssan, les Cherah, les Moncton, les
Keyawe, les Sissipahaw, les Shakeree, les Mandan, les
Hidatsa, les Illini, les Gatakas, les Molala, les
Chimariko, les Shasta, les Yahi, les Yuki, les
Huchnom, les Miwok, les Tulabatulabal, les Tataviam, les
Gabrielino, les Concho, les Tobas, les Karankawas, les
Ozette, les Chimakaum, les Multoma, les Watlala, les
Clowewala, les Clakamas, les Chilluckittequash, les
Dakubetede, les Chetko, les Chilula, les Nongalt, les
Sinkione, les Lassik, les Tsetsaut, les Béothuk, les
Amoroleck, (mentionnés dans Encyclopedia of Native Tribes of
North America, Michael Johnson, 2007, Éditions Firefly Books Ltd.); auxquels
s'ajoutent les Klikitat, les Esselen, les Salina, les
Patwin, les Tonkawa, les Queets, les Skilloot, les
Cathlapotte, les Chastacosta, les Taltushluntude, (mentionnés
dans Indian Nations of North America, 2010, National
Geographic).
Souvent, les
derniers recensement furent tenus au début des années 30 et ne
comptaient que quelques Membres, nous expliquant une infecte
épargne gouvernementale d'avoir cesser de les recencer pour ne pas s'inculper
de leur Extermination. Une cinquantaine de Nations disparues et
non rapportées comme telles dans nos livres d'Histoire falsifiée,
non plus que dans nos Dictionnaires, confectionnés pour ébahir les
imbéciles, comblés qu'y soient à tout le moins bien présents Tintin et
Mickey Mouse. Pour ce qui est de l'étatisation du racisme
envers les Indiens et de la misogynie envers les Indiennes, ils
prennent leur source de la mentalité colonialiste européenne encline à la
ségrégation raciale et sociale, comme le présente cet extrait révélateur:
« Following the war, the Catawba found themselves subjected to the same
abuse previously faced by the Tuscarora.
English traders seized Catawba women and children, selling them as slave
to cover whiskey debts. Court record document physical abuse at the hands of
these traders, who often beat Indian men to death and raped Indian women at
will. » ( Indian Nations of North America, 2010, National
Geographic, à la page 76)
[...]
« Few, if any, of those who murdered, raped, and kidnapped Indians were
ever brought to justice. » (idem, à la
page 330)
Rien à faire, un
roi aura beau être dingue au point d'attaquer ses propres soldats comme
Henri VI d’angleterre, la médecine et les historiens modernes laveront
ultérieurement sa royale Mémoire en imputant son aliénation
mentale à un autre de sa lignée, fut-il roi lui-même, en
l'occurrence Charles VI de France, ancêtre d'Henri VI, comme
le présente cet extrait :
« The mad king »
[...]
« The weak link in his genetic chain came not from the Plantagenets but
from the Valois. His maternal grand-father, Charles VI of France, had been
subject to fits of insanity wich made him a danger to his servants and a
liability to his realm. In August 1453 Henry VI fell into a trance-like
condition wich affected him periodicly for the rest of his life. The symptoms
were dramatic: complete amnesia, no sense of time or place, no physical
co-ordination, and extreme inertia. Some modern doctors have diagnosed
catatonic schizophrenia or depressive stupor. Contemporaries, less charitable,
called it madness. In their desperation, the royal coucillors commissionned
doctors and surgeons to administer a bizarre combination of ointments,
cordials, suppositories, head shaving and haemorroid removals. But all attempts
failed, and the court had to accept the embarrassing reality that Henry VI had
crossed the thin line between inanity and insanity. » (tiré de «The
Chronicles of The Wars of the Roses», de Elisabeth Hallam, 1997 Bramley Books,
à la page 212)
En tant que
Loi non-écrite de la part du Législateur, la Common Law est
néanmoins écrite par «Judge-Made-Law de Juges-qui-écrivent-la-Loi» dans
leurs Jugements qui consacrent ce que sont les légendaires Libertés
anglaises, que j'ai cherché partout sans les apercevoir
jamais de façon positive, que des vantardises en flatulences impérialistes
d'auto-flagornerie narcissique, parce qu'elles sont invisibles et
inexistantes, sauf de leurs effets négatifs, comme l'établit cet
extrait en indice crédible:
« The unwritten law »
[...]
«Despite the royal courts' enormous powers, many cases did not fall
within their jurisdiction. The Church, for instance, had tribunals wich dealt
with matters of family law such as paternity disputes, divorce proceedings and
squabbles over wills. The lords of manors still claimed the right to hold
private courts and judge the petty quarrels and offences of their tenants. And
the whole country was dotted with 'liberties' where the king had given away his
judicial rights to a local magnate, bishop or abbot.
Corruption and violence were endemic. There were two main reasons why
the courts often failed to maintain law and order. First, procedures were
protracted: a case could drag on for years, and many people preferred to
resolve disputes by intimidation or private deals. Second, local landowners'
power and influence made it virtually impossible for judges and juries to give
impartial verdicts. The local magnate's support, not the sanctified of the law,
offered the best insurance against enemies.
There had been an ominous increase in criminal activity throughout
England during Henry VI reign and in his first parliament Edward IV promised to
halt this decline into anarchy. He undertook an ambitious programme of law
enforcement: the council and court of chivalry were put to work to try cases of
treason; and special commissions were appointed to tour the provinces and
impose order on the king's subjects. Edward himself sometimes presided over
these extraordinary sessions.
The number of convictions rose, but it is impossible to tell how many
criminals still escaped justice. However, the campain's superficiality raises
doubts about its long-term impact. Edward made no attempt to overhaul the
judicial system; his days on the bench look rather like public relations
exercises. He was king by the goodwill of the nobility as well as by the grace
of God, and any attempt to eradicate the magnates' influence from the courts
would rebound on him. Ideals of justice would have to take second place to the
cruder realities of politics. » ( tiré de «The Chronicles of The Wars of the
Roses», de Elisabeth Hallam, 1997 Bramley Books, à la page 270)
L'Église
et l'État ne faisant qu'un,
surtout depuis l'institution hérétique de l'anglicanisme érigé
despotiquement en Théocratie en 1534 par henri VIII millimètres, par
conséquent, aucune surprise si la
corruption prévaut toujours chez l'Oligarchie anglo-saxonne et sa filiale
caïnadienne-française de Cooperators de leur Syndrome de Capitulardise,
refondue en sous-espèce anglo-franchouillarde complètement arriérée de
Démocratie onusienne.
Pour les
instruire cyniquement de ce sujet morbide qui se présente
impossible à amoindrir dans sa dénonciation sans trahir la Vérité et ceux
qui la vénèrent, voici en résumé l'énumération sans détour de ce que sont «les
britichiantes Libertés Anglaises» du Royaume-Uni de force», par la
Stratégie instinctive de prendre la Liberté sordide
de 1- «leurs
Exterminations» de Peuples
qui, si elles ne sont pas accomplies, sont suivies hardiment par
2- «leurs
Déportations», sinon
3- la
Subjugation frappera les Vaincus pour
les exploiter à loisir et les déshumaniser
à plaisir avec des Lois-Ethno-Linguicides visant
4- «leur
Assimilation «sewellienne», pour finir
avec 5- «le
Lavage de Cerveaux des Survivants» condamnés irrémédiablement
au Zombiïsme des Décérébrés en Soupe aux légumes Habitant», suite à
«cette abjecte mise en boîte de conserves
avariées», comme me le prouvent la lecture des livres
encyclopédiques récents de Encyclopedia of Native Tribes of North
America, de Michael Johnson, 2007, Éditions Firefly Books Ltd., et
Indian Nations of North America, 2010, par National
Geographic.
<=><=><=><=><=>
Excursion lexicale sur le Sentier des Cuisses Légères face
au Fruit défendu
Vous êtes invité à comprendre
qu'un Poète est habité par «L'Âme des Mots», qu'il n'est pas qu'un beau-parleur
de rhétorique persuasive de Sophismes de Politicards, et c'est ce qui le
différencie du commun des mortels, de posséder cette merveilleuse faculté
humaine de pénétration ratio-émotive des Mots qui consiste à analyser tous
leurs différents Sens descriptifs, positifs, neutres ou carrément négatifs,
ainsi que leurs effets sur les Gens, puisque les Mots se montrent
parfois Provocateurs de s'insinuer péjoratifs, et dès lors, sont-ils
catégoriser porteurs de Discrimination, parce qu'il advenait que
l'Intention mesquine des Reconducteurs de ces termes acerbes et corrosifs s'amplifiait
au point de provoquer ma répulsion par la constatation de leurs effets
par trop négatifs; et je ne pouvais dès lors qu'exécrer ces termes et
ceux qui les chérissent comme un avare son or, et qui sont ainsi
évalués pour être les arriérés Artisans de la Persécution-Historique qui
stigmatise encore en 2013 les Descendants des Nations Pré-Capitulatives
du Fief du Caïnada. Parce que cette Colonie de britichiants
Troglodytes est orchestrée éminemment dépréciative à leur égard, dans
l'objectif ultimement outrageant d'animaliser volontairement la
Personne Humaine, en incessante injure héréditaire qui s'éternise
méprisablement haineuse de l'atavique: «Vae Victis, Malheur et Honte aux
Vaincus!»
Il ne s'agit pas ici de
promovoir la disparition de ces Mots de nos Dictionnaires, pour oublier trop
facilement que nous étions affecté d'une telle Mentalité-Asociale, mais
de tirer profitablement une Leçon d'Eux, et voir à ne pas les utiliser de façon
effective, si c'est pour reconduire exécrablement ce qu'ils
véhiculent et éternisent, la Bipolarité-Haineuse.
Car il faut bien se rendre à
l'évidence que le terme «Ségrégation», porte sa Vérité étymologique
de venir de «segregatio» du verbe «segregare», du Bas-Latin, et
qui signifie très clairement «séparer du Troupeau»; tout
comme il s'apparente du point de vue de son contenu «péjoratif et
discriminatoire» avec le terme «Fief», de la
Proclamation Royale de 1921, dont nous vous rappellerons
«inlassablement «l'intolérable» «Constitutionnalité»,
jusqu'à vous en inspirer la Répulsion généralisée et irréversible dans
«L'Humanisation-Populaire pour L'Humanisme-Popularisé», à l'effet que le Sens
étymologique de «Fief» est «Bétail», en signe
fragrant d'un Système-Raciste décadent on ne saurait plus de son
Blasonnement insidieux, d'être un Texte-de-Loi despotique,
qui ne saura jamais être que nocif à L'Humain ainsi qu'à L'Humanité à
Laquelle renoncent tous les Indifférents N'Importés du qu'importe, de
l’Acceptation même Tacite de ce genre de
législation raciste venant d’un britichiant législateur, george V, qui l’est
autant! -et qui entend le demeurer de subsister «en vigueur» de sa Volonté Législative de Roi-Mort qui, même «Post Mortem», supplante
toujours la leur de Morts-Vivants, dont l'Esptit-Annulé nous
les présente indiféremment comme autant de Légumes en conserve de «la Soupe Habitant du Québec»...sans
vous nier être assez cultivé pour vous poser la salutaire Question
Existentielle: en êtes-vous? -tout en étant un végétarien cannibale
de vos semblables contemporaines crudités; ou êtes-vous utilement un
Ouvre-Boîte à vous-même, et autant pour les Vôtres! -car le Végétarisme
carnassier à ses « limites naturelles! » -qu'il vous
appartient de tracer...sans vous re-clôturer chez le Boucher starbuckien.
À laisser faire,
nous collaborons à la reconduction de ce Mal-Raciste qui
persistera néfastement encore dans Mille Ans, «en se faisant
inlassablement inférioriser tous par leur britichiant dénigrement» de notre
Descendance Autochtone qu'ils avilissent avec «leur Bâtarde de
Présomption de Bâtardise», iniquement enchâssée dans leur Clause
discriminatoire de Promotion «racistement» vexatoire à perpétuer
l'affligeante Rubitude qui affecte tous les Natifs,
stipulée à l'alinéa 2 de l'article 35 de leur Charte-Animalière caïnadienne,
pour qu'ils l'imputent à tous «les Mulets-Mulâtres», comme
ils le font à tous «les Bardots-Métis», s'il est vrai que ce
terme dégradant demeure tout de même «raisonnable et
justifiable» dans «une Société canadienne qui se
doit d'être libre et démocratique» de l'affirmation du
Preacher in Chief de l'arrêt Oakes, le juge en chef Dickson en fieffé
Menteur; puisque cela ne semble pas le cas en ce qui concerne «les
Siamois-Eurasiens» d'Europe, d'où ce Racisme s'est répandu, et qu'il ne
faut pas laisser pour compte, sinon, nous les priverions de
«L'Égalité-Minimale»...
L'Amer-Indien
que je suis devenu, horripile le Faire-Semblant de cette Législatrice
léopardienne qui «donne et «dédonne» comme on dit, de sa
«séraphinesque» Générosité fictive de «reprendre aussitôt» ce qu’elle
mime d’offrir, en commentant l’insuffisance de fonds de ses
Billets de $50 dollars qui nous embobinent avec la citation de
l'article premier de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme
qui garantit dès la Naissance la Reconnaissance de la Dignité à tous les Êtres
Humains de L'Humanité, pour mieux nous la nier à l'endos des mêmes Billets
dans tout le fucking Fieffé-Fief du Canada, et dans tout l'Univers
entier avec les Armoiries caïnadiennes apposées sur le
Passeport de la Honte et qui nous rabaissent «en Prise de Guerre» par «la
Notification aux autres Puissances Coloniales, de la Possession
Coloniale dûment accomplie sur le Fief du Canada» de la Proclamation
Royale de 1921; qui est incontestablement la seule et unique
«Constitution-Martiale» qui fonde pitoyablement la Colonie
caïnadienne sur les Principes-Polémologiques de l'Acte de Capitulation
de 1760 et les articles 34 et 35 de l'Acte Général de Berlin de
1885, (qui se résument à «l'Occupation physique
effective du Territoire conquis» ainsi qu'à «la Notification
physique effective» précitée.
Et il y a pire de constater
que les Armoiries caïnadiennes se retrouvent encore arborées de façon
discriminatoire et injurieuse, sur le Document Officiel de la Codification
des Lois Constitutionnelles de 1867 et de 1982, en Réquisition Militaire
sur la Charte-Martiale caïnadienne de ces 3 indispensables Principes
de Justice Fondamentale évidemment non-reconnus à du Bétail-Conquis, et
qui sont notre Droit à la Vérité, notre Droit à la Mémoire, ainsi que la
Reconnaissance-Innée de la Dignité-Humaine dans le Respect de la Réciprocité),
ce dont nous fûmes privés législativement et judiciairement de la
part des Toges-Tordues de s'être conformé à «la validation du Titre de
Sujétion Coloniale élisabéthain», comme ce fût incontestablement le cas
avec l'infâme Antonio Lamer-Carnavon en Banc avec ce fourbe de Bora Laskin et
les sept autres exécrables Juges-Négriers du Renvoi-Esclavagiste de
1981: «Therefore, Supreme Martial-Court remains what it was from the
very start on their Segregationist Bench: 9 Fucking Filthy Cock Suckers, those
9 canadian Slave-Traders Judges crawling like 9 Pieces of stinking Shit,
upraising as the Pushers of my O.D.!»
Pour commenter valablement «la
Subjugation élisabéthaine découlant de la reconnaissance judiciaire de son
Titre de Possession Coloniale consistant en un vulgaire
Bestiaire-Constitutionnel armorial validé par le Renvoi-Esclavagiste de
1981», il serait approprié de reprendre en le soulignant, le qualificatif
de Pierre Teilhard de Chardin, en soulignant que «la Notification
héraldique» aux autres Puissances Coloniales de notre Assujettissement au
britichiant Colonialisme britannique», est en elle-même
essentiellement «in-aimable», et même absolument «Im-Poétique
d'Ultra-Prosaïsme», parce qu'en plus d'être débilement anachronique et
de nous déphaser hors de notre Spatio-Temporalité, il reste que valider
une Inféodation est outrageant de s'ériger en une Provocation Martiale
de la part de la Magistrature-Ségrégationniste caïnadienne qui a effectivement
«cédé aux Armes» en reconnaissant «leur Soumission Armoriale» se dressant
comme «un impitoyable Jugement par
Contumace» héréditairement applicable «aux
Vaincus de l'Empire»; d'abord «de
facto, de fait» d'une Conquête militaire par son Armée, dont l'autorité
se perpétue, «de jure, de droit», par
«ses Cours-Martiales qui «occupent effectivement le Territoire»,
et à qui l'on doit la Supercherie Anti-Démocratique concoctée par
ses Juges-Négriers pour nous la servir sans aucun scrupule, ce dont
ils sont très capables, «la Ségrégation, autant Raciale que Sociale».
Et pourquoi, sinon parce qu'ils ne nous craignent pas suffisamment,
ce à quoi entend remédier radicalement «le
KEBEK-AIM-AR», pour «Kebek-American-Indian-Movement
of Anticolonialist Resistance».
Nous vous citons
maintenant le texte de l'article premier de la Déclaration Universelle des
Droits de l'Homme qui nous est passé sous le nez sans vergogne avec la
privation de la Reconnaissance dès la Naissance de «la Dignité-Humaine», pour
mieux nous endormir, et ne pas constater sa Négation Totale par
son Absence de la Charte-Théocratique, Martiale et Animalière caïnadienne
des Droits-Fictifs et des Libertés-Virtuelles. C'est comme de dire,
que si vous possédez un de ces Billets de 50 dollars, ménagez-le pour la
Vie, car c'est là toute «la Dignité-Humaine» qui vous sera reconnue; parce
qu'il y a que les Armoiries caïnadiennes, étant arborées au
verso de ce même Billet de la monnaie royale, font en sorte qu'elles
vous nieront arbitrairement ce que le recto semblait vous
offrir magnanimement; ainsi, vous ne bénéficierez que d'une dérisoire
flatulence d'une Promesse rendue Non-Électorale «de l'absurde Faire-Semblant
monarchique» de posséder «la Dignité-Humaine», que l'on nous fait
miroiter au recto du même Billet où paraît en Mirage dans un
Désert d'inhumanité l'article 1 de la Déclaration Universelle des
Droits de l'Homme, et dont voici l'énoncé présentant «une raréssime
Poésie juridique»:
« Tous les
êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués
de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un
esprit de fraternité. »
Mais, « le
manichéisme biblique de la Fraternité-Fratricide » ayant
prévalue en Chaos-Asocial, et « la Fraternité-Sororale »
n'étant pas encore implantée génétiquement « en Fratrie-Humaniste »
jusqu'à se manifester en Comportement empathiques « (r)évolutionnaires »
naturellement instinctifs, reste à savoir si «le Bétail du Fief du Canada»
est véritablement doué de raison et de conscience?» -avant d'oser
lui reconnaître «a British Dignity of a Lady or a Sir of the british
empire», (de ces britichiants
Titres ultra-dérisoires mérités en se hissant au sommet du Palmarès
à nous chanter «les Tico Tico» d'Alice Roby, et «les Ye! Ye! Ye!» de
«Sir Paul» M'écarte-le-nez», sur la voie dégradante de l'Impétration
monarchique en supplication nobiliaire infériorisante, niant que la
Dignité-Humaine nous soit Innée, ce que le Jugement par Contumace d'élisabeth
deux du «Amistad» de 1982 nous déni catégoriquement par la Proclamation
Royale de 1921 héritée depuis george V l'empoisonneur, le
géniteur ultra-germanique de george VI le Bègue, son paternel, lui
refilant son bégaiement législatif de Despote en tant que «Jugement «de
Pareatis» que vous Obéissiez!» -à ma capricieuse
Prétention d'Intitulation de Souveraine de ma Possession Coloniale»;
soit exactement l'Apocalypse Anti-Démocratique, ce qu'a
effectivement judiciarisé débilement la Cour-Martiale Suprême du Renvoi-Esclavagiste
de 1981, ce qui est vérifiable lors de toute visite officielle de
leur Monarque, dont la limousine n'arborera jamais ni
l'Union Jack, ni l'Unifolier des Fous à lier, mais bien dérisoirement
les Armoiries caïnadiennes, le Symbole même de la Subjugation qui
nous opprime!
Je voyais là résumé dans
l'article 1 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme,
tout «L'Espoir légitime de L'Humanité» d'accéder enfin à «L'Égalité
entre les Humains», comme l'entrevoyait «avant-gardistement» Jean-Jacques
Rousseau en résumant son Oeuvre dont on s'est inspiré à l'évidence, pour
rédiger cette disposition cristallisant toute la Poésie du Monde dans la
Fraternité-Humaine: mais, de ne pas s'avérer une Fraternité-Sororale, leur Fraternité ultra-sélective
reste revêtue de machisme-phallocrate patriarcal manichéen n'assurant
que la Misogynie «défiminisante» envers La Ève du Matriarcat des Mères
de Clan, pour une Dignité et une Fraternité utopiques, telles que
reprises hypocritement par «leur merdique Législatrice léopardienne» sur sa
monnaie royale qui a servi ainsi à monnayer notre
Dignité-Humaine en Souveraine-Négrière, dont le Système est institué dans
leur exécrable Monarchie de Cladisme-Raciste, dans la
Hiérarchisation-Hominienne des Êtres-Humains qu'elle classifie
par «Pedigree» préférentiel «pour le Gang des Léopards à Cou-Rouge»...
Géométriquement et juridiquement
parlant, c'est parce que la Monarchie est hiérarchique que sa
Constitution est inégalitaire de l'Arbitraire même des
Prérogatives Royales, des Privilèges et des Proclamations émanant d'une
seule Volonté, «en faisant fi à perpète du processus des 3 Lectures du
Parlementarisme qu'exigerait la véritable Justice-Démocratique
contemporaine», puisque ces Lois obsolètes ne sont ni désavoués non
plus que déclarées judiciairement «inconstitutionnelles», en dépit de
11 Chartes-Évidées, garantes que d'Inconsistante
Vacuité-Faunique. À l’évidence, du fond de son champ de
déshonneur, le Législateur «star-buckien» a beuglé son
Bestiaire-Constitutionnel aux Pâturages boueux de l'Étang de Satan, près duquel
broutent allègrement les Vaticanes-Brebis de la prétendue «Pure-Laine
«francojoualophile», pendant qu'y coassent sur des nénuphars géants
les Grenouilles-Clovissiennes qu'elles étaient venues convertir...à Bêler,
mais qui, abâtardies de Tri-Linguisme s'offrent en concert cacophonique de
Quel Bestiau enterrera l'Autre: avec Star-Buck, ses
«Meuheu!» -par-ci par-là parsemés «de Bêhêhêh!» -des Brebis qui
moutonnent vaticanesquement, entremêlés d'un jouissif gargouilli de «Reuritte!»
-à qui mieux mieux se meut et s'égosille, le Boeuf du Mouton tondu en
Cooperator et de l'indépendante Grenouille, qui du moins, ne
se trempe pas de leurs Ragots à l'Auge-Ronde de l'Étable-Carrée...
J'emphase à
peine, d'un iota humoristique en commentant «leur Pedigree-Identitaire de
Pureté-Raciale du prétendu «Multiculturalisme de la filthy fucking Caïnadian
Colonialist Citizen-Shit», car c'est bel et bien «en Pedigree» que
N. Lyon, un auteur anglo-canadien de Doctrine Juridique, a évalué le
Renvoi-Esclavagiste de 1981 de la Cour-Martiale Suprême, qui,
à cette occasion d'ultime Traîtrise, a légitimé le prétendu rapatriement de
l'AANB de 1867, résolu de «modifier»
la Constitution» de nature Coloniale qui est Unilatéraliste
de la seule Volonté de victoria, par conséquent, qui n'est en rien
Fédérative puisque les 5 premiers PM du Canada ne l'ont jamais
ratifiée, se contentant, en Pantins-Fantoches de taxer
nos Ancêtres sans vraiment les représenter, assurément le contraire de leur
Slogan mensongeur: «No Taxation
without Representation!» -ce qui revient à dire que vous votez pour
une Classe-Politique de Politicards-Capitulards avec leurs
Juges-Ségrégationnistes sans Constitution-Fédérarative, et qui, de par «son
Vice de Consentement originel de 1867», se retrouve au bécosse
monarchique de la selle trouée avec une Constitution
incontestablement «Illégale» en vertu du Droit International Public
puisque nous n'y avons jamais consentie, en comprenant qu'aucun des
Pseudo-Dirigeants des Nations Pré-Capitulatives n'y avaient
agréé depuis 1867 par l'effective Ratification Officielle de John
A. Macdonald, le premier «Canadian-PM», et des 4 PM des quatre premières
Provinces de l'époque. Et il va sans dire, que N. Lyon
ignorait complètement «le Vice de Consentement» de l'AANB de 1867
en rédigeant son article, sinon sa Critique du Renvoi-Esclavagiste
de 1981 aurait été encore plus vitriolique. Néanmoins, voyez ici ce qu'il en
pensait en 1982:
«
[...] the majority opinion is based on the fallacious assumption that the
Parliament of Canada, like the mother Parliament, has unlimited
powers in law...In accepting this starting point, the majority find their
analogy in biology rather than constitutional theory. They
believe that once the Parliament of Canada was created and empowered by the
constitutive act it could then free itself of that Act and simply assert unlimited
power on the basis, not of law, but of pedigree. » (Lyon, N., (loc. Cit.), 1982, «Constitutional
Theory and the Martland –Ritchie Dissident», tiré de: «the Court and
the Constitutional comments on the supreme court Reference on Constitutional
Amendment», Kingston Institute of Intergovernmental Relations, (Queen’s
University), pp. 59-60)
Évidemment, l'allusion de N. Lyon
«au Pedigree» référait directement à la hiérarchisation du système
monarchique, mais le terme de «Pedigree» s'associait tout de même à la
Mentalité aristocratique se prétendant supérieure au «vulgum Pecus, au
Troupeau vulgaire», et ce snobisme sur le dos de leur propre
Populace dépréciée, témoignant qu'avant dêtre exportée, la
Bipolarité-Haineuse s'affichait ouvertement intra-frontalière dans tout système
monarchique. Aussi, je m'en pétais les bretelles d'avoir déniché ce rare
extrait en Droit-Colonialiste Interne d'une Saine-Critique
de Doctrine juridique provenant par surcroît d'un auteur d'origine
anglo-saxonne. Pourtant, je restais sur mon appétit, car ce n'est pas l'Impéritie
mais plutôt la Turpitude-Népotique que N. Lyon aurait
critiqué s'il avait su l'Illégalité onusienne de l'AANB de 1867 résultant
de «son Vice» de Consentement», qu'il aurait assurément
critiqué vertement en dénonçant «leur Activisme-Complice» en
tant que «Juges-Féciaux de la britichiante Polémologie britannique» qui fuit
la Démocratie onusienne à l'anglaise, en prônant traditionnellement le
Simulacre démocratique du Faire-Semblant». À l'évidence, il aurait conclu
que depuis le Renvoi-Esclavagiste de 1981 de la Cour-Martiale
Suprême, et toutes les autres Cours-Martiales qui
lui sont inférieures en rang, mais non pas en Complicité
Criminelle, sont «en Pratique mafieuse» digne d'une Sénéchaussée du
Moyen Âge, de poursuivre -en Quatrième Vitesse -le Triple Conflit
d'Intérêt de Lord Carnavon, qui était «le Lord-Président du
Colonial Office de 1867», faisant d'elles toutes des Cours-Satellites du
Conseil Privé du Royaume-Uni, de la Star-Chamber et du Tribunal
Héraldique du «Royal College of Arms»
soumis à la Couronne, en s'inspirant toujours de la
Géopolitique-Martiale de l’«ancien Droit
International Coutumier» si chère aux États belliqueux qui s'y accrochent
désespérément en arriérés-traditionnalistes, de s'illustrer les
Junkies de l'Étatisation de la Bipolarité-Haineuse; comme le «Universal Military-Police», le Royaume-Uni
étasunien «de Sam a gesté Transgenre de l'Oncle Sam rendu OTAN-TANTINE de l'Art
en Gaine du bas-culotte percé sans jarretière en désordre, nostalgique du
Long-John avec dompeuse très pratique pour les p'tites vites au Backhouse du
Sodomite y t'es mis ça est-ce? -cela, que la sodomie ait été le Fruit
défendu de l'Arbre de la Connaissance en Tic, faisant en sorte qu'à la
place de Ève et de ses malheureuses Descendantes, ce soient Adam et
Caïn les véritables « croqueurs de pommes » Coupables d'inceste
sodo-homophile, qui d'autres?
D'ailleurs, en honorable Distinction
Historique différenciant humanistement l'Homosexualité Féminine de la
Masculine, se démarquant déjà dès la simple masturbation, chorégraphiquement
parlant plus érotique et plus intriguante des scientifiques pressions digitales
rotatives sur le Clitoris, comparativement aux mécaniques mouvements
parkinsoniens à la vericale du Mâle, qui s'est sans doute redressé
ainsi avant de descendre de l'Arbre; car avouez que L'Histoire est éloquente,
de l'Absence totale d'Envahisseuse prétendant à un Harem de centaines de
torrides Gouinettes sinon d'un Sérail d'autant de viriles quéquettes affublées
d'un condom métallique munis d'épines pour s'en réserver l'exclusivité à
la mode de la Bergamasque, la Ceinture de Chasteté servant autres-fois
de Piège à Quéquette en guise de guillotine de la circoncision
radicale, sinon de Leurre à Pissette frustrée de l'envoûtant Trésor en
Voûte à triple-tour. Aussi, méfiez-vous tous les pseudo
Mâles-Hétéros, de la nouvelle Thémis-Travelo dévergondée du Patriarche
Ti-Pète Trudeau du Psaume du Bill-Omnibus, car do-ré-n'avant-sol-la-si-do
dit aise, après le Droit de Cuissage, pour la prochaine Croisade se
démarquant de celles d'autrefois contre les Maures, que ces
beaux Mâles virils d'autres-fois réincarnés ne s'enlisent avec
« Lise-Éon de la raie Hospitalière» avec son pie-scrotale à mèche
courte de ce nouvel Légi-Slather, qui force-et-ment, la Vache maudite!
-n'offrira Elle-As qu'une seule tétine à barre-à-thé de l'argument du Bâton à
un Bout...ce qui m'explique le «Lobby-Session»
du Libre-Échange rendu «a-femmé», me privant
arbitrairement de ma traditionnelle soupe Wong-Tong, pour qu'au restaurant
Chinois de l'Hop-pis-Hommes du cogne-con de King Kong à Hong Kong
sort en PD du garde-robe, et voilà qu'après le Moulin à viande elle
prend du gallon en Mes-Gars-Shooters, ne s'envoyant goûlument en rafale
de Culs-Sec bol après bol, que ce dont elle raffole follement en Purée
de «Cream of some young'guy!» -ce qui me rassure toutefois d'être
Passé-Date, mais m'inquiète néant-moins cette dissipation anti-récréative
pour la Postérité avalée d'avance...
Et voilà ma
Sentence tricstéréenne pour leurs Robes-Noires dépravées, avec, à
quinze pieds devant eux dans chaque salle d’audience, leur merdique Bible
qui condamne divinement la Sodomie, alors
qu’ils jugent à leur Jauge-Séminale, tous affairés dans un
Palais de Justice qui consacre juteusement les mariages sodomites
et l’homoparentalité pour mieux jouer aux Juristes qui paraissent modernes
en surface, alors qu’ils séparent toujours cruellement les Familles
des Natifs, et qu’il ne faudrait pas y voir clairement leur préférence
d’orientation sexuelle par ce flagrant Traitement différent! Mais
comment pouvait-il en être autrement avec un tout premier PM comme
John A. Macdonald, qui lorgnait les Indiens et les
Métis «en sous-caste», comme
le rapporte John Woodcock, un honnête historien anglo-canadien, d'être
en réelle pratique de Sciences-Humaines:
«En raison
de leur teint foncé, les Français les appelaient déjà «bois-brûlés», et les Anglais,
«sang-mêlé»; certains empruntaient même
une appellation originaire de l'Inde, leur donnant avec quelque mépris -comme
le fit plus tard à plusieurs occasions sir John A. Macdonald -le nom de half-castes.»
(John Woodcock, Gabriel Dumont, Le
chef des Métis et sa patrie perdue, traduit par Pierre Desruisseaux et
François Lanctôt, 1986, VLB Éditeur, à la page 27)
Le PM Macdonad cautionnait la Bipolarité-Haineuse en sachant
exactement les Préjudices que subissait cette «half-caste», comme en témoigne un extrait rapporté par John
Woodcock de la Lettre de Monseigneur Taché à son Gouvernement,
regretablement aussi Humaniste que celui de von Otto Bismark, absolument
insensible, comme tout Adepte xénophobe des articles 34 et 35 de l'Acte
Général de Berlin de 1885:
[…] «Les Métis sont très
susceptibles: ils s'offusquent vivement de tout préjudice ou insulte, et leurs
lamentations sont incessantes. En fait, ils sont humiliés quotidiennement en
rapport avec leurs origines et ce, par la façon dont on parle d' eux non
seulement dans les journaux, mais dans les documents officiels et
semi-officiels.» Woodcock, John, Gabriel Dumont, Le chef des Métis
et sa patrie perdue, traduit par Pierre Desruisseaux et François Lanctôt,
1986, VLB Éditeur, à la page 171. (Les italliques sont de l'auteur)
Pour approfondir
sur le Racisme importé d'Europe qui affectait le premier PM, John
A. Macdonald, précisons que cette haïssable Mentalité
impérialiste britannique de pseudo-supériorité Raciale sur les Peuples soumis
militairement, elle subsiste toujours de nos jours, pour faire ressortir le
lien persécutif jusqu'à nous, du fait qu'elle existait toujours
effectivement au siècle suivant, au tout début du vingtième siècle aux
Indes de Gândhî, comme le rapporte impartialement Erik H. Erikson, un
psycho-historien:
« On m'avait
bien sûr, souvent demandé comment et où Gândhî «avait résolu sa crise
d'identité». Mais celle-ci -si l'on peut la
voir symbolisée par un événement -avait eu lieu avant, à la gare du chemin de
fer de Maritzburg, en Afrique du Sud, lorsque ce jeune avocat «made in England», peu efficace et pourtant
têtu, avait été expulsé d'un train parce qu'il insistait pour voyager en
première, bien qu'il fût un «coolie»,
c'est-à-dire un «homme de couleur. »
(Erikson, Erik H., La Vérité de Gândhî, les origines de la non-violence,
France, 1974, Flammarion, page 40)
Rappelons-nous
utilement que ce dénigrement systématique de Peuples infériorisés
prévalaient encore dans les Années-50 aux USA, (avec cette Dame Noire
refusant de céder son siège dans un service de transport en commun, et mettant
fin à cette pratique raciste par la Notoriété de sa Résistance),
supportée en renfort par les Black Panthers; et qu'au Nord de leur infecte
Frontière, «nos légendaires simili-pseudo Droits Civils» s'avèrent «en
décades d'ans d'ase»: du vent nauséabond de Côlon descendant en
« Back-Wash » à l'ascendant, montant en pestillentielle
Flatulence-Buccale juridico-monarchique!
L'Amer-Indien
vous affirmerait que nos Droits Civils ne valent pas plus que nos Libertés de
Conscience et de Religion «en regard de «l'Ordre Divin» de ne pas tuer
son Prochain» et de «s'aimer les uns les autres», puisqu'en
Faux-Prêtres pour le moins «Marrons-Colons», il reste que les
Juges-Négriers du Renvoi-Ségrégationniste de 1981 et leurs
Vassaux des Cours-Martiales inférieures, ne peuvent ignorer d'être
toujours en vigueur, la subsistance injustifiable de l'article 4 du Traité
de Paris de 1763, de même pour les articles 5 et
8 de l'Acte de Québec de 1774, et les ont «néant-plus»
reconnus louchement «constitutionnels» de les tolérer pour ce qu'ils
sont: 3 archaïques Clauses dérogatoires anachroniques
occultant nos Libertés de Conscience et de Religions ainsi que nos
Droits-Civils de Subjugués, à qui il ne reste plus que
d'entendre chanter «la Messe-Noire» de la Rengaine-Judiciaire du
Psaume-Dogmatique de «leur Promotion du Colonialisme», consistant
«à Promouvoir» ce que les Toges-Tordues se donnent de «Maintenir»
judiciairement, soit la Subjugation élisabéthaine», qu'«ils
Valorisent» ensuite, en vantant l'Absurdité de leur Turpitude-Népotique
de Dévôts de «l'Être-Parfait» que serait le
Parlement-Colonial d'Ottawa, dont «l'Imperfectibilité» nous a
été assuré par le Juge-Négrier Spense
lors de l'arrêt Scheer de 1974 en reprenant sans nuance
les déclarations saugrenues de Lord Halsbury de l'arrêt Pemsel de
1891 du Conseil Privé, afin de nous enchaîner dans le Passé, en
reconduisant la Médiocrité de «l'ancien Droit International Coutumier», toujours
si prisé sournoisement par les États-Belliqueux de l'OTAN.
Le Litige
juridico-asocial, pour les
Démocrates-Créanciers du Droit International Public, dont leurs
Païens en Toge nous privent depuis plus de 60 ans, est que
ces Justiciers de L'Heur-Juste considèrent évidemment en toute logique, que «L'Être-Plus-Que-Parfait»
est incontestablement la vénérable Assemblée Générale des Nations Unies.
Parce que c'est bien au nom de «l'Être-Parfait» que serait
prétendument élisabeth deux du «Amistad» de 1982, que les 9
Juges-Négriers de la bâtarde de Cour-Martiale Suprême, se sont permis crapuleusement
de légitimer rétroactivement les 2
Conscriptions-Génocidaires des Guerres de 1914-18 et de 1939-45.
Et cette «Outrageante» Trahison si scélérate fut perpétrée
lors du Renvoi-Esclavagiste de 1981 en légalisant
rétroactivement ces deux Conscriptions fratricides longtemps
après leur frauduleux Décret respectif; soit 63 Ans après la première
Guerre Mondiale, et 36 Ans après la deuxième. Une Trahison
asociale de dangereux psychopathes qui demeure «imprescriptiblement
Illégale», autant que peut l’être leur Source Constitutionnelle
aux articles 9 et 15 de l'AANB de 1867, parce que «cette
Loi-Unilatéraliste» était, est, et demeure «onusiennement
Illégale» dans son entièreté...
100, 000
Canadiens envoyés bestialement à la Boucherie Européenne des
Heurts-Hop-et-Hein? vous dites que...100, 000 Morts en Deux Guerres
Mondiales dont environ 25, 000 du Québec, pour qu'advienne que seul le
Peuple-Élu des Goddamites du Haut-Canada se fasse «adouber» en Chevalier-
Chouchou de leur Table-Ronde pour Têtes-Carrées exclusivement, d'y refuser tout
Vaincu issu d'une Nation sans Hérauderie, donc sans Dignité ni
Noblesse; dans ce Fief du Caïnada passé de Page-Vassal à Damoiseau à
Chevalier servant, qui se fait redéléguer les mêmes Pouvoirs d'un «Dominion», en véritable synonyme de
«Colonie», donc qui se fait
reconfirmer le Statut de Westminster de 1931 pour ne bénéficier
que d'une pitoyable Souveraineté octroyée par Délégation-Vassalique de
«self-government», qui marche presque tout seul; sauf en 1981-1982, qui
rampe en Supplication d'Impétration de Noblesse-Fictive devant élisabeth
deux du Caïnada de la Convention Constitutionnelle de 1926, (la
Dulcinée Death-Trèbozos du Donkey-Shot caïnadien proclamé «le Roi Promis»
du Psaume 72 de la Proclamation Royale de 1921), d'un Titre qu'il
était tout à fait dérisoire de quémander, puisque la
Subjugation est un État d'avilissement voulu par les Gardiens de la
Constitution qui nous en cache volontairement l'Original, vicié de
Consentement; en Calamité persécutrice pour nous tous, venant
sciemment d'une Magistrature sans Pacte-Fédératif après «une
Ségrégation» de plus de deux siècles et demi, de la Militaire à la
Judiciaire, du Fait -Militaire de la Conquête à sa Judiciarisation en
relais, en insidieux Coup d'État de sournoiserie institutionnalisée de
s'illustrer en Synarchie-Dictatoriale; pour aboutir au
Troisième Millénaire avec une Inféodation de Fief anti-démocratique fondé
sur un britichiant Titre-Fictif pour la Reine-Fictive du Fief du Caïnada, toute
aussi Fictive que sa Démocratie-Virtuelle, puisque leur scénario
protocolaire n'a absolument changé en rien son Statut de Colonie
caïnadienne du Royaume-Uni.
Qu'on se le dise
pour s'en inculquer, l'Acte de l'Amérique du Nord Britannique de
1867 ne sait fait changer de nom que pour enlever l'adjectif
«Britannique», démontrant trop éloquemment la Soumission
Coloniale britannique, afin d'obvier à la Résolution
Anticolonialiste A/742 sur «le
caractère non-autonome «du Territoire», ainsi qu'à la Résolution
Anticolonialiste A/1541, sur «la
Présomption «de Dépendance
étrangère», et la Résolution Anticolonialiste A/1514, sur «le Droit à la Décolonisation». Et
toute cette ignoble Fumisterie de Guerre-Froide judiciairement reconduite, pour
ne pas qu'elle se fasse réchauffer par la Résolution
Anticolonialiste A/2625, autorisant onusiennement la Légitime
Défense par la Résistance Armée contre les Colonialistes. Parce
que ça compte pour certains:
«25, 000
«Têtes de «Bétail bas-canadien et de
Faune Locale amérindienne», faut-il comprendre, considérés par «ces British-Butchers» en Chair à Canons «du
Fief du Caïnada», de ce que je dénoncerai en vous le répétant
jusqu'à ce que vous vous en lassiez de tolérer l'Intolérance, à l'effet
que le Sens Étymologique du terme «Fief» de la Proclamation Royale de
1921 signifie «Bétail», qui, vous incluant avec votre Portée,
vous parque à l'Enclos «de l'Être-Parfait» aux yeux ultra-partisans de ses
Juges-Négriers en selles en tant que Cowboys au Rodéo du Ranch des «Arpents Verts» des Goddamites de la Tribu des
Réducteurs de nos Têtes; avec ces Toges-Tordues qui y sont autant les
inciviques Sentinelles volontairement Alliés depuis toujours au Régiment de la
Noire-Surveillance des Vaticanes-Brebis et des Clovissiennes-Grenouilles;
ce qui reste en Lien avec la saine Critique de N. Lyon, de n'être pour «eux» que du «Bétail» sans «le
Pedigree Officiel», auquel prétend stupidement la Suprématie de la Race Blanche
de sa Spécialité impériale en Épuration Raciale; mais, indéniablement appliquée
par une exécrable sous-espèce de «WOP,
Without Official Paper»: like all Toga should be called as long as they
cannot show «their invisible 1867 BNA
Act» to the Mi'kmak-Trickster, requiering them to proceed to
this democratic Exhibition right now! -nothwithstanding what «Simon says»...neither «prince Wiliam», that will very soon end-up
stupidly like «Jean sans Terre!»
Pourtant, c'est
bien en se servant frauduleusement et criminellement de l'AANB
de 1867 que les Canadian-PM ont envoyé «25, 000 Époux et Fils du Québec» à «la Boucherie-Européenne». Et
quant «au deuxième Conflit Mondial»
qui envoya aux Mânes 10, 000 de ces Braves, c'est tout
simplement parce que ces pauvres malheureux s'offusquaient de «son Vice
de Consentement» lors de leurs sanglantes Manifestations
Anticonscriptionnistes antérieures au déclenchement du Conflit; et du
coup, qui manifestaient contre l'Illégalité de l'AANB de 1867
qu'avait soulevé au Parlement-Colonial d'Ottawa le très Honorable
Député Walter F. Kuhl, comme le prouvent «les Débats de la Chambre
des Communes de 1938»; d'un Député qui s'illustre sans contredit,
comme le seul Politicien véritablement Intègre et Humaniste qui fut jamais à Ottawa
depuis la Conquête de 1760 et ultérieurement à la
Fausse-Fédération de 1867; et qui aurait enfin donné à tous les Canadiens «leur tout Premier «PM-Démocrate». Que l'on s'en rappelle: ne s'implante que ce qui
croît pour subsiter «en Lys-Éthérique»
incomprimable par «le Bulbe de la
Red-Rose» that is shurly no cup of tea, and therfore,
deserves eloquently our own: «Beau-ce-Ton:
t'es parti!»
J'exulte
dans ce que La Poésie me dicte d'écrire, pour Être authentiquement ce qu'Elle
m'inspire d'Être: «le Poète-Poème de ma Vie». Un Poète-Pélican dont
L'Esprit-Phée entrevoit pour sa Livrée des millions de Battements d'Ailes dans
toutes les Directions, en s'ouvrant dans le Sens de la Vie-Humaine avec «la
Raison-«Enzennée», enrichie de cardio-sensibilisation: «Omni-Al-Samt, pour Tous le
Droit Chemin», peut importe la
Direction que prendra ma Descendance, pourvu qu'Elle s'envole dans sa Vérité.
Aussi, méfiez-vous: je me suis sincèrement reconnu en tant que Poète de Combat
en lisant les deux volumes intitulés «La Résistance et ses Poètes» des
Éditions Pierre Seghers. Donc, ça risque de barder dans vos Neurones en
remémorisation d'une ancienne Combativité
susceptible de renaître éventuellement chez tout Lecteur que je narre de
Notions vitales de leur Véracité, salutairement transformé en Être-Là par simple Lecture; non plus un
Bèta-Annulé de sa morbide Docilité létale en tant que Tardenoiseuse
ou Tardenoiseux du Royaume de Tardenoise, mais un Vénérable Citoyen ou
Citoyenne de substantifique Démocratie onusienne, en tant que Primenoiseuse et
Primenoiseux du Royaume de Primenoise...des Gens éminemment cordiaux, toujours Conciliables à envisager une autre Idée
toujours bienvenue au Brassage-Collectif, mais Infléchissables sur tout
Principe de Justice fondamentale, en Code D'Honneur considéré inaliénable de la
part des Créanciers de L'Heur-Juste.
«La Résistance et ses Poètes» des Éditions Pierre Seghers, c'était là une Lecture qui me confirmait
que «L'Écriture» était L'Art-Martial par excellence», puisqu'au départ, toute
Guerre véhicule des Idéologies contradictoires dissimulant presque
toujours le véritable Mobile de l'Attaquant, mais que l'on peut
discerner préalablement et postérieurement par le Langage utilisé et les
non-dit silencieux ou exprimés en murmures presqu'inaudibles, mais
éloquents de fermeture d'Esprit chez tous les Polémologistes, comme ils
le démontrent dans leurs vaines tentatives de négociations cupides et de
médiations intéressées avant d'en arriver à l'Affrontement fatidique par
les Haineux qui savent parler, qui connaissent les Mots, comme Compassion
et Bonté, Fraternité et Charité, Empathie et Humanisme, mais ne savent pas les
vivre. Et puis, Fauché comme les Blés et Méfiant des Crétins de la
Statistique établissant que 99% des Crimes contre la Personne sont
commis par des Hommes, et quant à moi, se retrouvant à 99% présumés
Coupables à vue, en me comptant tout à fait impartialement d'en Être,
de ces Dangers-Queutés, qui ne sont Crédibles de
Libération qu'à 1%, strictement lorsqu'ils prouvent que leur Passé est garant de
l'Avenir, n'ayant pas été plus Dangereux que tout Juge-Mâle qui
subsistera dans cette nouvelle Magistrature phénoménale, d'être rendue Féminine
à 99% et Onusienne à 100%.
Surtout que fourmillent les
Traîtres parmi «ces
Dangers-Queutés» qui s'infiltrent toujours partout, comme le démontre
mondialement L'Histoire des Résistants à l'Oppression; et d'autant plus
que je suis absolument allergique aux Uniformes, sauf pour les Pompiers,
les Ambulanciers et les Karatékas; aussi, je n'allais sûrement pas me les
casser à recruter des Fuyards déloyaux en déroute anticipée de Prospects à la Désertion pour la moindre peccadille, étant inhabités
de tout Principe Existentiel, d'être asséchés d' avance comme un
aride et stérile Désert-Ambulant salé d' affreux Mirages pour ce genre
d' étanche Assoiffé, de sa perpétuelle Sentence, sans Oasis:
«Au Jardin de la Vie, demain
comme hier,
un Croque-Mort que ce Jardinier jouant à l’Horloger morbide
du rudéral Humain-Clepsydre: Temps!
-arachnéenne Éphémérité en
Filière, sans Missive aux Absents
déficitaires,
du Courrier à retourner illico à la perfide Envoyeuse de
Sortilèges,
qui, de Présence annulée...abrège
le livide»...
Évidemment, en revenant sur
l'extrait précité de N. Lyon, «le Pedigree» est un Document officiel
attestant de la Pureté de la Race d'un Animal; ce dont s’est assuré de
nous en priver le britichiant Conquérant Britannique, qui exclu absolument
tous ses Vaincus de L'Humanité en les animalisant héraldiquement
pour les infantiliser à l’usure et les tarir de toute Dignité-Humaine;
ce qu'il fait en Coutume de Guerre à tous «ses «POW, Prisoniers Of War» sans
Identité autre, que celle de «WOP,
Without Official Paper»; qui ne bénéficient d'aucun
Pacte-Fédératif, d’où qu’ils se font jauger en «WOP», et cela, tout simplement à
partir de son Bestiaire-Constitutionnel de Conquérant, notoire
universellement sans que les Dénigrés caïnadiens franchouillards ne
s'en indignent, des exécrables Armoiries caïnadiennes présentes sur
le Passeport de la Honte ainsi que sur sa Charte-Théocratique,
Martiale et Animalière des Droits-Fictifs et des Libertés-Virtuelles...car
c'est ainsi que le Conquérant-Colonisateur les animalise pour mieux infantiliser
ses Vaincus et leur Descendance, dont vous vous assurez d'être par
Recensement-Baptismal, en condition «sine
qua non» de votre «coopération de Cooperators» à votre «propre
Fongibilité», en tant que sale Bétail fangeux commercialisable une fois
délavé de toute Vérité et de toute Mémoire, personnelle ou
collective?
Et cette offusquante
Dégradation des Humains par les Colonialistes n'est pas étrangère à
ce que véhicule le Langage-Courant qui, notez bien, qu'il soit Français ou
Anglais, sont notoirement tous les deux «d'importation Heurts-Hop!-et-Haine»
de Peuple-Élu prétendu Supérieur à l'Infériorisé dégradé des Peuples supposés
plus arriérés, ainsi qu'en témoignent les Définitions suivantes de leurs
Dictionnaires et qui s’avèrent indiscutablement péjoratives,
discriminatoires et autant vexatoires, à l'oreille et à l'oeil de
tout Humain authentiquement «Démocrate et Humaniste», ce qui n'empêche pas qu'elles
parsèment les Dictionnaires pour nous illustrer notre piteuse Mentalité
d’Arriérés-Primitifs. Et persiste le Danger inhérent que nos Enfants
s'en imprègnent dangereusement de cette Mentalité-Tarée,
en risquant fort de reconduire notre Fiasco-Asociale...car, auparavant, en résumé des
Invasions Coloniales européennes, jusqu'à la défunte Société des
Nations, lorsque le Droit des Capitulations était légal et le
supportait, le Colonialisme sévissait partout dans le Monde en allant prendre
«de Facto, de Fait» naturellement Militaire, avant de tenter de se
faire reconnaître «de Jure, de Droit», étant toujours celui des
Conquérants de «l'ancien Droit International Coutumier», comme
nous le démontre Simone Dreyfus, qui est une respectable auteure de doctrine
du Droit International Public:
« La nouvelle colonisation -
La première vague de colonisation date, on l'a vu, des grandes découvertes et
de la fin du XVe (s.). Et elle a abouti à l'implantation des
Européens en Amérique, en Extrême-Orient et sur certains points des côtes
Africaines.
[...]
Cette nouvelle
colonisation donne lieu à d'âpres luttes entre les grandes puissances de
l'époque. Les rivalités européennes se
transportent outre-mer. Et ces rivalités en Europe et outre-mer
s'alimentent réciproquement: la France et l'Angleterre s'oppose en Asie (en
Indochine et en Inde), l'Angleterre et la Russie en Chine. Les luttes sont
d'autant plus âpres que l'importance de l'expansion coloniale est grande. Ses
mobiles sont économiques et aussi stratégiques (bases
navales, protection de la route vers l'Inde, possibilité de ravitaillements des
navires etc.) et liés au sentiment du prestige national, car un empire
colonial est considéré comme la marque de la grandeur et du rayonnement d'un
État, ou parfois traduisant sa mission humanitaire auprès de peuples plus
arriérés. » (Dreyfus, Simone, Droit des Relations Internationales
(extraits), Éd. CUJAS, 1978, pp. 7-47, pp. 22-23)
D'après
L'Amer-Indien, de se savoir d'«un Peuple plus arriéré» ne fait qu'attiser mon
ensauvagement ultra-vindicatif en Mi’kmaq-Trickster
sur le Pied de Guerre de le prendre au Pied de la Lettre pour exprimer leurs
Quatre Vérités à ces arriérés Troglodytes, car cela me contraignait irréversiblement dans
ma Jacquerie-Littéraire, à décrier la britichiante Bipolarité-Haineuse
dûment «constitutionnalisée»
par la Proclamation Royale de 1921, et judiciarisée sournoisement par le Renvoi-Esclavagiste
de 1981, pour se faire ultérieurement enchâsser dans
la Charte-Théocratique, Martiale et Animalière caïnadienne des
Droits-Fictifs et des Libertés-Virtuelles.
Ce qui ne garantit
aux Autochtones que la reconduction de l'Épuration Ethnique. Par
exemple, des Mi’kmaqs dont la Personnalité Juridique est atomisée en
Mi’kmaq-Américain du Maine, sinon en Mi’kmaq-Français des Îles
Saint-Pierre-et-Miquelon pour d'autres; pour finir avec les Mi’kmaqs-Canadiens dispersés en Gaspésie,
au Nouveau-Brunswick, en Nouvelle-Écosse ou à Terre-Neuve; et qui
se font ré-atomiser davantage dans l’exécration spéculée dans le
texte même de l'alinéa 2 de l'article 35 de leur Torchon constitutionnel de
la déshumanisation-nationalisée, pour «y» entrevoir «l'Étatisation choquante de
l'Inégalité de Traitements» entre Autochtones bénéficiant en substance de
leurs Droits-Ancestraux lorsqu'ils détiennent ce Passeport d'Humain certifié «du
Statut d'Indien», en tant qu'Inuits ou Indiens reconnus «full Blood» and «Pure-Breed»; -ce qui exclu évidemment «tous les
Métis» qui y sont mentionnés «en inférant sournoisement à leur État
de Bâtardise» de «Mixed-Blood» d'être «Half-Breed», soit «de
Sang-Mêlé» d'être
presque né, «à Demi-Engendré», pour que la divine Épuration Raciale du Peuple-Élu
biblo-militari-juridiquement se complète «en seulement Trois Générations» à les javelliser de «Métis» rougeau comme
des Peau-Rouge en «Bois-Brûlé», en
synonyme de «coolie» à pâlir en «Quarterons» rosâtres puis en «Octavons
rose-assez» sortant de «la
Blanchisserie des «Grisâtres des brumes d'Albion», déguisés
nébuleusement en Toges-Fascistes, qui se grisent de «leur Baboche» à l'article 27, à «promouvoir,
maintenir et valoriser le Multiculturalisme canadien» de «ce Lebensborn»
dégénérescent de la décadente Sélection surnaturelle extra-terrestre à
l'Alambic du Calendrier-Solaire du Whisky, se miroitant en
Guerre-Concurrentielle contre «la
Distillerie-Locale de Moon-Shine», parce qu'Elle entend se diversifier
jouissivement en se divertissant de «sa
Fabrique de Miroirs» pour voir à «son
Imagerie librement personnalisée», sans plus aucun Reflet néfaste de
britichiant Rejet...
Et cette
Répulsion xénophobe suintait ignomionieusement jusque dans «l'Instruction-Publique» des 10 Ministères de
l'Ignorantologie provincialiste», s'affichant en Institution éminemment
Haineuse de la proverbiale Bipolarité-Institutionnelle du Conquérant-Dominant,
quel qu'il soit en vertu de l'«archaïque Droit International Coutumier», de ce fait Supérieur par
«la Volonté divine», et de cette Prétention désâmante pour
les Nations Pré-Capitulatives, prônera ultérieurement la Suprématie de la
vacharde Race Grisâtre s'auto-javellisant de «sa Blanchardise» obsessionnelle»; ce qui se perçoit dans tous les Dictionnaires à la section
lexicale, où fourmillent des définitions péjoratives et
discriminatoires qui subsistent ainsi dans le Langage-Courant; en vous
invitant à prendre Connaissance du contraste paradoxal de ce qui y est dit des
Autochtones dans la Section des Noms Propres, si toutefois ils sont mentionnés
exceptionnellement comme Êtres-Existants ou ayant Existés. Parce que
figurez-vous que ce n'est pas le fait du Hasard si «Apache» signifie «un
Malfaiteur, un Voyou», comme le suggère éloquemment son synonyme, «Hooligan»;
et que «le Huron» y soit décrit pour être «une Personne
grossière, un Malotru»; et que le terme «Micmac», bien que
venant du français moyen, et donc mentionné ici en tant qu'«Homonyme», sans
allusion au Peuple, réfère tout de même «à une situation suspecte et
embrouillée» du Reflet imprécis d'un Imbroglio»; ce qu'ici l'Efferé
Mi'kmak-Trickster reconnaît franchement être face à moi-même, un Imbroglio,
une Énigme de ne pouvoir préciser mieux mes Racines de la
Branche-Maternelle.
Non
pas d'un Renoncement consciemment consenti, pas même tacitement, mais
plutôt manigancé mafieusement par les Magouilles scandaleuses d'Injustice-Caïnada
occultant mafieusement «ses Actes de Génocides», et préméditant
sournoisement sa Mise à Mort de l'Indien-Abélien, en litanique suite
biblique «du Caïn-Cro-Magnon en poursuite de Safari contre
«L'Abel-Néandertalien»...Et ainsi, le Mal-Colonialiste se propage
insidieusement par sa judiciarisation, comme on pouvait s'y attendre de tout
Anti-Évolutionniste, comme tout invétéré Polémologiste qui
cachera être assurément un invétéré Traditionnaliste englué d' «anglaiserie
redneckienne», par
conséquent, terrant forcément un arriéré Misonéiste qui s'affichera pourtant tôt ou
tard autant Asociale qu'Inamicale, autant résolument Anti-Démocrate qu'Anti-Humaniste. Car il faut
savoir qu'Ici, «au Passage-Rétréci», le Colonialiste est «un Corbeau» cupide de nature arthurienne éminemment vorace, dont il faut présager qu'il ne lâchera pas
tout seul le morceau: il faudra l'y contraindre en Suée-Liliale de
Code-Morse cardio-crypté du Coeur-battant
sa Charade! -en m'adressant à tout «Mordu» à qui je reconnais expressément «le Droit de mordre qui l'a mordu»...par un
Changement de Cap sud-ouest, nord-est,
qui nécessite évidemment de manoeuvrer pour un Coup de Barre radical...en ne
démordant pas de son onusien Signalement de reconduction
judiciarisée d' avilissante Sujétion-Colonialiste britannique qui perdure
mordicus...
De
l'un, «son Extorsion est par trop
lucrative»; et de deux, «il ne veut pas engager «sa
Responsabilité Criminelle» par des Aveux de ses Torts qui seraient perçus
universellement ultra-incriminants de concerner les Autochtones,
plus que n'importe quel Groupe
Ethnique de la Population, dont le
Membre se fera choyé de Ménagements infinis à se faire traiter avec des
gants blancs pour Blancs lors de la judiciarisation du très Sélectif
«multiculturalisme caïnadien»; surtout si ces Aveux étaient
suivis de l'Annonce inespérée de Réparation qui le forcerait à envisager des Changements
significatifs menant à une onusienne Réforme-Démocratique;
mais qui s'avère illusoire de son Penchant chronique pour la Mascarade et le
Simulacre du Faire-Semblant monarchique, avec une Société prise en
Otage, d’être parasitée d’un Judiciaire-Dictatorial décadent dont la
Pratique-Partisane s'encrasse de sa crapuleuse caution de la
Léthargie-Législative qui prévaut d'«un océan à l'autre» cumulant
les Comptes en Souffrance à la Grande-Caisse élisabéthaine, «Coast to Cust!»
-d'être indéniablement supportée par l'Omerta-Judiciaire qui se prétend
«narcissiquement Impeccable», suffisamment suffisant pour se justifier de
retenir chichement ses Excuses sincères pour que s'ensuive la Réparation
légitime. Mais ces honorables Voeux pieux demeurent injustifiables à
ses yeux; à moins d'être contraint à l'Examen de
Conscience nécessitant préalablement une Greffe onusienne; car ce
Pantin-Fantoche de Législateur vassalique fera tout pour préserver sa
Pseudo-Supériorité qui ne se fonde piteusement que sur
«l’atavique Bipolarité-Haineuse» qui aspire toute la Substance de
ses rachétiques Chartes-Bidons. Ce Comportement en perpétuel Déni de
Justice d' Invétéré-Impénitent est celui «d' un Usurpateur», selon
Albert Memmi:
« Mais, il
l'admet, il revendique une place usurpée. C'est dire qu'au moment même
où il triomphe, il admet que triomphe de lui une image qu'il condamne. Sa
victoire de fait ne le comblera donc jamais: il lui reste à
l'inscrire dans les lois et dans la morale. Il lui faut pour cela
en convaincre les autres, sinon lui-même. Il a besoin, en somme, pour en jouir
complètement, de se laver de sa victoire et des conditions dans
lesquelles elle fut obtenue. D'où son acharnement, étonnant chez
un vainqueur, sur d'apparentes futilités: il s'efforce de
falsifier l'histoire, il fait récrire les textes, il éteindrait
des mémoires. N'importe quoi, pour arriver à transformer son
usurpation en légitimité. » (Memmi, Albert, «Portrait du Colonisé»,
1972, Éditions L’Étincelle, p. 64)
Tout s'éclaircit maintenant, en
comprenant que «cette Victoire «de Fait» (de Facto), d'une
Campagne militaire menant à la Signature de l'Acte de
Capitulation de 1760, doit par la suite «se justifier «de
Juris», de Droit»; mais qui demeure débilement celui du Droit
des Capitulations de «l'ancien Droit International Coutumier» de
la Défunte Société des Nations, remplacée sournoisement par l'OTAN,
pour hériter de Cours-Martiales dans toute la Colonie caïnadienne; d'où
vous imaginez l'embarrassante «gêne» du Conquérant, et sa
Hantise de Révisionnisme Historique de son arbitraire privation «des Droits de l'Homme», pour se faire
Bonne-Conscience à rabais», d'être suivi de ce qui apparaît
nettement comme une scélérate Tentative d'«Auto-Absolution», selon l'expression
justement très appropriée de Jean-Paul Sartre en préface à Albert
Memmi.
L'Amer-Indien ne fait que
considérer «la Plate Réalité de cette abominable Fatalité», qu'il ne
pouvait pas en être autrement, puisqu'en Rafale-Lexicale, en commençant par les
HUMAINS, pour ensuite aborder «les ANIMAUX», nous procéderons donc
obligatoirement à un parcours «migratoire» d'une Jungle à l'Autre, afin
de s'interroger, si différence il y a de Perception chez nos Dirigeants, qui
ne sont «somme toute» que des Politicards-Colonialistes de Filiales
de «la Hudson Bay Company» s'étant doté d'une Justice bancale provenant
d'un Judiciaire-Dictatorial, d'avoir cumulé plus de 60 Ans de
Contraventions multiples à l'encontre du Droit International Public,
ce que seule une Synarchie-Despotique pouvait accomplir aussi
longtemps, en considérant les 60 Ans durant lesquels «cette Organisation
Criminelle» a outrepassé sciemment sa Compétence Judiciaire, pour
illustrer une Subjugation qui fut judiciarisée
et qui a persisté durant une douzaine de Mandats Électoraux
de Libéraux et de Conservateurs s’alternant pour du pareil au même.
Ceci vous étant bien sûr précisé
gratuitement et gracieusement, fort d’être «sous l'invulnérable Immunité
Supra-Étatique» de l'article 103 de la Charte des Nations Unies et des Résolutions
Anticolonialistes A/1514 et A/2625 de l'Assemblée Générale des Nations
Unies; par conséquent, «en légitime Signalement» de la Subjugation
élisabéthaine, exprimé ici en Libre-Arbitre sur mes Libertés de Penser,
d'Opinion et d’Expression, donc: «nonobstant» l'Omerta-Judiciaire de
Michel Bastarache & Cie...ceci dit, passons maintenant en revue
tous les Synonymes du terme «BÂTARD», parce qu'il reste
qu'un Législateur qui en fait la Promotion, en hérite
naturellement avec l'ensemble de ses Juges-Négriers qui se sont prêtés à une
telle Propagande Haineuse, à subir égalitairement...
D'abord, appliqué aux HUMAINS: et provenant sans doute de l'indissociable obsession de
l’Hommerie en regard de «l'Enfant-Adultérin» qui le
confirmerait Cocu, en Relique Biblique du vieux Péché de «la
Faute-Originale d'Adam», puisqu'elle est définitivement moins
grave à commettre pour l'Homme que pour la Femme qui n'a jamais affublé
son Homme de la Bergamasque, la Ceinture de Chasteté brevetée à
Bergame, Italie, depuis la Sentence biblique qui s'éternise pour «la
Bouc Émissaire sans barbiche des Barbus-Patriarches du Complexe d'Oedipe
Matricide»; soit des Adorateurs-Phallocrates de leur Dieu-Yang de la
Baise kashère «fast-food» d'une Étoile Morte sous un drap percé au centre;
ce qui, dans la Vraie-Vie des Étoiles bien Vivantes, qui battent des bras et
des jambes en se déhanchant d'une Bonne-Baise, revient à leur Dégradateur
mural de l'Intensité de la Lumière de l'Étoile-Tétraédrique «moïsement» transmutée Hébraïque, rendue Morte
par l'antique Mise en Boîte pharaonnique ajustée hébraïque, dans l'infernal «Cube de Métatron».
Vous dire la Réalité
invivable pour l'Enfant qui naît hors mariage ou d'«un mariage à l'Indienne» non-reconnu
légalement, combien il lui sera quasiment impossible en dépit d'efforts
surhumains et de mérite infini, d’obtenir Justice qui se montrera invariablement
blessante et décevante, et de même que se faire reconnaître le
Respect populaire qui lui sera généralement refusé, pour le faire
mourir de Dénigrement outrageant toute
sa Vie durant, de provenir d'une Justice-Inique qui scénarise
«criminellement» son Rejet dans le Drame inhumain de la lui rendre renchérit de
Désespoir. Car il en fût, en est, et en sera ainsi pour cet Indésirable qui
sera dès lors catégoriquement catégorisé comme étant «un Enfant-Champi»,
comme s'appelaient autrefois les Enfants trouvés dans les Champs; ce qui
n'est peut-être pas sans Lien avec l'ancienne Coutume «des Louves Romaines»,
ces Prostituées qui oeuvraient dans les Champs; pour comprendre de ce qui
réfère à «l'Enfant-Naturel», qu'il est fautif de vivre de
sa Conception trop naturelle qui le rapproche des «SAUVAGES», ce
qui l'exclu de leur prétendue «Société-Civilisée» par la Déchéance imputée
et infligée systématiquementement à «l'Enfant-Naturel»
avec tous leurs préjugés qui le dégradent autant que cette
Société-Asociale, qui le rejettera jusqu'à ce qu'il en meurt de l'Avilissement
institutionnalisé après avoir été populairement et judiciairement
destitué de toute Humanité. Et cette Iniquité calamitesque survient,
par le fait même, de l’injustifiable Déni de ne lui reconnaître aucune
Dignité-Humaine, pour qu'ainsi, «L'Enfant-Naturel» se retrouve
«naturellement» en Dégradation irréversible vers la Nature,
inévitablement avec les Bas-Instincts de Rût-Rural que l'on suppose
merdiquement de l'antique Stigmate biblique qui l'affecte de la
Mentalité-Tarée qui en résulte, puisqu'Il en sera enmerder durant
toute sa sous-existence...
Parce qu'il y a que sur ce
propos sensible concernant «les Enfants nés de la Cuisse Gauche»,
du fait d'insinuer aux Enfants «leur
Bâtardise» et qu'ils proviennent d'une Mère dévergondée,
he bien, je m'en indigne au nom des Miens, qui se font avilir
du Complexe d'Épuration-Ethnique pour les «enmeltingpoter»
à la britichiante Refonte des Métis rosâtres «en
Quarterons simili-blanchâtres», pour finir «en Octavons rose-assez grisâtres»,
presque javellisés, pratiquement Blancs suite à la Propagation du
Multiculturalisme caïnadien de l'Assimilation judiciarisée «sewellienne», telle que préconisée par le juge
en chef Sewell dans son Rapport de 1810, visant déjà à cacher leur
Hybridisme suite à mille Guerres européennes légitimant l'immémorable
Coutume du «Grand «FUCK», for: Fornication Under
the Consent of the King» .
Et de là, il
m'avait été facile de ressentir jusqu'à l'apercevoir, ce Lien-Causal
directement connecté avec l'outrageante Discrimination à outrance venant
de cette expression infamante qui sous-entend de «notre Présomption
de Bâtardise», d'être Mi'kmaq de la Branche-Paternelle de notre Famille,
mais incapables jusqu'ici de préciser la Généalogie de notre
Branche-Maternelle, autant Autochtone, mais saccagée sciemment
par la Législation-Ethno-Linguicide qu'est en réalité la Loi sur les
Indiens, telle qu'elle fut judiciarisée par leurs Juges-Négriers concoctant
que notre Branche-Paternelle soit populeuse, contrairement à la
Branche-Maternelle dépeuplée par leur Patrimoine-Matricide de nos
Langues et de nos Cultures, d'être fondé sur un Patriarcat
ultra-misogyne hérité de la britichiante Gynécocratie-Phallocratique
élisabéthaine qui faisait inexorablement en sorte, selon leur
jurisprudence vexatoire, que je suis sûrement enclin à «une irréversible
Prédisposition-Innée» à «la Gaucherie», leur permettant de faire le
rapprochement instinctif avec «l'Anticipation de la Commission
incontournable de ma part d'une litanie de Maladresses à l'infinie»
venant de «L'Être-Imparfait»,
obligatoirement, d'Être né pour évoluer «en Maudit Gaucher» tant en
manutention qu'en Comportements qu’en Idéologie. Ce qui vous laisse entrevoir
chez L'Amer-Indien, un Sauvage fort enclin à la Gaucherie et bien sûr, très
susceptible de cacher un Extrémiste de la Gauche...de s’avouer L’Être en
Avoué-Affidé et de se commettre comme tel…
En parallèle du Langage-Courant
et du Langage-Gestuel, propres à nous illustrer notre pitoyable Mentalité
rétrograde, par exemple, cette Présomption douteuse de Démonisation
automatique sur «le «South Paw» à la Boxe, un des sports préférés des
Anglo-Saxons, où ce pauvre «South Paw» est irrémédiablement
associé pour être «une maudite Patte Gauche de «Sudistes»; cette
Discrimination historique s'étant banalisée par l'usage résultant sans
doute d'une expression qui s'est incrustée machinalement dans le
Langage-Courant des Anglo-Saxons, en Relique d'un ancien «Axe du Mal»
de la Guerre de Sécession; par conséquent «un Gaucher» dont on peut
anticiper qu'il sera irrémédiablement «un incorrigible Maladroit», (jusqu'à
ce qu' « il passe « l'arme à droite »...); mais,
bizarrement, qui ne rend Maladroit que «les bons Droitiers du Bon
Dieu», soudainement rendus «GAUCHES» devant «le Gaucher» qui
jure sataniquement bien plus qu'il ne déteint sur ce
Bon-Droitier du Bon-Dieu, en synonyme très controversé par inférence, comme
s'il s'agissait obligatoirement «d'un Pataud maladroit» qui se
montrera sûrement bien «MAL-EMPOTÉ»...(de Pote,
signifiant jadis le côté Droit, alors que le terme «Orche», représentait
le côté Gauche); quand on analyse logiquement la Cause de cet arriéré
Préjugé qui terrorise ces idiots (de l'Hémisphère-Cérébral gauche), qui
s'explique tout simplement «de l'Expérience accumulée au fil des Combats»,
parce qu'avec le temps «ces Maudits Gauchers» s'habituent à 9 fois sur
10 de se battre contre «un Droitier» du Bon-Dieu», soudainement rendu «Maladroit»
et en Beau-Diable de s'être montré si Gauche, de se retrouver
presque toujours déjoué par «ces Maudites Pattes Gauches», parce
que «les Droitiers du Bon Dieu du Paradis» ne se battent environ qu'Une
Fois sur 10 contre «ces diaboliques Gauchers de l'Enfer», d'où leur
Inexpérience d'«Empotés» devant «L'Habilité-Gauchère du Gaucher se
démarquant avantageusement en Adroit-Dandin»; qui, historiquement, de leur
britichiante «Senestreté» héraldique sont
historiquement déterminés «du Clan des
«Eux», afin de les séparer «du
Gang «des «Nous», pour qui le
Dextre est inévitablement réservé sur «les Armoiries caïnadiennes»,
où les Vaincus deviennent autant tous des Gauchers à
maudire à jamais, autant que ces maudits Sudistes…
...d'ailleurs, dans la même Famille que «la Fausse Patte» de
la Boxe, il subsite dans le Langage vernaculaire de l'Imprimerie, soit le
jargon des Éditeurs et leur main d'oeuvre, l'expression éloquente par elle-même
de «la Fausse Page», désignant la «Page Gauche», alors que la
Droite est priviligiée de l'appellation prestigieuse de «Belle
Page», en supposant pratiquement que pour écrire un Chef
d'Oeuvre, il nous faudrait laisser vierges toutes «les Fausses Pages»...et
par extension, du Verbal au Gestuel, le double de Pénitence après le
Confessionnal inquisiteur pour une branlette Gauchère, de n'être pas kashère...et
pour L'Amer-Indien tout juste bon pour les amitiés sûrettes, la Contrainte
fatale de ne jamais pouvoir devenir le véritable Ami du PM des
Anglo-saxons, qui ne le considèrera jamais comme «son
Bras-Droit, his Right-Arm», d'avoir été jadis «un
Mauvais-Indien» de son Alliance catastrophique avec le Français
et le Caïnadien-Français, (puis ultérieurement avec l'Américain prétendument
débritanniqués), mais du côté des loyaux monarchistes orangistes caïnadiens,
qui l'ont rejeté et trahi tous les deux par Capitulardise chronique
constitutionnalisée, à s'appliquer de pratiquer exécrablement leur «if we
can beat them, let's join them», faisant que L'Amer-Indien
doublement dupé, n'a plus aucune envie de se faire passer loufoquement
«pour leur Couille-Gauche, la Ballotante», aussi frivole que
leur Allégeance ultra-opportuniste et leur Féalité supra-nombriliste
de Bourgeoisie de la médiocrité de sous-espèce complaisamment inférieure,
proportionnellement à la dérisoire infra-Constitutionnalité de leur Sous-Charte-Animalière
de la Québécitude et de la Rubitude...
Et me voilà comme je
suis, tout en vous exposant jusqu'où une telle Usure par massive
Scotomisation préméditée équivalent à une Méga-Lobotomie de docteurs Jekill peut
dégénérer jusqu'à s'avérer inespérément Créatrice en ressortant
du Fouilli-Mental d'un ambulant Mi'kmaq, naturellement prédisposé à
m'offrir en Imbroglio dans mon jonglage lexicale, se permettant ci-après de
remercier des Amis qui me sont très chers, de m'avoir sécurisé amicalement
quant au Méli-Mélo de l'Imbroglio dans le bric-à-brac du Mi'kmak qui ne s’en
tire qu’inévitablement tiraillé dans «son Cafard n'a Homme»; ce
qui transparait de façon transcendantale dès la première des deux OpuStrophes
doublées de Pentacles fantasmagoriques vous étant ainsi proposées(és) en
introduction étourdissante de ce Poème échevelé intitulé:
«le Chant-Verlan: 10
Lexiques sur une Bête AmbiSenestre»...
Ah! si un Chien
pouvait
...E L L
A B !U
O T I
P
m'adopter;
...L H
I B A
-O Ç I
P I...
après tout,
L I L
I L -T I
L I T...
le meilleur Maître
A B I
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P I Ç
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de l'Homme
B A L
L E -P
I T O
U!...
c'est le Chien.
Voyez! S E
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comme je lui obéis ; ...E
L I O V
- -L I H
L O!
à chaque fois R I
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-U H A
H U! M I
N O U!
J A
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qu'il me désigne V O
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la balle,
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E S -B
O U L
O N H
A H N!
P U A
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je la lui relance en bon
serviteur... !O I H
D I- P
O U L
A...
...U O
N I M … E
P P A
J-
Ainsi suis-je, he oui!
-même avec mes Amis, les pauvres! T
R O L
L... M U
T I N...
-car je pense du Côté
Gauche plutôt que du Côté Droit, R E
B E L...
...U L O
D I!
ai-je confié à Yvon
Brabant.
O B O B O...
...T O R
O T...
Il m'a répondu: «Et
après! à l'embauche,
...L E B E R...
-I D O
L U...
ne vaut-il pas mieux un
Gaucher adroit
...L L O R T-
...N I T
U M-
qu'un Droitier gauche!?!»
Puis, l'Ami Mike d'ajouter
en portant son Pagne en
Paillettes :
L U
T I N:
C O L
O C...
«Tu es une Bête tournant
SeneStrorsum, en somme:
-U L O
D I: O
M A G
O!
Sois Toi-Même ! -comme tu
es, AmbiSenestre,
T O R O T...
L A B
A L...
ça sait qui vaut en
équivoque
-I D O
L U: !O
G A M
O...
puisque nous sommes tous
Humains,
...N I T
U L- C
O L O
C...
d'ailleurs, «si les Coqs
n'ont pas deux mains:
c'est que les Poules
n'ont pas deux seins !»...U O L
I F- ...U O
Z A Z- ...N
E R O T-
que nos louches regards
bigles ...O
C I L
I! -O D
O R A...
!E N O
Z O!
Adroits ou Gauches L I
L I L
-Z O U
O Z! R
O Z O
R...
fauchent adroitement I L
I C O! ...A
R O D
O- O Z
O N E...
en Adroits Dandins... F I L
O U... -Z A
Z O U...
T O R E
N...
[…]
D'après le dictionnaire de
Philosophie de Larousse, «un
Dislexique» se définit comme «quelqu'un»,
un Être-Humain je suppose, «que l'on a contrarié» mais sans préciser
comment on s'y est pris, sans doute par l'infléchissable Droiture imposée
dans le monde manchot des Droitiers, et je propose, aussi, qu'il
vous faut vous méfier de ce genre de Lecture hétéro-clit! -vous entraînant on
ne sait où; en revenant approfondir autant sur leur Obsession
multi-millénaire, en regard du Sens manichéen prêté au terme «Gauche»
appliqué à L'Humain insinué en Ouvrier-Malhabile, appelé
ici à être associé à ce qu'il crée en se présentant en «Objet mal usiné»,
de posséder «un Défaut», celui de ne pas avoir été
fabriqué «Droit», d'être gauchi en gachis d'avoir
été Faussé par ses Manutentionnaires parentaux, engendrant assurément un
futur Faussaire avec «cet Être Faussé» (à force de
congédiements discutables, malgré pourtant qu'il se soit montré
généralement de Bonne Compagnie?), et par conséquent, en faisant référence à «l'Être
Tordu qui ne Marche pas Droit», ce qui est contraire à
l'Équerre de leur fétide et répugnante Loge Franc-Maçonnique
rosicrucienne de même qu'à leurs Armoiries à l'Enquerre depuis la
Prétention au Trône de France par édouard III. Pour
son Peuple-Élu, la Béatitude anglo-saxonne en Dextre leur assurant les
Traitements favorables «pour ces Bons Droitiers du Bon Dieu»; et l'Enfer
du Mépris en Senestre, dans l'Axe du Mal des Gauchers malhabiles de
leur Défaite militaire frappant de manière héréditaire toute la
Descendance des Nations Pré-Capitulatives qui combattaient autrefois
sous la Bannière Constitutionnelle «aux Trois Fleurs de Lys»,
reléguée dans le Quatrième Quartier de l'Écartelure, parce que nous serions
appelés à nous faire convertir à s'acoutumer de cette Défaite de jadis
par des Arrangements déraisonnables à «l'Harmonie-Asociale de leur Harpe
biblique», qui s'adresse à Nous à partir du Troisième Quartier de
l'Écartelure des Armoiries caïnadiennes.
De là, la Dégradation
animalière qui s'intensifie fallacieusement d'autorité constitutionnelle depuis
leur Bestiaire-Constitutionnel des Armoiries caïnadiennes de la Proclamation
Royale de 1921, apposées sournoisement et belliqueusement sur la Charte-Théocratique,
Martiale et Animalière caïnadienne des Droits-Fictifs et des
Libertés-Virtuelles, en Déchéance hyper-avilissante jusqu'à «la
Présomption de Bâtardise des Bardots-Métis», du Stigmate des Avatars du
Non-Être, marqués en arrêt de Mort pour les Morts-Vivants ensevelis dans la
Fosse Commune de la Clause-Négrière de la Rubitude, à l'alinéa 2
de son article 35. Depuis jadis, les Misonéistes et
les Polémologistes nous vocifèrent «le Vae Victis! Malheur
et Honte aux Vaincus!» -du Rappel d'un Harcèlement humiliant pour
les Ex-Alliés-Plumés des Canadiens-Français, avec les Natifs châtiés
doublement pour avoir combattu sous la même Bannière Constitutionnelle «aux
Trois Fleurs de Lys» de Louis XV le Bien-Aimé (de qui donc?); mais, à la
différence que les Natifs sont frappés encore plus par exemple, à
se retrouver contraints de tolérer l'Intolérance que porte le nom de «la rue Amherst», du général-donateur de couvertures infestées de
variole, sans que cela soit contraire à la faiblarde
Infra-Constitutionnalité de l'article 11 de la Charte des Doits et
Libertés de la Personne du Québec, stipulant en vain que: «Nul ne
peut diffuser, publier ou exposer en public un avis, un
symbole ou un signe comportant discrimination ni donner une
autorisation à cet effet». Il reste que le sacro-saint nom
d'Amherst, jamais ne sera perçu Discriminatoire ni
Provocateur envers les Natifs, d'avoir été jadis «les Alliés de la Guerre d'Indépendance
étasunienne» et punissables exemplairement par la Sentence-Anathème
dino-windsorienne d'Honnir à outrance lorsque ce sont les Natifs-Païens
de «Peuples plus arriérés» qui se
retrouvent «En-Senestrés» avec les Conquis de la
Francophonie à mépriser, ces Vils Vaincus qui sont tous repoussés en
Senestre», à Gauche sur les Armoiries caïnadiennes, dans «l'Axe du Mal».
Mais pour les Peaux-Rouges,
indéniablement exécrés davantage en tant que «Propriétaires-Légitimes
du Territoire» dont il faut les priver du Titre, puisqu’ils ne
sauraient en jouir en tant que «vulgaire
Faune Locale «accessoire» «aux Bestiaux caïnadiens-français», le «Principal» intéressé à sa
Capitulardise, pour que les Natifs soient lorgnés par leurs Juristes
sous l’appellation méprisante de «Pupilles
de l’État» sous-entendant l'institution d'un Protectorat d'Indigénat.
Qu'on se le dise, les Mi'kmaqs ne sont pas des Capitulards, selon
ce qui est rapporté de leur véritable Histoire non-révisée, du moins, moins
à ce sujet, et par conséquent, moins «punitive»
chez nos Voisins Sudistes du Royaume-Uni étasunien, comme un bémol sur le «Vae Victis» en Retour d'Ascenseur
rétroactif pour leur soutien glorieusement efficace dans «la Guerre d'Indépendance étasunienne»:
«Since 1779 they have been peaceful, scattered
occupants of their former domain, never deported, like many
tribes, to the south. But a long association with whites, particularly
the French, has seen a gradual loss of culture and traditions, and the
inevitable mixing of the races.» (Johnson, Michael, G., et Richard Hook, pour
les illustrations, Encyclopedia of Native Tribes of North America, Éditeurs,
Firefly Books N.Y., U.S.A., et Firefly L.t.d., Ont. Can., 2007, p. 23)
...et encore, la
Raison de ce traitement favorable aux Bons Indiens étasuniens,
«The Penobscot joined the
Passamaquoddy, Maliseet, and Micmac in securing the town
of Machias against British attack in 1777.» (National Geographic Society,
Indian Nations of North America, 2010, Washington, D.C., U.S.A., p. 54)
Et maintenant, d'une incroyable
exception phénoménale, inculquez-vous de l'inimaginable, dans l'inespérée
Providence d'un Bon Samaritain en Toge, tellement inusitée et inattendue, qu'il
peut être présumé empathiquement d'Ascendance Autochtone de par sa Franchise si
spontanément naturelle, car d'après le juge Dollard Dansereau, auteur de «Causes
célèbres du Québec», c'est exactement ce qui s'est produit avec les
Indiens et les Métis de Louis David Riel et de Gabriel Dumont, dans
l'Objectif-Haineux de les provoquer législativement à défendre leurs Droits
qui leurs étaient déniés de façon coutumière pour les faire sortir
et revendiquer «par l'Usage et la Coutume» de leur Chasse à courre, pour
faire lever ces Gibiers de
Potence de par leur Présomption de Bâtardise; d'être «des Sauvages des
Bois, des Enfants de la Nature», qu'il leur faut mépriser
doublement dans la Disgrâce de leur Loi d'Indigénat d'Empire qui rempire
de Racisme envers les Autochnones, d'être hautainement jaugés par
des Quarterons et des Octavons sans Pedigree et sans Identité
Nationale; pour une Population entière de vulgaires WOP, Without
Official Paper de se retrouver en 2013 sans aucun Pacte-Fédératif
d’«une véritable société libre et démocratique»; dirigée
Ici par une sous-espèce bâtarde que l'anglofranchouillarde sans
Pedigree de Pureté-Raciale et sans Constitution Fédérative onusiennement
Démocrate; d’être plutôt coincé «au
Carcan «des Méa-Pliée» et «des Méo-Penché» de «la Honte-Nationale» exclusivement «frenchpeasoupienne», avec un
Bestiaire-Constitutionnel qui les dégrade le plus sauvagement du
Monde «en tant qu'Enfants Bâtards du Grand-Fuck dino-windsorien. Par
conséquent, de Blasonnement et de Symbolisme discriminatoires «héraldiquement» parlant, mais,
d'Intolérance tolérée (qui ne dit mot consent!) -même tacitement
par omission judiciaire de renseignement indispensable au Consentement
Éclairé, et donc apparemment très appropriée pour des Vaincus
bâtards qui sont héréditairement présumés tous nés de «la CUISSE GAUCHE»...Alors
que Louis Riel s'interposait face à l'Arbitraire, en commentant «l'affaire
Louis Riel», le juge Dollard Dansereau rapporte les paroles du
contremaître des Arpenteurs de «la Hudson Bay Company», venus en groupe pour
ré-arpenter la Terre de son cousin, André Nault, dûment achetée depuis
longtemps, mais dont «le
Bon-Titre» leur était systématiquement refusé d'y être considéré
«en «squatter»
Nomades, sédentarisés seulement pour dépossession à perpète les acculant
à la Révolte, pour frustration assurée de leur part de leur
sous-condition de Métis animalisés et abâtardis d'Hybridisme:
« Ça va,
les gars, dit-il à ses hommes. Prenez vous effets. On a autre chose à faire qu’à
discuter avec une bande de mulâtres...Il ajoute, à l'adresse de Riel:
«Vous allez en entendre parler jeune homme.» (tel que rapporté par le juge
Dollard Dansereau, «Causes célèbres du Québec», 1974, Éditions
Leméac, à la page 17)
[…]
« Durant l’été de 1869, des équipes d’arpenteurs, sous la
direction du colonel Stoughton Dennis, pénètrent dans la vallée de la
Rivière-Rouge comme en pays conquis. Ils font fi des Métis.
Pour eux, ce sont des Sauvages, des mulâtres, des bâtards.
» ((op. cit.), Juge Dollard Dansereau, Id., p. 18)
[…]
« Les
Métis se défendent d’être des esclaves que le gouvernement de Londres peut
assujettir au gouvernement d’Ottawa sans leur assentiment, et dont la Compagnie
de la Baie d’Hudson peut livrer les biens en échange pour elle d’argent et de
terres. » (Id., (op. cit.), Juge Dollard Dansereau, paroles
rapportées de Louis David Riel, p. 20)
[…]
« Encore aujourd’hui, l’État n’a rien trouvé de mieux, pour
compenser les Indiens de la perte de leur territoires de chasse, que la
création de réserves et le paiement d’allouances. Quant aux Métis, on ne les
regarde ni comme des blancs ni comme des Indiens; par conséquent, le
gouvernement n’a pas d’assistance à leur donner. » (Id., (op. cit.),
juge Dollard Dansereau, p. 30)
«En
pays conquis», autant de Menaces simili-parlementées et
pseudo-légales en Toc de Bon Voisinage, lorsque « la
Valeur Mobilière » dûment animalisée en Faune
Locale, et s'avérant «de fait» et
«de droit» une Chose
homiminienne lorgnée en «accessoire»
condamnée au régalien Monopoly des Dépossessions et du Renoncement
capétien, se devant suivre «
le Principal » de « l'inestimable
Valeur Immobilière », si prisée de leur fiévreuse cupidité «klondikienne» de géophage et démovore
windsor:
«Ces questions furent noyés dans la grande
effervescence qui s'ensuivit; par suite de l'inaction persistante, chaque Métis
demeura, année après année, un squatter selon la loi, sans aucun
droit de propriété sur sa terre, alors même que des étrangers arrivaient en
nombre croissant dans la région. Qui plus est, ces étrangers n'étaient pas
que des Métis anglophones ou des colons canadiens ou immigrants
qui, tous partageaient l'inquiétude de leurs compatriotes face à
l'inaction du gouvernement; il s'y trouvaient aussi des agents de
spéculateurs fonciers cherchant à accaparer de vastes portions de territoire au
mépris des occupants.» ( Woodcock, John,
historien, Gabriel Dumont Le chef des Métis et sa patrie perdue, 1976,
George & Hurtig Publishers; version française, Québec, 1986, V.L.B.
Éditeur, traduction de Pierre Desruisseaux et François Lanctôt, p. 174)
Autrefois,
le Métis était interdit de Titre de Propriété par sa prétendue animalité,
et même si ce n'est plus le cas en 2013, il reste que ce même Métis
aujourd'hui Propriétaire foncier chez les Blancs, n'est cependant pas bienvenu
dans une Réserve sans le Statut d'Indien établissant sa Pureté Raciale. Donc:
illusion létale de croire que le Traité de Paris de 1763
protège la Liberté de Conscience et de Religion, les Droits Civils et la Langue
Française des Vaincus de l'Empire britannique; il s'agit simplement
du Renoncement capétien du Territoire et des Sujets du Royaume du Canada
de Louis XV le Bien-Aimé, concédé à george III, ce Despote si détesté des
Néo-Américains Républicains. L'accessoire, la Populace, suivant le
Principal, le Territoire convoité, comme il en fut pour l'arrêt
sur l'Annexion du Labrador du Conseil Privé, de même que plus
récemment pour le Renvoi-Esclavagiste de 1981. Pourtant,
nul ne peut nier la Présence-Humaine des Premières Nations et des Colons
Canadiens-Français au Labrador. Il reste cependant que la citation suivante
illustre bien, que seul le Territoire et ses Richesses Naturelles
intéressent les Annexionnistes anglo-saxons:
« Il y avait
à établir des frontières qui n’avaient jamais été définies. Lorsque je suis
parti pour Londres, un marchand de bois m’a montré une circulaire d’un courtier
américain offrant en vente une grande propriété. Savez-vous laquelle? Le
Labrador. Dans sa circulaire, le courtier offrait en vente les forêts, le
pouvoir d’eau, qui était en litige. Il disait de plus que de puissants Anglais
étaient intéressés dans cette propriété et qu’elle était garantie par le
gouvernement britannique. Dans cette circulaire on fait miroiter les
possibilités d’exploitation de la rivière Hamilton, avec ses dix millions de
chevaux-vapeur, et ses limites forestières, et on insiste sur le fait que le
gouvernement britannique assure les titres sur ces richesses
naturelles. Cette circulaire fait également valoir que des Anglais bien connus
sont intéressés dans cette affaire. Voici la circulaire en question. » (propos
de l’honorable (?)
Taschereau en ministre sinistré Capitulard, tirés des
Débats de l’Assemblée Législative du Québec, de la 16e
législature, 4e session, pp. 1-34, à la page 7)
Sans Territoire, sans Culture, sans Histoire...Il faut justement considérer honnêtement
la Plate Réalité à l’effet qu’elle s’est bel et bien exercée de
façon systématique, cette pratique Ségrégationniste simultanée de «l'Expropriation
des Territoires» et «des Personnalités-Juridiques»,
qui agit sur les Êtres en exerçant littéralement sur Eux comme «une Télé-Déportation les propulsant dans une Modernité pipée,
orchestrée Médiévale» dans l’arrogance monarchique qui tolère hautainement votre Présence: mais,
dépersonnalisé et par conséquent, déshumanisé «en Étant-Autrement!» –que ce que vous êtes sensé «ÊTRE», (comme lors de l'Annexion du Labrador
en 1927, par laquelle
le Conseil Privé a décidé arbitrairement qu'une bonne partie de notre
Population «se coucherait Québécois, pour se réveiller enterrés en
Terre-Neuviens de «la Terne-Neuvième», privés arbitrairement du Code Civil des Civilisés, dès
lors, faussement prétendu garanti par le Traité de Paris
de 1763). Les Pauvres, Tous à la merci de la débile Common Law des Morues à
Cou-Rouge de l'Île des Cabillauds»...dans une britichiante Pratique n'évoluant
qu'en raffinement de Cruauté-Mentale, d'être rendue plus
sournoise dans le maintien de la Ségrégation, quoi que se présentant
presque identique à «la Franche-Déportation des Acadiens en 1755»...mais
qui, «Eux», à tout le moins, de cette regrettée
Coutume de montrer franchement son Despotisme, conservaient
malgré tout «leur Droit d'être Acadiens» et de se
présenter comme Tels, -mais: Ailleurs!
-alors que dorénavant, l'hypocrite Protocole de
l’insidieux Faire-Semblant élisabéthain veut bien tolérer notre plaisante et
agréable Présence Physique, -mais: «Autrement!» -du point de vue «Intellectuel»,
littéralement dans
l'État-Végétatif des Zombis complètement annulés, totalement annihilés en
Zappés-Apatrides, de se retrouver dramatiquement Innommables après avoir été
longtemps ressentis Indésirables, complètement en errance Inexistants, de
n’avoir réellement absolument Personne à présenter à quiconque dans
l’Anonymat-Collectif qui ne s’en souci guère, de notre pré-occupation de nous
savoir Incognitos à Nous-Mêmes...comme il en était pour notre cousin Guy
Ouellet, qui en 2006, âgé de 76 ans, a enfin appris qu'il était
d'ascendance Abénaquise, ceci vous signifiant l'aridité préméditée
étatiquement en regard des Reccherches Généalogiques autochtones.
Maintenant, pour «les Animaux», en ce qui concerne particulièrement les synonymes «de
Bâtard», mais qui sont «généralement» appliqués à
l'Humain, que l'on pense à «Corniaud», qui décrit «un
Chien Bâtard», un sale Cabot sans Pedigree, ce qui infère
à «un sale Chien sale» en
commune insulte dûment «joualisée»
par une Meute de Moutons qui se la bêlent bêtement; en considérant sa
définition dans les Dictionnaires décrivant «un Homme qui est
stupide et imbécile», par conséquent, qui n'est définitivement pas
«de L'Imperfectible Race Pure» comme tout «Bâtard de
Corniaud!» -qui, somme toute, n'est qu'«un HYBRIDE»,
un mal-foutu de Mélangé que ce Croisé-Païen» qui mêle tous
les Autres reconnus de Bonne-Volonté, avec leur ignoble judiciarisation de
l'abâtardissement du Multiculturalisme caïnadien de la Sélection surnaturelle
de sa Supra-Constitutionnalité dogmatique dénaturée Théocratique
protest-anglicane parasitée rétro-adventiste; parce qu'en étant «un Mélangé»
de mon prétendu Sang-Mêlé qui circule fluidement en Lévogyre, je
suis Titré forcément pour me faire reconnaître «en ÉTOURDI».
L'Amer-Indien ne serait pas du tout surpris qu'on me confirme un bon jour,
que l'archaïque inclinaison «à généraliser» a été répandue
de façon «générale» par des bâtards de Généraux
sanguinaires, tapis au point d'eau et au puits de pétrole des paisibles
brouteux qui moutonnent, autant que jappent en rogne leurs
putrides Meutes de Chiens kakis»...
Suite à cette
généralisation d’animalisation universalisée de L’Être-Humain déprécié
de son Étrangeté nationale à réquisitionner par annexion de la part des
Colonialistes de tout acabit, rappelons encore que le terme «MÉTIS»
est appliqué indifféremment en synonyme autant à L'Humain qu'à l'ANIMAL,
et les désigne ainsi péjorativement en «dégénérés BÂTARDS» autant
pour l'Un que pour l'Autre, selon le Dictionnaire du Petit
Larousse Illustré de 2006, nous définissant «le Croisement animal
de deux Bêtes de la même Espèce, mais, de Races différentes»;
à l'instar «des Mulets-Mulâtres», qui sont issus d'«un Âne et
d'une Jument», «les Bardots-Métis» sont issus d'«un Cheval
avec une Ânesse»; mais qui, cela va de soit, «Mulets-Mulâtres» ou
«Bardots-Métis», ne sont par conséquent ni un Cheval «Pure-Race», ni
un Âne «Pure-Race», de l'hybridisme des Bâtards de Mulets et des
Bardots sans Pedigree.
Pour tout dire
de façon imagée mais exacte, le Renvoi-Esclavagiste de 1981,
nous avait servi tout le contraire de l'heureuse conclusion d'un «Happy-End»
du scénario du très bon film «Amistad», avec Anthony Hopkins et
Morgan Freeman, nous montrant un jugement dans lequel des
Esclaves-Mutins de l'équipage de leur Bateau-Négrier, le «Amistad», sont
considérés en tant qu'«Humains», et non pas «des choses
négociables» n'ayant aucun Droit de se rebeller; et encore pour
Nous, tout le contraire de l'arrêt Guibord devant le
Conseil Privé en 1873, dans lequel le Droit à
l'Auto-Préservation par la Légitime Défense est reconnu «Légal»
et même, «fort louable» par les Juges-Lords. Mais,
dans leur fourbe Turpitude-Népotique, Nous fûmes judiciarisés totalement
dans le sens contraire lors du Renvoi-Esclavagiste de 1981, non
pas en tant qu'Humains, mais en tant que «Bétail franchouillard
et en Faune locale amérindienne» par les
Juges-Négriers en Banc de Forbans en Méga-Forfait; par Neufs-Quarterons
s'auto-javellisant en Octavons, mais toujours «sans Pedigree
Généalogique», et par surcroît, doublés de «WOP» Without
Official Paper», meaning «Illegal» 1867 BNA Act».
Et ce Déni de Justice vendue pour «une Vache Bâtarde de la
Frise allemande», d'être elle-même «une puante Holstein sans
Pedigree!...Ça horripilait amèrement L'Amer-Indien et pour Cause, que le terme «Métis»
se retrouve enchâssé à l'alinéa 2 de l'article 35 de la Charte-Animalière
caïnadienne...parce que les Armoiries caïnadiennes de la Proclamation
Royale de 1921 sont apposées sur ce Bestiaire-Constitutionnel, en
conséquence asocialement calamitesque de son Blasonnement insidieux qui
insinue discriminatoirement l'animalité des Vaincus, du seul terme «Fief»,
signifiant «Bétail»...
Évidemment, pour parer leur Lavage de Cerveaux liliaux,
inutile de tergiverser à négliger la réitération si bénéfique à l'incrustation
des Notions, à vous re-spécifier le rapprochement «si naturel», à
l'effet que le terme «MÉTIS» réfère à l'Enfant-Naturel
qui est né «des Marriages à l'Indienne», comme il est dit
dans l'arrêt John Connolly de 1869, dans lequel «ce MÉTIS»
qui est avocat plaidant pour lui-même et ses Frères et Sœurs une Requête en
reconnaissance de Paternité devant une Cour d’Appel (du Banc de la Reine), se
fait carrément traiter de «BÂTARD» par le juge
Loranger en plus d’entendre sa Mère se faire qualifier de «Suzanne
la Sauvagesse» et de « Suzanne pas de nom », sans
aucune référence à sa Nation, comme cette expression vague et avilissante
d'«espèce de sauvage»,
que l'on retrouve durant les fastidieuses et insultantes Recherches
Généalogiques.
Demandez-vous sérieusement, après la lecture des propos
du juge Loranger cités en amont, si «l'Union de Fait» (divers) de
l'arrêt Lola, ne fut pas juridiquement perçue comme «des
Marriages à l'Indienne», au préjudice des Descendantes d'Ève...
Mais, bien que le Juge-Ségrégationniste Loranger y soit le
seul dissident sur cinq en 1869, ce Cliché-Jurisprudentiel nous
présente également, avec les quatre autres juges, une Justice victorienne
sous «l'ancien Droit International Coutumier» qui était tout de même
Humaniste à 80%, sans même la prétendue Protection farfelue chimérique des
11 Chartes-Bidons du «Fief du Canada», et cela, près d'un siècle
avant que le Canada ne soit devenu Signataire du Droit
International Public des Nations Unies, auquel à cette époque, aucun
Juge ne pouvait consciemment contrevenir. Mais que dire de cet
arrêt John Connolly, après l'avoir comparé avec l'arrêt
Canada contre Mme Sandra Lovelace en 1989, jugé
cent-vingt ans plus tard, pour nous montrer la Saga judiciaire de
cette brave Indienne qui a dû gravir péniblement les Trois
Instances Judiciaires du Droit-Colonialiste Interne avant d'aboutir
devant la Cour Internationale de Justice, pour enfin pouvoir l'obtenir
et nous illustrer la Ségrégation-Judiciariée d'un éloquent score parfait de 100%
de Juges-Ségrégationnistes en considérant ces 13
Juges-Négriers sur 13 en 1989, contre 1 seul Juge-Raciste
sur 5 en 1869 pour l'arrêt John Connolly...sans
qu'il soit possible de soutenir qu'il n'y a pas de quoi s'alarmer
de ce que cette seule Mauvaise graine avait pu semer judiciairement pour se
répandre insidieusement; d'être un foutu Jugement de «Common Law»,
qui fait partie intégrante du Patrimoine-Matricide des
Cultures Autochtones; que la Décision ait été rendue avant
comme après sa mise en vigueur en 1985, «de ce Patrimoine-Ségrégationniste»
dont le rituel machiavélique de propagande de Ségrégation Raciale est
stipulé aux articles 27, 28 et 35 alinéa 2 de la Charte-Théocratique,
Martiale et Animalière caïnadienne des Droits-Fictifs et des
Libertés-Virtuelles pour les Autochtones, ensevelis dans la
Clause-Négrière de leur Rubitude, de ce même Torchon de décadence avilissante
constitutionnalisée.
Du Fief-Politico-Militari-Théocratique windsorien au
Fief-Judiciaire élisabéthain, la Misogynie-Ségrégationniste initiée par le
juge Loranger de l'arrêt John Connolly de la Cour du Banc de la Reine de 1869, selon la citation
suivante, qui nous prouve qu'il est du même acabit que son
merdique PM, John A. Macdonald, qui nous jaugeait à la
baisse «en sous-caste», «en sous-espèce» de Demeurés à
protéger d'Eux-Mêmes par Loi d'Indigénat dans un Protectorat:
« La
polygamie repousse donc l’idée chrétienne du mariage dans ses deux
caractères les plus intimes, dans ses deux points fondamentaux. Juge
d’un tribunal chrétien, je ne puis reconnaître la loi des infidèles.
Appelé à prononcer sur les droits les plus sacrés des citoyens, le
sort d’une famille et l’honneur de son nom, je ne puis fonder ma sentence
sur un principe subversif de tout ordre social, sur une institution
reprouvée de Dieu et en abomination devant les hommes. »
[…]
« En
pays polygame ou dans le Nord-Ouest avec les mœurs que les témoins
ont décrites, je dis sans hésitation, non! À Suzanne, les collatéraux de
Connolly auraient pu objecter son concubinage, et aux enfants leur
bâtardise. » (Idem, p. 304)
[…]
« Il retourne dans le
Nord-Ouest où il continu à vivre avec la sauvagesse et à en avoir des enfants. Il
continu également à dire qu’elle est sa femme, mais à la mode du pays.
» (Id., p. 305)
[…]
« Le temps ne peut changer la
nature de leurs rapports vicieux dans le principe. » (Id., p. 309)
[…]
« A-t-il
jamais eu, lui, la possession d’état qui peut quelques fois suppléer à l’acte
de naissance? Le sien n’en est pas un de bâtard à sa face, mais il en est bien
approchant.
Quant à la
filiation, elle n’est pas niée, il est le fils de Connolly et Suzanne. Il a été
reconnu comme tel en plusieurs occasions mais jamais comme un enfant légitime.
Et depuis l’année 1813, date de son arrivé en Canada jusqu’à l’institution de
cette cause, j’énonce comme un fait qui n’est pas susceptible de contradiction,
qu’il a toujours été reconnu comme un bâtard. Il n’est pas un seul témoin qui
se soit présenté pour dire qu’il l’a connu comme légitime.
Il en a été
ainsi de ses frères et sœurs; la preuve en est abondante. » (Id., p.
311)
[…]
« Quant à sa bonne foi elle est patente. Elle n’ignorait
pas la liaison de Connolly et de Suzanne; mais croyant avec l’opinion public
qui considérait comme nuls les prétendus mariages indiens, elle a contracté
avec lui un mariage scellé par l’autorité religieuse et civil et sous
la protection de la loi public. Comment pourrait-elle être destituée de son
rang, privée de son état et voir ses enfants dégradés comme bâtards et
remplacés par ceux qui avaient toujours été considérés comme illégitimes et
voir sa place à elle occupée par la sauvagesse, c’est ce qui me paraît
injustifiable, aussi j’opine pour l’infirmation du jugement.» (Id., p.
313)
Voilà un
flagrant exemple de Traitement différent d'anti-égalitarisme
assuré dans une Monarchie constitutionnelle, et c'est pourquoi il
est si infamant de se faire affubler par de telles appellations comme
le terme «MÉTIS» qui est sauvagement «Encodé» à l'article
35 alinéa 2 en les reconnaissant globalement en tant
qu'«AUTOCHTONES» du «CANADA»,
mais qui sont injustement «privés» du «Pedigree» du «Statut d'Indien», le Passeport de leur
Dignité-Humaine qui leur est niée en héritage avilissant depuis
la Rubitude instituée des Bannissements exclusivement appliqués aux
Indiennes par la Loi sur les Indiens, ce qui avait fait en sorte
depuis le fondement même du «Fief du
Canada», qu'Elles-Mêmes et leur Descendance se
sont faits dénigrer par les Leurs, et le sont encore inévitablement
par ce Racisme systémique qui s'opère «constitutionnellement»,
par surcroît, en ciblant précisément «ces mêmes BÂTARDS
INFÉRIORISÉS» en sous-caste» par John A. Macdonald, premier PM caïnadien...
Un manque d'Équité, de Civisme, de Tact, d'Empathie et autant, un
manque de Charité Chrétienne en plus, de la part du juge Loranger de son
préjugé sur «les Mariages à l'Indienne» qui, selon la Preuve,
ne tolérait pourtant la polygamie que pour les Chefs qui s'en prévalaient,
lorsque les Coutumes Tribales des Siens l'autorisaient. Pour «Suzanne la Sauvagesse» et «ses Enfants bâtards»,
que les Témoins aient été unanimes sur la Fidélité de John Connolly père durant
trente ans envers «cette moins que rien» qui lui a donné six Enfants,
fait ressortir que la Mentalité
raciste du PM John A. Macdonald persistera, d'en avoir hérité «trudeauïstement»
jusque dans la Charte-Animalière caïnadienne. Et cette
Calamité perdure par le principe débile du «King can do no wrong»,
car il faut bien croire que «le Tribunal chrétien» du juge
Loranger, s'il n'en tenait qu'à lui, aurait approuvé et même
loungé le mariage chrétien dûment célébré de Richard II, qui était
alors âgé de vingt-sept ans, sans penser à le considérer celui d'un
pédophile pervers, en dépit de l'éloquente citation suivante:
« ISABELLA of
Valois was only seven years old when she became queen of England in 1396, two
years after the death of Richard's first wife.» […]
The match was not
popular in England, because of both her age and her nationality. There was, in
fact, only a 20-year age difference between Richard and Isabella and the king
grew attached to the child, who plainly adored him -when the news of his death
reached her, she was ill for two weeks .» (Elisabeth Hallam, The Chronicles
of the Wars of the Roses, 1997, by Bramley Books, Elisabeth Hallam Editor,
page 76-77)
C'est à nous
tous d'y voir, car avec un peu d'attention impartiale, le Racisme de la
Suprématie de la Race blanchisée grisâtre apparaît clairement dans ses
Lois Ethno-Linguicides. Par exemple, le Bill 17 de l'Ontario
francophobe, ayant assimilé de 1900 à l'an 2000, soit en un
siècle, plus de 12 des 15 % de sa Population francophone, dont
la Langue est pourtant une des six Langues officielles à l'ONU, (ce qui
laisse douter de la capacité franco-canadienne de défendre les Langues des
Natifs); de même que les articles 5 et 8 de l'Acte de
Québec de 1774, encore francophobe, tout comme la Proclamation
Royale de 1921 qui dénigre autant tous les Descendants des Nations Pré-Capitulatives,
considérés héraldiquement en Bestiaux francophones sur la page
couverture et en Faune Locale autochtone au Cercueil de la Rubitude
enchâssée à l'alinéa 2 de l'article 35 de la Charte-Animalière caïnadienne,
exécrablement indigénophobe. Ce Racisme envers les Natifs
originant de la Loi sur les
Indiens qui s'est traduit en Suprématie de la Race-Pure même
chez les Autochtones, qui jaugent britanniquement à la baisse les Métis
selon «l'impitoyable Présomption de
Bâtardise» enchassée après près de vingt ans d'écriture de Mauvaise Foi
protest-anglicane rétro-adventiste par ce bâtard de Fif-Ségrégationniste qu'était
sans contredit Pierre Hell-he-Hot le Corruptible Trudeau; presque
vingt ans, de 1968 à 1985, pour nous écrire cette abominable hérésie
anti-démocratique, de s'être assuré d'y destituer «les Métis du «Statut
d'Indien», pour qu'ils restent «constitutionnellement (?) «Ignorants»
de «leurs Racines et de leur Langue-Maternelle», pour ainsi les
plonger cruellement dans une Crise à la fois Identitaire et Culturelle
du Désoeuvrement-Étatisé qui, insidieusement, les incite
machiavéliquement à dominer au concours du plus haut Taux de Suicides de la
Colonie caïnadienne, mais qui, louchement, tombent mystérieusement en
fragiles Victimes, puisque toujours sans aucun Agresseur apparent…
Que cela vous
explique le Scénario judiciarisé pour le Crime-Parfait dans l'impunité
hypocritement préméditée par ces fourbes Artisans-Entogés de la Colonie
caïnadienne qui exigent toujours de nous la Vérité en échange d'une
vraisemblance de Manipulateurs expérimentés en Criminels endurcis qui effacent
toute trace de leurs Crimes contre L'Humanité, à la mode de la Tribu des
Réducteurs de nos Têtes, «les Red-Necks avec leurs nouveaux Associés
franchouillards en méprisables «Cooperators»;
du Mépris dépréciateur généralisé pour une Population invitée
fallacieusement à «l'Insensibilité
fasciste» dans le dénigrement des Leurs, ces Laisser-pour-Compte en
Souffrances, comme s'ils n'étaient que «des WOP», puisque
«les MÉTIS» sont Tous «WITHOUT OFFICIAL PAPERS»,
soit des Animaux sans «Pedigree», puisqu'ils ne bénéficient pas du si
prestigieux «STATUT D'INDIEN!» -sont projetés dans les Limbes de
ces pauvres Enfants morts sans baptême...
Mais que dire de
Ceux dont les Génitrices se sont faits troussées suite à mille Droits de
Cuissage, et qui débarquent d'Europe en classifiant les Natifs, et
qui ne bénéficient d'aucun Pacte-Fédératif? ne sont-ils pas tous
«des WOP, Without Official Paper»,
ces Bâtards d'Arriérés Colonialistes, doublés d'exécrables
Despotes-Ségrégationnistes? Tirée des «Causes célèbres du Québec»,
citons cet extrait du juge Dollard Dansereau, qui fait preuve d'une
rarissime Probité dans sa critique envers le Gouvernement d'Ottawa, ce
qui fait qu'il se démarque du Juge-Négrier Spence de l'arrêt Scheer
dans son démentiel Éloge jurisprudentielle, en extase devant
«l'Être-Parfait» du Parlement-Colonial d'Ottawa:
« Les Indiens et les Métis, en Saskatchewan, sont décimés
par une irrémédiable misère. Requêtes et suppliques au gouvernement d'Ottawa
restent sans réponse. Aucun député ne les représente nulle part: la
Saskatchewan ne deviendra une province qu'en 1905. En faut-il davantage pour
expliquer l'indifférence de l'État? Encore aujourd'hui, l'État n'a rien trouvé
de mieux, pour compenser les Indiens de la perte de leurs territoires de
chasse, que la création de réserves et le paiement d'allouances. Quant aux
Métis, on les regarde ni comme des blancs ni comme des Indiens;
par conséquent, le gouvernement n'a pas d'assistance à leur donner. »
[...]
« La
nation métisse, comme elle existait au temps de Riel, a disparu. »
((Juge
Dollard Dansereau, «Causes célèbres du Québec», 1974,
Éditions Leméac, à la page 30, première citation, et 52, pour la deuxième))
«La nation métisse de Riel
a disparu», sauf à l'alinéa
2 de l'article 35 de la Charte-Animalière caïnadienne, qui lui
sert de Fausse Commune et d'Épitaphe. En pointe de
l'Iceberg-Ségrégationniste d'un Glacier d'Intolérance «d'un océan à l'autre»,
«Coast to Cust!» -reconsidérons plus en détails cet arrêt CANADA
contre Mme Sandra Lovelace en 1989 devant la Cour
Internationale de Justice, soit quatre ans après la mise en vigueur
en 1985 de la Charte-Animalière caïnadienne. Ce qui nous
démontre clairement que ses Enfants bannis avec Elle de leur Milieu
de Vie, étaient indéniablement des Laissés-pour-compte, absolument
sans aucun «Droit à l'Égalité-Générale des Citoyens» stipulée
à l'article 15, d'être expulsés «sauvagement» avec
Elle en-dehors de leur Réserve par un Bannissement exclusivement
appliqué «d'un océan à l'autre» aux Indiennes encore en 1989,
et non pas servi égalitairement aux Indiens-Mâles, comme l'a suggéré piètrement
le Procureur Général du Canada devant la Cour Internationale de Justice,
(ce qui aurait pour conséquence de doubler la complexité des Recherches
Généalogiques, et vous témoigne de l'insensibilité judiciaire);
par conséquent, un Bannissement discriminatoire annulant «son
Droit à L'Égalité des Sexes» de l'article 28, également Vide de l'Inconsistance
«inconstitutionnelle» depuis 4 Ans de sa prétendue garantie à
son propre article 52, aussi Vide que les autres
dispositions chimériques dont il est supposé assurer «la
Consistance» depuis la mise en vigueur en 1985 de la Charte-Animalière
caïnadienne. Un tel Scénario apocalyptique nous permettait
clairement d'entrevoir la Descente infernale dans la
Décadence-Phallocratique du Patrimoine-Misogyne des Indiennes par leur
Racisme-Haineux, qui s'est implanté en gangraine de Désespoir et de
Dépression dans leur Descendance, stigmatisée sciemment par la
Déchéance-Asociale des Ségrégationnistes de l'Entreprise-Esclavagiste du
Judiciaire-Dictatorial, où résident les plus ignobles et les plus
abjectes Ségrégationnistes, d'être les plus Grands-Séparatistes de
Familles «du plusse bo meilleur
péï du monde, de Me Jean le Crétin-Chrétien»...
L'Amer-Indien ne
pouvait pas être complètement dans l'erreur; en fait, il en était ainsi dans
le Droit-Colonialiste Interne, en Contravention sur plus de 60
Ans au Droit International Public, parce que ses Juges-Négriers y
sont allergiques, d'être bien trop moderne, et par conséquent trop
avant-gardiste pour «ces arriérés Troglodytes du poussiéreux Droit
International Coutumier»; et aussi, en considérant que le Canada
engageait sa Responsabilité Criminelle et celle
de ses Agents en incluant ses Juges-Négriers depuis
la Convention pour la prévention et la répression du Crime de Génocide
de 1951. Parce que nonobstant l'opinion contraire, les
Juges-Négriers et les Procureurs-Fascistes étaient incontestablement
tous tenus dès lors, de s'abstenir de pratiquer «les
Séparations des Familles des Natifs», de même qu'ils étaient,
et sont encore tenus de sévir et réunir les Familles séparées
lors des Bannissements des Blanches et de leurs Enfants-Métis non-reconnus
Autochtones, ce qui motiva leur expulsion de leur Réserve en 2009 par
les Mohawks, de ne pas bénéficier du si précieux «Statut d'Indien». Et cette Infraction au Droit
International Public commise par les Mohawks et les
Procureurs-Complices leur est toujours imputable en vertu de
l'article 2 de la Convention pour la Prévention et la Répression du Crime
de Génocide de 1951, qui s'interprète conjointement avec la Convention
sur l'Imprescriptibilité des Crimes de Guerre et des Crimes contre
L'Humanité de 1970.
Et cette Responsabilité Criminelle perdure, quoi qu'en pensent Claude Millette-Zundel et
Jacques Rouiller-Fasciste, son procureur de la Couillonne
dans Reine contre Denis Dubé, #500-01-002223-045
du 30 septembre 2005, ainsi que la Responsabilité de tous les
autres Juges-Négriers caïnadiens avec leurs procureurs Sectaristes,
puisque «les Actes de Génocide» d'Injustice-Canada sont effectivement
reconnus «Imprescriptibles», tant qu'il y aura Absence de
Reconnaissance et de Réparation venant de ces sales Bâtards de
Juges-Négriers en retenue-activiste flagrante d'ultra-misonéisme atavique de
Partisanerie dans la Non-Reconnaissance de la Dignité-Humaine aux
Autochtones, par leur impitoyable Pratique-Ségrégationniste qui stimule
indiscutablement la Léthargie-Législative, et prive effrontément les
Autochtones de la Réparation qui leur est dûe de la part de leur bâtard de
Patron-Législateur qu'est «l'Être-Parfait» de l'exécrable
Parlement-Colonial d'Ottawa qu'ils prennent tous débilement pour
le Pharaon d'Égypte. En contrepartie, toute la Population coincée
avec des Sciences Juridiques qui se sont volontairement exclues des
Sciences-Humaines. Mais voyons parmi ceux qui les pratiquent encore
véritablement, ce qu'en pense Rush W. Dozier en regard de la
classification légitimée des Catégories Raciales, qui ont fort probablement
inspiré le film «Gangs of New York»:
«Quel que soit notre héritage multiracial, on
est Blanc ou Noir, pas les deux. Ou encore, de manière
plus générale, Blanc ou non-Blanc. Même si on a une mère et un père à la peau
blanche, on est classé dans la catégorie «non-Blanc». Lorsque les mélanges raciaux ont été reconnus, ils l'ont été
dans le cadre d'une nouvelle catégorie limbique à connotation négative: «métis»
ou «mulâtre» par exemple. Semblables catégories raciales ont pour
but d'établir non seulement des distinctions nous/eux, mais
des divisions supérieur/inférieur. Au XIXe siècle,
des ethnologues européens ont même divisé les Blancs en plusieurs races. Selon
une théorie populaire, il y avait trois races blanches: teutons blonds aux yeux
bleux (la race des Seigneurs!); alpins aux cheveux châtains; méditerranéens
sveltes aux cheveux foncés. Cette classification a été adoptée par les nazis.
Les lois sur l'Immigration d'un grand nombre de pays, dont les États-Unis,
reflètent une discrimination raciale se traduisant par des préférences
marquées, discrimination qui touche même les «Blancs». Au début du XIXe
siècle, en Amérique, les immigrants irlandais étaient classés comme Noirs.»
(Rush W., Dozier, «La Haine: Comprendre et éliminer la haine»,
2003, Les Éditions de l'Homme, page 164)
Et toujours sur
les Séparations des Familles, cette fois concernant les
aborigènes en Australie, en tant que Colonie du
Royaume-Uni spécialisé dans le Déracinement, puisqu'il y causait
les mêmes Dommages Culturels que Ceux subis par
les Natifs du Canada sous la Loi sur les Indiens, complémentaire à son morbide instinct
d’assimilation (comme en témoigne le film Les
Enfants de la Liberté), et selon ce que nous rapporte Rush
W. Dozier, sans rien cacher pour dorer et sucrer la pilule, comme
se doit un intègre Pratiquant des Sciences-Humaines:
« La violence rationnelle
peut aussi être le fait de fanatiques qui, dans leur ferveur mal
orientée, perdent de vue les conséquences de leurs actes. Semblable
violence a joué un rôle dans la politique d’assimilation des aborigènes menée
autrefois par le gouvernement australien, qui a séparé de force des milliers
d’enfants autochtones de leurs familles pour les placer dans des foyers blancs.
Les architectes de cette politique justifiaient leurs actes de façon
rationnelle et avaient le sentiment d’être motivés par la bienveillance, et non
par la haine. Cependant, ils ne pouvaient éprouver une quelconque empathie à
l’égard des familles qu’ils détruisaient, puisque les aborigènes étaient encore
considérés comme des « eux. » (Dozier, Rush W., La Haine:
Comprendre et éliminer la haine, 2003, Éditions de l’Homme, p. 297)
Une telle pratique ségrégationniste qui orchestre une telle cruauté envers
des Enfants jusqu'à les arracher de leurs Familles, s’est également
pratiquée depuis plus d’un siècle dans le Fief du Canada avec les Écoles
résidentielles qu’on appelait aussi de façon populaire des
Pensionnats, et qui sont pour moi des Pensionnats-Carcéraux, de
m'en être tapé quatre ans. Présentement, il se trouve qu’un prêtre
dénommé Kevin Annett, a courageusement intenté un recours
collectif contre la Monarchie britannique, le gouvernement canadien ainsi
que le Vatican impliqué dans son irreligieuse Loi du Silence et qui
sait, ayant peut-être embarrassé jusqu’à motiver la démission
effective de Benoît XVI, pour les innombrables atrocités qui furent
commises dans ces Institutions de la brutalité sans Charité Chrétienne et
sans Voeu de Chasteté en semant le Désoeuvrement et la Déshumanisation, pour
finir avec autant d'Écervelés voulus «en Peuples plus arriérés» pour se justifier de dominer le Dominion; quand on pense à des milliers de corps d'Enfants Natifs non-rapportés à leurs Familles; comme en témoigne les Médias-Sociaux
sur Youtube au site de Kevin Annett 15 September 2012 Announcement. Et de
grâce, profitez utilement de cette vérification sur Internet pour
visiter d’autres sites qui dénoncent la Rubitude des Autochtones;
par exemple, Stolen Sisters Awareness, Canadian Aboriginal Women’s Rights, celui de Beverley K. Jacobs, de Kiera Ladner,
avocate Autochtone de l’Université du Manitoba, et celui de Chantal
Maillé, psychanalyste de l’Université Concordia; en soulignant que Mme Kiera Ladner et
Mme Chantal Maillé étaient toutes les deux présentes à la Conférence
d’Avril-2012 à l’UQAM, portant sur l’état de la Condition
Féminine des Indiennes depuis le Rapatriement de la Constitution.
Selon
Jean-Paul Sartre, en préface du «Portrait du
Colonisé», par Albert Memmi, après «le Déni» des «Droits de l'Homme»
aux Aborigènes, s'ensuit inmanquablement «la scélérate Tentative d'«Auto-Absolution» dans tout système Colonialiste. Que quelques Politicards isolés se prêtent à cet ignoble
pratique ségrégationniste, c'est une chose dont on peut s'attendre, mais
pas de toutes les Assemblées Législatives provinciales et du
Parlement-Colonial d'Ottawa conjointement et unanimement, et encore moins
supporté par sa Magistrature du Parti-Pris. Selon la citation
suivante, nos Élus provinciaux, supposément composés de Partis différents du point de
vue idéologique, nous démontrent présentement qu'ils tiennent tous «la même Ligne de Parti» d'Extrémistes
de l'Extrême-Droite, et qu'ils auraient sans
aucun doute une bonne leçon de Démocratie à prendre de leurs confrères
australiens, pourtant de simples PM provincialistes du
même Empire britannique:
«Comme aux
États-Unis, l'Autralie possède un gouvernement fédéral et des gouvernements
provinciaux. Plusieurs gouvernements provinciaux ont officiellement présenté
des excuses aux aborigènes pour les préjudices subis après la colonisation
européenne. Mais le gouvernement fédéral, lui, a refusé de faire des excuses,
déclarant qu'il préférait faire amende honorable avec une politique de
programmes appropriés.» (Dozier, Rush W., La Haine: Comprendre et
éliminer la haine, 2003, Éditions de l’Homme, p. 301)
Pendant que
la Magistrature caïnadienne sépare toujours sournoisement les Familles
Autochtones, le Patrimoine multiculturel de l'Épuration Raciale dénaturé
Matricide des Cultures Matriarcales, contient toute sa
Jurisprudence dont elle fait la Promotion, incluant l'arrêt
Guibord, dans lequel le Conseil Privé déclare en conclusion
que la Séparation des Sépultures dans les Cimetières Catholiques flétri
la Mémoire des Disparus et est infamante pour les Proches du
Défunt. Cherchez l'erreur! -après avoir lu cette citation, que
l'inverse, séparer des Familles de Vivants, ne soit pas
respecté comme le stipule péremptoirement depuis 1951 le Droit International
Public des Nations Unies:
«It cannot not be doubt on the evidence that this
qualification of the general right of interment, this separation of the
ordinary place of sepulture implies degradation not to say infamy.» (Lord Selborne, In Re Guibord, en résumé de
Dame Henriette Brown contre Les Curé et Marguilliers de la
Fabrique de la Paroisse de Montréal, Revue Légale, (1873-1875), vol. VI, 157-220,
page 209)
Et pourtant à
ma grande surprise, aux U.S.A., sans même la nécessité d'établir «un Lien-Sanguin», la Cour Suprême dans
l'arrêt Freedmen, a reconnu «Autochtones» les Descendants
d'Esclaves-Noirs» qui s'étaient réfugiés chez les Cheyennes qui ne les
retournaient pas pour s'enrichir d'une Prime, et cela par «le Principe
innovateur de «Relations Historiques.»
Priver les Autochtones de vivre parmi les Leurs parce qu'ils ne sont pas
Détenteurs du «Statut d'Indien», vu comme leur Paseport honorifique les
attestant Autochtones, revient à les priver de toute «Relation
Historique», Tribale et Familiale. Des Êtres jaugés inférieurs
sont systématiquement présumés ne pouvoir s'épanouir dans leur Milieu,
aussi, l'Exclusion assimilitrice sera donc priviligiée pour en
faire des Zappés-Apatrides, en soubresauts de Survie par leur
Excentricité drastiquement provoquée, ou qui s'abandonnent
au Désoeuvrement souhaité pour se justifier d'une Autorité
Décisionnelle sur leur Mauvais-Sort, voilà la Couvée des Pensionnats-Carcéraux.
Le Sentiment intime jusqu'à la Certitude d'être «Autochtone», ne suffit pas
pour les Ségrégationnistes dressés à la fanatique insensibilité patriotique
en Territoire occupé après leurs cupides annexions. Pour ce qui est des
stigmates du Colonialisme, voici ce qu’en dit Erik H. Erikson,
psycho-historien:
«L'aspect le
plus terrifiant de la pseudo-spéciation, c'est qu'une «espèce» tombée
sous la dominance d'une autre est capable d'absorber, quand elle se juge
elle-même, selon l'opinion dépréciatrice de l'espèce dominante. Alors, elle
se laisse infantiliser et accumule, en elle-même et contre
elle-même, une colère qu'elle n'ose pas laisser éclater contre
l'oppresseur, que souvent elle n'ose même pas ressentir. Cela peut
devenir une malédiction se transmettant d'une génération à l'autre, une
malédiction qui conduit d'abord à la violence entre les opprimés mêmes,
jusqu'à ce que toute cette colère latente éclate finalement en une
manifestation séditieuse au moment où les circonstances historiques semblent
provoquer et sanctionner une explosion. Il ne sera pas surprenant pour nous
que ces désordres puissent être d'une gaieté enfantine, tout en étant
inconsidérément destructeurs; car les opprimés n'ont pu supporter leur
oppression qu'en cultivant, pour se défendre, un caractère
enfantin et même un certain infantilisme dans la vie individuelle, ainsi
qu'une primitivité fragmentaire dans leur héritage culturel. Il est évident
que là où l'accent mis sur la pseudo-espèce est dominant -comme
souvent dans l'histoire coloniale -le développement de chaque
participant individuel est compromis par les différentes combinaisons de
culpabilité et de colère qui empêchent tout véritable développement même
quand il y a abondance de connaissances et d'aptitudes.» (ERIKSON, H. Erik,
La Vérité de Gândhî, les origines de la non-violence, France, 1974,
Flammarion, aux pages 412-413)
De John
A. Macdonal à la Charte-Animalière à Trudeau, le langage est
demeuré outrageusement le même, d'une Mentalité-Haineuse restée inchangée,
sauf de s'être fait enchâsser en supra-constitutionnalité, pendant
que la Jurisprudence s'enscence dans sa suffisante médiocrité dogmatique,
afin de poursuivre la rectitude législative, exprimée inespérément ou
sous-entendue « coutumièrement », selon ce qui ressort des
propos insensés du Juge Riddel, à l'effet que :
« Le principe
moderne est que le législateur est censé savoir ce sur quoi il veut légiférer
et avoir de langue courante une connaissance qui lui permet d’exprimer son
intention. »
(Re Dillon et al., [1937] O.R. 114 (Ont.
C.A.), (op. cit.), juge Riddel, à la page 176 )
-de l'arrêt Pemsel du Conseil Privé en relais à
l'arrêt Scheer de la Cour Suprême :
Judiciarisation du principe
monarchique «the king (and) the queen can do no wrong!»
Ce qui veut
dire que si la Vérité, la Mémoire et la Dignité-Humaine ne nous sont pas
reconnus, c'est que «le législateur» s'est retenu de «cette «intention»
trop généreuse pour son Bétail du Fief de «l'Être-Parfait» du
juge Spence :
« Je ne crois pas qu'il
appartienne au tribunal de supposer que le Parlement a commis une erreur. Qu'il
y ait ou non erreur, je crois que le tribunal est tenu de supposer que le
Parlement est un être parfait qui ne commet pas d'erreurs. »
(Commissioners’
of Income Tax c. Pemsel, [1891] A. C. 531, p. 549, par Lord
Halsburry; déclaration saugrenue approuvée « ponce-pilatement » par
le Juge Spence dans R. c. Scheer Ltd., 1974, R.C.S., 1046, à la
page 1055)
Pour les
Cerveaux-Lavés, trop facilement rassurés de vos Droits-Fictifs et de vos
Libertés-Virtuelles, quelle était donc la teneur de la liberté de presse
avant l’existence de vos Chartes-Bidons? Voici, pour nous situer
convenablement de façon chronologique, les propos que tenait Henri Bourassa, le
téméraire fondateur du Devoir, dont la courageuse devise était: «Fais ce que
dois!» -avant que son Succésseur de québécitude n’en change pour
répandre l'exécrable médiocrité avec: «Libre de penser», (mais,
dans le Devoir de se taire):
« Qu’on se mette bien ceci en tête: les Anglo-Saxons, au
Canada comme en Angleterre, aux États-Unis ou ailleurs, ne
feront jamais à leurs esclaves blancs, jaunes, bruns ou noirs,
à cheveux plats ou crépus, munis d’anneaux dans le nez ou décorés
de rosettes, sirés ou lordifiés, Canadiens ou Maoris,
Punjabis ou Hottentots, Boers ou Malais, que la
part strictement nécessaire pour fortifier la domination anglo-saxonne sur les
races dont les prétendus associées ne sont que des otages. Ceci est
aussi vrai en affaires qu’en politique – les deux domaines où
l’Anglo-Saxon entend régner en maître dans le monde entier, à plus forte
raison dans ses possessions propres. » (SCHWIMMER, Éric, avec la
collaboration de Michel Chartier, Le Syndrome de Plaines d’Abraham, Les
Éditions du Boréal, 1995, 205 p., p. 102)
Conclusion humanisante d'une Colère longuement mijotée
La Liberté
de vivre dans la Dignité est pré-européenne. Cela vous résume ma Pensée,
mon
Analyse sur la Mentalité-Haineuse des bouzeux Polémologistes me laissant
fatalement
voir, par
ma propre Victimisation d'une rude Rubitude lancinante partagée
par tant
de Membres de ma Famille de la Branche Maternelle, que cette Malédiction
était
proférée par les Toges-Ségrégationnistes condamnant «sourds-noisement»
à
l'Anonymat avilissant tous les
Bardots-Métis, frappés ignominieusement
de la
Présomption de Bâtardise insinuée insidieusement
dans la
Charte-Animalière caïnadienne, dans la Privation dégradante du «Statut d'Indien»;
ce qui
m'indiquait clairement que les Femmes des Nations Subjuguées,
étaient
définitivement les Boucs Émissaires préférées des Polémologistes,
de leur
Paranoïa-Obsessionnelle qui prévaut sur
tout Remords spontané et sincère
exprimé de
Bonne Foi:
-parce qu'ils
ne voient en Elles que la Matrice maudite d'une concevable Rébellion,
ou d'une possible insurrection, sinon, d'un
probable Coup d'État,
ou qui sait, venant d'Elles,
d'une éventuelle Guérilla,
ou même d'une vraisemblable Jacquerie;
selon l'Idée-Fixe
des belliqueux Polémologistes, (de polemikos, relatif à la
guerre),
par
conséquent, hyper-agressifs, de considérer absolument tout strictement
sur le
plan militaire, et tout Contestataire
onusien,
irrémédiablement
un illuminé illucide qui a la berlue,
d'être
enclin à la Quérulence malsaine du Plaignard imaginaire,
mais de
Folie apparente, de tant s'évertuer à entacher leur imparable stratégie
d'Imperfectibilité
régalienne et d'Infaillibilité pontificale de Roi-Pape et de Reine-Papesse
de la
Théocratie protest-anglicane rétro-adventiste,
en
Croisade de Lavage de Cerveaux à l'Ère de
la Mémoire-Informatisée...
pendant que
dans le Respect, Catherine Audard nous conjure de défendre
le Droit à
la Mémoire contre le Révisionnisme,
en
considérant la Mémoire, comme «l'ultime tombe des Victimes»...
et pendant
que j'exulte de sa Féminité-Yinississime, j'entend Ici,
du fond
de l'Antiquité contemporaine déphasée «bigbennique»,
la maxime
latine «qui nescit dissimulare,
nescit regnare, qui ne sait pas dissimuler,
ne sait
pas régner», qui nous est traduite simili-modernisée,
mais dûment
joualisée
à
l'émission des «Francs-Tireurs», par
la sinistre Ministre
Monique Jérôme-Forget «forget about it»,
nous
proclamant qu'«il n'est pas bon que
le Peuple sache tout», supportée bêtement
par
Michelle Courchesne, cour-circuitée, la laidronne des Libéraux-Colonialistes,
soutenant
que «mentir ce n'est pas commettre une
Erreur»,
juste
avant «faut le voir pour le croire»...mais
sans me convertir
et encore
moins me séduire...
Il reste en Réflexion finale,
que le terme «Mulâtre» ne serait tolérable pour aucun Législateur de
vouloir expressément se l'appliquer à lui-même comme aux Siens; aussi,
«il» ne devrait donc jamais
apparaître dans aucune Charte afin qu'Elle s'offre véritablement Démocratique,
puisque «Mulâtre» origine du latin «mulus», signifiant «Mulet»,
ce qui inspira son dérivé péjoratif de «mulato», nous parvenant poussiéreusement
de l'Espagnol des «Conquistadores».
Sauf, que dans «le Fief du Canada», «la Présomption de Bâtardise des
Bardots-Métis» est spécifiquement son synonyme, qui est néanmoins
considéré «tolérable constitutionnellement», en ne garantissant
outrageusement, à l'alinéa 2 de l'article 35, que la reconduction de la
Rubitude des Autochtones par cette infamante Clause-Négrière, qui prend ses
Assises à partir des Armoiries caïnadiennes arborés belliqueusement sur la Charte-Théocratique,
Martiale et Animalière caïnadienne des Droits-Fictifs et des
Libertés-Virtuelles, à la mode hyper-archaïque et ultra-arriérée
protest-anglicane rétro-adventiste «dévaticanisée»
Anti-Iréniste...
Et cette exécrable
Iniquité pestilentielle d'Arbitraire, est sans contredit discriminatoire
et vexatoire, humiliante, déshumanisante et autant Provocatrice
onusiennement parlant, et il est par conséquent «Injustifiable» tant politiquement
que juridiquement, qu'elle soit légitimée par l'Apposition des
Armoiries caïnadiennes sur la Charte-Évidée par cette archaïque et
anachronique Clause dérogatoire de «l'ancien Droit International Coutumier»,
supposé enterré peu après la défunte Société des Nations, mais qui, dans
ce Fieffé-Fief caïnadien, supplante encore absurdement la modernité
humanisante du Droit International Public de l'Assemblée Générale des
Nations Unies: pour que la Folie multi-millénaire de la Guerre prime
iniquement sur la Volonté-Populaire d'une Démocratie-Pacifiée.
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